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Les commentaires de Jean Umber



  • janequin 18 janvier 2011 14:31

    Si tout le système est pourri, c’est d’abord à la racine, dans les fondements de la médecine classique, qui a voulu passer outre à la sanction de l’étude chimique des réactions biologiques. Sait-on exactement ce qui se passe avec les anticorps ? Sait-on comment fonctionnent (au niveau de la molécule s’entend) les médicaments antisida ?
    Quel mot savamment galvaudé que le mot « moléculaire », utilisé à toutes les sauces (biologie moléculaire), sans qu’on n’y décrive aucune réaction chimique faisant appel à une description de molécules !



  • janequin 18 janvier 2011 01:08

    Quelle vision manichéenne des bactéries !!

    Les lymphocytes B forment également des anticorps contre des substances dites inertes (substances chimiques diverses par exemple), qui ne sont d’ailleurs pas si inertes que cela.

    Et puis, ces anticorps sont tous, sans exception, le résultat d’une oxydation, puisqu’ils possèdent un très grand nombre de pont disulfure, qui ne peuvent provenir que de l’oxydation de thiols !



  • janequin 16 janvier 2011 22:51

    Traroth,

    les bénéfices de Boiron sont essentiellement dus aux préparations de phytothérapie assimilées par beaucoup à l’homéopathie.

    Les granules sont beaucoup moins rémunérateurs. heureusement que de nombreux médecins qui ont trouvé le filon de l’homéopathie sans en connaître la substantifique moelle (pour arrondir leurs fins de mois) prescrivent un amoncellement de tubes de granules pour améliorer l’escarcelle de Boiron.

    Mais s’ils appliquaient vraiment la méthode, alors la préparation de ces granules ne serait plus du tout rentable. Un vrai homéopathe donne très peu de remèdes.

    D’ailleurs, quelle profession a-t-elle attaqué Hahnemann dès le début ? Pas les médecins, qui étaient enthousiasmés à l’époque. Ce sont les pharmaciens de Leipzig, qui voyaient bien ce qui les menaçait. ils voulaient continuer à vendre moult préparations au calomel, etc....



  • janequin 16 janvier 2011 21:28

    On voit bien que vous ne fréquentez pas les labos d’analyse. Il n’y a jamais de situation où aucun anticorps n’est détecté. Renseignez-vous un peu mieux, et ne prenez pas pour parole d’évangile ce que l’on vous a instillé.



  • janequin 16 janvier 2011 19:32

    « Les personnes chez qui on retrouve les anticorps ».
    On les retrouve chez tout le monde... Je l’ai vu de mes yeux vu dans un labo de bio...
    Certes, à des taux inférieurs à l’index : 0,3 ; 0,7.
    Mais aussi supérieurs (1,5 ; 2 ;...) chez des personnes cette fois-ci considérées comme positives.



  • janequin 16 janvier 2011 19:05

    Ce que vous appelez VIH, je l’appelle peroxynitrite. La seule différence, c’est que les test à un virus doivent être noir et blanc, oui et non, alors qu’ils ne le sont pas.
    Tant que cette difficulté ne sera pas élucidée, l’hypothèse chimique est bien plus simple et de bon sens.

    Pour le reste, prouvez-moi, cartes de géographie à l’appui, que vos dires sont fondés. J’ai l’impression que vous faites feu de tout bois pour vous sortir de la difficulté que vous avez à argumenter.

    Et pourtant, vous vous dites non conformiste... LOL !



  • janequin 16 janvier 2011 18:00

    Et puis, vous citez également une étude de 1985 sur l’AZT. N’est-elle pas elle aussi obsolète ? Ou bien faut-il simplement choisir celles qui sont « politiquement correctes » ?

    Ce qu’on détecte avec les tests, c’est la présence de certaines protéines, dont un taux élevé est retrouvé chez les personnes malades du sida. Il est parfois également élevé chez des personnes en bonne santé (apparente). Celles-ci auront une propension à faire un sida...

    Mais on retrouve ces protéines chez tout le monde, à un taux faible. Sinon il n’aurait pas été nécessaire de définir un index statistique. Les tests ne sont pas noir ou blanc. Il sont quantitatifs, et non qualitatifs. Ce qui implique que ces protéines sont associées à un ou plusieurs composés dont l’excès peut être mortel. En l’occurrence les peroxynitrites comme indiqué dans la publication d’Aquaro.



  • janequin 16 janvier 2011 16:28

    L’AZT a été expérimenté par Fischl et al en 1985. Ce n’est pas l’état de santé des malades, mais le taux de CD4+ qui s’est amélioré durant les 24 semaines de l’essai, interrompu prématurément (normalement il aurait dû durer 50 semaines) pour répondre à la pression du milieu homosexuel.

