Le témoignage d’un mouvement qui prend de l’ampleur... Un autre monde est possible, ici et maintenant."
La France vend de l’électricité à l’Allemagne quand les énergies renouvelables sont au repos (nuit) et l’Allemagne exporte en France quand ses parcs éoliens tournent ou que sa production photovoltaïque fonctionne (milieu de journée).
La France a un solde importateur positif avec la Suisse & l’ Italie.
En 2013, la France a exporté 5,3 TWh d’électricité vers l’Allemagne, qui lui en vendait en parallèle 15,1 TWh. La France a donc un solde importateur de 9,8 TWh
"25 réacteurs nucléaires français souffriraient d’usure accélérée sur les gaines enveloppant leurs combustibles radioactifs"
comment éviter le black-out à la suite de l’ arrêt de la moitié du parc ?
en effet d’où viendra l’électricité manquante ?
SCOOP - Le réacteur EPR de Finlande est en cours d’abandon par Areva qui retire ses salariés...
Le crash de l’industrie nucléaire française précède celui de l’ensemble de la filière...
Le quotidien économique finlandais Kauppalehti a confirmé ce vendredi 28 février 2014 les informations qui circulaient depuis quelques temps au sujet du chantier du réacteur EPR situé à Olkiluoto (Finlande) : le constructeur du réacteur, le français Areva, vient de mettre un terme aux contrats de travail d’une cinquantaine de contremaîtres, les derniers encore en poste devant suivre la même voie fin mars. Il s’agit donc d’une véritable bérézina pour Areva qui abandonne le chantier de ce réacteur, commencé en 2005, désormais pratiquement à l’arrêt, et sous peu totalement stoppé. Officieusement, la mise en service de l’EPR serait repoussée à 2018 voire 2020, c’est à dire 15 ans après le début d’un chantier qui devait être bouclé... en 4 ans et demi !
Source : http://observ.nucleaire.free.fr/abandon-epr-finlande.htm
SCOOP - Le réacteur EPR de Finlande est en cours d’abandon par Areva qui retire ses salariés...
Le crash de l’industrie nucléaire française précède celui de l’ensemble de la filière...
Le quotidien économique finlandais Kauppalehti a confirmé ce vendredi 28 février 2014 les informations qui circulaient depuis quelques temps au sujet du chantier du réacteur EPR situé à Olkiluoto (Finlande) : le constructeur du réacteur, le français Areva, vient de mettre un terme aux contrats de travail d’une cinquantaine de contremaîtres, les derniers encore en poste devant suivre la même voie fin mars. Il s’agit donc d’une véritable bérézina pour Areva qui abandonne le chantier de ce réacteur, commencé en 2005, désormais pratiquement à l’arrêt, et sous peu totalement stoppé. Officieusement, la mise en service de l’EPR serait repoussée à 2018 voire 2020, c’est à dire 15 ans après le début d’un chantier qui devait être bouclé... en 4 ans et demi !
Source : http://observ.nucleaire.free.fr/abandon-epr-finlande.htm
« Le démantèlement ne comporte aucune impossibilité, y compris avec des réacteurs accidentés. C’est une question de technologie. »
sauf que la réalité est différente de la propagande !
• TEPCo devait commencer le
retrait des combustibles de la piscine du réacteur n°4 à partir du
8 novembre prochain, mais elle aurait reporté les opérations de
plusieurs semaines. Seul un essai est programmé pour le moment, à
la demande de la Japan Nuclear Energy Safety Organization.
Ce test
n’avait pas été prévu ? TEPCo est pressée de toutes parts pour
accélérer le retrait des combustibles et est assez sûre d’elle,
comme d’habitude, sous prétexte qu’il s’agit d’une opération
banale. Mais il reste des débris dans la piscine et des barres ou
des supports ont pu être endommagés, gênant le retrait.
