Les commentaires de Parrhesia

Allons au plus important et soyons bref !

Une importante partie du corps électoral est déjà victime depuis des décennies des multiples formes de matraquage intellectuel et de propagande glauque. Il ne faudrait donc surtout pas croire que ce matraquage est resté sans effet.

Et c’est bien à cette partie déjà formatée de la population que s’adresse ce type de « propaganda » au service de ce qui n’est, en fait, qu’une contre-Europe. Il est donc conçu en fonction de la hauteur de vue de cette partie du corps électoral.

Mais dans cet ordre d’idée, reconnaissons que ses concepteurs font ici d’une pierre deux coups car ils touchent en même temps la masse adulte déjà conditionnée et la masse des jeunes encore inexpérimentée. Or, cette masse de jeunes risque ainsi, et de plus en plus, de ne jamais devenir véritablement expérimentée. Et c’est bien l’un des buts premiers des propagandistes).

Ce genre d’action est donc loin d’être aussi inepte et irréfléchi qu’il le paraît.

C’est bien pourquoi toutes celles et tous ceux qui accordent à ce phénomène toute son importance ont bien raison de le dénoncer…

Mais laissons-là les méfaits maintenant bien connus du quatrième pouvoir et allons à l’essentiel : à quand la formation d’un parti politique réunissant toutes les fractions de droite de notre pays ? L’ensemble de ces fractions représentent au moins soixante % du corps électoral, sinon plus ! Mais curieusement, aucun courant ni aucune personnalité susceptible de rassembler cette mosaïque de « courants » ne se détache actuellement du cloaque !

L’examen des événements spécifiquement français qui se sont déroulés dans notre pays entre 1957 et 1969, ainsi que leur comptabilisation (à condition qu’elle soit honnête, bien sûr !), devraient quand même permettre de réaliser un accord sur le retour à une politique socio-économique tout-à-fait exceptionnelle : celle qui avait alors permis de rattraper 12 ans d’économie calamiteuse inspirée du socialisme « à la française !?! ». Et non seulement cette politique avait permis de rattraper le retard mais elle avait permis de relancer la France sur la scène mondiale économiquement et politiquement pour les 20 ans qui ont suivi 1968 !!!

C’est donc l’esprit de cette politique qui devrait être privilégié en accord avec une relance de la seule Europe viable, du moins à l’époque actuelle, l’Europe basée sur le concept le proche possible de l’Europe des six du traité de Rome !!!

Mais voilà ! Qui va s’y coller ?

Car si les belles envolées oratoires se multiplient ici et là, nous ne voyons pas grand monde se détacher de la masse, qui soit à la fois honnêtement désireux d’afficher cette couleur et qui ait les épaules pour le faire !!!

 Bonne journée à vous tonton17 ; ainsi qu’à vous Helios.

Cet article est d’un intérêt soutenu en ce qui concerne les relations perverses existant entre monnaie et grands prédateurs économiques.

Mais il ne faut pas non plus jeter le bébé avec l’eau du bain.

L’usage de la monnaie, aussi imparfait soit-il, a tout de même facilité le développement d’échanges, eux-mêmes créateurs de richesses qui, au cours des siècles, ont finalement abouti aux progrès de toutes sortes tels que nous les connaissons aujourd’hui. Nous pouvons même dire qu’après la deuxième guerre mondiale, à la fin du système capitaliste industriel, c’est-à-dire plus de 5000 ans après la naissance de la première monnaie, son usage avait permis à l’espèce humaine d’ajouter la notion de « social » à celle d’économie capitaliste. Ce progrès, auquel il fut pourtant si difficile d’accéder, n’a été rendu possible que grâce à un perfectionnement apporté au système monétaire perverti  : l’usage de l’étalon. Une entrave de taille opposée aux prédateurs monétaires et autres oligarques de tous poils. L’étalon-or fut le seul frein efficace contre les perversions monétaires et contre leurs effets induits sur la gouvernance des nations et sur l’évolution de la socio-économie.

La horde des prédateurs à laquelle il est fait allusion dans l’article se devait donc de faire abolir l’étalonnage afin de supprimer toute entrave aux manipulations ni plus ni moins que criminelles. Il leur fallait rendre à la monnaie tous les effets pervers lui permettant l’enrichissement d’une minorité par l’exploitation et/ou l’asservissement des populations de plusieurs continents dont l’Europe au premier chef !

C’est ce qui s’est produit au cours des années 1970, avec la reconnaissance officielle du système capitaliste exclusivement financier et avec la suppression de l’étalon-or !

Or, comme nous pouvons le répéter à ceux qui voient dans l’euro la source de toutes nos misères économiques, ce n’est pas la monnaie qui est la première responsable de notre situation ; c’est l’usage que des prédateurs en font ! Revenons à une Europe réduite et protégée économiquement et financièrement pour être viable, revenons à l’étalonnage des monnaies, et nous retrouverons la prospérité des trente glorieuses !

Mais évidemment, les prédateurs qui sont en train de s’enrichir par l’utilisation de monnaies perverties risquent fort de n’être pas d’accord sur ce point !!!

