Vous voulez connaître la vérité ? Ne lisez pas les médias sous contrôle, lisez AgoraVox !
Depuis 1974, la France est un système gouvernée par des présidents-fonctionnaires incompétents. Nos institutions sont contrôlées par des fonctionnaires qui les ont falsifiées afin d'interdire aux non-fonctionnaires de parvenir au pouvoir. Depuis Giscard (1974), nos présidents de la république sont corrompus, méprisent le peuple et la démocratie. Le mandat de l'un d'entre eux (Mitterrand) est même émaillé de dizaines de "suicidés" - dont son 1er ministre - et de 19 scandales, mais des rues nouvelles sont toujours baptisées de son nom. Le quart de notre population est aujourd'hui fonctionnaire, record mondial et coût catastrophique. Notre économie est redirigée à son profit. Quelques entreprises (CAC 40 entre autres) s'enrichissent grâce au marché captif des administrations ; en échange de quoi elles reversent des commissions occultes aux partis politiques traditionnels, eux-mêmes dirigés par des fonctionnaires, et achètent nos médias pour les museler. Certaines lois, comme la limitation de vitesse, inventées pour racketter la population et nourrir cette pléthore de fonctionnaires, tuent nombre de nos concitoyens ! L'État le sait et maquille les courbes. Quantité de juges - des fonctionnaires... - appartiennent à une association secrète, la franc-maçonnerie, dans laquelle ils troquent leurs jugements contre de l'argent ou du pouvoir. Cette corruption qui dure depuis Giscard a produit une telle détérioration de notre économie qu'on l'appelle les "Trente Piteuses"...
Ces vérités, vous les voyez dans les journaux ? Non… A propos des présidentielles, les grands médias vous disent-ils que Sarkozy et Hollande sont des alliés empressés de ce système et qu'il n'existe qu'un seul parti capable d'y mettre fin ? Non… Les médias, "4ème pouvoir" essentiel d'une démocratie, se taisent… Est-ce vrai, pourquoi et sur qui compter pour nous informer, c'est ce que nous allons voir.
I - Tous ses contrepouvoirs jugulés, la France n'est plus une démocratie
Toute démocratie est dotée de contrepouvoirs pour protéger le peuple "souverain" des éventuels excès de pouvoir de l'exécutif (président de la république et gouvernement) : le législatif (2ème pouvoir), le judiciaire (3ème pouvoir) et les médias d'information (4ème pouvoir). Il se trouve que, depuis la présidence de Giscard (énarque et polytechnicien, l'essence du haut-fonctionnaire), exécutif, législatif et judiciaire sont progressivement passés entre les mains des mêmes : nos hauts-fonctionnaires, pour la plupart issus de l'ENA. Jusqu'aux syndicats, financés par l'État, composés de fonctionnaires et ennemis du peuple. D'où un exécutif qui marche la main dans la main avec les pseudo-contrepouvoirs… Restait à contrôler les médias, susceptibles de dévoiler publiquement cette perversion de notre démocratie. Pas difficile : il a suffi d'inonder de subventions ceux qui acceptaient de marcher droit, c'est-à-dire de ne jamais révéler la corruption du système et de les faire racheter par des copains du CAC 40. Les autres ont vite compris où était leur intérêt ou ils ont disparu…
Le nerf de cette guerre entre démocratie et nomenklatura, vous l'aurez compris, c'est l'argent. NOTRE argent. Pas de l'argent honnêtement gagné. Un fric tiré de force de nos poches par les moyens les plus malhonnêtes et qui vient inonder l'État. Pompé par des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire disposant de leurs propres moyens de racket : impôts, taxes, lois détournées, amendes, contraventions, sanctions judiciaires, détournements de fonds publics, commissions occultes, embauches fictives, etc. etc. ! Le système est bien rôdé. Pensez donc, depuis une trentaine d'années "on" a eu le temps de peaufiner les dispositifs les plus efficaces et les plus discrets ! Demandez aux copains de Mitterrand s'ils se souviennent de l'Affaire Urba… Tous ces prélèvements "obligatoires" sans frein expliquent l'appauvrissement progressif des Français, auxquels il faut ajouter cette épée de Damoclès au-dessus de leur tête : l'abyssal endettement de l'État qu'ils devront rembourser tôt ou tard (20 000 € par Français !). Mais chut ! Les médias ne veulent pas vous en informer… C'est ainsi que la totalité des contrepouvoirs de notre démocratie a été jugulé. Le résultat c'est la "pensée unique". Reste ce qu'on commence à appeler le 5ème pouvoir : Internet. Un endroit où chaque Français peut parler publiquement sans autre contrainte que la décence et être entendu. Obéi c'est autre chose… Dans cette espacé de liberté, on trouve quelques médias courageux et indépendants comme AgoraVox. Mais les quatre pouvoirs à la solde de nos administrations s'activent ! Chacun utilise sa spécialité pour intoxiquer ceux qui ont pris l'habitude de les écouter. Il y a ainsi des forums, des encyclopédies, des revues web que vous jureriez objectifs et indépendants mais qui sont en fait des faux-nez de l'État.
