Dites moi Joséphine, ne serait-ce pas votre Carlin qui crottait l’autre jour devant ma portière de voiture ?
@Samson Si les sols sont morts, c’est avant tout le fait du travail du sol de manière intensive, qui « brule » tout l’humus, Les bios ont les mêmes problèmes. Plus d’humus, plus de fertilité des structures dégradées d’où mauvaise infiltration des eaux, ruissellement et érosion des sols. Mais bon ..., même pas certain que l’Agronomie (la vraie) soit encore enseignée dans les écoles d’agriculture ! Rendre pour seuls responsables les pesticides, c’est franchement se moquer du monde.
@Fergus et peut on connaitre ces cultures moins gourmandes en eau ? cultures commercialisables bien sur et suffisamment rentables.
@Fergus "Ce que l’article ne dit pas, c’est que les eaux des dites bassines s’évaporent très vite lorsque s’installent les fortes chaleurs.
"
Et les 2.5 Millions de piscines en France, pas d’évaporation ? sans compter, les espaces verts, l’arrosage de ronds points et des golfs ?
@kéké02360 ...sauf que...les bios utilisent certains produits comme le souffre et le sulfate de cuivre, etn seront touchés comme les autres agriculteurs
"Heureusement de plus en plus s’en retirent par conversion
" une telle affirmation montre votre profonde méconnaissance du sujet.
Ceux qui se tournent vers le bio par idéologie sont peu nombreux et tournés essentiellement vers des marchés bien spécifiques, les autres le font pour les aides qui pour les plus âgés les aideront à terminer leur carrière en attente de la retraite,
@Fergus
la biodiversité, ne se limite pas aux oiseaux et aux insectes (présents dans vos jardins), et elle existe aussi dans les espaces de culture intensive, sauf qu’elle est différente.
A chaque biotope , il y a une faune spécifique.
@Le421
et vous , vous faites quoi comme travail ? Vous consommez quoi ? et je ne parle pas uniquement de l’alimentation ! Quelle activité humaine n’impacte pas la nature ?
@Fergus
Ce genre de plaintes imbéciles se multiplient pourtant et on chasse peu à peu les exploitations présentes depuis des générations des villages alors que leur élevage n’a pas évoluer.
Il faut sortir des village à distance respectable et on se heurte ensuite à des contraintes administratives type vous êtes trop éloignés du réseau électrique ou d’eau potable
@Raymond75
Mon expérience est certainement au moins équivalente à la votre.
Les désagrément à la campagne sont ni pire ni moins qu’en zone urbaine.
Je ne nie pas qu’il puisse y avoir des abus dans des cas particuliers, ce n’est pas une raison de dénigrer une profession dans sa globalité.
On oublie trop souvent que la campagne est avant tout un lieux de travail et de production, et non une zone de loisir.
Une campagne sans coq, sans odeur, sans pesticide, sans bouseux sur leurs tracteurs le pied quoi !
Et la cerise sur le gâteau, de la nourriture bon marché, ogm glyphosatée javélisée qui traverse l’Atlantique en rejetant un peu plus de Co².
Ah j’oubliais, la petite maison à plein pied avec les garages pour les deux SUV, la piscine et la petite cour et le chemin qu’on s’empresse de bétonner car il faut arracher l’herbe à la main (plus de pesticides)....bon, parfois l’eau monte à mi-fenêtres ! Ben la faute aux paysans...ben non y’en a pu !
Qu’est ce qu’on se marre dans cette société ou tout le monde sait tout, et qui pense avant tout à sa pomme (bio of cause !)
@Lebougnat
En achetant des fruits hors saison en provenance d’Espagne ou du Maroc, il ne faut pas venir ensuite crier au loup contre les « pesticides » en mettant en cause l’agriculture, Française
@nono le simplet
ok on se rejoint, mais il était nécessaire de préciser que les agriculteurs français subissent de nombreux contrôles sur leurs exploitations et certainement bien plus que dans nul autre pays.
Donc il faut acheter Français lorsqu’on a le choix
@nono le simplet
Si les contrôles effectués par la DGCCRF
sur les produits agricoles peuvent paraitre faibles, il faut savoir qu’en amont de la production, chaque produit phytosanitaire est tracé jusqu’à l’utilisateur (l’agriculteur)
Dans chaque exploitations, il y a obligation de tenir un registre d’épandage avec la date d utilisation, la culture concernée, le stade de la culture, la quantité employée et l’obligation de justifier le traitement, le tout soumis à contrôle
Pas certain que pour d’autres produits tout aussi « dangereux », comme par exemple les médicaments soient aussi suivis, et je ne parle pas des produits à usage domestiques comme les produits ménagers, les insecticides contre mouches tics puces et autre insectes (dont les matières actives sont souvent identiques à ceux utilisé en en agricultures..
On peut aussi citer les adjuvants (conservateurs, colorants etc..) utilisés par l industrie alimentaire.
@samuel
ok il faut voir le rapport entre gain de rendement et qualité, et cout du traitement,
l’exploitation étant une entreprise qui doit apporter un revenu à l’agriculteur
Nous sommes alors dans l’agriculture raisonnée, la seule qui devrait exister..
Traiter seulement en cas de besoin absolu !
Pour ma part je ne conteste pas les abus, et vous voyez qu’on va s’entendre à merveille.
@samuel
« Tuer la microfaune et détruire les équilibres biologiques en aspergeant de pesticides les champs est une très mauvaise idée. »
A ce sujet, le travail du sol (labours) est plus néfaste (et je ne parle pas de la dégradation de la fertilité et de l érosion) que les produits phytosanitaires, et la solution serait le travail simplifié du sol d’où, la nécessité d’employer le glyphosate.
"Les progrès concernant le risque alimentaire est principalement dû à des contrôles microbiologiques strictes
"
Pas seulement, il y a les problèmes des mycotoxines et de l’ergot du blé par exemple
Les choses sont bien plus complexes qu’il n’y parait.
Je vous accorde qu’il a eu et qu’il y a encore des abus au niveau des emplois de ces produits, mais de là à tomber dans la pensée extrémiste que je lis sur ce site....
@samuel
Sur ce point nos point de vue convergent, et ce ne sera pas certainement avec le bio que nous allons remédier au problème de l’autosuffisance.
.
@samuel
Et nous étions bien loin de l’autosuffisance
Mais, comme on dit..« dans le temps tout était mieux »
La malbouffe c’est aujourd’hui !!!
En cinquante ans, le risque alimentaire létal
aurait donc été divisé en France par un facteur
100
voir ici
https://www.senat.fr/rap/r03-267/r03-2679.html
Vos peurs, et surtout les solutions pour transformer l’agriculture sont aussi ridicules que de vouloir supprimer les progrès de l’informatique dans nos administrations.
@Aristide
Exact, et contrôle sur produits non lavés et non épluchés, et l’étude ne précise pas leur origine (beaucoup de tomates en particulier d’origine Espagne où la législation sur l’emploi des « pesticides »est bien plus laxiste que chez nous.
https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/controle-des-residus-pesticides-dans-denrees-vegetales
@samuel "On passe d’une situation où on se passait parfaitement d’un intrant à
une situation où il devient indispensable sans quoi le blé pourri sur
place. .
"
Vous reconnaissez alors, que sans « pesticides », il ne peut y avoir de production
On aimerait connaitre vos sources, pour prétendre de telles certitudes
@foufouille Tout à fait, mais si ce n’est à la science, à qui doit on faire confiance ?
Aux croyances certainement, et à leurs prédicateurs ?
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