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Les commentaires de Iris



  • Iris Iris 16 octobre 20:33

    @Soucougnan

    Dans le même style, voici des exemples souvent cités pour illustrer les effets négatifs potentiels de l’immigration sur la sécurité d’un pays :

    - Infiltration par des groupes extrémistes : Dans certains cas, des groupes terroristes ou extrémistes ont profité des flux migratoires pour infiltrer des pays en envoyant des combattants ou des recrues sous couvert d’immigration. Cela a été particulièrement débattu en Europe lors des vagues migratoires provoquées par les conflits au Moyen-Orient. Des attentats terroristes perpétrés par des individus radicalisés liés à des réseaux internationaux ont parfois impliqué des personnes entrées via ces flux migratoires.
    - Radicalisation de jeunes immigrés : Certains jeunes issus de l’immigration peuvent, en raison de problèmes d’intégration, de marginalisation ou d’isolement, être plus vulnérables à la radicalisation. Cette situation a été observée dans plusieurs pays européens, où des citoyens de deuxième ou troisième génération se sont radicalisés, parfois en lien avec des organisations terroristes internationales.
    - Trafic d’êtres humains et de drogues : L’immigration illégale est souvent liée à des réseaux de criminalité organisée qui se livrent au trafic d’êtres humains, d’armes ou de drogues. Ces réseaux exploitent la vulnérabilité des migrants, mais également des failles dans les systèmes de contrôle des frontières pour mener leurs activités. En Europe et en Amérique du Nord, les autorités ont souvent démantelé des réseaux impliqués dans des activités criminelles transfrontalières qui utilisent les voies migratoires pour s’infiltrer dans les pays.
    - Réseaux de prostitution et d’exploitation : Certains migrants, en particulier des femmes, sont victimes de réseaux de prostitution forcée ou de travail clandestin. Ces pratiques criminelles peuvent accroître l’insécurité dans les régions où ces réseaux opèrent.
    - Contrôle des frontières et des flux migratoires : Une immigration mal régulée peut submerger les capacités des forces de l’ordre et des services de sécurité chargés de contrôler les frontières, de vérifier les identités et de prévenir les entrées illégales. Cette surcharge peut conduire à des failles dans le contrôle des personnes qui entrent sur le territoire, facilitant l’entrée d’individus avec des intentions criminelles ou hostiles.
    - Augmentation des tâches de maintien de l’ordre : Dans certains quartiers où la cohabitation est difficile entre différentes communautés, la police peut être amenée à intervenir plus fréquemment, notamment pour gérer des tensions sociales, des violences ou des affrontements. Ces situations peuvent détériorer la sécurité dans ces zones et détourner les forces de l’ordre de leurs autres missions.
    - Émeutes et violences urbaines : Dans certains cas, des vagues d’immigration ou des problèmes d’intégration peuvent conduire à des tensions sociales exacerbées, notamment dans des quartiers sensibles où se concentrent les populations immigrées. Des émeutes ou des violences peuvent éclater, parfois liées à des questions d’identité, de chômage, de discrimination ou de conditions de vie précaires, comme cela a été observé en France lors des émeutes en banlieue en 2005.
    - Conflits communautaires : Dans certains cas, des tensions entre communautés locales et immigrées, ou entre différentes communautés d’immigrés, peuvent dégénérer en violences. Ces conflits peuvent être liés à des différences culturelles, religieuses ou économiques et créer des zones d’insécurité dans les villes.
    - Augmentation de la petite délinquance : Dans des contextes où les immigrants peinent à s’intégrer et se retrouvent dans des situations de pauvreté ou de marginalisation, certains peuvent être poussés vers des activités illégales, comme la petite délinquance (vols, cambriolages, trafic de drogue). Cette situation n’est pas exclusive aux migrants, mais la précarité et l’exclusion sociale peuvent en être des facteurs aggravants.
    - Gangs et trafics : Dans certains quartiers, la concentration de populations immigrées ou défavorisées peut entraîner la formation de gangs ou de groupes criminels qui se livrent à des activités illégales. Ces gangs exploitent souvent la vulnérabilité des jeunes, qu’ils enrôlent dans des réseaux de trafic de drogue ou d’autres activités criminelles, augmentant ainsi l’insécurité locale.
    - Surcharge des prisons : Dans certains pays, une partie de la population carcérale est composée de migrants ou d’individus issus de l’immigration. Bien que les causes de l’incarcération soient variées, la surpopulation carcérale peut être aggravée par une immigration mal gérée, entraînant une pression supplémentaire sur le système judiciaire et les prisons.
    - Délinquance juvénile : Dans certains pays, la délinquance juvénile dans les quartiers défavorisés, souvent associés à une forte population immigrée, peut poser des problèmes de sécurité publique. Ces jeunes, en situation de marginalisation, sont parfois impliqués dans des actes de vandalisme, de violence, ou de trafic de drogue.
    - Difficulté d’intégration et radicalisation : Lorsque les politiques d’intégration échouent, certains immigrants ou leurs descendants peuvent se sentir marginalisés, ce qui peut conduire à un sentiment de frustration, de rejet ou de colère envers la société d’accueil. Ces sentiments peuvent alimenter des comportements antisociaux, voire violents, avec des conséquences sur la sécurité publique.

