Avant tout, bravo pour avoir réussi à trouver le seul passage nous concernant dans tout ce fatras.
Néanmoins :
« M. LACOSTE explique que l’ASN craint que la publication d’une procédure pour les dérogations ne conduise à une banalisation de ces dérogations »
Ca prouve quand même que l’on nage en plein délire.
La dérogation en elle même existe depuis mai 2003, et à apparement déjà servi si on en croit krolik et son exemple du cobalt 60, mais ce n’est qu’au moment où l’on veut donner un cadre (imparfait, certes, et c’est là dessus qu’il faudrait, à mon sens, plancher) à la procédure que tout le monde s’enflamme.
(D’ailleurs se battre pour l’abrogation de l’arrêté du 9 mai n’a donc AUCUN SENS, il suffit de lire le texte pour s’en rendre compte.)
« je ne suis qu’un citoyen qui relaye une information lue dans un mensuel »
Alors en quoi êtes vous différent des perroquets de tf1 ou autres ?
Vous pouvez philosopher aussi longtemps que vous voulez sur la nature de l’information, il n’en reste pas moins que si votre pensée n’a pas de support fiable, ce n’est que du vide.
Vous pensez vraiment que si tout le monde se met à commenter à la va vite tout ce qui lui passe sous la main, on peut en retirer une vérité quelconque ?
Nous sommes peut-être d’accord sur le fond, mais entre avertir des dérives possibles d’un d’un texte de loi et énoncer qu’on va diluer des déchets nucléaires dans les objets du quotidien, il y a tout un monde.
Le journaliste citoyen n’étant à priori pas un spécialiste, sa seule force réside dans ses capacités d’analyse.
Mais honnêtement, une analyse à la va vite d’une interprétation d’un texte par un magazine, est ce qu’on peut décemment appeler ça un article ?
Et encore pire, non seulement vous ingurgitez sans discuter un article qui ne cite aucune source, mais en plus vous ne lisez même pas les commentaires précédents, qui sont le seul « filet de secours » qui empêche le site de sombrer dans le n’importe quoi. (commentaire de krolik par exemple sur une des application du cobalt60)
Vu l’énormité des affirmations ..effectivement mieux vaut se référer directement aux textes :
L’arrêté à propos duquel l’asn donne un avis
La dérogation en elle même
En résumé, voici la théorie :
"des dérogations aux interdictions d’addition de radionucléides énoncées aux R. 1333-2 et R. 1333-3 peuvent, si elles sont justifiées par les avantages qu’elles procurent au regard des risques sanitaires qu’elles peuvent présenter, être accordées par arrêté du ministre chargé de la santé et, selon le cas, du ministre chargé de la consommation ou du ministre chargé de la construction après avis de l’Autorité de sûreté nucléaire et du Haut Conseil de la santé publique. Les denrées alimentaires, les matériaux placés en contact avec des denrées alimentaires et des eaux destinées à la consommation humaine, les jouets, les parures ou les produits cosmétiques ne sont pas concernés par ces dérogations."
Le premier texte définit les éléments du dossier à présenter pour obtenir la dérogation : le procédé de A à Z, les raisons pour lesquelles on veut utiliser ce procédé, la justification que les consommateurs ne seront pas exposées à des doses non règlementaires ...
En bonus, la liste des produits concernés par cette dérogation devrait être affichée sur ce site (en plus d’une mention au JO pour chaque produit)
En pratique :
Malgré tout, même si le texte de l’avis de l’asn n’est pas disponible (contrairement aux autres, regardez par vous même .. et pensez en ce que vous voulez) on imagine aisément ce qu’il peut contenir :
- le pouvoir de décision ne revient en fait qu’au seul ministère de la santé (des avis, ça ne pèse pas grand chose, sinon rien)
- il n’appuie sa décision que sur des informations provenant du dépositaire du dossier (aucune mention de test par des organismes indépendants ... )
- l’information du consommateur est totalement zappée.
