Bravo le mal nommé devrait s’appeler ларбин, ce qui veut dire larbin en russe. Larbin de Putin de sa race.
@envoiededisparaition
Merci de faire avancer le schmilbic !
@SilentArrow
Bonnes années.
@alinea
Je n’ai pas eu cette chance, mais j’ai été espanté par un mano à mano entre Ordonez et son bauf, Dominguin. Du grand art, n’en déplaise aux...
Et Chamaco ! Et les Miura !
L’Humain
- moi, toi, lui, nous – est vraiment un drôle d’animal. Une sale
bête…
Il fait chaud. Très chaud. A las cinco de la tarde…
Les vieux gradins de pierres blondes des arènes de Nîmes sont garnis jusqu’au sommet d’une foule aux couleurs excessives. Sous un soleil excessif. Pour trembler, hurler, s’enthousiasmer, applaudir, haïr de manière excessive devant un spectacle excessif.
Un rituel ancestral codifiant le combat de l’homme et du dieu Mithra.
La corrida.
Transcendée ou honnie.
A las cinco de la tarde…
Symboliquement, c’est le combat de l’homme et de la femme. Combat toujours perdu par l’homme.
L’homme, ici, c’est le toro, sa puissance brute, son courage insensé, ses charges désordonnée. La beauté de la force.
La femme, c’est le torero. Léger, aérien, si féminin dans son allure et ses attitudes. Opposant à la force l’intelligence, l’esquive, le leurre. La beauté.
Au centre du cirque, sous dix mille paires d’yeux, il y a un homme.
Une « danseuse » dit Cabrel qui n’a manifestement jamais vu l’œil d’un toro de près. Et un monstre mythique. Six cents kilos de force brute, de bravoure, de volonté de détruire tout ce qui s’oppose à lui.
Des deux, un seul sortira vivant. Et ce sera, presque toujours, l’homme. L’animal n’a jamais sa chance. C’est vrai. Combat inégal, certes, mais où l’homme risque toujours sa vie. Où son existence est suspendue à une erreur, une inattention. Où il frôle constamment la cogida, la blessure, le désastre, la mort.
On est là. Assis. Pétrifié par une attention insupportable. Tous nos sens tendus vers le ballet de mort qui se déroule à quelques dizaines de mètres.
Ambigüité de l’homme : on tremble pour le torero mais on sent pourtant monter, malgré tous les barrages de la civilisation, depuis les tréfonds cachés de notre personnalité, l’angoisse mais aussi quelque chose de moche, de sale : l’espoir honteux de la victoire du toro, de la défaite et du massacre de l’homme. Le dompteur mangé par le lion…
La corrida, c’est du sang, de la peur, de la violence.
C’est la mort toujours présente. Fascinante et répugnante. Appelée et rejetée.
La corrida, c’est beau et obscène. Grandiose et pervers.
Comme la vie. Comme la mort.
Picasso disait : « Un bon dimanche, c’est le matin à la messe, l’après-midi à la corrida, le soir au bordel ! ».
Je suis aussi sanguinaire que Picasso : j’aime la corrida.
Je suis aussi nul que Montherlant : j’aime la corrida.
Je suis aussi débile qu’Hemingway : j’aime la corrida.
Je suis aussi crétin que Cocteau : j’aime la corrida.Je suis aussi con que la majorité des habitants natifs de la Méditerranée, de Fréjus à Perpignan : j’aime la corrida.
Et alors ?
Des ONG, des passeurs, la mafia de mèche avec l’Union européenne ont expédié des milliers de clandestins en Europe sous prétexte de secourir des personnes, assistés par les garde-côtes italiens qui ont coordonné leurs activités.
Des ONG, des passeurs, la mafia de mèche avec l’Union européenne ont expédié des milliers de clandestins en Europe sous prétexte de secourir des personnes, assistés par les garde-côtes italiens qui ont coordonné leurs activités.