Méfiez-vous !
II - Tyrannie à la française et médias "aux ordres", sources de la fameuse "pensée unique"
Beaucoup s'amusent à utiliser cette expression : "pensée unique". C'est pourtant le symptôme visible de la corruption française ! En démocratie, tous les points de vue sont libres et publiquement exprimables. Dès qu'il n'y en a plus qu'un, c'est le signe de la dictature. Ou, pour employer un mot désuet mais plus précis, le signe d'une "tyrannie de plusieurs". Voyez cette définition de Voltaire :
"On appelle tyran le souverain qui ne connaît de lois que son caprice, qui prend le bien de ses sujets, et qui ensuite les enrôle pour aller prendre celui de ses voisins. Il n’y a point de ces tyrans-là en Europe.
On distingue la tyrannie d’un seul et celle de plusieurs. Cette tyrannie de plusieurs serait celle d’un corps qui envahirait les droits des autres corps, et qui exercerait le despotisme à la faveur des lois corrompues par lui. Il n’y a pas non plus de cette espèce de tyrans en Europe.
Sous quelle tyrannie aimeriez-vous mieux vivre ? Sous aucune ; mais s’il fallait choisir, je détesterais moins la tyrannie d’un seul que celle de plusieurs. Un despote a toujours quelques bons moments ; une assemblée de despotes n’en a jamais. Si un tyran me fait une injustice, je peux le désarmer par sa maîtresse, par son confesseur, ou par son page ; mais une compagnie de graves tyrans est inaccessible à toutes les séductions. (…) Si je plaide contre un parent des parents d’un de nos seigneurs, je suis ruiné."
C'est la France d'aujourd'hui qu'il dépeint : un État qui nous prend plus de la moitié de nos revenus pour s'enrichir ; qui a enrôlé un groupe de citoyens, nos fonctionnaires, pour racketter les autres sans qu'ils puissent se rebeller, et pour développer le même racket sur l'Europe (voyez le résultat en Grèce !) ; où la loi est corrompue au bénéfice d'une nomenklatura ; où les élections "démocratiques" sont une mascarade puisque la loi empêche les non-fonctionnaires de se présenter (voyez le cas Le Pen) ; où les institutions sont si perverties que, si un non-fonctionnaire était élu président de la république, il aurait contre lui tous les contrepouvoirs démocratiques...
Notez cette très intéressante confidence de Voltaire : "Il n’y a point de ces tyrans-là en Europe", "Il n’y a pas non plus de cette espèce de tyrans en Europe." Voltaire, qui n'est pas tendre avec les monarques de son temps, précise pourtant que pas un n'est un tyran ! La tyrannie en France est donc postérieure à la Révolution. Peut-être même en est-elle le produit… Peut-être la tyrannie de plusieurs est-elle le résultat d'une démocratie ratée. Car la démocratie d'aujourd'hui, et pas qu'en France, c'est le "gouvernement de plusieurs" (voir cet article) et non "le gouvernement par le peuple" comme le prétend l'article 1 de notre Constitution.