Même si l’intention est peut-être bonne, ça parait quand même franchement léger, vu les dérives que ça peut engendrer.
He bien justement, aujourd’hui j’ai eu un flash, et j’ai repensé à cette fameuse voiture à eau japonaise.
Et oh, quelle surprise, une fois l’euphorie passée, on se rend bien compte que c’était du bidonnage : la voiture fonctionnait au peroxyde d’hydrogène, et non à l’eau. ( H2O2 au lieu de H20, un 2 qui fait tout)
Encore une fois, une des choses qui m’inquiètent le plus, ce sont tous ces marchands d’espoir qui se servent du mouvement écologiste pour dire, faire, et surtout vendre n’importe quoi.
J’en profite pour retranscrire la réponse que j’avais rédigée après notre dernier échange, mais que je n’avais pas postée .. allez savoir pourquoi.
« Je fais justement preuve d’esprit critique, en ne gobant pas tout se qu’on me met devant le nez, en exploitant ce que je sais, le tout avec un minimum de bon sens.
Je ne dis pas qu’on ne peut pas faire fonctionner une tondeuse avec un mélange contenant 3/4 d’eau, je dis juste que, mécaniquement, vu que chaque explosion apporte 4 fois moins d’énergie, le moteur est quatre fois moins puissant.
Autant prendre un moteur moins puissant dès le départ, ou faire tourner le moteur original moins vite.
Concernant votre moteur à eau, j’ai bien ouvert tous les liens, et contrairement à ce que vous croyez, ce que je vous sers n’est pas un jugement, mais le simple aboutissement d’un raisonnement élémentaire ... car il n’y a pas besoin de plus ....
L’enthalpie standard de la réaction de la dissociation de l’eau en H2 et O2 est de 285,8 kJ.mol-1 à25°C (ça ne sors pas de mon esprit tordu, se sont de vraies données, allez voir dans un handbook si vous voulez vérifier)
C’est une grandeur positive, ce qui signifie que pour que cette réaction aie lieu, il faut FOURNIR de l’énergie.
Que vous agitiez l’eau avec un diapason, un faisceau de micro, ou une petite cuillère, cette quantité d’énergie à fournir par quantité de matière ne variera pas, elle ne dépend que de la température (faiblement).
L’enthalpie standard de réaction de formation de l’eau à partir de dihydrogène et de dioxygène est EXACTEMENT opposée.
Ce qui veut dire que tout ce que vous pouvez récupérer comme énergie en formant de l’eau, c’est, AU MIEUX (car dans toute transformation réelle il y a des pertes), l’énergie que vous avez utiliser pour la dissocier.
Vous voulez réfuter les lois de la thermodynamique ... allez-y ... mais il y a du boulot.
Donc, tous les inventeurs qui prétendent avoir confectionné un moteur utilisant l’eau comme carburant sont, au mieux, en train de se tromper, au pire, en train d’essayer de monter une arnaque.
Et dans le cas du générateur HHO dont on parle dans vos liens, ça ressemble plutôt à la deuxième proposition.(le premier lien envoie directement sur un site commercial, et le deuxième y fait référence)
Toutefois, j’avoue, je ne suis pas allé assez loin.
Dans le blog du moteur à eau, je vous cite un passage :
»Les conversions sont les suivantes : mécanique à électrique (alternateur), de l’électricité aux produits chimiques (électrolyse), chimique et mécanique (combustion du HHO).
Au final, le gaz HHO une fois brulé, ne vous aura restitué que 20-25% de l’énergie utilisée pour le créer.« (Tient, ça me rappelle quelqu’un)
L’utilité du gaz serait la : »Nos gaz d’échappement sont remplis de particules non utilisées, il y a là une énorme quantité d’énergie non utilisée, et le gaz HHO nous permet d’en « récupérer » une petite partie.«
Traduction : On espère que le dioxygène qu’on va introduire en plus, va, non pas se recombiner avec l’eau, mais avec les résidus de carburant, pour en tirer le maximum.