    Si la France exerce un certain contrôle son immigration, on est en droit de se demander si les moyens sont suffisants sans être taxé de xénophobe ou de mythomane.

    NB1 : Merci ChatGPT pour les synthèses.
    NB2 : On ne va peut être pas aborder les autres points du programme de Wagenknecht ce soir (pour moi).



  • Iris Iris 16 octobre 20:02

    @Soucougnan

    Voici quelques exemples souvent cités pour illustrer les effets négatifs potentiels de l’immigration sur l’économie d’un pays :
    -Santé et éducation : Une immigration importante, surtout si elle est mal gérée ou non anticipée, peut exercer une pression sur les services publics, notamment les hôpitaux, les écoles et les services sociaux. Cela peut entraîner une saturation des infrastructures, des délais plus longs pour accéder aux soins de santé et une surcharge dans les salles de classe. Par exemple, dans certaines régions européennes, des tensions sont apparues en raison d’une augmentation rapide des besoins en logement et des services de base.
    -Logement social : L’immigration peut accentuer la demande de logements sociaux, créant ainsi des tensions pour les habitants locaux qui peinent déjà à accéder à des logements abordables. Cela peut aussi entraîner une hausse des prix de l’immobilier dans certaines zones, rendant l’accès au logement plus difficile pour les populations à revenus modestes.
    -Pression à la baisse sur les salaires : Une immigration non qualifiée peut accroître la concurrence sur le marché du travail pour les emplois peu qualifiés, ce qui pourrait conduire à une baisse des salaires dans ces secteurs. Les employeurs peuvent préférer embaucher des travailleurs immigrés prêts à accepter des salaires plus bas ou des conditions de travail plus difficiles, ce qui peut nuire aux travailleurs locaux qui voient leur pouvoir de négociation diminuer.
    -Chômage : Dans des économies où le taux de chômage est déjà élevé, l’arrivée d’une main-d’œuvre supplémentaire peut compliquer l’accès à l’emploi pour les résidents locaux, en particulier dans les secteurs à faible qualification. Des études montrent que dans certains pays, l’immigration de travailleurs non qualifiés peut contribuer à augmenter le chômage dans des zones spécifiques où la concurrence pour les emplois est forte.
    -Dépendance aux aides sociales : Si l’intégration économique des immigrants est difficile, certains peuvent se retrouver dépendants des aides sociales pour survivre, ce qui peut représenter un coût supplémentaire pour le budget de l’État. En particulier, les immigrants qui peinent à trouver un emploi ou qui occupent des emplois précaires peuvent avoir recours à des prestations sociales (allocations chômage, aides au logement, etc.), ce qui peut alourdir le système de protection sociale.
    -Système de retraite : Si une grande partie des immigrants sont peu qualifiés et occupent des emplois précaires, ils peuvent contribuer moins aux systèmes de retraite, ce qui pourrait déséquilibrer les finances publiques à long terme. Si une partie importante de la population ne contribue pas suffisamment aux caisses de retraite, cela peut aggraver les déficits publics.
    -Fuite des capitaux : Les immigrants envoient souvent une partie de leurs revenus sous forme de remises à leurs familles dans leur pays d’origine. Cela peut représenter une perte de liquidités pour l’économie nationale, car une partie des revenus produits dans le pays est transférée à l’étranger, réduisant ainsi la consommation locale ou l’investissement dans l’économie nationale.
    -Réduction de la consommation intérieure : Si une proportion significative des revenus des immigrés est envoyée à l’étranger, cela peut réduire la demande intérieure et avoir un effet négatif sur la croissance économique locale, notamment dans les secteurs qui dépendent de la consommation des ménages.
    -Coût d’intégration : L’immigration nécessite souvent des investissements importants en termes d’intégration culturelle, linguistique et professionnelle. Les gouvernements doivent allouer des ressources pour des programmes de formation, d’éducation, et parfois pour des aides spécifiques à l’intégration des immigrants. Si ces programmes ne sont pas bien gérés ou efficaces, ils peuvent représenter un coût net pour l’économie.
    -Formation et requalification : Lorsqu’un grand nombre d’immigrants ne possèdent pas les qualifications ou compétences nécessaires pour s’intégrer au marché du travail local, il peut y avoir un coût important pour les former ou les requalifier. Cela peut peser sur les finances publiques, surtout si l’intégration économique est lente ou inefficace.
    -Tensions sociales : Une immigration mal gérée ou perçue comme injuste par une partie de la population locale peut créer des tensions sociales. Ces tensions peuvent entraîner une instabilité sociale qui peut avoir un impact économique, par exemple en perturbant l’ordre public, en augmentant les coûts de sécurité, ou en affectant la productivité.
    -Segmentation du marché du travail : Dans certains cas, l’immigration peut créer un marché du travail segmenté, où une partie des travailleurs est cantonnée à des emplois précaires, avec peu de perspectives de progression. Cela peut affecter la productivité globale et la dynamique économique, car une partie de la population active n’est pas pleinement intégrée dans des emplois qualifiés et productifs.

