Quant aux écrits prophétiques, ils sont d’essence humaine et n’ont fait que traverser l’esprit des hommes, écrits dans un langage humain, par la main de l’homme et portant en eux toutes les caractéristiques humaines.
@Pascal L
Mais les preuves matérielles d’une puissance surnaturelle sur terre existent pour peu que vous acceptiez de les voir ! et elles sont tellement nombreuses ces preuves...
La foi véritable ne repose pas sur la preuve, car la foi avant tout une croyance, une intime conviction individuelle qui se passe de preuves.
En aucun la foi, ne peut s’imposer à qui que ce soit, par la persuasion ou tout autre moyen de pression.
Aristote nie toute théorie évolutionniste, ce qui soutient et donne de la force à mon propos :
« Ce n’est pas en effet la maison qui est faite pour les briques et les pierres, mais celles-ci pour la maison : il en va de même pour tout le reste de la matière. Et ce n’est pas seulement l’induction qui nous montre qu’il en est bien ainsi, mais aussi le raisonnement. En effet, tout ce qui s’engendre naît de quelque chose et en vue de quelque chose ; la génération se poursuit d’un principe à un principe, du premier qui donne le branle et a déjà une nature propre, jusqu’à une forme ou à quelqu’autre fin semblable. Car l’homme engendre l’homme et la plante la plante, selon la matière qui sert de substrat à chacun. Ainsi donc chronologiquement la matière et la génération sont nécessairement antérieures, mais logiquement, c’est l’essence et l’idée de chaque être »
— Aristote[3]
Aristote nie donc toute théorie de l’évolution, qui avait déjà été formulée avant lui par Démocrite, et affirme l’existence éternelle des genres ou espèces (fixisme). Ce sont en fait ces idées ou espèces qui existent véritablement, plus que les individus qui naissent et meurent. Contrairement aux théories matérialistes et mécanistes qui posent un hasard aveugle à l’origine du monde, il pense que ce n’est pas accidentellement qu’un œuf donne une poule, qu’il y a une raison à cela, une »idée« , »forme« , »espèce« qui explique tout le développement observable en fournissant un modèle de perfection que les individus essayent d’atteindre durant leur vie. Aristote oppose ainsi à « l’explication par la nécessité aveugle, c’est-à-dire par la cause motrice et par la matière » (mécanisme) »
Pemile
La probabilité qu’une protéine se forme par hasard est de Zéro
http://une-heure-sur-terre.over-blog.com/article-la-claque-86469474.html
« La génétique nous a appris que l’homme est un cousin des plantes, il partage 25% de gènes avec les plantes, juste un milliard d’années d’évolution sépare les deux »
Doit on polémiquer sur qui de l’œuf ou de la poule est arrivé en premier ?
Quoi qu’il en soit, toute vie sur terre est globalement interconnectée et partage des gènes communes.
A l’auteur
Celui qui regarde une graine minuscule au creux de la paume de sa main, sait que c’est une promesse future de vie, qu’à l’intérieur de la graine, de cet infiniment petit, il y a un programme parfait qui commande à la plante selon son espèce, de produire soit une fleur à la couleur déjà déterminée à l’avance, ainsi que son parfum, sa hauteur, la forme des pétales et des feuilles, sa longévité ;
soit un légume dont toutes les caractéristiques sont elles aussi déterminées à l’avance comme pour les fleurs.
En soit, n’est ce pas là un petit miracle, un microscopique programme à l’échelle d’une micro graine ? lequel programme peut se dupliquer perpétuellement, en produisant fleurs et légumes contenant eux aussi de nouvelles graines, appelés à devenir de futures plantes, et perpétuer ainsi le cycle de la vie végétale ...
Les humains aussi ingénieux soient-ils, sont ils capables de reproduire ainsi la vie végétale de manière aussi autonome à partir de rien ?
Beaucoup d’entre nous, parlent de hasard ...
Il faut une concordance incroyable pour qu’en même temps que ce génial petit programme, il y ait d’autres hasards en corrélation avec le prodigieux programme qui permettent l’éclosion de la vie, notamment, le soleil, l’eau, la terre, la lune, sans lesquels AUCUNE vie ne se produirait sur terre.
Cela ne fait-il pas beaucoup trop de hasards ?
@soi même
Les vaches sont sacrées, on y touche pas malheureux, elles peuvent faire tout le gaz qu’elles veulent, et même si ça pouvait réchauffait le climat, il ferait moins froid. On se pèle les genoux.
« J’suis Charlie » c’était avant, qui sait, demain si je ne me réclamerai pas de « Poutine » au train où vont les évènements ?
@Old Dan
Mon vieux Dan, vous êtes un veinard !
dommage que vous ne soyez pas plus bavard, on vous a coupé le sifflet à moins que votre plume n’ait plus d’encre ?
@AlbertGam
Il n’a pas déconseillé d’aller à cheval ?
En vélo ?
En scooter ?
En patins à roulettes ?
Les parisiens ne sont pas totalement démunis, ils peuvent continuer à se rendre à leur travail !
Yoan a raison, rien ne vaut la souplesse. Trop de salariés rigides croupissent au chômage.
Les français n’ont rien compris. Il faut les libérer du carcan du code du travail. Au feu les contrats et les lois.
Le patron siffle le salarié quand il a son carnet de commande plein, après il le renvoie planter des choux.
Le mieux serait même que le salarié, docile comme un toutou, soit près du téléphone à attendre qu’il l’appelle pour un petit dépannage d’une heure à quelques jours.
