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Les commentaires de khoufou



  • khoufou khoufou 31 janvier 2020 19:52

    Zahi Hawass a apparemment monté sa propre équipe pour se faire sa propre idée. Souhaitons que le matériel utilisé soit performant et que cette 4ème expertise confirme les 3 précédentes.

    Voir lien ci-dessous

    https://archaeologynewsnetwork.blogspot.com/2020/01/japanese-team-to-re-scan-great-pyramid.html?fbclid=IwAR2_Swbz5ufvmayCt19R5KkMFK9u-DSHc2CJSL—8GauVnLe7pP-HRpVq4M#.XiSu7NLm3eE



  • khoufou khoufou 18 mars 2014 10:00

    Zip_N 

    Le procédé de levage par balancier, échelle, lestage du personnel ... évoque celui proposé par Philippe Tixier et qu’il a baptisé « La machine d’Hérodote ». Le procédé est astucieux mais est totalement inadapté au hissage des très lourdes charges (linteaux et chevrons dont le poids est compris entre 30 et 70 tonnes).
    Lien vers le site de Philippe Tixier :
    Notre culture occidentale nous suggère des procédés de levage basés sur la démultiplication des forces afin de réduire les effectifs. Ce genre de procédé de n’a aucun intérêt. En effet, si l’effort est divisé par 10, le temps d’exécution est multiplié au moins par 10 ainsi que le temps d’utilisation du personnel. Quand on dispose de suffisamment de place pour répartir le personnel, tous ces procédés ne font que retarder le chantier.


  • khoufou khoufou 1er mars 2014 06:33

    Je retiens surtout que la réalisation est hypnotique. Par exemple, elle nous fait croire que dix hommes sont suffisant pour tracter une charge d’1,5 tonnes sur une pente à 7% alors qu’il en faudrait au grand minimum deux fois plus et très probablement quatre fois.



  • khoufou khoufou 13 janvier 2014 08:26

    Le 12 janvier, liacon évoquait l’hypothèse hyper-médiatisée de Jean-Pierre Houdin.

    Son hypothèse consiste à utiliser une rampe frontale haute de 43 m pour construire environ les deux premiers tiers de la pyramide (en volume). Cette rampe permet aussi l’acheminement des lourds linteaux en granite qui couvrent la chambre du roi. Parvenus à cette hauteur de 43 m, ces linteaux sont ensuite acheminés vers leurs emplacement définitifs (entre 48 m et 61 m) via un « funiculaire » assisté par un contrepoids. Enfin, la rampe est démontée et les matériaux dont elle est faite sont réutilisés pour construire les deux derniers tiers (en utilisant les rampes internes).
    Tout cela semble parfaitement cohérent, mais en grattant un peu.....
    En effet, à mesure que la destination des linteaux augmente en hauteur (jusqu’à 61 m),la hauteur de la rampe diminue simultanément. Il y a là comme une énorme contradiction à laquelle l’auteur ne semble pas avoir songé..
    Ce qui m’étonne, c’est que tout le monde considère que cette hypothèse est géniale.
    Non, l’informatique ne résout pas tout car elle manque du plus élémentaire bon sens.


  • khoufou khoufou 13 janvier 2014 07:48

    @ fessebook :

    J’ajoute que l’application de mon procédé pour reconstruire une pyramide permettrait (éventuellement) que mon hypothèse est fiable. Cependant, ça ne permettrait pas de conclure que c’est ce procédé qui fut utilisé par les anciens égyptiens. Par contre, une inspection minutieuse de plusieurs pyramides, grandes et petites, et de simples contrôles métriques seraient suffisants pour valider (ou invalider) mon hypothèse.


  • khoufou khoufou 12 janvier 2014 22:45

    Ce document est uniquement consacré à l’étude de la façon de construire les pyramides d’Egypte. 



