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Les commentaires de Chamiot



  • Chamiot 30 octobre 2012 12:13

    Bonjour Mr Allard,

    Je joins quelques extraits d’un texte (évidemment) non publié. L’original est trop long.

    Je ne sais si vous en retirerez quelque chose (probablement pas). Repliez si cela ne vous plaît pas (et si vous savez comment faire !)

    Ne vous inquiétez pas en tout cas pour votre morale « universelle » de tolérance et consorts, elle est déjà en place (enfin chez « nous »). Nous sommes en plein dedans. Prétendre l’imposer à ceux qui sont encore vivants, en revanche, est une autre affaire...

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    Nous vivons en Europe dans un temps où triomphe la morale du troupeau, celle du plus grand nombre, pleine de haine et de ressentiment pour tout ce qui était fort, tout ce qui était au-dessus, tout ce qui était dur, risquait et créait.

    La forme politique de cette morale des faibles, de la quête enragée des droits égaux (c’est-à-dire en fait de la disparition de tous les droits [Note 1]) s’appelle la démocratie. Elle n’a bien sûr rien à voir avec les modèles grecs ou latins qui sont si souvent invoqués. La République romaine, comme les Cités grecques étaient au contraire des modèles de sociétés hiérarchisées allant des castes dirigeantes aux esclaves en passant par la plèbe. La démocratie, telle que « nous » l’entendons n’a jamais existé .

    Un esprit fulgurant comme Nietzsche avait identifié cette évolution morale (le triomphe des faibles qui s’appellent eux-mêmes les Bons) il y a plus de 100 ans et annoncé avec la mort de Dieu, le temps de la pitié glapissante, de l’unification européenne, des valeurs sans valeur, de la société égalisée et de la chasse aux forts. Il fallait à cette époque une singulière acuité intellectuelle, un esprit aiguisé comme un scalpel, pour discerner les prémices d’un tel mouvement alors que les sociétés européennes semblaient en pleine santé (i.e. en pleine vigueur hiérarchique, en un temps où on pouvait encore distinguer et exclure) [Note 2]

    Aujourd’hui a contrario, les symptômes dégénératifs sont tellement évidents qu’ils devraient maintenant parler à toute intelligence moyenne. Même si une action est impossible (et elle l’est, impossible, mais c’est un peu compliqué à expliciter ici et maintenant), on devrait pouvoir rencontrer de nombreuses personnes qui ont au moins fait un diagnostic, fût-il partiel. C’est-à-dire qui ont compris...

    - que l’égalité est une monstruosité, inaccessible et fondamentalement incompatible avec toute organisation sociale et toute vie, puisque la vie « est » hiérarchie, et rien d’autre.

    - qu’il est et sera non seulement permis, mais nécessaire (de toute éternité), de pouvoir distinguer, hiérarchiser entre les individus d’un groupe (sur des critères, notamment, d’âge, de sexe et de capacités physiques et intellectuelles, c’est-à-dire de valeur pour le groupe), de pouvoir distinguer (= tracer une frontière), hiérarchiser entre les peuples, les groupes humains, les races (peu importe le nom qu’on utilise). Cette capacité vitale, c’est ce que la morale actuelle appelle négativement et compulsivement « racisme » ou « exclusion » ou « discrimination ».

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    J’ai fini par comprendre mon erreur première. Non, il n’est pas plus facile maintenant de discerner la décadence européenne aujourd’hui plutôt qu’à l’époque de Nietzsche, bien au contraire. Et pourtant les symptômes de cette dégénérescence, qui n’étaient alors que germes, sont à présent monstrueux : invasion allogène primitive et massive par appel du vide (disparition de la capacité de rejet), disparition des mythes localisés (si nécessaires avec la mort de Dieu accomplie en Europe), individualisme et solitude (fin du lien social), féminisme et fin de la famille hiérarchisée (et donc pérenne), pédagogisme anti-adulte et fin de l’instruction, castration du mâle (invention de la pédophilie, promotion de l’homosexualité), fin de tout dressage / éducation des générations montantes qui, au lieu d’être une force et une chance, deviennent une charge et un danger.