Problème : Énergie dégagée par la combustion du gasoil = 38080 Kj/L soit 45 333 kJ/kg (ou J/g) En prenant une masse molaire du gasoil de 170 g/mol, ceci nous fait donc 7650 kj/mol de gasoil brulé
Énergie dégagée par la formation de l’eau : 285,8 kJ.mol-1 , comme il ne faut qu’ 1/2 O2 pour la réaction, ça nous fait 572 kJ/mol d’O2 consommée
Formule de combustion d’un alcane : 2 Cn H2n+2 + (3n +1) O2flèche 2n CO2 + ( 2n+2) H2O
Pour le gasoil, n vaut en moyenne 14.
Il faut donc 21,5 mol d’O2 pour pouvoir bruler une mol de carburant.
Donc, pour une mol d’02 consommée, on obtient 7650/21,5 = 356 kJ par combustion de carburant, et 572 kJ par formation d’eau.
C’est très grossier comme calcul, mais ça donne un ordre d’idée. Et ça donne surtout que la bonne idée du départ est une fausse bonne idée, surtout quand on compte 3/4 d’énergie perdue dans le cycle de production du fameux mélange H2/02
Pour que le processus fonctionne, en fait, il faudrait que l’énergie utilisée pour rompre les liaisons 0-H, serve à former des liaisons 4 fois plus stables (vu les pertes), ce qui est impossible, tout se tient dans un facteur 3 pour les liaisons courantes (entendre, statistiquement significatives).
Première conclusion : Je parie un bras que si on met ce moteur bricolé sur une table d’essais, on voit qu’il pollue encore plus qu’avant.
Deuxième conclusion (et la, oui, je spécule) : Tout ceci est pour moi très significatif de la mentalité de l’homme »moderne« , occidental. Un siècle a suffit pour qu’il s’habitue à toujours avoir à disposition une source d’énergie concentrée et apparemment inépuisable.
Utilisant ceci, il a bati toute son économie dessus, avec un degré incroyable de mécanisation de l’industrie ... au final, dans bien des cas, l’homme ne »produit« plus rien lui-même. Nous nous sommes habituer à ne plus rien produire de concret.
Et c’est relativement confortable, il faut l’avouer. On s’y accroche, on essaie de prolonger le rêve, de trouver d’autres sources d’énergie aussi intenses.
Mais il faut bien regarder la réalité en face : il va falloir commencer à se sortir les doigts du cul, et commencer à réutiliser nos chères petites mains. »
Au risque de vous surprendre, oui, j’affirme haut et fort que mes motivations sont sans arrières pensées.
Monsieur Cabanel, je n’ai peut-être que 19 ans, mais je suis lucide, non seulement à propos du comportement des gens, mais aussi à propos de l’avenir du monde qui m’entoure : celui ci est condamné à disparaitre, à relativement brève échéance.
Autrement dit, le temps est compté pour ceux qui veulent encore essayer de le changer. Et je suis de ceux la.
Le temps est compté.
Et donc, aussi prétentieusement que cela puisse paraitre, oui, du haut de mes connaissances (je suis étudiant en deuxième année de CPGE), appuyées par le travail rigoureux de générations de scientifiques, j’affirme que perde la moindre parcelle de temps pour les salades que j’ai pris le soin d’éplucher est un gâchis monumental.
Votre discours est particulièrement incroyable vous savez.
Si étiez en train de parler des OGM, vous diriez surement que c’est intolérable que monsanto et compagnie vendent leurs merdes sans avoir aucune preuve de leur non-nocivité, alors que justement celle ci est remise en cause par de nombreuses études scientifiques.
Et la, vous faites exactement le contraire, parce que cela « arrange » vos croyances (il faut bien appeler les choses par leurs noms, bis).
Car pour vous, la simple vidéo d’une voiture censée fonctionner « à l’eau » prouverait son existence, alors que des dizaines d’années d’expériences et d’analyses rigoureuses des phénomènes naturels qui nous entourent prouvent le contraire.
