La question est de savoir si nous raisonnons en logique de paix ou en logique de guerre. Ici, c’est la paix ; là-bas c’est encore la guerre. Ces ressortissants français ont été des combattants (notamment les hommes) ou des complices de combattants (les femmes, pour la plupart). Ils ont été pris armes à la main par des combattants vainqueurs et doivent être jugés selon les lois de leur pays, même imparfaites. Je n’aime pas cette solution, mais j’aime encore moins que des gens qui ont craché sur notre système viennent maintenant larmoyer sur leur éventuel rapatriement pour y être jugés selon des critères d’une justice civile.
Le livre électronique peut se stocker sur votre ordinateur une fois acheté et téléchargé et donc être mis en mémoire sur une clé USB ou sur un CD ou sur I-Cloud, il y a peu de chances qu’il disparaisse. Il est pratique en voyage ou quand réside à l’étranger. Il est facile de le télécharger de n’importe quel endroit de la planète. On peut stocker près de 2000 livres (plus ou moins) ce qui est commode pour n’importe quel étudiant devant lire et conserver des bréviaires dits de référence. Il est également moins cher.
Curieuse comparaison. Havel était un politicien et un intellectuel. En tant que politicien, il était comme tous les politiciens, à faire le grand écart entre les promesses et la réalité, le pragmatisme et des coups d’oeil sur son électorat. Mais il n’est responsable de la mort directe ou indirecte de personne, que je sache.
J’adore l’image satanique du 666 plantée sur mon front. C’est exactement mon état d’esprit en ce moment. Bonne journée aussi à vous.
Mince,vous avez raison. Je l’avais oublié, lui...mais il s’est exilé en Suède. Je ne me souviens plus s’il est revenu dans sa rue Bernadotte...
Je ne suis pas un fan de Marie Drucker, je la trouve distante, froide et lisse, en cela je suis d’accord avec vous. En revanche, le JT est une machine complexe et hyper formatée qui laisse peu de place à la fantaisie. Comme ses collègues, elle n’est pas rédactrice en chef du JT, et elle doit composer avec les décisions éditoriales et la hiérarchie de l’information prises en salle de rédaction entre tous les chefs de rubrique, y compris elle-même. Ces décisions dépendent des images prises ou reçues, le minutage ultra-serré, les aléas techniques etc...
Bel article, très complet. J’attends la deuxième partie avec impatience.
C’est vrai.
Les Aborigènes, en fait, ont peu de similitudes avec qui que ce soit. Sauf peut-être avec les Papous de Nouvelle-Guinée. Il y a effectivement pas mal de richesses dans le sous-sol, mais j’ignore totalement si cela a une influence ou pas sur ces croyances.
C’est vrai que j’aurais pu élaborer quelque peu, mais honnêtement je manquais d’éléments et surtout ne disposais pas d’informations plus détaillées. Les témoignages des habitants sont quasiment impossibles à recueillir étant donné que toute transmission d’informations à des non tiers leur est interdite. Je ne savais pas non plus si cela allait intéresser un certain public.
N’ayez crainte, je ne suis jamais trop loin.
Bonjour non666.
Merci pour cette (mauvaise) nouvelle. Bali est entre chemins : d’un côté, le court terme avec un développement touristique qui frise un peu le délire ; de l’autre, des habitants qui se sentent concernés par les atteintes à l’habitat naturel. En dix ans, l’île a perdu près de 25% de sa surface agricole (rizières notamment) au profit de complexes touristiques mais aussi par l’augmentation de villas achetés par des étrangers et des Indonésiens fortunés.
Oui, l’arsenic est un problème qui a été décelé en 1998 au Vietnam.
Oui, c’est une bonne idée. L’Indonésie, comme beaucoup d’autres pays, a du chemin à faire pour réhabiliter ses coraux. C’est une question de survie pour les pêcheurs et l’industrie touristique.
Qui sait ? Mais cela pourrait aussi avoir l’effet inverse, à savoir les faire proliférer et rendre ces algues encore plus dynamiques.
Je n’y avais pas pensé. Pourvu qu’ils y aient pensé, eux.
Par définition, le continent australien est régulièrement en proie à des excès climatiques de grande ampleur, à l’image de cet immense territoire. Sécheresse, feux de forêts ou de brousse, cyclones fréquents au nord. Là où l’article a raison, au-delà des considérations climatologiques, c’est cet éternel rêve australien de posséder sa maison, si possible près de l’océan. L’intérieur est une terre où il est dur d’habiter. En conséquence, cette partie du territoire du Queensland, autour de la ville de Brisbane, a subi durant ces dernières années une frénésie de constructions de toutes sortes où le béton a supplanté le bon sens. A l’heure des bilans, quand les assureurs vont se tourner vers les responsables, nul doute que cet élément sera fortement mis en accusation.
C’est possible et c’est une possibilité que les deux scientifiques (linguistes) de l’université de Rennes ont évoqué, mais faute d’éléments (à cette époque), ils ont laissé tomber.
Non, cela ne me gêne pas. Merci de faire le lien (d’ici et/ ou sur mon blog). A très bientôt. D
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