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Les commentaires de Mathieu



  • Mathieu 2 janvier 2012 17:52

    Il n’y a pas de race car « race » est un terme d’élevage. Comme il n’y a pas d’élevage d’humains,il n’y a pas de races d’humains.

    En revanche, nous avons des ethnies, des groupes, des types et tout ce que vous voulez, que l’on peut regrouper sur des bases purements biologiques ou culturelles et biologique.


    Définir le racisme est important. Si tous les préjugés négatifs englobant relèvent du racisme comme on peut le lire plus haut, alors tout le monde est raciste et du coup, ce n’est pas bien grave de l’être.

    Et rappelons qu’avoir une opinion négative d’une personne sur la base d’un préjugé n’est en rien condamnable. Agir avec violence contre cette personne, oui.



  • Mathieu 19 décembre 2011 18:04

    Il n’y a pas 50 000 manière de se faire augmenter. Il faut faire jouer la concurrence.
    J’ai fait. Je suis parti.
    J’ai aussi déjà été augmenté sans avoir à pleurer pour. Si je ne l’avais pas été, je serais parti et l’employeur le savait.


    Ce qui fait le salaire c’est la rareté de la compétence. Même si le travail est bien fait, si c’est commun comme compétence il n’y a pas de raison de débourser plus du point de vue patron.



  • Mathieu 8 novembre 2011 14:09

    Kazan, vous commettez l’erreur de croire que le PIB d’un pays, ce sont les ressources de l’Etat.

    Non. Non, non et non.

    Les ressources de l’état, ce sont les impôts, et marginalement les dividendes de ses investissements.

    L’Etat n’est pas en déficit de 7%. Il est en déficit de « 7% du PIB ».
    Au sens strict l’état en 2010 a dépensé 322 milliards d’€ pour 169 milliards de recettes.
    Ce déficit de 7% du PIB masque donc un déficit de 47% des dépenses.

    Un si gros déficit pour quelles dépenses d’investissement ? Aucunes, uniquement de la gestion courante. Nous ne sommes pas au lendemain de la guerre où tout est à reconstruire.

    A ce rythme, il n’y a que deux possibilités : le défaut ou l’inflation. Dans un cas comme dans l’autre, nous allons prendre très cher.



  • Mathieu 8 novembre 2011 13:26

    Qu’est-ce que l’auteur pense des prometteuses stratégies virales* ? Du ciblage par nanotechnologie ?

    * Il s’agit de « dresser » des virus à s’attaquer spécifiquement aux cellules cancéreuses.


    L’auteur semble désabusé, mais je ne partage pas son constat. Il y a beaucoup de place pour l’espoir.
    Il y a de nombreuses idées dans l’air pour arriver à cibler spécifiquement les cellules cancéreuses.



  • Mathieu 8 avril 2011 18:23

    Heu, c’est quoi le rapport entre ce que l’article dénonce et la choucroute libérale ?

    L’équation Libéralisme=Fukushima=Tchernobyl me laisse perplexe...

    Dans l’histoire des catastrophes écologiques, j’ai du mal à faire la part entre les catastrophes émanant d’intérêts privés et nationaux, et pour tout dire entre libre marché et marchés collectivistes...



  • Mathieu 8 avril 2011 16:30

    Très sincèrement, vous êtes le premier que je rencontre qui se réclame de cette appellation.

    En général, nous ne nous aimons pas (gentiment, hein), entre lorrains et alsaciens.
    Sinon oui, je suis vaguement au courant que nous avons été camarades d’infortune au sein du reichland elsass-lothringen toute une paire d’années...

    Je vous comprends mieux lorsque vous parlez de métissage. Mon gloubiboulga sanguin de latins, germains et slaves vous passe le bonjour. M’enfin, si la graine a plusieurs gènes, elle n’a pris racine qu’à un seul endroit smiley



  • Mathieu 8 avril 2011 14:06

    A l’auteur : c’est quoi un Alsacien-Lorrain ? 