Les trafiquants d’êtres humains contactent les garde-côtes italiens à l’avance pour recevoir de l’aide et récupérer leur cargaison douteuse. Les navires des ONG sont dirigés vers le « lieu de sauvetage » alors même que ceux qui doivent être secourus sont toujours en Libye. Les 15 navires que nous avons observés appartenant à des ONG ou loués par celles-ci ont régulièrement été vus quitter leurs ports italiens, se diriger vers le sud, s’arrêter avant d’atteindre la côte libyenne, ramasser leur cargaison humaine et faire route sur 260 milles vers l’Italie, même si le port de Zarzis à Tunis n’est qu’à 60 milles du lieu de sauvetage.
Le droit international est très clair. Les personnes secourues en mer seront conduites au port sûr le plus proche, qui est la Tunisie. PAS l’Europe. Ils sont illégaux et devraient être poursuivis et tous les bateaux des ONG devraient être confisqué. Au lieu de ça « on » a avitaillé puis laissé repartir l’Océan Viking, le bateau des trafiquants d’êtres humain, vers d’autres cargaisons de migranvahisseurs.
Les ONG font entrer clandestinement des immigrants en Europe à l’échelle industrielle (gefira.org)
Armada d’ONG opérant au large des côtes libyennes (gefira.org)
Migrations : elles sont pensées, planifiées, organisées par l’ONU ! - AgoraVox le média citoyen
Des ONG, des passeurs, la mafia de mèche avec l’Union européenne ont expédié des milliers de clandestins en Europe sous prétexte de secourir des personnes, assistés par les garde-côtes italiens qui ont coordonné leurs activités.
Des ONG, des passeurs, la mafia de mèche avec l’Union européenne ont expédié des milliers de clandestins en Europe sous prétexte de secourir des personnes, assistés par les garde-côtes italiens qui ont coordonné leurs activités.
Les trafiquants d’êtres humains contactent les garde-côtes italiens à l’avance pour recevoir de l’aide et récupérer leur cargaison douteuse. Les navires des ONG sont dirigés vers le « lieu de sauvetage » alors même que ceux qui doivent être secourus sont toujours en Libye. Les 15 navires que nous avons observés appartenant à des ONG ou loués par celles-ci ont régulièrement été vus quitter leurs ports italiens, se diriger vers le sud, s’arrêter avant d’atteindre la côte libyenne, ramasser leur cargaison humaine et faire route sur 260 milles vers l’Italie, même si le port de Zarzis à Tunis n’est qu’à 60 milles du lieu de sauvetage.
Le droit international est très clair. Les personnes secourues en mer seront conduites au port sûr le plus proche, qui est la Tunisie. PAS l’Europe. Ils sont illégaux et devraient être poursuivis et tous les bateaux des ONG devraient être confisqué. Au lieu de ça « on » a avitaillé puis laissé repartir l’Océan Viking, le bateau des trafiquants d’êtres humain, vers d’autres cargaisons de migranvahisseurs.
Les ONG font entrer clandestinement des immigrants en Europe à l’échelle industrielle (gefira.org)
Armada d’ONG opérant au large des côtes libyennes (gefira.org)
Migrations : elles sont pensées, planifiées, organisées par l’ONU ! - AgoraVox le média citoyen
La guerre des utérus.
En deux ou trois générations, les populations exogènes, c’est-à-dire venues d’ailleurs, vont supplanter les populations indigènes. C’est mathématique. Ça n’a rien à voir avec un quiconque complot du « grand remplacement ». Dans nos civilisations occidentales où la religion a été remise à sa place et où les femmes sont éduquées, la démographie galopante n’existe plus. C’est bon pour la planète, mais c’est une faiblesse pour nous car en démocratie, ce sont les plus nombreux qui gagnent, d’où le réflexe de faire le plus d’enfants possibles pour écraser l’adversaire par le nombre. Lorsque nos femmes font un, deux, voire trois enfants, les femmes venues d’ailleurs - majoritairement musulmanes donc maintenue dans l’inculture par l’idéologie machiste de l’islam – en font cinq, six, sept et plus si affinité...et allocations familiales. C’est l’argent braguette ! Et la conquête sournoise, à bas bruit, où les conquis paient pour les conquérants. La konnerie à l’état pur…
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/au-bistro-de-la-toile-l-argent-243837
@Clark Kent
Paul Lafargue est un Maître Fainéant. Un modèle.