  • khoufou khoufou 12 janvier 2014 11:52

    La simulation que vous évoquez (ainsi que les vidéos) nous montre une dizaine d’hommes qui tractent, avec une apparente facilité, une charge de deux tonnes sur une pente à 7 % (confirmé par le commentaire). Nous les voyons aussi manœuvrer sur une plateforme d’angle dont la surface est tout juste suffisante pour accueillir cet équipage de dix hommes.

    En fait, pour que la réalité soit conforme à cette fiction, il faudrait que le traîneau glisse sur de la glace ou que les hommes soient forts comme des percherons.

    Selon que les rails sont savonnés (frottement 0.16) ou mouillés (frottement 0.25), il faudrait en réalité 4 à 6 fois plus de personnel pour procéder à ces manœuvres. Dans ce cas, les plateformes d’angles seraient bien trop exiguës pour accueillir un minimum de 40 hommes, et c’est l’ensemble de l’hypothèse qui vacille. Tout cela manque de sérieux.



  • khoufou khoufou 11 janvier 2014 15:58

    Bonjour Vipère. 

    Le fait de publier un article relatif aux pyramides ne signifie pas que je ne m’intéresse qu’à cela. .
    « A quoi ressemble leur logis ? » Quatre murs en briques crues avec terrasse. L’archéologie ne nous en dit malheureusement pas beaucoup plus.



  • khoufou khoufou 11 janvier 2014 15:24

    @ fessebouc

    « Enfin il est possible d’avoir un semblant de réponse à votre théorie, il suffit de lancer un appel, existe t’il un super architecte sur la planète terre qui serait capable en moins de vingt ans... »
    Je ne suis pas architecte (simple employé à la retraite) mais je me sentirais parfaitement capable de relever ce défit. Je pense néanmoins que ce serait une absurdité de dépenser de la sorte l’argent et la sueur du contribuable à seule fin de vérifier une hypothèse alors que l’usage d’un simple mètre à ruban permettrait de valider (ou d’invalider) cette hypothèse. Concernant le titre, j’ai cherché une formule courte, explicite et qui suscite la curiosité. J’y ai ajouté un point d’interrogation puisqu’il s’agit d’une proposition.


  • khoufou khoufou 11 janvier 2014 15:00

    Bonjour fessebouc.

    Si vous relisez attentivement mon message, vous observerez que ce « menu » ne se réfère pas à l’étude des ossements mais aux fouilles effectuées dans le village des ouvriers. 
    Je pourrais fournir des références précises, mais je crains que cela nous entraîne bien loin des considérations purement techniques qui sont le thème de cet article.


  • khoufou khoufou 11 janvier 2014 14:50

    Merci lionel.

    « Peut m’importe que vous ayez raison ou non. »
    J’ai consacré plus de quarante années à cette recherche, j’ai 63 ans et j’aimerais que ma curiosité soit satisfaite, de mon vivant de préférence. smiley


  • khoufou khoufou 11 janvier 2014 10:57

    Philippe. Page 112, Piazzi Smyth précise qu’il n’a pas mesuré la largeur des poutres. Le tableau qu’il présente est une extrapolation effectuée à partir des relevés de Perring, Aiton et Inglis.

    A part ça, ton point de vue est défendable mais il correspond plus à une accumulation d’indices qu’à une preuve archéologique indiscutable. J’avoue que je suis incapable de trancher.


  • khoufou khoufou 11 janvier 2014 09:30

    Les tombes d’ouvriers découvertes à proximité du chantier suggèrent que ceux-ci étaient soignés (réduction de fractures ...) Pour autant, le travail devait être extrêmement pénible comme en témoigne l’état de délabrement avancé de leurs colonnes vertébrales. Par ailleurs, les récentes découvertes faites au village des ouvriers suggèrent qu’ils étaient bien nourris (beaucoup de viande et un peu de poisson). C’est à peu près tout ce qu’on peut dire des conditions de travail à cette époque. Plus tardivement, on dispose de textes relatant des grèves d’ouvriers.



  • khoufou khoufou 11 janvier 2014 08:31

    @ sylvie : j’ai donné mon point de vue dans l’article concerné.