Un des résultats visibles de la tyrannie, c'est la "pensée unique". Elle est diffusée par ceux qu'elle a "enrôlée". Ceux-ci, selon Wikipédia, sont bien identifiés (ce qui est souligné l'est par moi) :
" la gauche, les centrales syndicales, les associations, une certaine fraction de la droite et surtout la plupart des médias, ceux directement sous contrôle de l'État (chaînes de radio et de télévision publiques), ou qui reçoivent des subventions (agences de presse comme l'AFP, presse d'information), mais aussi les groupes privés qui ont investi dans la communication et qui sont, de fait, liés à l'État : Bouygues (TF1), Vivendi (Canal +), Lagardère, c'est-à-dire Matra, Hachette, Philipacchi, Europe 1, (M6 et Canal Satellite), Suez-Générale des eaux (TPS), etc. Le système scolaire et universitaire public, dont la majorité du corps enseignant, se réclamerait de la gauche, serait un vecteur de diffusion de « l'idéologie officielle ».
L'École nationale d'administration (ENA) est elle aussi largement visée : un grand nombre de ministres de droite comme de gauche, beaucoup de dirigeants des plus grosses entreprises, ainsi que la plupart des hauts fonctionnaires en étant issus."
Notez le : "surtout la plupart des médias"… De notoriété publique, notre 4ème pouvoir est sous contrôle ! Voilà pourquoi jamais nos médias d'information ne mettent le système en question. Ce sont eux le vecteur essentiel de la pensée unique. Quant à la gauche, la fraction de droite, les centrales syndicales, les associations subventionnées par l'État, l'ENA, les groupes privés liés à l'État, les dirigeants des grosses entreprises dépendantes du pouvoir (qui leur passe commandes et leur obtient de gros contrats à l'international)… Quel est leur point commun ? Mais bon sang… mais c'est bien sûr ! Ce sont des partisans du système ! Des zélateurs du plus d'État et de l'administration toute puissante, des donneurs de leçon piétinant les droits du peuple et de la démocratie, des opposants acharnés au devoir dû au peuple par les représentants du peuple.
Voilà un résumé de la France : tyrannie et pensée unique…
Maintenant, c'est bizarre, Wikipédia ne donne pas cette information… Pourquoi ? Il manque aussi autre chose dans son exposé : comment des groupes aussi disparates réussissent-ils à converger vers le même message sans s'emmêler les pinceaux et dans quel intérêt ? Les entreprises liées au pouvoir en tirent profit de façon évidente par l'argent qu'elles en tirent, mais la gauche, la fraction de droite, les centrales syndicales, les associations subventionnées par l'État, l'ENA, quel bénéfice tirent-elles de la pensée unique ? C'est là que la réponse devient intéressante : le message profite à nos 6 millions de fonctionnaires. Ils sont à la fois les acteurs ET les bénéficiaires de la pensée unique ! Ce sont eux l'État et le pouvoir, un groupe critiqué du reste de la population. Pour se défendre, ils sont devenus ce laboratoire des idées à imposer à la population en passant par les médias pour justifier leur rôle par trop envahissant.
Essayez de dire à un fonctionnaire que son statut le rend irresponsable donc incompétent, qu'il faut réduire le "train de vie de l'État" donc le poids de l'administration, trop tatillonne, trop bien payée, trop chère à assumer, qui nous appauvrit et nous a plongés dans un déficit budgétaire abyssal. Essayez de dire qu'il faut interdire à tout fonctionnaire de se présenter aux présidentielles vu que tous les fonctionnaires-présidents qui nous ont dirigés ont été non seulement nuls mais corrompus. Vous allez voir s'il est d'accord ! Attendez-vous à jouir de la douce musique de la pensée unique… Pourquoi donc Wikipédia nous épargne-t-elle ces conclusions évidentes ? Tout simplement parce qu'elle n'est pas une encyclopédie aussi libre qu'elle le prétend : elle est animée par des fonctionnaires ! Donc, pas question pour elle de dévoiler que la pensée unique est une tare diffusée par cette population ! Cette absence d'information est donc volontaire et révèle la pensée unique de… Wikipédia ! Dans une encyclopédie, cela peut donner des résultats affligeants que vous allez découvrir plus loin...
