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Les commentaires de Eric de Trévarez



  • Eric de Trévarez 9 mai 2020 04:07

    @rogal Effectivement la relation de parallélisme est la meilleure pour la relation d’équivalence, la classe d’équivalence et finalement le vecteur. L’égalité numérique, parfois est classe d’équivalence, comme avec les fractions. Finalement l’égalité du langage courant relèverait plus de la proposition. Cependant la proposition mathématique est claire comme dans votre exemple, c’est rarement le cas dans les sciences molles. Un monde sémantique sépare les sciences dures, des sciences molles. Les sciences humaines ressemblent à la littérature, leurs sciences relèvent du maquillage. Elles utilisent le vocabulaire de la science, mais ce dernier est toujours métaphorique. Votre intervention très précise sur l’égalité pourrait confirmer mon hypothèse. 



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 13:26

    @JL
    Vu sous ce point de vue, vous avez raison, d’autant plus que beaucoup sont fils ou fille unique.



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 13:18

    @L’Astronome
    «  il faut effectivement toujours maintenir les enfants dans un cadre éducatif juste, mais rigoureux. »

    L’enfant a effectivement un sens très prononcé de la justice surtout le concernant très directement, il faut donc que toute action éducative soit juste et proportionnée.
    Vous avez raison en insistant sur la rigueur, car il fait preuve très rapidement d’une propension au caprice qui est probablement associée à son goût naturel et prononcé pour le jeu qui est un outil important de son apprentissage, comme nous l’observons en éthologie. 



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 13:02

    @sophie
    L’homme est naturellement bon, c’est la société qui le pervertit…
    Changeons la société et sa bonté naturelle et principielle reviendra.
    C’est le mythe, par lequel nous ne descendons pas du singe qui sont des prédateurs, mais des anges ! 



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 12:55

    @L’Astronome
    Les analogies transculturelles méritent effectivement toute notre attention, elles proviennent souvent d’archétypes humains que l’on retrouve chez tous les hommes.
    Elles sont des indices intéressants pour les chercheurs.



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 12:49

    @JL C’est sûr qu’il manque lors de l’arrivée des enfants à l’école, un apprentissage spécifique de la maison, surtout que cet apprentissage, en milieu familial, ne peut pas être dispensé par l’école. 



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 12:44

    @Gilles Mérivac Dans les chansons, il y a souvent une pure sagesse, comme dans les dictons.



  • Eric de Trévarez 26 mars 2019 12:40

    @Birdy
    Vous semblez plein de certitudes tranchantes et péremptoires…



  • Eric de Trévarez 12 juillet 2018 14:08
    Des chercheurs qui ont exposé sur une longue durée des souris à un « cocktail de pesticides » faiblement dosé ont noté un surpoids chez les mâles, et pas chez les femelles, a annoncé mercredi 11 juillet 2018 l’Inra.

    Différence entre les sexes

    « On a observé qu’après six mois intervenait une augmentation significative du poids, par rapport aux individus non exposés, uniquement chez les mâles », selon Mme Payrastre.

    Au bout d’un an, les mâles nourris aux pesticides avaient pris deux fois plus de poids que ceux nourris au bio.

    Autre modification : ces souris mâles ont souffert des signes précurseurs du diabète, une hyperglycémie à jeun, et « leur foie est rempli de gouttelettes lipidiques ».

    Chez les femelles, rien de tel. « Cette différence entre les sexes est assez nette. Cela veut peut-être dire que les oestrogènes [hormones sexuelles femelles] ont un effet protecteur contre les effets des pesticides », a avancé la chercheuse.

    « Évidemment il est toujours délicat de transposer de l’animal à l’homme. Chez l’homme, des études épidémiologiques montrent que si on privilégie une alimentation bio, on a moins de risques de développer un syndrome métabolique. Ce qui laisse penser que l’exposition prolongée aux pesticides a aussi un effet sur nous », a-t-elle estimé.

    L’article Les pesticides à l’origine d’un surpoids chez les souris mâles selon une étude est apparu en premier sur Metro.