    Plus de cent années se sont écoulées depuis l’intuition nietzschéenne. Il annonçait/espérait, à contre-courant du processus de destruction hiérarchique, les temps forts d’expériences inédites de discipline collective.

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    Nietzsche annonçait aussi de profondes et durables rechutes socialistes (nous y sommes depuis longtemps...). Il assignait enfin au nihilisme européen la durée indicative de deux siècles avant qu’il ne touche le fond et que l’inanité des valeurs en cours ne finisse par être reconnue. Pour l’heure, nous sommes, à l’évidence, en plein dans la phase d’hyper-moralisme (saturée d’interprétations chrétiennes) consécutive à la reconnaissance de la mort de Dieu en Occident.

    Quand est ressentie l’absence d’une morale fournie ex-Deo, se fait d’autant plus jour la nécessité d’une hyper-morale, la morale enragée du plus grand nombre qui s’auto-justifie (le troupeau dit : en-dehors de moi, ne peut exister aucune autre morale). L’expression politique de cette morale des droits égaux s’appelle la démocratie, où les chefs (les moutons de tête) en sont réduits à chercher leur légitimité dans la représentation (ils agiraient sans cesse "au nom du peuple") et à feindre de vivre selon la même morale que leurs électeurs-moutons dans la crainte perpétuelle d’une nouvelle « affaire ». Signalons pour ceux qui ne l’auraient pas compris qu’il n’y a pas plus d’affaires qu’auparavant et surtout qu’elles ne sont pas plus graves (bien au contraire). Les accès de fièvre sont presque insignifiants par rapport au passé, mais ce qui a changé, c’est la sensibilité du thermomètre. Le troupeau accepte de moins en moins que quiconque puisse s’abstraire de sa morale (le troupeau dit : il n’y a morale que par moi, donc il ne peut y avoir qu’une seule morale) alors qu’il FAUT deux morales : celle des seigneurs, des prêtres (qui permet le maintien de la structure) et celle de la masse (qui lui donne une raison de vivre et de servir : au stade religieux, c’est la Religion qui est le mythe originel et donne du sens).

    Dans ce contexte, qui peut, malgré l’évidence tragique des symptômes, oser penser à l’encontre des valeurs cardinales de la grande Egalité ?

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    Le même outil, la lame aiguisée, qui m’a si bien servi dans mes études et ma carrière de chercheur (chercher c’est d’abord, et avant tout, être capable de s’attaquer à des modèles préexistants) me dessert maintenant quand il s’agirait d’approuver les valeurs fausses des Droits de l’Homme et de la grande Egalité (cosmopolitisme, mondialisme, indifférenciation sexuelle, pédagogisme, assistanat et parasitisme social...), quand il s’agirait de croire que ces valeurs sont destinées à se renforcer chez nous et à s’étendre partout chez les autres, quand il me faudrait admettre que ce processus constitue un progrès, et même LE progrès.

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    C’est tout le contraire... La situation en Europe est un intermède morbide, une impasse historique. Sur un plan temporel, jamais auparavant dans l’Histoire, ces valeurs n’ont eu cours. Sur un plan spatial, une vaste majorité d’Humains vit encore aujourd’hui dans une morale des valeurs saines (= hiérarchiques). Il est clair cependant qu’il s’agit de sociétés encore au stade religieux, donc non concernées par la problématique européenne du renouvellement mythique qui est liée à la mort de Dieu. Le regain actuel de l’Islam en Europe est lié simplement à sa valeur d’agrégation communautaire qui triomphe "par défaut" sur la friche européenne d’une déstructuration déjà accomplie. Il n’est pas lié à une augmentation de sa valeur propre. Quand l’Europe était encore vivante (et donc, hormis le cas de l’expérience nazie, encore au stade religieux) c’est elle qui imposait sa religion en Afrique (et ailleurs...) et construisait des églises.