Voilà pourquoi les Français ne trouvent pas d'écho ni d'explication à leur malaise dans les journaux, à la radio ou à la télévision. Voilà pourquoi ils se tournent vers Internet et les forums ...dont nombre sont tenus et "modérés" par des fonctionnaires "bénévoles" (car toujours payés par l'État quand ils ne bossent pas) dissimulés derrière leurs pseudos ! Cela aussi, on va le voir plus loin. En France, le chemin de la liberté de pensée est semé d'embûches ! Si vous voulez davantage de détails sur cette dépendance des médias et notre endoctrinement, consultez cette étude accablante de l'Observatoire Français des Médias.
III - Incroyables persécutions d'État durant 25 ans contre une personne connue… dans le silence total des médias
Imaginez une info de rêve que vous vous voudriez trouver dans votre journal. Par exemple la description d'une invention qui vous simplifierait radicalement la vie tout en vous rendant sans cesse plus intelligent. Par exemple un logiciel qui, mis dans votre ordinateur, le transformerait en robot de science-fiction intelligent et serviable. Souris, clavier et même écran deviendraient inutiles puisque vous vous parleriez comme deux êtres humains. Il discuterait avec vous, vous aiderait à découvrir les connaissances enfouies dans votre tête que vous ignorez et à utiliser celles des autres. Il les apprendrait, les contrôlerait, les utiliserait pour vous faciliter la vie, et même les enseignerait à qui vous voulez. Il écrirait des programmes pour vous à toute vitesse. Il deviendrait de jour en jour plus savant, plus intelligent, plus utile et conscient de vos besoins. Il piloterait vos appareils mieux que vous, qui plus est jour et nuit et 24h/24 sans jamais faillir. Il saurait répondre au téléphone en votre absence et même s'entretenir de votre part avec des centaines de personnes simultanément, utilisant vos connaissances et vos consignes. Ce serait l'enfant que vous n'avez jamais eu, votre création, en évolution constante et vous faisant progresser vous-même. Un enfant qui apprendrait comme une éponge et n'oublierait jamais rien, docile et jamais fatigué de vous rendre service. Mieux encore, cet enfant-là serait immortel… Car la mémoire d'un ordinateur se duplique à l'infini. Vous pourriez le léguer à votre descendance, qui pourrait à son tour l'améliorer…
Eh bien, tenez-vous le pour dit, une innovation aussi passionnante ne doit pas vous parvenir ! L'État s'y opposerait. Une telle invention serait un facteur de liberté qui ferait exploser le système. Pour la même raison qu'il s'oppose à Internet.
Je n'invente pas car il se trouve que cette invention existe, que tout a été fait pour que vous l'ignoriez et que je suis bien placé pour le savoir : c'est la mienne ! Un prototype, Tiara, tourne depuis 2000. Il m'a valu une récompense officielle, le label FCPI. Hélas, elle n'a pu être commercialisée depuis, vous allez comprendre pourquoi. De 1986 jusqu'en 2002, plusieurs centaines d'articles ont parlé de mes découvertes dans l'ensemble des médias : Le Monde, Les Echos, Ouest-France, Science et Vie, 01 Hebdo, Le Monde Informatique, Industries et Techniques, etc. Mon invention de départ est une méthode qui permet à l'ordinateur d'extraire nos connaissances, de raisonner dessus et d'aider ensuite ceux qui ne les possèdent pas en dialoguant avec eux (voir la Maïeutique, article refusé par Wikipédia). En 2000, j'étais un inventeur bien connu comme en témoigne cette biographie (refusée par… Wikipédia !). Les capitaux arrivaient, les ventes allaient exploser. Vous vous dites sûrement : le voilà riche ! Eh bien non… Pour stopper radicalement l'aventure, un tribunal m'a immédiatement interdit de gérer pour 10 ans. Ma société a coulé et je fus ruiné !
