Oui, le Père Noël va bien. Et Marie est toujours vierge (même après le passage de Jésus). Quant à Jésus, il est monté au ciel (il y a eu des témoins, donc c’est prouvé scientifiquement).
Bourse : les actions Pampers à la baisse...
Si l’on croit à la virginité de Marie et la résurrection du Christ, alors on peut aussi croire au Monsieur qui ne fait ni caca ni pipi.
Le rôle attribué dans cet article à Nicolas Sarkozy (celui de faire rêver le bon peuple) a déjà été interprété avec succès, au cours de l’Histoire, par nombre de cabotins d’une autre envergure que l’actuel Président de la République (Adolf lässt grüssen).
Je vous relis, cher Paulu :
• « revendiquer une place à part, (...) être le seul à avoir tout compris » ;
• « Rêver d’être nous aussi à la hauteur du Personnage qui nous incarne » ;
• « Des rêves éveillés de grandeur pour rendre hommage à une telle magnificence, une telle prescience de l’événement, que dans notre médiocrité (...) ».
Je pense en particulier à cet autre
— illusionniste de génie,
— marionnettiste virtuose,
— marchand de rêves pour frustrés en tous genres,
— imposteur bien intentionné et surtout
— grand psychopathe devant l’Eternel
qui défie les lois de la pesanteur depuis bientôt deux mille ans et que les statues à son effigie représentent le plus souvent les bras en croix...
Rêver à une vie meilleure, à une autre vie, au paradis, à la vie éternelle - c’est humain. Mais on n’est pas obligé de croire n’importe quoi. Un tout petit peu d’esprit critique, tout de même !
Si le rêve de la statue de notre grand homme sous le bras devait ne pas se réaliser, je propose des petits crucifix à l’effigie de Nicoléon, que tout un chacun pourrait épingler sur son poitrail. Avec, en bonne place, les lettres NSRF (Nicolas Sarkozy, roi des Français). Il ne reste qu’à mettre au concours le prototype de la statuette et à fixer le prix de vente (avec, bien entendu, des rabais pour les grosses quantités). Lorsque le produit arrivera sur le marché, l’homme de la rue aura la possibilité d’exprimer son ras-le-bol de manière simple et reconnaissable. On pourra ressortir les petits crucifix à chaque nouveau mensonge du Président pour bien montrer qu’on n’est pas dupe. De plus, ceux-ci pourront servir lors de la campagne de 2012 si le petit homme a l’audace de se représenter.
Tous droits réservés, bien entendu.
Woland, pour vous servir.
A propos de Woland : www.masterandmargarita.eu/fr/03karakters/woland.html
Au lieu de « la parte qui précède », bien lire « la partie qui précède » (et non pas « la partouze qui précède »).
En fait, la seule chose qui intéresse vraiment le Ministre de la Cul•ture (le petit rond noir inséré au milieu du mot représente le trou de la parte qui précède), ce sont les affaires de lèche-culs. La pauvre Marie NDiaye est donc bien mal barrée...
Frédéric Mitterrand ne prend position que dans les affaires de cul. En l’espèce, s’il s’abstient, c’est probablement qu’il tient les protagonistes pour des faux-culs...
Le rôle dévolu à Pharaon dans l’Exode n’est pas sans analogie avec celui endossé, douze ou treize siècles plus tard, par Judas l’Iscariote, l’apôtre qui livra Jésus à ses ennemis pour trente pièces d’argent (cf. Matthieu 26:15, 27:3 et 27:9). “En vérité, en vérité, je vous le déclare, l’un de vous me trahira”, avait annoncé Jésus à ses disciples pendant la Cène (Jean 13:21 ; dans le même sens : Matthieu 26:21 et Marc 14:18). “Judas (...) prit alors la parole et demanda : <<Maître, est-ce moi ?>>. Jésus lui répondit : <<Tu l’as dit >>” (Matthieu 26:25). L’Évangile johannique donne une version quelque peu différente et plus “touchante” des faits : Jésus ayant révélé aux Douze que l’un d’entre eux le trahirait, ce n’est pas Judas qui demanda : “Seigneur, lequel est-ce ?” (Jean 13:25) mais “celui que Jésus aimait” (Jean 13:23, confirmé par Jean 21:20) et “qui était couché sur le sein de Jésus” (ibid. ; à propos de cette position inattendue, il y a lieu de préciser que – contrairement à ce que montrent la plupart des oeuvres d’art représentant la Cène – les convives ne mangeaient pas assis à une table mais, comme le voulait le rituel, allongés sur des banquettes). Or donc, l’élu de son coeur “s’étant penché sur la poitrine de Jésus” (Jean 13:25) pour poser la question fatidique, “Jésus répondit : <<C’est celui à qui je donnerai le morceau que je vais tremper>>. Puis, ayant trempé un morceau, il le prit et le donna à Judas Iscariote, fils de Simon. Aussitôt que Judas l’eut pris, Satan entra en lui” (Jean 13:26-27 ; Jean 13:30 précise : “Dès qu’il eut pris le morceau de pain, Judas sortit. Il faisait nuit”). À partir du moment où, parce que Dieu en avait ainsi décidé, “Satan entra dans Judas” (Luc 22:3), l’Iscariote cessa d’être un homme libre, condamné qu’il était à jouer le rôle de traître que le plan élaboré en haut lieu lui avait attribué. Comme il est écrit dans Actes 1:16, “il fallait que s’accomplît ce que le Saint Esprit, dans l’Écriture, a annoncé d’avance, par la bouche de David, au sujet de Judas, qui a été le guide de ceux qui ont saisi Jésus”. Le malheureux Judas fut si affecté par son épouvantable forfait qu’aussitôt sa destinée accomplie, “il alla se pendre” (Matthieu 27:5). L’auteur céleste de ce méprisable scénario porte l’entière responsabilité de la trahison et du suicide de Judas, tant il est vrai que celui-ci, à l’image de Pharaon et de Job, n’a été qu’un instrument entre ses mains toutes-puissantes. Quant à Jésus, il n’a fait que répéter les paroles que son configurateur de Père lui soufflait à l’oreille et agir en conformité avec elles.