    Que les valeurs, la morale exclusive actuellement en vigueur chez nous relèvent de l’égalitarisme revanchard des faibles (lutte constante, acharnée et violente, sous la bannière du ressentiment, contre les anciens dominants  : Blancs, mâles, catholiques (en France), adultes, savants...) et non pas de la recherche illusoire d’une égalité dénuée de sens ne signifie évidemment pas que la hiérarchie a disparu. C’est impossible puisque toute structure veut une hiérarchie. Mais il s’agit maintenant d’une élite cosmopolite, obligée de se cacher en permanence sous des faux-semblants (les « marronniers » idéologiques obligés des « modestes », des « exclus », de la « justice sociale », de la « parité », de la « discrimination » etc...). Cette élite est encore là transitoirement tant qu’il y a du grain à moudre. Quand les valeurs égalitaristes (qui sont, socialement, des valeurs de mort) auront nécessairement stérilisé, dans une région donnée, la possibilité de créer des richesses par un travail en commun (fin de la valeur travail sur le mode « à chacun son dû », impossibilité physique et intellectuelle croissante due à la disparition de toute dureté et frustration dans l’élevage des enfants (vertus masculines) : baisse dramatique de toute résilience, absence d’instruction, illettrisme, stupidité, individualisme destructeur, délinquance, addictions, augmentation fatale de la proportion d’assistés), cette élite apatride, qui n’aura plus rien à confisquer, partira sous d’autres cieux.



  • Chamiot 30 octobre 2012 10:55

    à filo

    Votre gribouillai c’est du prêt à pensé et rien d’autre !

    Vous (yen a) continuer sur la ligne propagandiste propagandiste de QUOI au fait ???

    Complétement stérile votre intervention Que dire alors de la vôtre ?

    En tout cas, à défaut d’idée, vous en ya continuer à parler une langue qui m’est inconnue : un dialecte ?
    Votre gribouillai c’est du prêt à pensé = votre gribouillis, c’est du prêt-à-penser ??

    à lulupi

    vous écrivez : On voit bien que vous ne connaissez rien ni à l’Histoire ni à la géographie des peuples de l’ex-Yu

    Venant de vous (qui semblez souffrir de la trop habituelle fixation SGM, dans le sens habituel, avec les raccourcis et les oeillères intellectuelles associés) la critique est un compliment.

    Quant à la géographie sur le terrain, à moins que vous ayez plus de 55 ans et soyez ressortissant(e), il m’étonnerait beaucoup que vous en connaissiez plus que moi.


    « L’UE n’est pour rien dans cette affaire, mais pas les Allemands,.... »

    Mais....nous sommes d’accord. C’est exactement ce que je disais !



  • Chamiot 29 octobre 2012 21:33

    Bonsoir,

    Les « certains pays » qui ont essayé de réagir très vite aux déclarations d’indépendance de la Slovénie et de la Croatie, c’est l’Allemagne-Autriche, très logiquement et personne d’autre.

    -empire (très catholique) des Habsburg qui avait , pendant des siècles,« incorporé »les Slovènes (catholiques bien sûr) à l’extrême-sud-est de l’espace germanique et fait des Croates de fidèles auxiliaires, les gardiens de la Marche de l’Est, la frontière « européenne » (limite entre les Croates catholiques et les Serbes orthodoxes longtemps soumis aux Ottomans)

    - Croates et Slovènes donc très, très différents des Serbes

    - Croates incorporés et dominés, contre leur gré, par les Serbes au sein de la Yougoslavie après la PGM

    - Croates ont saisi l’occasion offerte par l’Allemagne en 1941 de fonder un état indépendant (c’était d’ailleurs son nom), tandis que les Slovènes étaient rattachés à nouveau à l’Autriche (et donc au Reich)

    - Suite à la défaite allemande à la fin de la SGM, Croates ré-incorporés (toujours contre leur gré) dans la Yougoslavie communiste (par le croate Tito d’ailleurs)

    - mort de Tito (et effacement de l’URSS) étaient donc l’occasion pour les Slovènes et les Croates de s’éloigner à nouveau des Serbes, processus soutenu aussitôt par l’Allemagne et l’Autriche

    Comme indiqué plus haut, l’Allemagne n’a pas joué avec le feu, puisqu’elle n’a rien à craindre d’une recomposition sur une base ethnique (Etats baltes, Slovaquie, etc...)



