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Les commentaires de Damien Personnaz



  • Damien Personnaz 8 février 2018 10:47

    La question est de savoir si nous raisonnons en logique de paix ou en logique de guerre. Ici, c’est la paix ; là-bas c’est encore la guerre. Ces ressortissants français ont été des combattants (notamment les hommes) ou des complices de combattants (les femmes, pour la plupart). Ils ont été pris armes à la main par des combattants vainqueurs et doivent être jugés selon les lois de leur pays, même imparfaites. Je n’aime pas cette solution, mais j’aime encore moins que des gens qui ont craché sur notre système viennent maintenant larmoyer sur leur éventuel rapatriement pour y être jugés selon des critères d’une justice civile. 

    Reste le sort des enfants...


  • Damien Personnaz 8 octobre 2012 10:58

    Le livre électronique peut se stocker sur votre ordinateur une fois acheté et téléchargé et donc être mis en mémoire sur une clé USB ou sur un CD ou sur I-Cloud, il y a peu de chances qu’il disparaisse. Il est pratique en voyage ou quand réside à l’étranger. Il est facile de le télécharger de n’importe quel endroit de la planète. On peut stocker près de 2000 livres (plus ou moins) ce qui est commode pour n’importe quel étudiant devant lire et conserver des bréviaires dits de référence. Il est également moins cher. 

    En revanche, il n’a ni le goût, ni le charme de livre papier et on ne peut pas le prêter. En ce sens, le livre électronique est complémentaire au livre papier, et les opposer paraît être un combat d’arrière-garde. 
    Par ailleurs, les bibliothèques municipales de Genève (où je réside) vont bientôt mettre à disposition et gratuitement des livres électroniques. 


  • Damien Personnaz 21 décembre 2011 11:17

    Curieuse comparaison. Havel était un politicien et un intellectuel. En tant que politicien, il était comme tous les politiciens, à faire le grand écart entre les promesses et la réalité, le pragmatisme et des coups d’oeil sur son électorat. Mais il n’est responsable de la mort directe ou indirecte de personne, que je sache. 

    L’autre, en revanche, a perpétué un régime boîte de conserve dont le système tire les ficelles. Il a tenu la dragée haute aux Etats-Unis ; super, et alors ? Doit-on devenir cinglé pour tenir la dragée haute aux Etats-Unis ? Doit-on ouvrir des camps de rééducation, et affamer (en 1999 et 2000) une bonne partie de la population faute de moyens, laquelle ne cadre pas avec les diktats ? L’arme nucléaire, la belle affaire, surtout avec une armée aussi pléthorique que mal équipée. 
    Non, franchement, je n’arrive pas à vous suivre sur ce terrain. 


  • Damien Personnaz 14 décembre 2011 14:16

    J’adore l’image satanique du 666 plantée sur mon front. C’est exactement mon état d’esprit en ce moment. Bonne journée aussi à vous. 



  • Damien Personnaz 14 décembre 2011 14:15

    Mince,vous avez raison. Je l’avais oublié, lui...mais il s’est exilé en Suède. Je ne me souviens plus s’il est revenu dans sa rue Bernadotte...



  • Damien Personnaz 14 décembre 2011 08:38

    Je ne suis pas un fan de Marie Drucker, je la trouve distante, froide et lisse, en cela je suis d’accord avec vous. En revanche, le JT est une machine complexe et hyper formatée qui laisse peu de place à la fantaisie. Comme ses collègues, elle n’est pas rédactrice en chef du JT, et elle doit composer avec les décisions éditoriales et la hiérarchie de l’information prises en salle de rédaction entre tous les chefs de rubrique, y compris elle-même. Ces décisions dépendent des images prises ou reçues, le minutage ultra-serré, les aléas techniques etc...

    A mon sens, le JT est une machine dont les présentateurs sont devenus des robots, et cela se sent. Ce n’est pas en 30 minutes que l’on peut faire le tour de la planète ou même le tour de France. Pour en savoir plus, il faut aller plus loin que ce menu fourre-tout qui donne juste, tout juste, un léger avant-goût et par définition très, mais alors très frustrant. 


  • Damien Personnaz 30 novembre 2011 16:12

    Bel article, très complet. J’attends la deuxième partie avec impatience. 

    Je faisais partie en 2005 de ces quelques chanceux privilégiés et fortunés dont vous faites mention. Privilégiés, oui, parce que les jours de traversée étaient également compensées par le fait de pouvoir fouler enfin une terre mythique pour l’adorateur des îles isolées que je suis. Fortunés, pas forcément, si l’on compare avec deux semaines de ski à Courchevel. 
    Les scientifiques qui faisaient partie de l’expédition étaient tous des passionnés, même si chacun prêchait pour sa paroisse et que la cohabitation avec les « pionniers », à savoir ceux qui ont permis la vie sur cet atoll ingrat, était parfois difficile. J.L Etienne s’était fait bâtir une petite maison assez coquette au bord du lagon dans laquelle vivait sa femme et son fils de cinq ans, à l’époque. 
    Ce qui était magique, ce fut de pouvoir quasiment caresser les fous masqués, de taquiner de la méduse peu farouche dans le lagon, de frissonner devant l’omniprésence des crabes. 
    Quelques kilos de cocaïne dénichée sur l’atoll montrait également que la France n’y met jamais les pieds, sauf une fois par an pour nettoyer le monument tricolore tâché de guano. L’atoll sert d’escale aux trafiquants de tout bord. Par ailleurs, la pêche illégale fait foison. Alors de deux choses l’une : soit la France revendique l’atoll et elle y met une présence régulière mais coûteuse et non sans risque, soit elle disparaît des lieux.
    A part contrôler une zone maritime non négligeable éventuellement riche en nodules, la France n’a aucun intérêt à conserver cet atoll en voie d’implosion naturelle. Une idée serait d’en faire un territoire universel, un peu à l’image de l’Antarctique, où les scientifiques de tous bords, par l’entremise d’une société commune, pourraient étudier la faune et la flore uniques, en danger de disparition. 