    En 1990, l’étude Concorde a montré qu’il ne permettait pas d’améliorer l’espérance de vie, au contraire. (vous voyez, je donne mes références, contrairement à vous).
    On peut également lire avec bénéfice l’étude de Ruengpung Sutthend (ou ici)

    Puis la trithérapie a nettement amélioré le sort des malades. Pourquoi ?
    Tout simplement parce qu’elle contient des composés qui détruisent le peroxynitrite (lamivudine, emtricitabine). L’AZT ne le faisait que partiellement, vu sa structure chimique.

    Il faudra que vous révisiez vos cours de chimie. L’excès de monoxyde d’azote (et donc de peroxynitrite) ne provient pas essentiellement de la pollution atmosphérique. Il est synthétisé naturellement par les cellules. mais, pour le pas être transformé en quantité toxique de peroxynitrite, il faut que la cellule dispose de moyens réducteurs adaptés (thiols, sélénothiols en particulier), qui sont apportés par la nutrition, les sols (l’Afrique Australe est très pauvre en sélénium, comme tous les terrains archéens datant de 3 milliards d’années), et qui ne doivent pas être détruits par les composés oxydants azotés, très utilisés en Afrique (chloramphénicol, métronidazole, isoniazide). Certaines substances (Viagra, Cocaïne,...) augmentent par ailleurs le taux de monoxyde d’azote...

    Donc, la réalité, c’est que la trithérapie améliore les malades, mais c’est à cause de ses propriétés chimiques, point barre.



  • janequin 16 janvier 2011 12:40

    Je rajoute que dans House of Numbers, Françoise Barré-Sinoussi, co prix Nobel avec Luc Montagnier, parle également de la nécessité des cofacteurs.



  • janequin 16 janvier 2011 12:37

    Si l’on veut être cartésien et mathématique, il faut répondre à la question : le VIH est-il une condition nécessaire et suffisante pour expliquer le Sida.

    Est-il expérimentalement nécessaire ? Pour y répondre, il devrait suffire d’analyser le document fondateur de Gallo publié après la conférence de presse où lui-même et la ministre de la santé américaine ont annoncé qu’il avaient découvert la cause probable du sida.
    Dans ce document, on trouve qu’il n’a montré la présence du VIH que dans 40% des cas de Sida.

    Ensuite, est-il suffisant ? Il suffit pour se convaincre de la bonne réponse d’écouter les propos du Pr Luc Montagnier, qui, depuis 1990, avance la nécessité de cofacteurs. Il réitère ces propos dans l’interview qu’il a accordée à Brent Leung.

    Maintenant, pourquoi réfuter un lien entre le sida et la chimie, puisque tout est chimie ?
    Ce lien logique existe en tous cas entre le VIH et les substances chimiques incriminées au début du sida (les poppers).
    Aquaro a montré ici que le VIH ne pouvait se répliquer en l’absence de peroxynitrites. Or l’excès de ceux-ci (dont on sait qu’une infime quantité est indispensable au métabolisme cellulaire) provient de l’oxydation du monoxyde d’azote. La décomposition ou l’oxydation facile de nombreuses substances azotées donne évidemment cet excès de monoxyde d’azote.
    (poppers = R -O-N=O -> RO° + °N=O très facilement)



  • janequin 14 janvier 2011 12:39

    Je reviens sur cette fréquence de 7 Hz qui semble vous intriguer. Non seulement une telle onde peut provoquer une transition entre niveaux n et n+1 de l’atome d’hydrogène, avec n très grand, mais également entre les niveaux créés par l’action d’un champ magnétique (constant la plupart du temps) sur les dipôles magnétiques apparaissant dans les composés à spin électronique non nul que sont les composés paramagnétiques (O2, NO en particulier). C’est la résonance paramagnétique électronique (RPE). Pour la mettre en évidence, les physiciens utilisent des champs très puissants, pour que les fréquences des ondes absorbées (et réémises) soient dans le domaine facilement détectable (en MHz). Mais ce n’est pas pour cela qu’un champ plus faible ne pourrait pas créer une levée de dégénerescence permettant des fréquences d’absorption beaucoup plus faibles. Au contraire, la théorie de la RPE (semblable à celle de la RMN) y invite sans aucune contestation possible.



  • janequin 13 janvier 2011 19:15

    Vous-même, Cob, ainsi d’ailleurs que la plupart des médecins, homéopathes ou non, ne comprenez rien à la physicochimie quantique. Alors, un peu plus d’humilité, s’il vous plaît !



  • janequin 13 janvier 2011 15:54

    Effectivement, c’est assez bizarre. Est-ce qu’il ne pourrait pas y avoir plusieurs types d’environnement pour les molécules paramagnétiques, qui imposeraient des splittings différents, permettant des transitions de fréquences différentes correspondant chacune à un codon ?