  • Chamiot 29 octobre 2012 20:54

    Je voulais m’excuser de ne pas vous avoir dit « Bonsoir »
    Ce n’est vraiment pas mon habitude...mais j’ai été bousculé par « la vie réelle » au moment de poster mon message.



  • Chamiot 29 octobre 2012 19:59

    Donc je ne parlerais pas
    la profession de foie
    être maître chez soit

    Avec la monté en puissance
    l’enclave francophone qu’est Bruxelles et sont PIB très élevé

    J’ai abandonné la lecture de votre article (sans doute intéressant) à ce niveau, par indigestion de fautes.
    Ne pourriez-vous, SVP, essayer de vous relire (s’il s’agit d’inattention, sinon, malheureusement...)

    Quant au fond :

    Les états pluri-ethniques tiennent ou pas selon la balance de
     forces centrifuges contre-balancées par une série de forces centripètes.

    Forces centrifuges = sentiment communautaire fonction de

    - existence à la base d’une hétérogénéité ethnique
    - durée et violence de la répression par l’Etat central (succès de la « dénationalisation »)
    EU -----> baisse de la répression (lois protection minorités)
     cosmopolitisme imposé par EU augmente le sentiment communautaire à base ethnique (lorsque la communauté n’a pas été complètement détruite, ex : Corse et pays basque en farnce)

    Forces centripètes :

    - dépendance / domination économique : exemples typiques
    les Ecossais par les Anglais dans le Royaume-Uni
    les Flamands par les Wallons dans la Belgique
    variation du rapport de forces (inversion dans le cas belge) explique la diminution de force centripète

    - Force centripète dynastique
    le Royaume d’Espagne des Bourbons
    la Belgique des Saxe-Cobourg Gotha
    EU-------> instance centripète supérieure (valeurs communes au supra-ensemble) donc diminution (au relatif) de l’instance « nationale »
     

    - désignation d’un ennemi extérieur (effet repoussoir qui équivaut à une force centripète entre les diverses composantes ethniques et surligne la frontière nationale)
    la France (repoussoir = Angleterre puis Allemagne)
    le Royaume d’Italie (repoussoir = Autriche)
    la Belgique (repoussoir = grands voisins rivaux , d’où neutralité)
    EU ------> plus de rivalités possibles entre « anciens » états = force mise à niveau zéro

    - taille sous-critique des aires ethniquement homogènes pour accéder à une indépendance complète qui équivalait, par défaut, à un statu quo obligatoire
    EU -----> transition plus facile vers région autonome que vers état indépendant

    Au final, l’évolution devrait (au relatif) profiter à l’Allemagne au détriment des états ex « nationaux » multi-ethniques.



  • Chamiot 27 octobre 2012 00:02

    Quand un gendarme « rie » (sic)

    C’est quoi, au fait, ce verbe « rier » ?



  • Chamiot 19 octobre 2012 12:40

    Qui aura envie d’aller travailler en Allemagne ??

    Pour qui connaît les 2 pays, la réponse ne fait pas de doute.
    Qui a envie de vivre dans la « France » actuelle, à part les assistés, les fainéants et les parasites sociaux ?
    Entre la poubelle française et le pays encore et toujours le plus extraordinaire d’Europe (malgré le sort qu’on lui a fait subir depuis un siècle), il n’y a pas photo !



  • Chamiot 14 octobre 2012 19:35

    Mille mercis à l’auteur pour ces impressions d’un voyage peu ordinaire.
    J’avoue mon admiration pour votre intrépidité.
    N’y avait-il pas de neige (persistante) visible sur les hauts sommets ?

    Quant à la complexité des églises orientales (des 2 Conciles, orthodoxes, latines, etc...), elle est parfaitement décortiquée et explicitée dans le Bulletin de l’Oeuvre d’Orient (spécialement, d’ailleurs, dans son dernier opus).

