C’est quand t’es assis au milieu d’une cathédrale que tu paumes que la laïcité est en danger, même que tu la vois traverser le grand autel avec les chiens derrière et la troupe du prince Charles qui faits ses chasses à course au Félix Potin du coin.
On dira c’qu’on veut, la religion fait des tableaux très colorés avec plein de cerfs crucifiés noblement dans les sous-bois de saint Benoît.
Faudra quand même leur dire à la Taviolle et au Nanard Dugué que c’est pas parce qu’ils n’ont pas d’autre endroit pour verser leur pierre à l’édification des générations d’après Tchernobyl en Mongolie, qu’ils doivent étouffer le chrétien qui lit des journaux inconnus du net pendant la messe à Benoît du seizième.
C’est que tuer l’temps ça prend des plombes à s’tourner les pouces du barillet et s’goinfrer des pâtes barilla.
N’oublions pas que ce journal est dirigé par l’homme qui a vu un million de lecteurs... qui ont bouché le port de Marseille.
J’comprends mieux pourquoi Bayrou evite poliment ses admirateurs scribouillards qui osent le string à bretelles avec les poils qui dépassent du pantalon sur les chevilles.
En tous cas, cet article sent breton la grande pompe dans le cirage iodé pour godasses bien moulées.
Y en a qui écrivent pour ne rien dire, des autres qui écrivent pour ne pas être lus, et encore d’autres qui écrivent comme le hamster inconscient galope dans sa roue, et d’autres qui font les quatre. Mais on les connaîtra jamais, manquerait plus qu’ils soient connus pour nous faire chier en plus à la ville.
J’suis sûr qu’c’est les mêmes qui écrivent la nuit les factures postées aux pauvres qui savent pas lire.
Pendant ses premières vacances aux States, un gus a dit à Momo comment on dit "Je t’aime " en amerloque. Après il s’est ramassé des fabriques de râteaux sur toute la 5ème avenue des gonzesses quand il leur disait "I wanna have a coca-cola !" sur un ton salasse de Roméo de la lose.
Il a pas encore fini de payer les intérêts de la caution pour libérer le pervers. C’est pour ça que le Momo bosse au black pour les journaux laxatifs.
Momo a été conçu pendant un épisode lessivier des Shadoks. Tu sais celui que Catherine Langeais a coupé avec un interlude du petit train des rébus qui disait : " On-la-pelle-rat-mo-mo-oua-va-tard ? "
Porter plainte contre Avatar c’est comme remuer dans la réprobation lascive des magistrats qui reniflent le turban jusqu’à l’autre rive de la Seine. C’est dire si le pont en jette des Avatars par dessus les bords.
Au tribunal des tartiflettes du lardon, on l’appelle le condamné d’avance qui joue la montre quand le train de la guillotine entre en gare Saint-Lazare. Poussez-pas...
Sur le marché aux esclaves de Tombouctou à un €, y a la photo d’Avatar sur tous les modes d’emploi des boîtes à suppo. Pour montrer par l’image et par l’exemple qu’il faut bien serrer les fesses après usage et intromission.
Avatar ? c’est pas le gonze qui n’aime pas les avatars et qui les craint sous son pieu, quand le méchant qui rampe habite dans le noir ? Avatar, on l’a amputé des miroirs après qu’il a vu "Elephant Man" de Mickey Waldteufel et qu’il a crié "Papa ! " pendant la projection au Grand Rex.
Quand le génie Momo à l’étouffé n’a que le museau qui sort encore des sables mouvants, c’est sûr que ça lui fouette quelques souvenirs qui remontent à la surface bulbeuse.
L’autre jour en Mongolie ensablée, on a vu l’Momo qui piolait le Mont Google par la face nord toute en latex et savon. Et bien, il a quand même proposé son binz du scribe momofié à la modération du journal qui sulfate gratis même le dimanche. C’est because le trop plein de main d’oeuvre pour déplacer les cartons d’invitation à l’ANPE des barbouzes un peu assedic et tortionnaires sur les bords tu vois.
C’est à ses articles trop pleins de rien que tu reconnais le chômiste frénétique et content de la société de l’assistanat et du sanatorium des burnes qui toussent.
Quand j’cause de l’oisif Morice j’veux bien préciser qu’c’est un contemplatif de ses tatanes empruntées à la veuve des stylo Couder ou Singer j’sais plus. C’est un ex danseur pour dames blindées du flouze, qui s’est reconverti dans le golf des trous mignons, y joue même avec le Pape sur le green des mecs vachement compromis.
Y s’est aussi reconverti dans l’islam pour intégrer le Paddock Travelling Group de Dames. Un business qui oblige au turf de nuit pour leur payer des breloques et des bonbons. Mais aucune en a voulu du Morice, la barbe pouilleuse et habitée ça renifle plus la rigole du métro qui schlingue l’eau de vase, que la glisse sur le trottoir en marbre du 8ème en panama.
Faut pas exagérer quand même ! y a toute la planète des singes qui sait même pas que le Morice existe, alors ses bafouilles de l’extase sur l’internet des guenons, elles gravitent dans le vide ordure du gratte ciel en rideau de ses balerines.
C’est un assidu du turbin, mais il fait aussi les enterrements pour draguer les veuves, rapport à leur héritage qui est une poignée de main à l’oisif. On dit merci la veuve poignet... Morice.
Y a pas qu’la littérature dans la vie y a aussi la métallurgie de ceux qui bossent et qui savent visser dur.
L’oeuvre de Momo sur Agoromo c’est comme l’alcool des drogués de la colle, y peut plus s’arrêter et ça devient flou dans le tube des analyses d’urines prises au cul du camion.
Bon, il était d’astreinte dans les cuisines, à la plonge quoi. Pour sauver l’humanité des dangers planqués dans le syphon. La nuit il écrivait des machins pour la presse à sensas mais tout c’qu’il y a de plus gratis, un peu comme la fête à neuneu mais le 31 juillet à Tourcoing la zone quoi autour la baraque à frites de nyouyork.
ça m’rappelle l’attentat de Tchernakov et la radioactivité galopante du jukebox. Encore un coup de Momo le résistant de la dernière peur.
Momo c’est un homme un vrai qu’a vu la femme. C’est simple quand il en voit une sur le trottoir, il se souvient toujours de sa première fois quand il a ouvert le dico médical à la page qui manque arrachée par papa la pogne à Mandrak, et qu’il a arrêté là ses recherches de la planète môme et pépés girondes. Depuis il a tourné à l’aigre qui appelle le cornichon comme un effet du manque et du contrôle parental. Le contrôlé c’est lui. Il en a la tronche et la vocation intérieure.
Il faut dire qu’il a été violé dans l’enfance du dard, par un sextoy tout monté pendant ses loisirs en allumettes collées, selon la version officielle de la clinique Pastaga roulez-au-pas.
Dans le couloir des poubs post-opératoires avec sélection écolo des déchets, ses parents ont vachement trinqué et soufflé, y pensaient qu’il devenait pyromane comme son cousin l’Pyralène ex pompier.
Et dans le sud de Tourcoing ça pardonne pas le feu d’brousailles entre les fesses, ça attise la vengeance des cloportes fumants du silencieux.
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