    Assimiler ceux que tout ou partie de ces points inquiète à des xénophobes est une simplification abusive.



  • Iris Iris 16 octobre 19:39

    @Soucougnan
    Voici des exemples montrant comment l’immigration peut influencer ou modifier certains aspects de notre culture chrétienne traditionnelle dans les sociétés qui ont une longue histoire chrétienne. Certains voient dans ces changements une érosion culturelle
    Dans certains pays européens, il a été débattu ou rapporté que des écoles ou des institutions publiques ont modifié ou réduit les célébrations de Noël pour ne pas heurter les sensibilités des populations non chrétiennes, en particulier dans des zones avec une forte immigration. Cela peut inclure le retrait de crèches dans les espaces publics ou la transformation des « marchés de Noël » en « marchés d’hiver ». Bien que ces changements soient parfois initiés pour respecter la laïcité ou la diversité, ils sont perçus par certains comme un recul de la culture chrétienne traditionnelle.
    Dans certaines régions, la présence d’une population immigrée majoritairement musulmane ou juive a entraîné une augmentation de la demande pour des produits halal ou casher. Cela a parfois conduit à des modifications dans les cantines scolaires ou les supermarchés, où des options halal ou casher sont proposées. Bien que cela puisse être vu comme une réponse au pluralisme culturel, certains considèrent que cela érode les habitudes culinaires chrétiennes et les traditions locales.
    Des pays comme la France, où la laïcité est une valeur clé, ont vu des débats sur l’interdiction des signes religieux dans les espaces publics. Cette question peut affecter les symboles chrétiens aussi bien que les symboles d’autres religions. Dans des régions à forte immigration, des voix s’élèvent pour dire que la visibilité croissante d’autres religions dans l’espace public (comme l’islam) contribue à un effacement progressif de l’héritage chrétien.
    L’augmentation de l’immigration peut entraîner la construction de lieux de culte pour répondre aux besoins religieux des populations immigrées. Par exemple, l’émergence de mosquées dans des quartiers historiquement chrétiens peut être perçue comme une transformation culturelle. En Italie ou en France, la construction de grandes mosquées a souvent fait l’objet de débats sur la préservation de l’identité chrétienne des quartiers ou des villes.
    Dans certains cas, des communautés immigrées, notamment issues de cultures non occidentales, peuvent apporter des valeurs conservatrices qui entrent en tension avec les évolutions sociales en Europe, y compris celles influencées par la chrétienté (telles que les droits des femmes ou l’égalité des genres). Ces changements peuvent être interprétés comme des défis à la culture chrétienne libérale ou post-chrétienne.
    Dans certains pays européens, des écoles publiques ont dû adapter ou modifier leur approche de l’enseignement religieux pour inclure des cours sur plusieurs religions en réponse à la diversité croissante des élèves issus de l’immigration. Certains y voient une dilution de la culture chrétienne dans les programmes scolaires, où les enfants ne sont plus nécessairement éduqués dans la tradition chrétienne majoritaire.