    Des alsaciens j’en ai vu plein, des lorrains aussi, mais des alsaciens-lorrains, vous êtes le premier.


  • Mathieu 18 mars 2011 16:43

    La part des dépenses publiques de le la France est officiellement de 52,7% du le PIB en 2008.

    Ce qui veut dire qu’au niveau macro-économique, Sarkozy est plus socialiste que Jospin.

    http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/finances-publiques/approfondissements/depenses-publiques-depuis-siecle.html

    Alors arrêtez avec votre Sarkozy « libéral » sérieusement...



  • Mathieu 18 mars 2011 16:15

    Si la droite est interventionniste, elle n’est plus libérale...



  • Mathieu 18 mars 2011 16:14

    [quote]
    Destruction de la nature, immenses richesses dans les mains d’une ultra minorité, maintien dans l’insécurité et exploitation des autres, dérive vers un controle des individus et réduction des libertés individuelles, mainmise des corporations qui ne visent plus que le profit, mise en exergue de l’argent ou la cupidité comme valeur première
    [/quote]

    Vous présentez ceci comme des caractéristiques intrinsèques et exclusives du capitalisme.
    Je constate que tout ceci est présent ou a été présent dans des régimes communistes ou féodaux. Et donc en faire les caractéristiques du capitalisme...



  • Mathieu 13 janvier 2011 15:41

    Pareil que lolo, j’ai du mal à saisir comment il peut y avoir polymérisation.

    De plus je me demande également comment il peut y avoir un effet quantique avec des molécules de la taille de l’adn.



  • Mathieu 12 janvier 2011 15:35

    J’ai du mal à voir autre chose qu’une blague de potache...



  • Mathieu 11 janvier 2011 14:34

    Je m’attendais également à ce que Google Ngram soit mentionné :
    http://ngrams.googlelabs.com/



  • Mathieu 11 janvier 2011 14:21

    Un peu en désaccord sur certains points.

    1 Confondre misère et pauvreté.
    La pauvreté est relative (60% du salaire médian selon la définition française, on peut dire aussi le premier décile des revenu). Peu importe votre niveau de vie avec ce revenu, vous êtes pauvre.
    (Cela ne change évidemment pas le fait que ce n’est pas une situation enviable.)

    La misère est absolue : c’est le stade où votre horizon se limite au prochain repas ou au prochain lit. 

    Un pauvre français vis dans une condition infiniment plus supportable qu’un misérable sahélien.
    (je répète cela ne change évidemment pas le fait qu’être pauvre en France pas une situation que j’envie.)

    2 Résoudre le problème de pauvreté par le versement de pension.
    Les pensions reversées aident bien évidemment à sortir la tête de l’eau sur le cours terme. Cependant n’envisager l’abolition de la misère, l’extinction du paupérisme, uniquement par une redistribution plus forte est une mauvaise idée. C’est l’entretien de la pauvreté bien plus que sa libération.
    Il faut viser un système où chacun peut cueillir les fruits de la prospérité, pas se contenter de les arracher aux uns pour les donner aux autres



  • Mathieu 8 janvier 2011 14:34

    Google est une entreprise privé, leur but c’est de faire de la thune. Ils ne vous fliquent pas, ils cherchent à optimiser les ventes de leurs clients. Les algorithmes sont automatiques et pas un être humain ne va mettre son nez dedans.



  • Mathieu 7 janvier 2011 19:59

    J’ai du mal à saisir l’indignation de l’auteur.

    Ce qu’il remarque est dans la nature de google depuis le début : mes services sont gratuits mais je revend à un tiers les observations que je tire de votre utilisation de mes produits.

    La propositions de liens commerciaux en fonction des mots clefs est le core business de google.

    Je suis surpris toutefois de voir que les algorithmes de cross selling scannent l’ensemble de l’historique des mails. Je n’avais jamais remarqué cet effet. (et surtout ça ne me semble pas pertinent !)



  • Mathieu 6 janvier 2011 15:12

    Et bien fait, le problème des fonctionnaires pour l’état, c’est la gestion des carrières et des retraites.