Source : acro.eu.org
http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=130437&frid=18&seccatid=37&cid=18&fromval=1
Une source diplomatique éminente a
révélé que « la guerre américaine contre la Syrie a
commencé et a terminé au moment du tir des deux missiles
balistiques qui sont tombés dans la mer » ! Selon
le
quotidien libanais assafir, citant cette haute source, « les
deux missiles ont été lancés par les forces américaines d’une
base militaire de l’OTAN en Espagne. Ils ont été détectés par
les radars russes immédiatement. Les batteries de défense russe les
ont confrontés. Un missile a explosé en l’air alors que l’autre
a été dérouté et est tombé ensuite en mer ».
La guerre de (Troie) Syrie n’aura pas lieu (la guerre par la ruse : le bouclier antimissile)
http://www.latinreporters.com/espagnepol07102011ek.html
MADRID / BRUXELLES, vendredi 7 octobre 2011 - Sans débat ni aval parlementaire préalables et irritant fort la Russie, l’intégration de l’Espagne dans le système de bouclier antimissile de l’OTAN a été annoncée par surprise le 5 octobre à Bruxelles par le chef du gouvernement espagnol
...Rota va se convertir en point d’appui du déploiement de navires pouvant s’intégrer dans des forces multinationales ou qui mènent des missions de l’OTAN dans des eaux internationales, particulièrement en Méditerranée, pour des missions de vigilance, de sécurité …
conséquences :
http://fr.rian.ru/world/20130913/199298414.html
L’Égypte veut renouer des relations privilégiées avec la Russiehttp://fr.rian.ru/world/20130913/199297300.html
Poutine invité en Iran
http://fr.rian.ru/world/20130913/199298857.html
Egypte-Iran : reprise du dialogue politique en perspective (Le Caire)Henri Proglio évoque le besoin d’investissement du groupe : 55 milliards pour le nucléaire d’ici à 2025 (soit 1 milliard € par réacteur)
2 milliards d’euros par réacteur pour un rallongement d’espérance de vie de 20 ans
« C’était d’abord 45 Milliards d’euros puis 55 milliards d’euros tout compris pour l’opération appelée dans le langage EDF « Grand Carénage ». Lors de son audition voilà deux mois, au grand débat sur la transition énergétique, Henri Proglio, restait ferme sur son prix et souhaitait visiblement qu’on ne s’attarde pas sur le sujet.
Visiblement agacé, il écartait toutes les questions lui demandant de préciser son chiffre. Seulement voilà, de plusieurs sources, l’estimation serait en train d’être révisée par EDF. Ce ne serait plus 55 milliards d’euros, mais 70 milliards d’euros au minimum, voire 80 milliards. Et l’addition a sans doute vocation à s’alourdir, puisque l’ASN vient d’exiger une refonte des piscines des centrales nucléaires où sont stockées les déchets. Un expert contacté ne serait pas surpris qu’in fine l’addition finale flirte avec les 100 milliards d’euros. Un substantiel écart de calcul dans le devis global qui peut induire, s’il est confirmé publiquement, de gros effets sur l’arbitrage terminal du gouvernement concernant le mix énergétique dans les 20 ans à venir. Pour chaque réacteur nucléaire, en effet, l’investissement serait d’environ 2 milliards d’euros pour un rallongement d’espérance de vie de 20 ans. »
« le pétrole ne va pas manquer dans 50ans... »
déclin 2014-2015
effondrement 2020
conforme au rapport du Club de Rome (1972) – Meadows (2012)
« sous une pression de 25 000 bars & à plus de 2000° C, pour obtenir tous les constituants du pétrole »
tout changement d’état demande de l’énergie primaire : pour obtenir 1 l de pétrole, combien de litres de pétrole : 1, 10, … ?
ce qui est complètement loufoque, farfelu, saugrenu, aberrant ...