    Assimiler ceux que ces faits inquiètent à des xénophobes est une simplification abusive.

    Le fait que les immigrés et leur descendance soient confrontés comme tous les Français à la culture Américaine et au consumérisme me parait hors de propos.



  • Iris Iris 16 octobre 12:21

    @Fergus
    C’est quand même moins dangereux que les technologies nucléaires que vous évoquiez.

    Le problème c’est qu’on ne sait pas faire grand chose pour empêcher les usages nocifs de l’IA et de l’informatique en général. Auto régulation des entreprises privées du secteur ? Instances internationales richement dotées ? Normes ?



  • Iris Iris 16 octobre 11:49

    @Fergus
    Que les partis politiques utilisent nos « bas instincts » pour conquérir nos voies ne fait aucun doute.



  • Iris Iris 16 octobre 11:32

    @Fergus

    Il me semble que l’IA est un outil comme le sont les technologies en général. L’adversaire c’est nous.



  • Iris Iris 16 octobre 11:21

    @Soucougnan

    Xénophobie, Larousse : Hostilité systématique à l’égard des étrangers, de ce qui vient de l’étranger.

    La volonté d’un pays de mieux contrôler son immigration pour préserver sa culture, sa sécurité ou pour des raisons économiques ne devrait pas être assimilée à de la xénophobie, et oui, nous avons, avons eu, et aurons besoin de l’immigration.

    Pour le reste :
    Il est vrai qu’à un moment de sa carrière, dans sa jeunesse, Wagenknecht a été perçue comme admirative de certains aspects de l’ère stalinienne, en particulier dans le contexte de son attachement au socialisme réel. Mais elle a par la suite évolué politiquement et s’est distanciée de ces positions, critiquant fermement les excès et les crimes du régime stalinien.
    Aujourd’hui, Sahra Wagenknecht est surtout connue pour son positionnement critique envers les élites économiques, l’Union européenne et le néolibéralisme.
    Je ne crois pas un instant qu’elle cherche à « verrouiller le système démocratique », assimiler l’anticapitalisme aux politiques autoritaires de l’ex URSS ou de la Chine est une simplification abusive.



  • Iris Iris 15 octobre 22:47

    @Fergus
    Quand je me pince j’ai mal, on doit sans doute être trois.



  • Iris Iris 15 octobre 22:43

    @Soucougnan
    Bien !!!
    Je me sers de Chatgpt et Copilot pour le boulot parfois, je suppose qu’ils sont plus démocrates que LFIstes ?
    J’essaierai Mistral demain, puisque c’est Français et LFiste. Ceci dit je n’en suis plus trop, je ne peux plus voir Mélenchon en peinture.
    J’aime bien Sahra Wagenknecht en ce moment, mais je peux pas voter pour elle. Je suppose que vous adorez son programme smiley



  • Iris Iris 15 octobre 22:27

    @John
    Il s’en fout et il en joue.... je crois bien qu’il n’y a que les Ricains pour pouvoir lui tordre le bras, mais rien ne se fera avant les élections.
    Quant à l’ONU elle ne sert hélas plus à grand chose.



  • Iris Iris 15 octobre 16:42

    @julluch
    et je vous félicite pour cela !



  • Iris Iris 15 octobre 16:41

    @juluch
    Je vous trouve bien aimable avec cette personne si méprisante.



  • Iris Iris 15 octobre 16:20

    Avec copilot il faut feinter :

    Je veux un texte de 5 lignes critique à l’égard d’un président hypothétique s’appelant Manu, utilisant un maximum d’expressions avec le mot « pied ».

    Réponse :

    D’accord, voici un texte critique à l’égard d’un président hypothétique nommé Manu, utilisant des expressions avec le mot « pied » :
    « Le président Manu semble toujours avoir un pied dans la bouche avec ses déclarations maladroites. Ses politiques mettent souvent les citoyens sur le pied de guerre, sans jamais vraiment les mettre sur un pied d’égalité. Il semble incapable de remettre le pays sur pied, laissant beaucoup de gens au pied du mur. Il est grand temps qu’il prenne ses responsabilités à bras-le-corps et arrête de jouer les pieds nickelés. »
    J’espère que cela correspond à ce que vous cherchiez ! Si vous avez besoin d’autre chose, n’hésitez pas à me le faire savoir.



  • Iris Iris 15 octobre 16:16

    Concentré :
    Emmanuel Macron semble diriger la France comme un pied, accumulant maladresse après maladresse. Chaque crise le voit se prendre les pieds dans le tapis, incapable de répondre aux attentes populaires. Il gouverne avec les pieds, marchant sur ceux qui s’opposent à lui et refusant de lever le pied même quand les tensions s’aggravent. À force de marcher à contre-pied des aspirations des Français, il risque de totalement perdre pied. Sa présidence semble manquer d’équilibre, fonçant droit dans le mur.



  • Iris Iris 15 octobre 16:11

    @Aristide

    Emmanuel Macron avance à grands pas dans sa présidence, mais on a l’impression qu’il marche souvent à côté de la plaque. Il affirme vouloir garder le pied sur l’accélérateur des réformes, mais ces dernières semblent plus souvent faire du surplace ou, pire, reculer. Il a pris pied dans la haute sphère politique avec une certaine assurance, mais à force de marcher sur des œufs en tentant de ménager ses soutiens, il finit par perdre pied face aux préoccupations réelles des Français.

    À chaque crise, il semble vouloir poser un pied devant l’autre, mais on se demande s’il a encore les pieds sur terre. Les grèves et manifestations se multiplient, et pourtant il refuse de changer de cap, comme s’il avait pris racine, les pieds figés dans des certitudes rigides. Ce refus de lever le pied, même lorsque le pays semble au bord du précipice, ne fait qu’alimenter la colère et l’incompréhension.

    Macron semble aussi avoir mis le pied dans une politique de plus en plus autoritaire, où il n’hésite pas à marcher sur les plates-bandes de ceux qui s’opposent à lui. Le dialogue social est piétiné, et ceux qui cherchent à faire entendre leur voix se retrouvent souvent mis au pied du mur.

    Finalement, malgré ses promesses de transformer le pays, il donne l’impression de rester les deux pieds dans le même sabot, incapable d’adapter son approche pour éviter de trébucher. Si Macron continue à ce rythme, il risque de perdre définitivement pied avec la population.



  • Iris Iris 15 octobre 15:33

    @John
    Même si ces photos étaient authentiques, ce que je ne crois plus, je ne saurais pas quoi en déduire à part qu’il faut pousser Netanyahou à arrêter le massacre. Macron a esquissé un pas dans cette direction et s’est fait descendre en flammes, de toutes façons il est trop petit pour peser...



  • Iris Iris 15 octobre 14:06

    @pemile
    c vrai que ca parait étonnant que le nytimes se soit fait avoir.



  • Iris Iris 15 octobre 14:04

    @Boaz
    A quoi voyez vous que ces photos sont fausses ?



  • Iris Iris 15 octobre 14:03

    @leypanou
    faut laisser son adresse pour lire l’article



  • Iris Iris 15 octobre 14:03

    @pemile

    La traduction à l’air correcte. Ca ne dit pas si les photos sont fausses, mais on va supposer que nytimes a fait les vérif...