  • khoufou khoufou 11 janvier 2014 08:28

    Mon point de vue à propos des fissurations :

    Philippe conteste le recours à un étayage. Sur ce point, je suis plutôt d’accord avec son analyse et je privilégie également l’attribution des marques brunâtres à des cales de stockage. Mais l’absence d’étayage n’implique pas que la fissuration des poutre soit postérieure à la fin des travaux de construction.
    Les témoignages : L’observation des fissures au plafond de la chambre du roi nécessite un bon éclairage. Or Piazzi Smyth se plaint régulièrement des mauvaises conditions d’éclairage dans son ouvrage « Life and work at the great pyramid.... ». Par ailleurs, il précise page 113 qu’il n’a pas visité les chambres de décharge « upper chambers » et qu’il se réfère aux travaux de Vyse et Perring. Idem pour les mesures des dalles de plafond. Il n’ai pas étonnant que Coutelle n’ait pas remarqué de fissures dans la chambre de Davison puisque celle-ci était encombrée d’une épaisse couche de fientes de chauve-souris, ce qui n’était pas le cas de la chambre au-dessus puisqu’elle ne fut accessible que « récemment ». Les fissurations étaient elles absentes ou seulement ignorées ?
    La liaison entre le haut de la grande galerie est un passage forcé et non construit. Il me semble que si celui-ci avait une utilité mécanique quelconque il devrait être construit.
    Je ne comprends pas pourquoi l’auteur se focalise sur ce point de détail car il me semble que l’absence de « soupape » (le conduit forcé) ne remettrait pas en cause le reste de sa théorie.
    PS : La mise en place N/S des poutres proposée par l’auteur me semble bien périlleuse (risque de basculement) alors qu’une mise en place E/O est infiniment plus sécurisante puisque les extrémités des poutres reposeraient en permanence sur les murs N et S.


  • khoufou khoufou 11 janvier 2014 06:21

    @ franck milo : Le « scénariste » du reportage est tellement « chatouilleux » que je ne me risque plus à émettre la moindre réserve. Je me contenterais donc de complimenter la remarquable qualité de la réalisation.



  • khoufou khoufou 10 janvier 2014 23:55

    Ma journée a été longue. Je reviendrai demain. Bonne nuit.



  • khoufou khoufou 10 janvier 2014 23:51

    Avec mon procédé, un bloc devrait franchir un dénivelé d’environ 10 mètres en moins de cinq minutes (vitesse d’environ 2 km/h comme pour le halage des péniches sur nos rivières). Je doute fort qu’on puisse construire puis remplir un moule d’une capacité voisine d’1 m3 dans un tel délai. Mais je sais que je ne parviendrais pas à vous convaincre.



  • khoufou khoufou 10 janvier 2014 23:13

    Désolé de vous avoir fait attendre. D’une façon générale, je n’ai pas pour habitude de me lancer dans des extrapolations quand je ne dispose pas d’arguments fiables. Dans le cadre de vos deux questions, nous ne disposons d’aucune source archéologique par conséquent, je considère que personne ne peut répondre à vos questions. On peut néanmoins prendre le problème à l’envers. Basons nous sur la pyramide de Khéops. Si on admet un délai de construction d’environ 20 ans et un volume de matériaux voisin de 5 millions de tonnes, ça correspond au traitement (sous ses diverses formes) de 5.000.000 t / 7300 jours = 685 tonnes par jour.

    Pour 1000 ouvriers affectés à chacune des diverses opérations requises (extraction, transport etc) la correspondance est de 685 kg par ouvrier soit environ 85 kg par heure et par ouvrier, l’équivalent de 6 parpaings par heure et par ouvrier. Nous sommes donc dans le domaine du raisonnable puisque l’exploration du village des ouvriers semble conduire à une estimation d’environ 20.000 ouvriers..


  • khoufou khoufou 10 janvier 2014 20:55

    Bonsoir patrickluder. Ayant un petit contretemps, je vous répondrai sereinement vers 22h30 ainsi qu’aux éventuels autres intervenants. Désolé.