    Absent depuis très longtemps du « forum », je constate avec dépit que la censure (les disparitions arbitraires de messages) n’a fait, entre-temps, que prospérer tandis que des trolls type Labrune (ou le Momo éructeur de Tourcoing) sont toujours aussi étrangement épargnés.



  • Chamiot 28 juillet 2012 16:24

    ...par l’approche totalement stupide qu’en font certains esprits limités.
     Ceux-ci n’ont toujours pas compris, malgré l’abondante documentation dont nous disposons aujourd’hui sur le sujet, que la notion de “hiérarchie” établie entre les différentes races d’une même espèce, contredite aussi simplement que cela, par “l’inter fécondité” parfaite qui existe entre elles, ne veux strictement rien dire

    Au-delà de la conjugaison fautive (c’est peut-être une erreur de frappe), vous vous y entendez visiblement en fait d’esprit limité, en répudiant sommairement et expéditivement pour un motif comique d’inter-fécondité ce qui constitue le fondement de toute société animale et humaine.

    Interrogez-vous, en essayant d’échapper à la propagande, sur la monstruosité de la notion d’Egalité (qu’il s’agisse des groupes humains, des individus, des sexes ou des âges de la vie).



  • Chamiot 23 juillet 2012 17:59

    La France est ce pays qui a le plus résisté et s’est aussi pour beaucoup libéré par lui-même, à l’exemple de la libération de Paris en août 1944

    Votre ignorance crasse des faits et votre inintelligence sont presque comiques (tellement la tentative d’analyse est décalée).

    Voir votre président (avec son profil « arrondi » de maître mondialiste de la bande à Bibi) se porter garant garant de l’honneur d’un pays disparu dans « la diversité » (et promettant de tout faire pour l’y ensevelir) est du même genre de comique désespéré.

    « Les valeurs », ou le triomphe d’une propagande obsédante...
    Comment des esprits ordinaires pourraient-ils résister à cette avalanche de boue ?

    Non seulement les Peuples d’Europe sont enchaînés, mais, en plus, ils sont contraints de cracher sur toutes les époques où ils ont lutté et existé !

    Allez Simone, Bernard, Laurent, Pierre et François, remettez-nous encore la musique des Justes et des Méchants...Nous l’aimons tant.



  • Chamiot 22 juillet 2012 17:18

    pensant à tord

    NON et NON : en français, on écrit « à tort » (cela n’a rien à voir avec le verbe « tordre »)

    Il a prit 10 ans d’un coup ! « 

    NON et NON : en français, il vient : »il a pris« (du verbe »prendre")



  • Chamiot 12 juin 2012 18:45

    Bonjour Hiéronymus,

    De retour d’un séjour de quelques semaines à l’étranger, je découvre que mon compte a été tout bonnement supprimé, avec tous ses articles (pourtant très peu polémiques).

    Les derniers commentaires, fort anodins, que j’ai laissés (quant aux origines ethniques occultées du nouveau « président », de son entourage et quant à la continuité attendue en conséquence de la « politique » étrangère de la « France » sont, sans doute, la raison de cette foudre démocratique.

     La libre-expression a ses limites toujours plus étroites, de nos jours,quand il s’agit de nos seigneurs(saigneurs)et maîtres.

    Ce coup de pied de l’âne de l’anti-antisémitisme, dans ce qu’il a ici de plus dérisoire et tragique ne peut que me renforcer dans la justesse de mon analyse historique (et ce que même un Mbala-mbala a, tardivement et partiellement, compris, comment, moi ne l’aurais-je pas discerné mieux que lui et PLUS TÔT ?)

    Parce que votre article est frappé, comme toujours, au coin du bon sens, une exclusion comme la mienne vous pend au nez. Ceux qui semblent être capables de réfléchir et qui ne font pas acte de soumission explicite sont désormais considérés illico par nos maîtres comme un danger potentiel.

    Portez-vous bien et restez là où vous êtes, si vous le pouvez.