@rogal Effectivement la relation de parallélisme est la meilleure pour la relation d’équivalence, la classe d’équivalence et finalement le vecteur. L’égalité numérique, parfois est classe d’équivalence, comme avec les fractions. Finalement l’égalité du langage courant relèverait plus de la proposition. Cependant la proposition mathématique est claire comme dans votre exemple, c’est rarement le cas dans les sciences molles. Un monde sémantique sépare les sciences dures, des sciences molles. Les sciences humaines ressemblent à la littérature, leurs sciences relèvent du maquillage. Elles utilisent le vocabulaire de la science, mais ce dernier est toujours métaphorique. Votre intervention très précise sur l’égalité pourrait confirmer mon hypothèse.
@JL
Vu sous ce point de vue, vous avez raison, d’autant plus que beaucoup sont fils ou fille unique.
@L’Astronome
« il faut effectivement toujours maintenir les enfants dans un cadre éducatif juste, mais rigoureux. »
L’enfant a effectivement un sens très prononcé de la justice surtout le concernant très directement, il faut donc que toute action éducative soit juste et proportionnée.
Vous avez raison en insistant sur la rigueur, car il fait preuve très rapidement d’une propension au caprice qui est probablement associée à son goût naturel et prononcé pour le jeu qui est un outil important de son apprentissage, comme nous l’observons en éthologie.
@sophie
L’homme est naturellement bon, c’est la société qui le pervertit…
Changeons la société et sa bonté naturelle et principielle reviendra.
C’est le mythe, par lequel nous ne descendons pas du singe qui sont des prédateurs, mais des anges !
@L’Astronome
Les analogies transculturelles méritent effectivement toute notre attention, elles proviennent souvent d’archétypes humains que l’on retrouve chez tous les hommes.
Elles sont des indices intéressants pour les chercheurs.
@JL C’est sûr qu’il manque lors de l’arrivée des enfants à l’école, un apprentissage spécifique de la maison, surtout que cet apprentissage, en milieu familial, ne peut pas être dispensé par l’école.
@Gilles Mérivac Dans les chansons, il y a souvent une pure sagesse, comme dans les dictons.
@Birdy
Vous semblez plein de certitudes tranchantes et péremptoires…
« On a observé qu’après six mois intervenait une augmentation significative du poids, par rapport aux individus non exposés, uniquement chez les mâles », selon Mme Payrastre.
Au bout d’un an, les mâles nourris aux pesticides avaient pris deux fois plus de poids que ceux nourris au bio.
Autre modification : ces souris mâles ont souffert des signes précurseurs du diabète, une hyperglycémie à jeun, et « leur foie est rempli de gouttelettes lipidiques ».
Chez les femelles, rien de tel. « Cette différence entre les sexes est assez nette. Cela veut peut-être dire que les oestrogènes [hormones sexuelles femelles] ont un effet protecteur contre les effets des pesticides », a avancé la chercheuse.
« Évidemment il est toujours délicat de transposer de l’animal à l’homme. Chez l’homme, des études épidémiologiques montrent que si on privilégie une alimentation bio, on a moins de risques de développer un syndrome métabolique. Ce qui laisse penser que l’exposition prolongée aux pesticides a aussi un effet sur nous », a-t-elle estimé.
L’article Les pesticides à l’origine d’un surpoids chez les souris mâles selon une étude est apparu en premier sur Metro.
@Eric de Trévarez
Vous n’aviez peut-être pas compris ?
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