C’est à marcher sur la tête, tout simplement.
Vous qui citez souvent des proverbes africains, vous devriez vous les appliquer un peu plus souvent ; apparemment.
Vous voulez des démonstrations rigoureuses de tout ce que j’ai affirmé, il en sera ainsi si vous le voulez toujours.
Ce sera une perte de temps, mais c’est un investissement que je suis prêt à faire, car malgré le fait que je critique votre article, votre bonne volonté est honorable, et mon but n’est en aucun cas d’y porter atteinte.
Comment expliquer tout ça gentiment ... bon ... essayons.
L’un des problèmes actuels quand on parle d’écologie, ce sont les fausses pistes, les vraies fausses bonnes idées. Et malheureusement, il ne suffit pas de vouloir bien faire pour que ça marche.
Le deuxième grand problème, c’est internet. Désormais n’importe qui peut diffuser n’importe quoi à l’échelle mondiale. C’est bien quand il s’agit d’un combat politique ou écologique, ou autre. C’est moins bien quand il s’agit de réussir à fourguer à quelques naïfs une voiture qui prétend marcher avec de l’eau (ou tout autre gadget payant, mais inefficace).
Commençons par le moteur à eau : Diluer le carburant avec 3/4 d’eau n’a qu’un seul effet : diminuer la puissance de la machine de 3/4. Il suffirait de diminuer le régime d’autant pour s’épargner l’effort de faire le mélange, et en plus on économise l’énergie dépensée pour transformer -pour rien- ladite eau en vapeur.
Le vrai principe du moteur pantone, c’est de préchauffer l’air avant admission en le faisant passer dans un tuyau au contact du tuyau d’échappement. L’économie est bien sur faible, mais réelle au moins.
Le principe du générateur HHO est encore plus vicieux pour le néophyte.
Ils utilisent le courant batterie pour électrolyser de l’eau (H20= H2 +1/2 02), et ensuite envoyer le mélange H2/02 dans la chambre de combustion ou se passe exactement la réaction inverse ... rien que la, on voit que ça cloche, sachant que de toute façon, à chaque étape de la chaine il y a des pertes. En effet, le courant de la batterie est fourni par l’alternateur de la voiture, qui va donc mobiliser en permanence une partie de la puissance motrice pour alimenter l’alternateur qui alimente la batterie qui alimente l’électrolyseur qui alimente le moteur en H2. Besoin d’en dire plus ? (Car évidemment le surplus de puissance apporter par l’hydrogène ne peut pas compenser les pertes de tout le circuit. C’est physique)
Le génie de ces arnaqueurs, c’est de faire un gadget pas cher, car les gens, même s’ils ont conscience au fond que ça ne peut pas être miraculeux, ils se laissent tenter, pour voir quand même, parce que c’est pas cher, justement.
C’est avec une infinie tristesse que je vous vous vois mettre sur un même pied la filière de valorisation du méthane des déchets, qui a réellement montré son utilité et son efficacité, et de telles salades, car il faut bien appeller les choses par leurs noms.
Une petite auto-citation, parce que ça fait du bien : « La taxe carbone est une connerie ».
Et si on ne peut pas faire une source d’énergie avec un électrolyseur et une pile à combustible en série, on ne peut évidemment pas rendre la france plus écolo avec une taxe.
On peut d’ailleurs faire une certaine analogie entre les deux problèmes : Non seulement une taxe n’apporte aucune solution « palpable » aux vrais défis (approvisionnement énergétique, changement des modes de production et de consommation), mais en plus elle engendre une machine à gaz administrative de plus (sans parler du problème de la définition de modalités de redistribution équitables), et donc une dépense de moyens en pure perte.