  • Eric de Trévarez 1er juin 2018 13:30
    @Self con troll
    Il est difficile de répondre à votre question, mais personnellement je ne pense pas, que toutes les molécules de synthèse aient pas un pouvoir féminisant. Ceci dit la tendance est là, par la nature biologique même des hydrocarbures, en y incluant tous les plastiques et leurs dérivés chimiques.
    La fragilité masculine aux insecticides et aux pesticides, est aussi avérée, et j’irai plus loin en posant une question précise, à savoir, si la fragilité masculine, lorsque l’on crée de nouvelles molécules, ne serait pas non plus une données particulière et précise, à prendre en considération. La tendance planétaire, au niveau des mâles de toutes les espèces, est très inquiétante. Quant à l’espèce humaine, sans les moyens de fécondations artificielles, elle déjà serait déjà menacée d’extinction, par la baisse vertigineuse de la fertilité masculine. 
    Il y a, c’est sûr, un antagonisme entre toutes ces molécules de confort et notre sécurité biologique. 
    Par compte, je me demande, si la tendance dans la nature même, ne serait pas à la féminisation, et cela, de façon presque imperceptible. Le chromosome Y semble être un résidu... En tout cas culturellement, par delà les apparences, il me semble que c’est toujours sous jacent, et la fébrilité du pouvoir masculin sur les femmes, en est une confirmation même. Mon idée derrière, serait que la part de nécessité de féminisation, serait plus importante que celle du hasard, dans le phénomène, pour des raisons que nous ignorons…
    Le masculin et la virilité ne sont que des symptômes de la testostérone, et c’est pour cela que j’en ai brossé quelques avantages. Une féminisation totale donne des sociétés que nous connaissons, chez les insectes. Le problème devient philosophique. Je ferai une dernière remarque, concernant la dernier quartile des personnes les plus douées, où la gente masculine est surreprésentée. 




  • Eric de Trévarez 30 mai 2018 23:11
    A voir aussi sur AGORAVOX, cet article précédent sur un thème similaire.



  • Eric de Trévarez 2 août 2017 13:28
    @Siddhartha Gautama
    L’étape suivante dans la recherche symbolique est effectivement le problème du bien et du mal...


  • Eric de Trévarez 2 août 2017 13:25
    @Castel
    Et c’est pour cela que tous les scientifiques penchent silencieusement pour le déterminisme,..
    Votre remarque est très pertinente. 


  • Eric de Trévarez 2 août 2017 13:22
    @SUR1NUAGE
    Le caractère universel de la notion de Grand Architecte de l’Univers en fait une pierre angulaire, de toutes les démarches, sous divers noms, Platon parle de Grand Artisan. Ce n’est pas effectivement une spécificité de la Franc Maçonnerie. Cependant l’abandon de ce symbole par le Grand Orient de France, a précédé de quelques années la loi de la laïcité de 1905. Cet abandon est donc politique. 


  • Eric de Trévarez 2 août 2017 13:12
    @Decouz
    Derrière toutes les religions se cache un ésotérisme qui tente d’interpréter à partir des symboles. Effectivement le gros problème de l’univers par rapport à notre mental, c’est son sens. La recherche d’une signification par interprétation des symboles est la seule possibilité que nous avons.
    C’est pourquoi l’analyse de Platon n’est pas inintéressante. le symbole est une trace que laisse un archétype...
    C’est d’ailleurs ce qui se passe dans notre tête, selon Jung. 


  • Eric de Trévarez 2 août 2017 13:01
    @Pascal L
    Oui mais le corolaire de cette position est que le hasard a la part belle, et que le hasard est une position insoutenable, vue la complexité de l’univers.
     Rousseau disait que le hasard est le grand mot des sots.


  • Eric de Trévarez 2 août 2017 12:53
    @Satournenkare

    Le démiurge est la déité qui serait responsable de la création de l’univers physique. Le mot vient du grec δημιουργός, démiourgos, formé de « démos », signifiant « gens du commun » (soit « peuple ») et de « ergos », « travail ». Littéralement, le mot signifie artisan ou fabricant. Au IVe siècle avant notre ère, Platon suppose dans son Timée, que la cause première de l’univers est un grand artisan. C’est un anthropomorphisme dont la racine est symbolique.


  • Eric de Trévarez 14 janvier 2017 03:38
    @Samson
    Votre remarque est une très bonne exégèse du verset 1 du Prologue de Jean. Elle est aussi la trame de mon analyse...

    « Du réel, que pourrions-nous connaître, sinon par sa médiation ? Toute vérité, de la plus fantaisiste à la plus scientifique, est par essence « romanesque » : comment pourrait-elle s’élaborer, se raconter et se transmettre, sinon par les mots qui la déterminent et la logique qui les articule ??? »


  • Eric de Trévarez 6 janvier 2017 22:57

    @Eric de Trévarez
    Vous n’aviez peut-être pas compris ?



  • Eric de Trévarez 6 janvier 2017 22:55
    @soi même
    C’est parce que l’être est un néant, qu’il y a des légendes pour donner du sens... Les mages venus d’Orient se confirment dans leur rôle avec détails, au fur et à mesure que les siècles se sont écoulés. C’est une conséquence inattendue d’une approche Sartrienne...