    L’inertie de l’appareil d’état fait qu’il est très ( vraiment très) délicat de modifier en profondeur la gestion de ses fonctionnaires. (il doit y avoir autant de fonctionnaires de l’agriculture que d’agriculteur ou pas loin...). Réattribuer les moyens de l’état est une chose si difficile...

    Ensuite la retraite : un fonctionnaire c’est une pension à vie, un cout pour l’état qu’il assure de A à Z.

    Il ne faut pas oublier que le salaire des fonctionnaires est possible grâce à l’impôt.

    Dans le principe, la société civile crée la richesse et les fonctionnaires la répartissent...

    Mais bon, le principal problème de la fonction publique, c’est que l’administration française est par essence merdique et que les petits chefs veulent devenir des grands chefs et doivent donc élargir leurs équipes pour ce faire, coûte que coûte...

    Il y a beaucoup à dire sur la notion même de service public, et comment ce service est rendu.

    (en Suède par exemple il y a un service public de l’éducation, mais pas de fonctionnaire, l’état paie l’école aux mômes, où qu’ils aillent, ce qu’on appelle le chèque éducation. Il paraît qu’ils ne s’en sortent pas plus mal...)



  • Mathieu 28 décembre 2010 13:41

    Être de gauche c’est être bon, être de droite, c’est être mauvais.

    Avec une telle définition, comment quelqu’un qui se considère de gauche peut -il concevoir seulement qu’un autre se réclame de droite ? Cela paraît impossible...

    Ceci est d’autant plus amusant que la définition d’« être de droite » c’est « ne pas être de gauche ». il ne faut pas s’étonner si se réclamer de l’un ou de l’autre fasse sourire.

    J’aimerais juste faire remarquer à l’auteur en passant que les politiques de solidarité imposées, organisées par l’état ne renforcent pas les liens sociaux.

    Quand l’état s’occupent de la solidarité, les hommes ne s’en occupent plus.

    Pourquoi aider soi même son prochain si c’est de la responsabilité de l’état, des autres ?

    Comparer ce que donne en moyenne un français à un américain, en temps comme en argent, aux plus démunis est très révélateur.
    Où les politiques « de gauche » renforcent, in fine, l’égoïsme...



  • Mathieu 24 août 2010 09:57
     GJe m’étonne que Morice ne connaisse pas l’histoire des bombardements stratégiques.

     Ils ont été théorisés dans l’entre-deux-guerre par Giulio Douhet entre autres.

    Ce n’était en rien une spécificité américaine, c’était bien au contraire dans« l’air du temps. » Il s’agit d’une des solutions pour dépasser la situation du front statique de la première guerre mondiale, dans l’espoir d’avoir une guerre moins longue et moins meurtrière.

    Comme les usines d’armements, et de manière générale les usines tout court, étaient à cette époque généralement situées au coeur même des villes, bombarder les villes reviendrait donc, de facto, à réduire ou même à supprimer complètement la production d’armements nouveaux. Privée d’obus, de cartouches, de canons, de véhicules, l’armée ennemie serait bientôt rendue incapable de combattre, ce qui l’obligerait à demander la paix, épargnant ainsi de nombreuses vies humaines.

    De plus, le bombardement des villes attenterait gravement au moral des citadins qui, considérant que la Mort ne faisait pas partie de leur contrat de travail - à la différence de celui des militaires - et constatant de visu la destruction de leurs propres foyers, exerceraient une telle influence sur les « décideurs politiques » qu’elle pousserait ces derniers à négocier une paix rapide.





  • Mathieu 11 août 2010 10:17

    Je me trompe ou ceux qui sont le plus contre la déchéance de la nationalité* sont aussi ceux qui refusent le plus le concept même de nationalité ?


    Je trouve ça étrangement contradictoire.
    Biais de perception, peut être.



    *dans les cas évoqués par le gouvernement : c’est à dire en fait instaurer une période d’essai pour les naturalisation.