Après, les salariés peuvent même camper devant la boîte du patron pour être sûrs d’être choisis pour avoir un petit boulot.
« Le bourgeois-bohème est, tout au contraire, un méta-primitif, un déraciné qui ne sait ni chasser, ni cueillir, ni pêcher, ni même couper un peu de bois avant de se confectionner une omelette au champignons sur le fourneau de sa grand-mère »
Oui, mais il sait faire d’autres choses le bobo, une foultitude de choses comme courir pour attraper le métro, se faufiler dans les bouchons, dégotter les bons plans pour payer moins cher une paire de pompe ou des vêtements de marque, un bon resto où on mange des pizza au kilomètres, se balader dans les égouts de Paris et planter des tomates au pied des HLM, c’est pas grandiose tout ça ?
Et pardessus tout, le bobo ne cause pas.
Aux personnes qu’il ne connaît pas, il n’adresse pas un mot. Au resto, il n’cause pas aux gens de la table d’à côté.
Pas bonjour et encore moins au revoir. Dans le métro c’est pareil. Il fait comme si les gens autour n’existent pas et qu’il est tout seul au monde.
Le seul endroit où le bobo se décongèle c’est dans les manifs à la Charlie. Là, en cet endroit précis, il ouvre le bec, pour dire qu’il est solidaire, et même il l’atteste par écrit sur une petite pancarte ’je suis Charlie". C’est vrai pour une petite heure, après il la boucle et rentre chez lui pour mieux bouder les humanoïdes dès le lendemain. A peine s’il louche sur le voisin pour reconnaître un vieux Charlie, un pote de la veille avec lequel il refaisait le monde.
Nabum, rassurez-vous, jamais au grand jamais vous ne parviendrez à vous hisser au sommet de la félonie des dominants !
Si cela pouvait vraiment faire avancer le schmilblick, c’est en turban que je porterai les couleurs de la France !
Mais, si d’aventure il me prenait l’envie de mettre à mon balcon, un étendard, il serait de couleur noir, celle du pessimisme, car les temps ne prêtent pas vraiment aux réjouissances ...
Mais encore, sur les « cuicuis » qu’avez vous à dire Old Dan ? pas grande chose apparemment !
Personnellement, je les nourris l’hiver et cela fait un beau tableau vivant, à regarder à travers la fenêtre quand il n’y a plus rien à voir au jardin.
Des mésanges charbonnières, bleues, une fauvette, des moineaux, tout ce petit monde se bouscule dès la pointe du jour jusqu’à la tombée de la nuit pour picorer les boules de graisse, le tournesol et un mélange divers « pour oiseaux du ciel » que l’on trouve dans les grandes surfaces et les jardineries pour quelques euros.
Certains fans d’oiseaux font même des préparations maison à base de je « n’sais quoi » dirons nous, un secret bien gardé qui fait craquer les emplumés les plus farouches, je n’en dirais pas plus. Top secret.
Chez moi, ce n’est le resto cinq étoiles, mais la gente ailée a largement de quoi manger tout l’hiver à sa faim... cela ne vaut il pas toutes les pétitions du monde ?
A bas les canardeurs bêtes et méchants et vive les oiseaux des jardins et des forêts !
« La France se couche. La France se meurt.
La France avait pris l’habitude depuis le XVIIe siècle et, plus encore, depuis la Révolution française, d’imposer ses idées, ses foucades mêmes, sa vision du monde et sa langue, à un univers pâmé devant tant de merveilles.
Non seulement elle n’y parvient plus, mais elle se voit contrainte d’ingurgiter des valeurs et des mœurs aux antipodes de ce qu’elle a édifié au fil des siècles.
Nos élites politiques, économiques, administratives, médiatiques, intellectuelles, artistiques, héritières de mai 68, s’en félicitent. Elles somment la France de s’adapter aux nouvelles valeurs.
Elles crachent sur sa tombe et piétinent son cadavre fumant. Elles en tirent gratification sociale et financière. Elles ont désintégré le peuple en le privant de sa mémoire nationale par la déculturation, tout en brisant son unité par l’immigration. Toutes observent, goguenardes et faussement affectées, la France qu’on abat ; et écrivent, d’un air las et dédaigneux, “les dernières pages de l’Histoire de France”.
Ce vaste projet subversif connaît aujourd’hui ses limites. Le voile se déchire. Il est temps de déconstruire les déconstructeurs. Année après année, événement après événement, président après président, chanson après chanson, film après film… L’histoire totale d’une déconstruction joyeuse, savante et obstinée des moindres rouages qui avaient édifié la France. »
Éric Zemmour se livre à une analyse sans tabou de ces quarante année
« Les alsaciens ne veulent pas partager leur richesse ?
Effectivement les indicateurs économiques ramenés au nombre d’habitants sont sensiblement meilleurs en Alsace qu’en Lorraine voisine. »
C’est pire que ça, les préfets et les élus boutent les pauvres hors de l’Alsace et je sais de quoi je parle !
Une région des plus hostile où il ne fait pas bon d’y pointer son nez !!!
Voilà pourquoi, au contraire de vous, je pense que ce serait une bonne chose que ce genre d’analyse finisse en un « c’est la faute au système ».
Ce n’est pas la faute au système !
Comment imputer des responsabilités et ou des malversations quelconques à un système.
Par nature un système est inerte. A contrario, ce sont des hommes actifs, les inventeurs ingénieux d’un système au sein duquel, ils oeuvrent avec pour seule visée des intérêts communs catégoriels. Une bande organisée pour le dire de manière peu élégante.
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