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Dans la (déjà) longue histoire des allégations d'une présence étrangère à notre civilisation sur Terre, nous venons probablement de franchir une étape décisive avec les auditions récentes par une commission de la Chambre des représentants sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés, de témoins qui sous serment ont délivré des propos, connus de ceux interessés par le sujet, mais assez peu du grand public.
Il ressort de leurs allégations qu'une présence étrangère dans notre ciel est une évidence en grande partie ignorée, stigmatisée et un témoin clé a même évoqué sans entrer dans les détails (classifiés) un programme de rétroingénierie d'engins volants qui se seraient écrasés, y compris la présence de restes biologiques non humains à bord de ces épaves.
Il en ressort que le gouvernement américain, ou une faction de l'appareil militaro industriel hébergerait un programme dissimulé sur plusieurs décennies, non documenté officiellement ni financé, ce qui serait illégal et sujet à investigation par les représentants du peuple américain.
Trois témoins essentiels étaient présents à cette audition avec des apports sans intervention d'autres personnes.
Deux anciens pilotes de chasse, qui ont tous les deux répétés sous serment, ce qu'ils ont vécu, à savoir pour simplifier des rencontres documentées par une détection multispectrale et visuelle (témoins multiples) d'engins volants non conventionnels (un cube noir dans une sphère transparente, pour l'un et un engin en forme de gélule blanche pour l'autre, les deux de taille estimé entre quelques mètres et une dizaine de mètres).
Ce ne sont pas seulement les formes non aérodynamiques ou l'absence visible de moyens de propulsion (pas de signature sonore ou thermique par ex), mais leurs caractéristiques de vol documentées par des appareils qui posent problème et excluent en principe tout artefact émanant de notre civilisation. La gestion de la signature électromagnétique a aussi été mentionné excluant une "projection" et l'intentionalité du comportement de ces objets.
L'un des deux pilotes dit explicitement que ce qu'il a vu est extrêmement éloigné de tout ce qu'on peut concevoir dans tout avenir prévisible en matière d'engin volant, un autre que ces observations sont routinières et non exceptionnelles.
Mais c'est surtout le témoignage attendu de Mr Grusch qui a fait voler en éclat le consensus public sur ce qu'on pouvait dire et ce qu'il convenait de conserver sous le couvercle.
Les parlementaires avaient demandé explicitement et obtenu du Pentagone un rapport de synthèse il y a quelques années sur le sujet des « phénomènes aérospatiaux non identifiés », suite à des fuites orchestrées par des personnages publics alimentés par des témoignages de personnes à qui en toutes circonstances l'Etat confie la charge de matériels très couteux ou de secrets très sensibles.
Dans ce rapport le Pentagone admettait que plus d'une centaine de cas n'avaient pu, malgré les moyens mis en œuvre, être identifiés.
Demande s'en était suivie de chapeauter la collecte de renseignements et de faire poursuivre les études et en rendre compte.
Un personnage clé dans cette histoire était justement Mr Grusch, qui avait toutes les accréditations et la charge d'entrer en contact avec ceux s'occupant de la collecte et analyse des cas les plus sensibles.
On peut estimer au vu de ses dires qu'il a aboutit à la conclusion que des personnes l'empêchait (en violation de son mandat) d'entrer en contact et de voir certaines choses et à déposé une plainte formelle auprès de l'Inspecteur Général des Services (de renseignements) pour violation de la loi, l'empêchant d'accomplir sa tâche.
L'Inspecteur général des services a recueilli sa plainte et a auditionné des témoins qui ont corroboré ses affirmations au point qu'il a demandé à la commission d'investigation parlementaire d'écouter son témoignage, jugé crédible et crucial.
L'audition vaut la peine d'être écoutée en entier et il en ressort que le gouvernement américain depuis les années 1930, maintiendrait le secret sur (ou pire ignorerait) un programme d'étude et de rétroingénierie de matériels volants n'émanant pas de notre civilisation, probablement d'origine non humaine.
Il a explicitement mentionné la présence de restes biologiques dans certaines des épaves récupérées.
Il a explicitement indiqué que ce programme d'étude ne semble pas avoir été autorisé par le législateur et donc était probablement financé de façon auculte (probablement en détournant des fonds alloués pour d'autres programmes), ce qui bien sûr est illégal au regard de la loi américaine.
Il s'est défendu de ne pouvoir accréditer ses affirmations (elles l'ont été sous le sceau du secret par des tiers impliqués auprès de l'Inspecteur Général des Renseignements) mais s'est dit disposé à fournir des preuves dans une enceinte accréditée auprès de personnes accréditées de la commission .
On peut douter de beaucoup de choses, tant ses propos choquent notre conception de ce qu'est la réalité.
Il reste à expliquer pourquoi un personnage qui a fait une très longue carrière dans le renseignement au point d'avoir été mis à des postes clés pour investiguer le sujet des UAPs (les « OVNIS » disons) risquerait la prison à vie en témoignant sous serment et en cramant sa vie professionnelle.
De très bons journalistes qui connaissent le sujet pour l'avoir étudié et qui ont des contacts tous azimuths avec des personnes assez bien placés pour avoir des expériences de vie et des informations hors du commun, accréditent la thèse que c'est réellement un lanceur d'alerte, qui a mis à jour une malversation hors la loi et cherche une protection (physique) en rendant publique le peu d'informations qu'il peut divulguer sans violer ses multiples « NDAs) (déclarations de non divulgation qui sont obligatoires dans certaines professions, sous peine sévère de prison).
Le représentant du Tenessee, Mr Burchett a probablement trahi l'agacement de certains parlementaires en disant lors de son élocution que « les militaires reçoivent les instructions des civils en démocratie et non l'inverse », suite aux obstructions dont on fait l'objet des parlementaires, dont Mr Gaetz qui était intervenant, mais c'est manifestement plus un souhait qu'une réalité.
Si c'est le pouvoir civil qui décide de la guerre, il est entièrement dépendant d'une structure militaire et du renseignement qui dispose de son propre agenda et lui donne les renseignement qu'il a envie de lui donner pour former son jugement. Or le complexe militaro-industriel et les services de renseignements (multiples) sont de facto des Etats dans l'Etat, ce n'est pas une découverte récente.
Dans ces conditions qui décide en réalité peut être débattu.
On semble être dans un tel cas de figure et des moyens considérables seront mis en œuvre pour empêcher la prise de conscience collective, si une faction puissante opère aux USA, un cabinet « fantôme » qui décide de ce qu'on peut dire aux « représentants du peuple » et au peuple in fine.
On est dans une situation assez tendue entre des parlementaires qui veulent soulever le couvercle, car un programme non soumis à autorisation parlementaire (y compris en commission restreinte gérant les programmes secrets) prospérant sur des détournements de fonds ne peut qu'exiger une investigation, quoi qu'on puisse découvrir au final.
Bien entendu, les auteurs de cette entreprise ont de puissants moyens de contrôle à la fois des médias et du parlement pour esquiver toute tentative de mettre à jour leur entreprise et personne ne peut donc prédire la suite de l'enquête en cours.
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