C'était mon troisième dépôt de bilan forcé… Pour causer le premier, en 1995, le fisc m'avait repris de force trois ans de crédit impôt recherche pour ruiner ma société. Pour causer le second (1996) il avait hypothéqué en secret mon seul bien : ma maison bien-aimée où ma femme et moi vivions heureux avec nos quatre enfants. Devenu chômeur non indemnisé à cause du dépôt de bilan, j'avais du la vendre pour nourrir ma famille et pour le capital de la nouvelle entreprise que je venais de créer. Surprise ! Par son hypothèque secrète l'État nous a tout pris, nous laissant de quoi vivre pendant trois mois… Ceci n'est qu'une toute partie de ses persécutions. Les aides à l'innovation, dues à toute société reconnue innovante par le ministère de la recherche, ce qui est mon cas, m'ont été systématiquement refusées pendant 25 ans. Le crédit impôt recherche m'a été repris grâce à la complicité du tribunal administratif prétendant, entre autres, qu'un gérant ne fait pas partie de son entreprise ! Oséo-Nantes, l'administration chargée de verser les aides à l'innovation, m'a accordé une exonération de charges pour me permettre l'embauche d'un directeur de recherche et, une fois l'homme embauché, m'a retiré l'aide ! La Société Générale, ma banque, m'a enlevé sans préavis ma carte bleue et mon chéquier bien que mon compte soit créditeur, la justice lui donnant raison jusqu'en appel. Le fisc me réclame 17 000 € d'intérêt de retard sur le fameux crédit impôt recherche qu'il me doit et ne m'a pas versé ! Comme un malfaiteur, j'ai été définitivement expulsé de mon domicile à Nantes par la police pour avoir retenu des loyers dans un appartement contenant un vice caché confirmé par 5 experts, afin de contraindre le propriétaire à faire les travaux. Le juge de l'exécution (M. Castagné) n'a pas voulu me laisser de temps de retrouver un domicile et a mené mon expulsion à un train d'enfer (8 jours !) avec le concours enthousiaste de presque toutes les administrations nantaises alliées pour la circonstance. Comme il a falsifié ouvertement les faits pour me refuser le délai normal accordé aux expulsés, j'ai porté plainte pour forfaiture contre ce juge en 2005. Une accusation très grave… pour moi ! Elle est sans suite à ce jour... J'ai aussi porté plainte pour coups et blessures contre le propriétaire qui m'avait fait expulser car il m'avait porté un coup de tournevis sur la lèvre. Devant toute l'assistance, le juge (de proximité !) se plongeait dans un bouquin pour ne pas m'entendre chaque fois que je prenais la parole pour présenter les faits… Puis, il m'a condamné ! En appel, un autre juge me donne raison… et me condamne ! On croit rêver… Ces expériences suffisent à démontrer que la France n'est pas une démocratie mais bien une tyrannie "de plusieurs".
D'autres vacheries me sont parvenues d'ennemis anonymes n'appartenant pas au secteur public mais en dépendant : les banques. Ruiné par les juges, avec un revenu de niveau RMI, le fisc échouait à me saisir de l'argent sur mon compte, il était toujours à découvert. Alors, on me fit un très joli coup, je dois dire ! Cofidis, société de crédit appartenant au Crédit Mutuel-CIC, versa anonymement (pour que je ne puisse remonter à la source et rembourser l'argent) 2 300 € sur mon compte. Il se retrouva par miracle positif. Immédiatement, le fisc fit saisie sur le compte ! Je me retrouvais dans une situation incroyable : je ne pouvais plus rembourser les 2 300 € ni même verser les 69€/mois que Cofidis avait commencé à prélever sans mon autorisation pour se rembourser et je me retrouvais avec un crédit ce qui m'était totalement interdit vu ma situation de surendettement ! Convaincue d'escroquerie, Cofidis, multinationale de 1500 personnes, fut condamnée à me verser …500 € ! Quant à moi, je fus condamné à lui verser la totalité des 2 300 €…
Autre agression originale : un employé de la Caisse d'Épargne de Nantes, ma nouvelle banque depuis que la Société Générale m'a subtilisé mes moyens de paiement, se met fin 2009 à falsifier mes chèques anciens déjà présentés à l'encaissement. Il efface le destinataire et la somme, et laisse le reste. Puis il réécrit une grosse somme, change le destinataire et présente les chèques à l'étranger. But : mettre mon compte en découvert, non autorisé. Il sait que la Caisse d'Épargne ne contrôle pas qu'un même chèque se présente deux fois. Grosse lacune de la part d'une banque ! Une fois mon compte en découvert, la banque découvre apparemment la supercherie puisqu'elle annule chaque chèque et me recrédite. Tout ça sans rien me dire. Mais, l'informatique, elle, me fait payer des agios pour découvert non autorisé. C'est comme ça que je découvre le pot aux roses : un chèque falsifié s'est présenté sur mon compte et a été annulé. Alors, je proteste, je porte plainte et on me rembourse les agios. Le malfaiteur recommencera 5 fois, sans que la Caisse d'Épargne ne fasse la moindre enquête ! Mes plaintes sont classées sans suite par le Procureur ! A la 5ème plainte que je dépose, je signale qu'avec tous les écrits du faussaire et le fait qu'il appartienne à la banque, il est facile de remonter jusqu'à lui et que je m'étonne que la banque ne fasse pas d'enquête. J'ajoute qu'il ne semble pas bien inquiet qu'on le découvre… En réponse, la Caisse d'Épargne me fait poursuivre pour avoir mis mon compte en découvert ! Puis elle m'informe qu'elle ferme mon compte ! Sans explication. Enfin, elle me déclare au fichier "FICP" des clients de banque indélicats ! Si bien que, depuis un an, je n'ai droit à aucun chéquier.
