oui, mais cela n’est qu’un aspect du bouquin, je le devine largement, il n’y a pas de certitude pour autant, car preuve n’a pas été faite. et je peux vous retourner la même chose quand vous vous attaque au nationalisme, terme complétement galvauder et dénaturer par l’histoire et les passions. vous vous focalisez sur le FN (attention je ne suis pas un fanatique du FN) comme étant la pire menace alors que les liberté politique ont subit une ablation radicale par ceux qui prétendent nous gouverner.
questionner la loyauté de nos dirigeant, il y a maintenant 2 drapeaux, s’il fallait qu’il fasse un choix il n’est pas dit qu’ils nous choisisses. en fait, non il ont déjà choisis sinon il n’y aurait pas deux drapeaux.
tant que ne vous comprendrais pas que qu’il n’y a pas de démocratie en dehors de la nation, c’est a dire la souveraineté du peuple, vous vous ferez les instruments de cette même menace ; de la même manière que vous prétendez que le FN est une menace.
je ne sais pas si vous vous rendez compte que le parlement n’a plus comme pouvoir réel que de rompre l’Union. tout le reste n’est que théâtre
Hitler n’a pas conquit l’europe au non de l’Allemagne, il l’a conquis au nom du cartel bancaire, chimique et pharmaceutique européen, et, il l’a conquis au nom de l’unité de europe elle-même. déjà a l’époque, le nazisme n’avait rien de national, il était transeuropéen (allant même jusque au US), c’est ce que montre les faits. le totalitarisme n’est pas pas national, sa prétention va toujours audelà.
tant que le FN reste un parti nationaliste (c’est hélas le seul) stricte census, c’est dire qu’il ne représente pas de menace, cela peut même être un instrument de défense. S’il acquière une dimension « ethnosocialiste », il se rallie a l’extrème droite européenne, et là, cela devient très dangereux car son niveau d’action dépasse le stade du contrôle étatique.
l’ironie sera alors, si je puis dire, c’est qu’ a force de lutter contre les idées nationalistes faussement comprise par vous, nous retrouvions au même stade totalitaire que sous les années 30-40.
Sans etat-nation souverain, il n’y a pas de droit d’asile, il n’y a pas d’oppositions, il n’y a pas d’échappatoire, il n’y a que la soumission.
et c’est le jeux du capital international, mais il n’est pas non plus international par nature, il ne l’ai que parce qu’on veut bien qu’il le soit. pour autant, a l’international, le capital est a l’aise, c’est un monde restreint et extrément mobile. ce qui n’est pas le cas du travailleur qui lui est sédentaire. l’erreur fondamental du socialisme étant bien sur la prétention a vouloir jouer sur le terrain du capital, dont il détermine les règles,... l’europe social est voué a l’echec dès le départ.
500 million d’homme ne peuvent s’unir contre l’union de quelque millier (la légendaire union international des travailleur). pour vaincre, il ne faut pas prétendre se hisser a hauteur du capital, c’est le capital que l’on doit faire venir a notre porté, partout dans tous les pays, c’est à dire sous l’autorité des Etats-nations.