  • janequin 13 janvier 2011 12:58

    En fait, l’article de de Weck n’indique aucune contre expérience faite à la suite de Montagnier. Donc votre allégation est mensongère.

    Qu’ils s’y attèlent, et nous verrons.

    par ailleurs, il serait intéressant de savoir quelle partie des protéines permet ce phénomène de résonance, qui me fait penser à la Résonance paramagnétique électronique entre deux composés paramagnétiques. Et un des composés paramagnétiques cellulaires essentiel est le monoxyde d’azote, synthètisé par les NO-synthase, en présence d’arginine.

    Est-ce que l’environnement de ce NO modifie ses niveaux Zeeman (apparaissant dans le champ magnétique terrestre) de manière spécifique ? Cela pourrait être car la différence énergétique entre ces niveaux correspond bien à de très basses fréquences.

    Mais l’étude de tous ces phénomènes nécessite beaucoup de compétences et d’humilité, ce que nombre de détracteurs ne possèdent pas, loin de là.

    Etrange aussi de connaître le lien entre NO et le VIH. Celui-ci en effet ne se réplique qu’en présence de peroxynitrite [ONOO(-)], formé avec une vitesse plus grande que la réduction de l’eau oxygénée par la catalase, lorqu’il est en présence du premier composé de la chaîne de réduction du dioxygène, l’ion superoxyde.



  • janequin 20 décembre 2010 19:41

    Tout cela n’arriverait pas si les chimistes de chez Servier (et j’en connais) ne s’étaient agenouillés devant la sacrosainte théorie « clé-serrure » et les études statistiques, sans tenir compte de la similitude fonctionnelle. En effet, il ne faut pas être un chimiste de haut vol pour comprendre, à la vue de la formule du Médiator, que c’est une amphet’.

    D’ailleurs, il faudrait que ces mêmes chimistes aient leur mot à dire quant aux propriétés biologiques des substances que l’on fait ingérer aux gens. Le rôle du monoxyde d’azote et des peroxynitrites dans l’immunité n’est par exemple pas encore pris en compte pour mieux soigner...



  • janequin 13 décembre 2010 17:38

    Ce qui me choque dans tout cela c’est le manque de rigueur du texte mis en exergue :

    "Leurs équations montrent comment un flux d’électrons hautement énergétiques propulsé par un puissant laser pourrait faire apparaître la matière et l’antimatière inclues dans ... le vide« 

    Comment un laser (onde électromagnétique cohérente) pourrait-il »propulser« des électrons ?
    Ceux-ci ne sont-ils pas simplement accélérés par l’application de champs électriques puissants dans la machine ?
    Ne s’agit-il pas plutôt de les »bombarder" avec une e.m. cohérente ?
    Et puis, les électrons c’est de la matière, ne l’oublions pas : la masse d’un électron est seulement mille fois plus faible que celle du proton ou du neutron !



  • janequin 9 décembre 2010 23:32

    Mais la chimie, mon vieux, ce n’est que de l’électricité !

    Quand à la « mémoire de l’eau » (mauvais pseudo...) c’est également de l’électricité.



  • janequin 9 décembre 2010 15:33

    Une erreur s’est glissée dans mon dernier post :

    Je pense à la résolution analytique de l’équation de Schrödinger qui est impossible mathématiquement pour toute entité chimique autre que l’atome d’hydrogène.



  • janequin 9 décembre 2010 15:29

    La chimie telle que nous l’utilisons découle de l’application de la mécanique quantique aux atomes et aux molécules. Simplement, il faut parfois modéliser parce que les équations quantiques ne peuvent être résolues. Je pense à la résolution analytique de l’équation de Schrödinger qui est impossible mathématiquement pour toute entité chimique que l’atome d’hydrogène.
    Cela ne signifie pas du tout que la chimie ne procède pas de la mécanique quantique. Simplement, nous sommes obligés de la modéliser pour pouvoir la rendre utilisable. Evidemment, cette modélisation nous fait perdre des informations, et peut-être celles concernant l’apparition de la vie. Mais là, j’attends les manips.

    Quand à la réaction de Kitamissa, je ne voit pas en quoi le fait que Dieu puisse régir tout cela change un iota à la science physicochimique telle que nous la connaissons et la pratiquons.



  • janequin 25 octobre 2010 00:22

    Certes... C’est très iconoclaste ! Mais expliquez-moi pourquoi, alors que nous sommes censés avoir une peur bleue des virus, les armes virologiques n’ont jamais été utilisées, du moins efficacement ?
    La seule arme non conventionnelle efficace, c’est l’arme chimique, vous en conviendrez !