@Francis, agnotologue
Moi j’écris « kon » pour les 124 synonymes, pour ne confondre avec « con », l’origine du monde comme disait Tatave Courbet, l’entrée du paradis de nos belles compagnes.
Et puis n’oublions pas que la frontière du kon passe à l’intérieur de l’individu..
En voilà un qui sait de quoi il parle :
@Jean-François Dedieu
Merci. Tu sais ce que c’est les « chichourles » ? C’est le mot ptrovençal pour les jujubes.
Amitiés.
En y réfléchissant, nous – ceux de ma génération – sommes des survivants ! Eh oui, avec la vie qu’on a eue, rapporté aux standards actuels, nous devrions être morts depuis longtemps ! Quand j’étais miston, il y avait des peintures au plomb partout et les tuyaux d’adduction d’eau étaient aussi en plomb. Ça faisait de jolies hernies quand il gelait, alors on appelait… le plombier ! Les prises électriques étaient évidemment sans protection, les fils de la lampe pendaient, les isolants étaient en bois et, bien sûr, il n’y avait pas de prises de terre. On se chauffait au charbon dans une seule pièce et il n’y avait pas d’aération, sauf par les portes et fenêtres bancales. On allait s’alléger dans « la cabane au fond du jardin ». On mettait l’eau de Javel, le permanganate et le crésyl (produits indispensables et courants à l’époque) dans des bouteilles de pinard vidées généreusement. Quant aux quelques médicaments (vermifuge Lune, Alunosal, élixir parégorique, cachets d’aspirine « Usine du Rhône », etc.) ils étaient sur l’étagère de la cuisine, à côté de la boîte à sel et de la bouteille d’huile. Quand on avait des poux on nous saupoudrait généreusement de DDT.
On buvait l’eau au robinet ou à la pompe dans la rue, et non des bouteilles cachetées. On bouffait du pain, du beurre quand il y en avait, des gâteaux bien sucrés et on n’était pas obèses pour autant parce qu’on se bougeait le cul.
On jouait, quand il n’y avait pas école dans la rue, dans les terrains vagues, au bord du Rhône. On fabriquait des traîneaux à roulements avec des planches et des roulements à billes et on descendait à fond la caisse. Les gamelles étaient nombreuses et ça nous apprenait à vivre. Les genoux et les coudes écorchés étaient soignés à l’eau oxygénée, à l’eau d’Alibour et au mercurochrome rouge !
On grimpait aux arbres, aux poteaux et on se cassait parfois un bras ou quelques ratiches sans faire d’histoires ni porter plainte contre le maire.
On avait plein de potes partout : il suffisait de sortir dans la rue, tous les gosses étaient là, c’était notre terrain de jeux. On rentrait chez nous à la nuit sans que nos parents ne se tracassent la tête.
À l’école, dans nos classes à 40 élèves, quand un mec ne suivait pas, on l’aidait et s’il était trop branque, il redoublait. Sans que les « parents d’élèves » ne s’offusquent. Et si on était trop chiants et que le « maître » nous traitait par la podoculothérapie, les parents non seulement ne le faisaient pas mettre en taule, mais ils redoublaient la sanction podoculesque !
Pareil pour les gardes champêtres qui nous coursaient quand on faisait des konneries et nous secouaient le matricule sans qu’on soit pour autant des « victimes de la société ».
Ados, à l’âge où ta console de jeux c’est ce que tu as dans le calbar, nous avons connu les premiers émois en découvrant l’autocoït palmaire en lorgnant les rondeurs des femmes localement floutées de la revue Paris-Hollywood…
Et les bagnoles, plus tard, nos vieilles Deuches ou 4L n’avaient ni ceintures ni air bag, quant aux freins ils étaient plus que douteux.
Et ne parlons pas du nombrenconséquent de verres de vin que nous avons bu tout au long de nos décennies d’existence ! Bien au-delà du "premier verre qui donne le cancer".