On a le droit de contester tout ce qui est mensonger. Or la Bible - de la virginité de Marie à la résurrection de Jésus, en passant par le Jugement dernier - n’est qu’un tissu de mensonges. Si le Dieu révélé des trois grandes religions monothéistes existait, la priorité des priorités serait de le mettre hors d’état de nuire en lui tordant le cou.
Le livre de l’Exode offre l’exemple révélateur d’un roi que la volonté divine condamne à se montrer impitoyable et à faire le mal. Un exemple qui illustre bien le fonctionnement du Dieu toraïque. On sait qu’à l’époque de Moïse, vers 1250 av. J.-C., le Pharaon se révéla extrêmement dur avec les Israélites (cf. Exode 5:8-9 : “Ce sont des paresseux. (...) Qu’on accable ces gens-là de travail ; qu’ils en soient surchargés, et qu’on ne tienne plus compte de leurs mensonges”). Pourquoi cette dureté ? Parce que, de l’aveu répété de l’auteur du récit, “l’Éternel endurcit le coeur du Pharaon” (Exode 9:12, 10:20, 10:27, 11:10 et 14:8 29.1 ; dans le même sens : Exode 4:21, 7:3, 10:1, 14:4 et 14:17, ainsi que Psaume 105:25 29.2), l’empêchant ainsi de prendre des décisions raisonnables. Pourquoi cet endurcissement du coeur du Pharaon ? Parce que Dieu voulait démontrer sa “grande puissance” (Exode 14:31 ; voir aussi Exode 15:1 et 15:21) et qu’un massacre de grande envergure lui parut le moyen approprié de se faire respecter de tous (Exode 15:4 : “Il a précipité dans la mer les chars du Pharaon et son armée, et l’élite de ses combattants a été engloutie” ; Exode 14:30 : “Et les Israélites virent les cadavres des Égyptiens sur le rivage de la mer” ; Exode 14:31 : “Le peuple craignit l’Éternel” ; Exode 15:14 : “Les peuples tremblent ; la terreur saisit les Philistins ; les princes d’Edom sont remplis d’épouvante ; la crainte s’empare des vaillants guerriers de Moab ; tous les habitants de Canaan sont consternés ; la frayeur et l’angoisse pèsent sur eux”). Ainsi, Dieu suscita chez le Pharaon un comportement hostile aux Israélites pour mieux pouvoir ensuite laisser éclater sa colère et se déchaîner contre les Égyptiens (cf. Exode 15:7) en les exterminant (cf. Exode 14:28 : “Il n’en resta pas un seul”). Dans cette histoire, qui est à l’origine du mal : le roi d’Égypte ou le Dieu d’Israël ? “C’est Lui [le Tout-Puissant] qui fait la plaie et qui la panse”, constatait déjà Éliphaz (Job 5:18).
Peut-être que les terroristes, pour être bien sûrs que les tours s’effondrent, avaient embarqué des explosifs dans les avions ? Ou alors que les comploteurs avaient bourré les avions d’explosifs à l’insu des terroristes ?
« la plus grande escroquerie de l’humanité »
Cabotin mégalo-mythomane, menteur pathologique : il arrive un moment où trop, c’est trop. Qu’on mette en route la procédure de destitution !
Pour reprendre la citation du Général de Gaulle la France c’est un peuple de race blanche et de culture chrétiennne, le jour ou ceci ne sera plus la régle alors la France n’existera plus
De toute façon, on n’empêchera pas le brassage des populations de se poursuivre à l’échelle planétaire dans les décennies à venir. La notion d’identité nationale va se réduire comme une peau de chagrin. Et rien ne sert d’avoir des regrets.
Alors ce serait plutôt : La France est algérienne....
Je voudrais également citer une autre phrase du général de Gaulle :
Sous le IIIe Reich, il y avait des croix gammées dans les écoles et autres lieux publics. Elles ont disparu. Tant mieux.
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