  • Damien Personnaz 18 juillet 2011 23:00

    C’est vrai. 


    (...)

    Ceci dit, un Martini on the Rocks, je ne dis pas non. 



  • Damien Personnaz 5 juillet 2011 11:52

    Les Aborigènes, en fait, ont peu de similitudes avec qui que ce soit. Sauf peut-être avec les Papous de Nouvelle-Guinée. Il y a effectivement pas mal de richesses dans le sous-sol, mais j’ignore totalement si cela a une influence ou pas sur ces croyances. 



  • Damien Personnaz 5 juillet 2011 08:11

    C’est vrai que j’aurais pu élaborer quelque peu, mais honnêtement je manquais d’éléments et surtout ne disposais pas d’informations plus détaillées. Les témoignages des habitants sont quasiment impossibles à recueillir étant donné que toute transmission d’informations à des non tiers leur est interdite. Je ne savais pas non plus si cela allait intéresser un certain public. 


    Je ferais mieux la prochaine fois. 


  • Damien Personnaz 5 juillet 2011 08:08

    N’ayez crainte, je ne suis jamais trop loin. 



  • Damien Personnaz 26 février 2011 08:51

    Bonjour non666. 


    Il est évident que ce genre d’Etats ne sont pas viables et que la plupart d’entre eux constituent une sorte de pied de nez à leurs propres Etats, à la légitimité reconnue, dirigés par des originaux un peu trop imbus de leur personne. En ce qui concerne la Principauté de Hutt River, il est toutefois intéressant que cet « Etat » et donc ses habitants (au nombre de 40) ne paient pas d’impôts au Gouvernement Australien, généralement zélé sur la question. 

    En fait, depuis les années 70, le nombre de ces micro-nations auto-proclamées a augmenté. On en compte désormais 51. 


  • Damien Personnaz 20 janvier 2011 06:07

    Merci pour cette (mauvaise) nouvelle. Bali est entre chemins : d’un côté, le court terme avec un développement touristique qui frise un peu le délire ; de l’autre, des habitants qui se sentent concernés par les atteintes à l’habitat naturel. En dix ans, l’île a perdu près de 25% de sa surface agricole (rizières notamment) au profit de complexes touristiques mais aussi par l’augmentation de villas achetés par des étrangers et des Indonésiens fortunés. 



  • Damien Personnaz 20 janvier 2011 06:02

    Oui, l’arsenic est un problème qui a été décelé en 1998 au Vietnam. 


    Il semblerait que l’exemple évoqué dans l’article soit mis en oeuvre dans d’autres pays, notamment aux Maldives, en Australie, et dans certains pays insulaires de l’océan Pacifique. 


  • Damien Personnaz 19 janvier 2011 09:53

    Oui, c’est une bonne idée. L’Indonésie, comme beaucoup d’autres pays, a du chemin à faire pour réhabiliter ses coraux. C’est une question de survie pour les pêcheurs et l’industrie touristique.



  • Damien Personnaz 19 janvier 2011 09:52

    Qui sait ? Mais cela pourrait aussi avoir l’effet inverse, à savoir les faire proliférer et rendre ces algues encore plus dynamiques.



  • Damien Personnaz 19 janvier 2011 09:50

    Je n’y avais pas pensé. Pourvu qu’ils y aient pensé, eux.



  • Damien Personnaz 16 janvier 2011 11:37

    Par définition, le continent australien est régulièrement en proie à des excès climatiques de grande ampleur, à l’image de cet immense territoire. Sécheresse, feux de forêts ou de brousse, cyclones fréquents au nord. Là où l’article a raison, au-delà des considérations climatologiques, c’est cet éternel rêve australien de posséder sa maison, si possible près de l’océan. L’intérieur est une terre où il est dur d’habiter. En conséquence, cette partie du territoire du Queensland, autour de la ville de Brisbane, a subi durant ces dernières années une frénésie de constructions de toutes sortes où le béton a supplanté le bon sens. A l’heure des bilans, quand les assureurs vont se tourner vers les responsables, nul doute que cet élément sera fortement mis en accusation.



  • Damien Personnaz 10 août 2010 11:38

    C’est possible et c’est une possibilité que les deux scientifiques (linguistes) de l’université de Rennes ont évoqué, mais faute d’éléments (à cette époque), ils ont laissé tomber.



  • Damien Personnaz 9 août 2010 19:44

    Non, cela ne me gêne pas. Merci de faire le lien (d’ici et/ ou sur mon blog). A très bientôt. D