TEPCo a fini par reconnaître qu’elle savait qu’il y avait des fuites depuis plus de deux ans. Le Japon a perdu deux ans sur ce sujet...
http://www.acro.eu.org/aveux_TEPCo_10-8-13.png
source : acro.eu.org
TEPCo a estimé à 520 m3 d’eau très radioactive, soit 4 700 térabecquerels ou 20 000 fois l’autorisation de rejet annuel la fuite d’avril. Plus précisément, il y avait 2 800 térabecquerels d’iode-131, 940 térabecquerels de césium 134 et autant de césium 137. Ce seul rejet mériterait d’être classé au niveau 5 ou 6 de l’échelle internationale INES.
Soutce : acro.eu.org
Comme pour Fukushima, l’industrie nucléaire ne maîtrise pas le démantèlement de la centrale.
(5000 tonnes de sodium, 15 tonnes de Plutonium-239)
Le 8 août vers 19h, l’ASN Rhône-Alpes a informé qu’un incendie avait touché une installation abritant du Sodium sur le chantier de déconstruction du réacteur Superphénix.
TEPCo estime à 50 GBq (50
milliards de becquerels) la quantité de tritium rejetée
quotidiennement.
Le
gouvernement japonais, quant
à lui, a estimé que 300 m3 d’eau contaminée fuient
quotidiennement vers l’océan. Pour cela, il part du fait que 1 000 m3
d’eau
souterraine transitent quotidiennement sous la centrale. On sait que
400 m3
pénètrent dans les sous-sols des réacteurs et sont pompés par TEPCo,
qui voit
sont stock augmenter jour après jour. Sur les 600 m3 restant, l’Agency
for Natural Resources and Energy, du ministère de l’économie, estime
que la moitié
de cette eau devrait
aller dans la mer sans être contaminée et que l’autre moitié est
contaminée.
soutce : acro.eu.org
Attendu qu’il s’agit de la deuxième remontrance officielle vis-à-vis de Tepco et, qui plus est, diffusée par voie de presse, il est très probable que le gouvernement Japonais réfléchit - et a peut-être même déjà décidé - de la mise en retrait de Tepco, tout au moins sur le problème de la gestion de l’eau contaminée mais peut-être beaucoup plus largement, au niveau de la contamination du site en général. Malheureusement, cette dernière situation est arrivée aujourd’hui à un tel point de complexité et de saturation qu’il semble difficile d’entrevoir aujourd’hui la moindre réponse technique à l’insoluble problème de l’eau contaminée.
Shinji Kinjo, responsable d’un groupe de travail à l’Autorité de régulation nucléaire (NRA) : « les contre-mesures prévues par l’opérateur de la centrale, Tepco, ne sont qu’une solution temporaire et Tepco ne réalise pas que l’heure est grave », "c’est pourquoi nous ne pouvons tout simplement pas laisser cela à Tepco tout seul« , »Actuellement, nous avons une situation d’urgence".
Source : gen4
Les travaux du chercheur américain (le biologiste Robert Jackson, professeur à la Duke University à Durham ) mettent en évidence, dans le nord-est de la Pennsylvanie, de fortes teneurs en méthane (CH4) des eaux souterraines prélevées autour des puits de gaz non conventionnel. Cette pollution n’est pas circonscrite aux abords immédiats des gisements : elle concerne les zones situées jusqu’à un kilomètre autour des points de forage. Les scientifiques ont analysé l’eau issue de 141 points de prélèvement dans les nappes phréatiques de cette partie des Appalaches. Environ 80 % des échantillons étudiés montrent des teneurs mesurables de méthane. En outre, les auteurs ont examiné la signature isotopique du méthane retrouvé dans les nappes : plus les forages sont proches, plus cette signature est caractéristique du méthane piégé dans les roches profondes. La présence d’hydrocarbures dans les aquifères, lorsqu’elle dépasse un certain seuil, n’est donc pas imputable à des contaminations de bactéries « méthanogènes ».
Source :
http://youtu.be/-Nt1njHyPRE?t=3m30s
le gaz de schiste : la manip pour tous
le gaz de schiste vendu 4$, coûte 8$ à produire
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