Si ma critique paraissait « gratuite », j’en suis navré. Mais voiture à eau, à air comprimé (pourquoi utiliser directement de l’électricité quand on peut s’en servir pour comprimer de l’air, et ensuite l’utiliser dans un moteur ad-hoc, le tout avec un piètre rendement), et autres arnaques écologiques déclenchent chez moi des réactions « épidermiques ».
« L’essence pollue, ok ! Je vais m’acheter une voiture à eau (ou autres carburants non polluants) (http://forget.e-monsite.com/rubrique,la-voiture-a-eau,1112335.html) »
La taxe carbone est une connerie, on le sait tous. Soit. Ce n’est pas pour autant qu’il faut raconter ou croire n’importe quoi.
La voiture qui roule grâce à l’énergie des (je cite) « électrons issus de l’extraction de l’hydrogène de l’eau » c’est du DÉLIRE. L’électrolyse est une réaction forcée, pour laquelle on doit FOURNIR de l’énergie.
Vous croyez vraiment qu’en mettant un électrolyseur et une pile à combustible en série on peut obtenir une source d’énergie perpétuelle ?
Il faut vraiment arrêter de relayer ce genre de salades.
Ce qui me contrarie à vrai dire, c’est l’effet d’annonce.
« youpi banane on a trouvé un truc formidable, regardez ça consomme rien par rapport à un hélico, ça transporte des tonnes, et en plus c’est tout léger et il pollue pas. »
Sauf que : la comparaison avec l’hélico est une tromperie
Et que la pollution est déplacée à la source de production de l’hydrogène, rien de plus.
Justement on ne présente pas les appareils comme ce qu’ils sont, à savoir des ébauches tout au plus, mais comme quelque chose de déjà révolutionnaire, ce qui n’est pas.
Mis à part le nouveau système de propulsion, dont on ne sait pas grand chose mis à part qu’il est nouveau (efficacité ... ), tout le reste ne relève que du collage de technologies préexistantes.
Certes, il faut bien imaginer un peu les possibilités pour motiver la recherche.
Mais c’est à utiliser avec précaution, sinon o nse retrouve dans la situation de MDI,et son moteur à air comprimé, qui sera révolutionnaire grâce aux évolutions à venir depuis 10 ans .... et qu’on attend toujours.
On pourrait dire que comme toujours, vous en dites soit trop soit pas assez.
Oui, les avions polluent.
Mais les solutions que vous présentez comme miraculeuses ne le sont assurément pas.
A propos du Fanwing :
La technologie de l’hydrogène ne fait que déplacer le problème de la source d’énergie.
De plus, la « densité énergétique » des carburants fossiles étant bien plus plus grande que celle de toutes les alternatives présentes actuellement, l’équiper d’une pile à combustible (et de batteries) n’est certainement pas à son avantage.
Pour finir, la comparaison avec un hélicoptère n’a pas grand intérêt si cet « avion » est incapable de décoller à la verticale. (et il ne suffit pas d’avoir la volonté qu’il y arrive pour qu’il le fasse réellement) .
La comparaison avec l’hélico n’est la que pour occulter celle avec un avion, avec lequel la différence à de grandes chances d’être sinon minime, à son désavantage.
Au niveau du solarimpulse : s’il était rentable de construire des avions entièrement en fibre de carbone, ce serait fait depuis longtemps.
C’est comme comparer les performances d’ariane5 et d’une fusée à eau :
En y mettant des moyens quasi illimités , on peut arriver à satelliser des tonnes de matériel.
Pour le mec lambda qui n’a pas ces moyens, envoyer un playmobil à 30 mètres de haut, c’est déjà un exploit.
Et les « moyens » ce n’est qu’un autre mot pour désigner l’énergie dépensée au départ pour construire l’appareil.
Bref, tout ceci relève du pur fantasme.
Attendre le messie de la technologie n’est d’aucune utilité.
Il serait infiniment plus efficace de se concentrer sur les moyens de réduire les besoins en déplacements, plutot que de s’échiner à trouver des palliatifs imaginaires à un comportement intenable sur le long terme de toute façon.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération