Il ne s’agit pas d’idéologie libérale, mais de capitalisme de connivence, européiste et atlantiste. Sinon l’article traduit bien le despotisme éclairé occidental.
Bonsoir Thierry SALADIN.
En ce qui concerne l’UPR, les solutions que vous préconisez avaient été méprisés par Asselineau et son bureau national depuis déjà pas mal d’années. Du coté des militants il faut être conscient que les plus combatifs ont quittés ce parti depuis belle lurette. Enfin, ayant personnellement connu un compagnon de la libération quand j’étais jeune, je peux vous dire qu’il ne s’agit pas de la même catégorie de personne.
La libération ne viendra pas des organisations politiques monolithiques comme celles-ci. Il est tout de même possible que le paradis européiste implose faute de bons résultats. D’ailleurs si l’oligarchie cherche à diviser la population en pratiquant la stratégie de la terreur, c’est signe que la sérénité n’est pas au rendez-vous. En attendant de plus en plus de jeunes développent des compétences politiques grâce aux échanges citoyens qui restent possibles sur Internet. La dictature des marchés qui sévit actuellement dans le monde « libre » s’effondrera comme un château de carte probablement de manière inattendue, mais ce ne sera pas grâce au sens politique des petits chefs.
Moi j’en ai marre qu’un état criminel, se mette en dehors de la communauté internationale en ne respectant pas les résolutions de l’ONU.
Assemblée générale (ayant alors fonction d’organe décisionnaire)
Résolution 181 (29 novembre 1947). Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jérusalem est placée sous administration des Nations unies.
Résolution 194 (11 décembre 1948). Les réfugiés qui le souhaitent doivent pouvoir « rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et vivre en paix avec leurs voisins » ; les autres doivent être indemnisés de leurs biens « à titre de compensation ». Création de la commission de conciliation des Nations unies pour la Palestine.
Résolution 302 (8 décembre 1949). Création de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA).
Conseil de sécurité
Résolution 236 (11 juin 1967). Au lendemain de la guerre de juin 1967, le Conseil de sécurité exige un cessez-le-feu et un arrêt immédiat de toutes les activités militaires dans le conflit opposant l’Egypte, la Jordanie et la Syrie à Israël.
Résolution 237 (14 juin 1967). Le Conseil de sécurité demande à Israël d’assurer « la sûreté, le bien-être et la sécurité des habitants des zones où des opérations militaires ont eu lieu » et de faciliter le retour des réfugiés.
Résolution 242 (22 novembre 1967). Le Conseil de sécurité condamne l’« acquisition de territoire par la guerre » et demande le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés ». Il affirme « l’inviolabilité territoriale et l’indépendance politique » de chaque Etat de la région.
Résolution 250 (27 avril 1968). Israël est invité à ne pas organiser le défilé militaire prévu à Jérusalem le 2 mai 1968 considérant que cela aggraverait les « tensions dans la région ».
Résolution 251 (2 mai 1968). Le Conseil de sécurité déplore la tenue du défilé militaire de Jérusalem « au mépris » de la résolution 250.
Résolution 252 (21 mai 1968). Le Conseil de sécurité déclare « non valides » les mesures prises par Israël, y compris l’« expropriation de terres et de biens immobiliers », qui visent à « modifier le statut de Jérusalem », et demande à celui-ci de s’abstenir de prendre de telles mesures.
Résolution 267 (3 juillet 1969). Le Conseil de sécurité censure « toutes les mesures prises [par Israël] pour modifier le statut de Jérusalem ».
Résolution 340 (25 octobre 1973). A la suite de la guerre de Ramadan ou de Kippour, création de la deuxième Force d’urgence des Nations unies (FUNU-II) qui vise à « superviser le cessez-le-feu entre les forces égyptiennes et israéliennes » et à assurer le « redéploiement » de ces mêmes forces.
Résolution 446 (22 mars 1979). Le Conseil de sécurité exige l’arrêt des « pratiques israéliennes visant à établir des colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis 1967 », déclare que ces pratiques « n’ont aucune validité en droit » et demande à Israël de respecter la convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre.
Résolution 468 (8 mai 1980). Le Conseil de sécurité déclare « illégales » les expulsions à l’étranger de notables palestiniens de Hébron et de Halhoul par les autorités militaires israéliennes et demande à Israël de les annuler.
Résolution 592 (8 décembre 1986). Le Conseil de sécurité rappelle que la convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre « est applicable aux territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés par Israël depuis 1967 ». Il condamne « l’armée israélienne qui, ayant ouvert le feu, a tué ou blessé des étudiants » de l’université Bir Zeit.
Résolution 605 (22 décembre 1987). Après le déclenchement de la première Intifada, le Conseil de sécurité condamne les pratiques d’Israël « qui violent les droits de l’homme du peuple palestinien dans les territoires occupés, en particulier le fait que l’armée israélienne a ouvert le feu, tuant ou blessant des civils palestiniens ».
Résolution 607 (5 janvier 1988). Israël doit « s’abstenir d’expulser des civils palestiniens des territoires occupés » et respecter les obligations que lui impose la convention de Genève.
Résolution 608 (14 janvier 1988). Le Conseil de sécurité demande à Israël « d’annuler l’ordre d’expulsion des civils palestiniens et d’assurer le retour immédiat et en toute sécurité » de tous ceux déjà expulsés.
Résolution 636 (6 juillet 1989). Le Conseil de sécurité demande à Israël, en conformité avec ses précédentes résolutions et avec la convention de Genève, de « cesser immédiatement d’expulser d’autres civils palestiniens » et d’assurer le retour en toute sécurité de ceux déjà expulsés.
Résolution 641 (30 août 1989). Le Conseil de sécurité « déplore qu’Israël, puissance occupante, continue d’expulser des civils palestiniens » et lui demande d’assurer le retour de tous les expulsés.
Résolution 672 (12 octobre 1990). Après les violences de l’esplanade des Mosquées - le mont du Temple, le Conseil de sécurité condamne « les actes de violence commis par les forces de sécurité israéliennes » à Al-Haram Al-Charif et dans d’autres lieux saints de Jérusalem et demande à Israël de « s’acquitter scrupuleusement des obligations juridiques et des responsabilités qui lui incombent » vis-à-vis des civils des territoires occupés.
Résolution 673 (24 octobre 1990). Le Conseil de sécurité condamne le refus d’Israël d’appliquer la résolution 672.
Résolution 681 (20 décembre 1990). Israël est sommé d’appliquer la convention de Genève.
Résolution 694 (24 mai 1991). Le Conseil de sécurité déclare que l’expulsion de quatre nouveaux civils palestiniens en mai 1991 par les forces israéliennes constitue une violation de la convention de Genève.
Résolution 799 (18 décembre 1992). Le Conseil de sécurité condamne les quatre cents expulsions de décembre 1992, soulignant qu’elle est contraire aux obligations internationales imposées à Israël par la convention de Genève. Le Conseil réaffirme l’indépendance et l’intégrité territoriale du Liban.
Résolution 904 (18 mars 1994). A la suite du massacre de la mosquée de Hébron, le Conseil de sécurité demande à Israël de prendre les mesures nécessaires « afin de prévenir des actes de violence illégaux de la part des colons israéliens » envers les civils palestiniens.
Résolution 1322 (7 octobre 2000). A la suite du début de la seconde Intifada, le Conseil de sécurité déplore les violences et condamne le « recours à la force excessif contre les Palestiniens ». Il demande à Israël de respecter ses obligations relatives à la convention de Genève.
Résolution 1397 (12 mars 2002). Le Conseil de sécurité demande la « cessation immédiate de tous les actes de violence, y compris tous les actes de terreur et toutes provocations, incitations et destructions », et réclame la coopération des Israéliens et des Palestiniens visant à la reprise des négociations.
Résolution 1402 (30 mars 2002). Après la réoccupation totale de la Cisjordanie, le Conseil de sécurité demande un cessez-le-feu immédiat et le « retrait des troupes israéliennes des villes palestiniennes ».
Résolution 1405 (19 avril 2002). Le Conseil de sécurité déclare qu’« il est urgent que les organismes médicaux et humanitaires aient accès à la population civile palestinienne ».
Résolution 1435 (24 septembre 2002). Le Conseil de sécurité exige « le retrait rapide des forces d’occupation israéliennes des villes palestiniennes ». Il demande à l’Autorité palestinienne de « faire traduire en justice les auteurs d’actes terroristes ».
Résolution 1515 (19 novembre 2003). Le Conseil de sécurité se déclare « attaché à la vision d’une région dans laquelle deux Etats, Israël et la Palestine, vivent côte à côte, à l’intérieur de frontières sûres et reconnues », et demande en conséquence aux parties en conflit de s’acquitter des obligations relatives à la « feuille de route » du Quartet.
Résolution 1544 (19 mai 2004). Le Conseil de sécurité demande qu’Israël respecte « les obligations que lui impose le droit humanitaire international » et « l’obligation qui lui est faite de ne pas se livrer aux destructions d’habitations ».
Résolution 1850 (16 décembre 2008). Le Conseil de sécurité soutient le processus d’Annapolis, et demande aux parties de « s’abstenir de toute mesure suceptible d’entamer la confiance » et de ne pas « remettre en cause l’issue des négociations ».
Résolution 1860 (8 janvier 2009). Après l’incursion de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, le Conseil de sécurité exige « l’instauration immédiate d’un cessez-le-feu durable et pleinement respecté menant au retrait total des forces israéliennes de la bande de Gaza ». Il demande de ne pas entraver l’entrée des organisations médicales dans Gaza et d’empêcher le trafic illégal d’armes.
Rassurez vous, l’UPR est déterminé et opiniâtre. Étant actuellement un rassemblement de citoyens décidé à restaurer la démocratie en France, ce mouvement émerge seulement. L’UPR va devenir dans les années qui viennent, le premier parti politique de France et lorsqu’il aura restauré la démocratie, ce mouvement s’auto-dissoudra.
pour que vive la France.
Il s’agit d’un article très édifiant sur les méthodes de propagande moderne. La question est de savoir pour qui roule l’auteur de cet article. J’avoue ne pas le savoir et je m’en fiche car visiblement, l’auteur ne représente que lui-même.
Deux précisions :
1) En d’autres temps être anti-stalinien était taxé de « anti communiste primaire ».
2) L’UPR est continuellement amalgamé par les médias institutionnelles avec l’extrême droite. Sachant à qui appartiennent les médias, nous savons qu’il s’agit de désinformation. Il faut vraiment être idiot pour ne pas le comprendre.
Visiblement l’auteur n’a pas pris le soin de lire la Charte Fondatrice de l’UPR. En la lisant, il saurait qu’il écrit des bêtises et des contre-vérités.
Soyons tolérant ! De la même façon que lorsque quelqu’un qui veut tuer son chien dit « qu’il a la rage », l’auteur colle des étiquettes farfelues à l’UPR. Cette pratique était très courante au moyen-âge. Les inquisiteurs en étaient devenus les maitres afin de satisfaire leurs pulsions. Plutôt qu’accuser l’UPR de sorcellerie, l’auteur préfère proférer des anathèmes qui ne convainquent finalement pas grand monde. L’imprécateur contemporain semble en perte de vitesse, il est vrai que le peuple se méfie de plus en plus de ces extrémistes pour qui la fin justifie les moyens et dont les maitres financent leurs prêches.
Je partage votre avis mais j’y ajouterais quelques nuances.
Si effectivement la France a pu se redresser pendant les trente glorieuses c’est également dû au besoin de reconstruction de l’après guerre, ainsi qu’au programme politique du Conseil National de la Résistance élaboré pendant l’occupation, et qui nous manques de plus en plus cruellement.
Le deuxième point, et non des moindres, étant qu’il ne faut pas non plus dédouaner complètement le corps électoral français qui se complaît de manière chronique à se soustraire à son devoir de participer à la vie politique, préférant en cela se soumettre aux suggestions médiatiques.
Et enfin, les oligarques peuvent être traités de tout sauf d’incompétence. Au contraire, il réussissent parfaitement à soumettre la plèbe selon leurs objectifs. En tout cas, beaucoup mieux que les totalitarismes policiers ou militaires.
Démosthène, abrité derrière un tel pseudo vous auriez pu prendre le temps de réfléchir, avant d’écrire autant de bêtises. Le problème avec les comportements fanatiques, tellement prisonniers de leurs chapelle, c’est qu’ils ôtent toute capacité d’analyse. En d’autres temps, des comportements semblables auraient convaincus des intelligences pures de souscrire à l’emprunt Russe.
L’UPR étant légaliste, il est légitime de respecter la loi et justement cela tombe bien puisque l’Article 50 existe. L’aspiration CNR ne dépend que du bon vouloir des partisans de toutes les tendances politiques. Pour l’instant, les frigos n’étant pas vide, les prosélytes sectaires de tous les bords, s’en tiennent à leurs positions. Trop peu de ces prosélytes ont fait l’effort de lire la Charte fondatrice et le programme politique de l’UPR. Ils découvriraient qu’il s’agit rien de moins que du programme politique du CNR actualisé et que temporairement les patriotes de l’UPR on mis de coté les sujets clivant.
Le niveau a vachement baissé à « Normal Sup », Lol. Je préfère les analyses d’Asselineau, elles sont précises, concises et étayées. L’auteur pérore comme un coq et comme cet animal il ne sait pas qu’il chante à n’importe quelle heure et les pattes dans la merde. Désolé l’auteur, mais avouez que donné un bâton pour se faire battre comme vous le faites est dans le meilleur des cas risible et dans le pire consternant. Votre article ressemble plus à une imprécation qu’à une analyse sereine des situations. Seulement, notez bien que les faits sont têtus.
En lisant l’article et les commentaires, je me dis que vous avez beaucoup de naïveté. Comme si l’oligarchie n’avait pas anticipés vos raisonnements. Bien que je crois au clivage Gauche / Droite, je dois admettre qu’aujourd’hui c’est un débat stérile. Les décisions nous concernant sont prises par les commissaires européens. Ces décisions sont dictées par des lobbys qui n’ont rien de plébéien. Les oligarques préparent le choc des civilisations qui enverront vos enfants à la boucherie. Allons, allons, réveillez-vous !
En ce qui concerne votre question, oui François Asselineau souhaite se présenter. Concernant votre affirmation « Il déteste MLP, NDA, tous les autres, alors que propose-t-il ? » François Asselineau cite De Gaulle dans une de ses conférences : « La différence qui existe entre les nationalistes et nous c’est que nous aimons notre pays et qu’ils détestent celui des autres. »
Avez-vous remarqué les progrès que fait l’idiocratie ? en plus alchimie et pastori doivent être fier d’exhiber leurs pulsions.
Vous êtes sérieux ou bien faut-il prendre votre article au second degré ? Comment des multinationales pourraient-elles fonctionner de façon horizontale ? Mises à part les armées, il n’existe pas d’organisations humaines plus pyramidales que les entreprises. Au sommet de celles-ci sont les sociétés trans-nationales. Le but d’une entreprise étant de faire du bénéfice, je ne comprend pas comment elles pourraient servir l’intérêt général.
Comme disait De Gaulle, « En 1940, les américains, ils n’étaient pas là, ... »
enréfléchissant il faudrait expliquer les différences entre patrie et nation. Ensuite entre nationaliste et nationaux. Inévitablement la notion d’état est incontournable sur un tel sujet. Et puisque vous faites allusion aux replis identitaires, expliquer le rôle des frontières. Au lieu de cela vous promouvez l’individualisme qui mène inévitablement aux corporatismes égoïstes.
Un peu plus crédible et avec une analyse et des réponses mieux argumentés il existe l’UPR.
Oui, mais alors pourquoi HALLYDAY c’ est barré aux USA ?....
Je ne vois pas l’intérêt de quitter la France pour des raisons fiscales. La meilleure preuve : Liliane Bettencourt ne paierait que 20% d’impôt sur le revenu. « La contribuable la plus riche de France n’aurait payé que 37,5 millions d’euros d’impôt sur le revenu en 2007. Et sans doute bien moins ensuite. »
Excellent ! Vive TF1, vive la servitude moderne.
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