Il me semble que la solution la plus juste est de laisser aux Sahraouis eux-mêmes le soin de décider de leur sort et non de les rattacher à une autre entité nationale, que ce soit l’Algérie ou le Maroc.
A l’auteur
Lu votre article avec intérêt.
@BA
1. De L.F. Céline il aurait dû tenter de copier le style, mais pas le fond.
2. Si l’on tient compte de l’ensemble de son oeuvre, Louis Ferdinand Céline s’est par ailleurs montré plus « indulgent » pour la négritude que pour la judéité.
Y.M « situé » dans le contexte de l’entre-soi littéraire, « culturel » et médiatique.
Cela vaut « plussage ».
@Loatse
« Ce que vous dites là est parler raison »
L’intéressé roulait carrosse. Il roule ambulance.
Arrêtons le tir.
Comme l’auteur de l’article, je n’ai jamais lu MOIX et je ne connais de lui que son long office vespéral chez RUQUIER.
J’ignorais, cela va de soi, ses écrits « satiriques » antérieurs, tout autant que sa profonde amitié avec BHL.
Au lendemain de l’une de ses prestations inquisitoriales chez RUQUIER je n’avais pu m’empêcher cependant d’écrire à son propos sur le blog « u zinu » le billet ci-après :
Isabelle Mourral, auteur(e) d’une « Réflexion sur les embûches et les perversions du langage » sobrement intitulée « Le sens des mots » aurait hier au soir (18/09/17) chez Ruquier apprécié la controverse qui opposa les deux questionneurs/commentateurs de service et le revenant Aymeric Caron.
Plateau fort éclectique pour ce qui est des invités, mais je ne retiendrai que deux séquences particulières.
Bien que je sois fort éloigné de la sphère politique de son époux, j’ai été séduit par la douceur, la réserve, l’intelligence et la culture non prétentieuse de Carla Bruni, sublime en sa modestie, et remarquable de délicatesse dans l’expression publique de confidences intimes.
Mais il m’a fallu subir hélas la jactance vaniteuse du ratiocineur amphigourique et l’acrimonie de celle que d’aucuns (dont je ne suis) se plaisent et complaisent à qualifier d’hystérique.
Soumis à la question par nos deux inquisiteurs de service, le pauvre Caron, autrefois lui-même grand inquisiteur en ces lieux, fut sommé de s’expliquer sur l’utilisation du terme de « terrorisme » qu’il aurait inconsidérément osé appliquer aux multinationales, au néo libéralisme, et aux industriels pollueurs de la planète.
Si j’en crois le petit Torquemada de lucarne, ou tout au moins selon ce que j’ai compris de sa philippique surjouée à l’encontre de Caron, le terme « terroriste » doit être désormais une sorte d’appellation contrôlée, appellation comme l’exige la « bien pensance », dûment stigmatisante. Elle doit surtout être exclusivement réservée à une catégorie d’individus bien précise, bien délimitée, bien cernée, bien identifiée. Elle ne saurait concerner les maîtres du nouveau monde, entendons par là celui du capital, du libéralisme et de la mondialisation.
Nous vîmes donc un Moix éructant et, accessoirement, une pasionaria de basse fosse s’acharner sur ce pauvre Caron qui, pour l’emploi soi-disant inapproprié d’un mot, ne put lui-même en placer un, comme eût dit ma mère-grand.
Nous fûmes en conséquence, et sans indulgence, gratifiés d’une controverse, voire d’une vocifération délirante sur le « bien nommer » et le « mal nommer », sur le bon usage des mots, et sur leur sens, leurs non-sens, leurs contre sens et leurs sens interdits.
Je terminerai en précisant que la hargne du Moix et de sa compagne en œuvre de dénigrement épargna, comme il se doit, l’innocente Carla, qui tout au contraire, fit pour sa part l’objet d’intenses flagorneries et de frétillantes adulations. Je suppose que cela fut dû en partie à ses mérites incontestés, mais aussi, Dieu me pardonne cette mauvaise pensée, au statut matrimonial de l’intéressée et au charme « diabolique » persistant qui est le sien.
@Agafia
Pour l’instant je transcrirai donc votre récit en l’état ( rubrique : COSAQUES) sur
kalinka-machja.
Cordialement.
@Agafia
Il me serait très agréable de reproduire l’histoire de votre famille sur le site
kalinka-machja ( Rubrique consacrée aux Cosaques).
Il me serait très agréable de reproduire l’histoire de votre famille sur le site
kalinka-machja.
@ l’auteur
Entre les « laudateurs » excessifs et les pamphlétaires excessifs il est en effet difficile d’établir un juste milieu.
Chacun répondra donc à votre interrogation en fonction de sa propre idéologie.
A titre de pamphlétaire partisan je citerai en premier lieu Roger Caratini, (1924 - 2009), corse comme l’empereur.
Roger
Caratini, par ailleurs « rédacteur en chef » des 23 volumes de
l’encyclopédie Bordas, a consacré à Napoléon en 2002 un ouvrage incisif
(et controversé), intitulé « Napoléon, une imposture » dans
lequel il n’a pas hésité à le comparer à Hitler, ce qui a fait quelque
bruit dans le Landerneau local et lui a valu l’indignation, voire une
sorte d’excommunication de la part des historiens faisant autorité dans
le docte cénacle de ses confrères « établis ».
L’éditeur (Archipel – 2002) présente ainsi l’ouvrage incriminé :
"
La première dictature militaire des temps modernes, la liberté bafouée
par une police secrète d’État, la censure de la presse, le
rétablissement de l’esclavage aux Antilles, les « décrets infâmes »
contre les juifs, la mort de près de deux millions de soldats français,
le mensonge du Code civil. [….] Roger Caratini démonte, pièce par pièce,
la plus monumentale construction « mythologique » de l’Histoire de
France".
@nono le simplet
A propos de Guillemin
Pamphlétaire : certes.
Historien contesté : assurément.
Historien contestable : cela est moins évident.
Antidote contre la Napoléomania : c’est l’un de ses mérites.
@Laconique
Je partage assez votre avis.
cf. dans site https://www.kalinka-machja.com/
« Les 3 carrières de Charles André Pozzo Di Borgo, »le Corse du Tsar"
Références à Guillemin et Caratini.
@Gollum
Un second degré fort plaisant
@Agafia
VOILA QUI EST FAIT
Cordialement
@ Agafia
Avec votre permission je reproduirais volontiers cette belle aventure sur le site
https://www.kalinka-machja.com/
Rubrique « LES COSAQUES »
à l’auteur
Je me suis permis de transcrire votre bel article sur le site historique :
@jef88
idem.
Expression couramment employée en Algérie au temps de la colonisation.
Équivalente de : « faire l’imbécile ».
Reste à déterminer l’origine de ce « glissement sémantique ».
@ l’auteur
Je fais parvenir ce texte à un mien ami, d’origine algérienne, enseignant en linguistique à l’Université de Lorraine.
Cordialement
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