Etonnant quand même le nombre de tribunes, de forums qui parlent de cette histoire.
Ancien lecteur assidu de hara kiri puis de l’hebdo, voisin de la rue des trois portes, j’ai partagé quelques bouteilles avec le prof et sa bande.
Bien qu’ayant bien aimé aussi les spectacles de Font et Val, je n’ai pas vu d’un bon oeil la reprise du titre par Val : c’était de la nécrophagie.
Le plus choquant, à mon sens, est l’absence de réaction des dessinateurs actuels (mais très représentatif de ce qui se passe dans le reste de la société, finalement)
D’accord avec Sisyphe :
"Je trouve le silence de Cabu, Cavanna, Wolinski, Charb et consorts assez assourdissant.
Facile de dénoncer les travers des autres, mais quand il s’agit de risquer de perdre son petit boulot, l’esprit critique et la déontologie sont facilement mis dans la poche"