Si le naufrage de ce parti de tristes sires, sous le vocable « U.M.P. » est plus que probable, il convient d’être prudent !

Non seulement la puissance politique, financière et médiatique des véritables maîtres du jeu U.M.P. (ainsi, d’ailleurs que d’autres partis) est intacte, mais leur volonté hégémonique est de plus en plus clairement affichée !

En admettant donc que la logique et la morale socio-économique parviennent à s’imposer au pays et que l’actuelle U.M.P. disparaisse sous sa forme actuelle (ce qui n’est pas encore acquis), elle renaîtra sans aucun doute de ses cendres sous un autre vocable.

Ce sera probablement avec quelque faux-nez nouveau mais en gardant ses mêmes ténors, et avec de nouvelles professions de foi revues et corrigées mais tout aussi mensongères.

Sauf retour à l’exercice de la Justice égale pour tous et à l’interdiction de toucher à la « Res Publica » en cas de condamnation, l’action de ce futur avatar de l’U.M.P. restera rigoureusement la même : le service des intérêts « jusqu’au-boutistes » du mondialisme, et ceci sans égard pour les véritables intérêts français, non plus qu’européens  !!!

Les fonctions de cet auxiliaire finalement assez proche de nos Présidences de la République successives restent assez mal définies. Nous sommes quelques-uns à nous demander comment sont exactement financées ses multiples démarches et interventions ici et là sur la planète ; notamment en ce qui concerne le problème ukrainien …

Sur le budget du Ministère français ? Sur celui de la Présidence ? Sur des fonds privés ? Sur des fonds européens et si oui, lesquels ? Sur des subventions allouées par les Affaires étrangères ukrainiennes ?

À moins qu’il ne finance cette hyperactivité géopolitique sur sa tirelire personnelle ?

Alors ? Qui paye toute cette agitation de « propaganda » in fine ? Une question un peu similaire, d’ailleurs, à celle posée par le financement des femens, entre autres.

Le quatrième pouvoir est bien peu disert sur ces points lorsqu’il relate !!!

Un hommage soutenu devrait être rendu au courage des juges qui subissent sans doute des pressions dont nous n’avons même pas idée.

Grâce à elles, la France (de moins en moins) libre peut encore conserver un espoir de démocratie et le capitalisme exclusivement financier peut encore douter de sa victoire.

En effet, s’il arrivait que l’ex président, l’une des personnalités les plus en vue de l’organigramme mondialiste européen, se sorte sans autre inconvénient de cette situation pourtant inconcevable dans une démocratie digne de ce nom, ce serait sans doute le signe précurseur de la victoire définitive du N.O.M. sur le monde occidental !

Avec la Chine et autres pays émergents, il en ira autrement ; mais ce n’est pas une consolation !!!

La fonction de président, fort heureusement, survit à ceux-là mêmes qui la compromettent, la ternissent, voire la trahissent ! C’est même l’un des buts du système républicain. Mais cette fonction n’en sort pas moins affaiblie de façon durable.

Or, une telle situation ne survient pas ex nihilo. Des individus en sont la cause et il serait pour ainsi dire cocasse que l’on exonère les derniers présidents de la liste concernée ;  en particulier Sarkozy !

Le respect des formes traditionnelles de la dialectique et de l’action de la Justice vis-à-vis du « microcosme » n’ont finalement abouti qu’à la situation politique nauséabonde que nous connaissons aujourd’hui et à l’arrivée au pouvoir de la génération présidentielle « Sarkozy et assimilés » !!!

Alors, avant de mettre en cause l’attitude de tel ou tel haut fonctionnaire, magistrat, ou officier des forces de l’ordre dans l’accomplissement de sa mission, il vaudrait mieux se poser les questions suivantes :

Par exemple, « L’autorité de la fonction présidentielle serait-elle aussi diminuée urbi et orbi si nos deux derniers présidents n’avaient cru bon d’aller prêter hommage à Washington ; ou encore s’ils n’avaient mis à mal l’Armée Française en sabrant son budget tout en la mettant gracieusement à disposition de puissances étrangères lors d’OPEX dans lesquelles nous aurions dû rester rigoureusement neutres ? »

Ou encore, concernant plus particulièrement Sarkozy, l’aura de la Présidence française à l’étranger ne serait-elle pas meilleure sans ses 600 milliards de dette supplémentaire, sans le sort qu’il a réservé au referendum sur l’Europe, sans le « casse-toi pov’c… », sans ses relations douteuses avec certaines personnalités contestées (et déjà condamnées), sans les modifications malvenues imposées à la Justice et à l’indépendance des Procureurs de la République, sans l’affaire bygmalion et le financement de sa campagne…etc. etc. etc.…

Les nouvelles manifestations de l’autorité de l’État vis-à-vis de certaines hautes personnalités (ici Sarkozy), ne sont finalement qu’une forme d’adaptation de l’État au comportement de certaines des personnalités qui le desservent dans le cadre de leurs fonctions !

Et ce n’est finalement que justice !!!