Pensez donc, on n’avait pas de portables ! Et même pas de nintendo, de play station, d’ordinateurs, de baladeurs, de télé 80 chaînes, etc. Quelle triste vie ! Et pourtant on a survécu !
On avait la liberté, on assumait les risques, on acceptait les échecs, on jouissait des succès, on était responsables ! Je me rends compte que normalement, avec une vie aussi « risquée », un environnement aussi « hostile », des façons de vivre aussi « aberrantes », je devrais être mort depuis bien longtemps !
La vie c’est quelque chose de fantastique. Tout est bon, même les emmerdes. Les emmerdes font partie de l’aventure. L’aventure c’est résoudre tous les jours les problèmes qui nous sont proposés voire imposés. Même si c’est compliqué il faut les résoudre. Il faut s’adapter, tout le temps. Et actuellement, je vis avec ma compagne encore une drôle d’aventure…
@Aimable
Possible sinon probable.
@Mellipheme
C’est vrai que la rigolade, c’est pas bien vu sur AGV...
Le personnage qui signe des articles sous le nom de Bravo (! !??) et qui par ailleurs ne daigne même pas se présenter, encombre la liste des articles proposés à la modération alors qu"il n’écrit AUCUN des articles proposé. Il ne fait que copier coller des articles venus d’ailleurs. il serait temps que les responsables d’Agoravox reprennent la main et fassent respecter leur charte : ne publier que des articles effectivement écrit par les auteurs.
Second degré aussi caustique que savoureux. J’aime !
Le quidam qui salope le nom de Spartacus force l’admiration des connaisseurs !
Une telle mauvaise foi, un tel aveuglement mensonger au service d’une telle konnerie touche à l’Art !
Bravo !
@alinea
Il y a eu pour moi un moment crucial dans cette descente, c’est lorsque Nicole est devenue incontinente… Difficile de découvrir que ces lieux magiques, source de bonheur, ont aussi une fonction physiologique… La première fois que c’est arrivé, c’était sur le beau canapé en cuir blanc. Passé à la peinture au pistolet le canap ! Je l’ai aidé à monter à la salle de bain, au premier. « Vlan, comme disait Coluche. Suivez la ligne jaune » !
Je me suis emporté contre Nicole. « Mais enfin, tu ne pouvais pas le dire ? Fais attention, merde ». C’était le terme approprié.
Alors, elle s’est accrochée à mon cou et, ses beaux yeux pleins de larmes, elle m’a dit avec une voix blanche de petite fille prise en faute : « J’ai pas fait exprès. »
Bien sûr qu’elle n’a pas fait exprès ! Bien sûr. Quel kon j’étais, quel sinistre abruti. Je me traitais intérieurement de tous les mots. Je me serais battu. C’était elle la plus malheureuse, la plus humiliée, pas moi. Alors je me suis juré de ne plus jamais, jamais, jamais lui « crier après ».
Il y a eu là un moment difficile et crucial. Je mentirais en disant que je n’ai pas eu « la tentation de Goa »… C’est-à-dire de tout larguer et de foutre le camp. Mais ça n’a duré que le temps de me regarder dans la glace. Ma chérie m’a donné le meilleur d’elle-même, hors de question que je l’abandonne dans ses moments difficiles. Quoi qu’il arrive, quoi qu’il m’en coûte.
Vous subissez alors les conseils de personnes qui pensent que vous devriez « la mettre dans une maison spécialisée ». Que « Tu devrais aussi penser à toi ». Que « Tu vas y laisser ta santé et ta peau ».
Bof… Moi je m’y refuse et j’ai choisi de m’en occuper tant que je serai là. Mais ce tête à tête permanent avec la déchéance de la personne que vous aimez est évidemment éprouvant. D’abord les dialogues qui s’étiolent, qui perdent toute pertinence, puis vient le coup de barre : lorsque, pour la première fois, vous êtes confronté à l’incontinence. Vous découvrez alors ce que vous avez tant adoré sous des horizons nouveaux si je puis dire…
À partir de là - c’était en 2015 - en parfait accord avec Seb, le fils de ma chérie, nous avons fait appel à de l’aide extérieure.
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