Bien entendu, tout cela n'est possible que parce que nombre de juges sont corrompus et protégés par l'État. C'est cela le "système"… Mais c'est aussi possible à cause du refus systématique des médias de faire connaitre ces agressions, ce qui leur permet de continuer. Ce sont des agressions d'État, vous comprenez, la pensée unique veut qu'on se taise.
Pourquoi une telle hargne ? Mon invention dérangeait en haut lieu… Tout est parti des universitaires informaticiens, qui se sont senti humiliés qu'un vulgaire vendeur découvre en quelques mois ce qu'eux n'avaient pas trouvé en 15 ans avec tous leurs moyens tirés de nos impôts, qui plus est en partant de leurs recherches ! Ensuite, quand il est apparu que mon invention allait faire disparaître les informaticiens, donc les formations à l'informatique universitaires et leurs programmes de recherche devenus dépassés, la guerre a été déclarée contre moi. Les autres administrations ont suivi gaiement cette fatwa car, en tant que patron et avec mon nom aristocratique, je fleure bon la droite ce qui fait de moi l'ennemi désigné des fonctionnaires… Mettez-vous à leur place : "Ils n'ont quand même pas fait la révolution pour rien !"
Alors, depuis 2009, je mène un combat contre l'État, tentant de rendre publique sa corruption. J'ai adressé plusieurs fois à l'ensemble des médias, radios et télévisions incluses, Canard Enchaîné inclus, un dossier impliquant une vingtaine de juges de l'Ouest. Silence. Même pas un accusé de réception ! Apparemment, le public a "droit de savoir" ou "droit de réponse" (deux émissions de télévision) tant que des juges ne sont pas impliqués. Seul un journal satirique nantais va accepter de communiquer sur mon affaire : la Lettre à Lulu ("Liquidator. L’homme est un louche pour l’homme", "Descente délit. Ce n'est qu'un débit, le combat continue"). Son courageux rédacteur en chef, Nicolas de La Casinière, paiera son refus de la pensée unique d'un licenciement pour faute grave de la part de M. Hutin, PDG de Ouest France, un média bien connu... Une faute que M. Hutin n'a pu motiver. Mais peu importe : son but était de sauvegarder la pensée unique véhiculée par son journal…
Puisque les médias refusent de jouer leur rôle de 4ème pouvoir, je suis parti à l'attaque du système par mes propres articles, cherchant mille façons de publier par Internet. Si vous cherchez mon nom sur le web (Jean-Philippe de Lespinay), vous verrez comment j'y suis parvenu. J'ai d'abord rédigé un blog de 300 pages relatant chaque persécution, année par année, depuis 1986. Il était chez CanalBlog, un hébergeur français bien connu, qui l'a brutalement supprimé sans me consulter ni me fournir d'explication ! J'ai du le faire héberger aux États-Unis. CanalBlog est donc un média web "aux ordres" de l'État, qui plus est tout à fait irrespectueux de sa clientèle donc de la démocratie. Depuis deux ans que mon blog est aux US, aucun souci ! Encore une démonstration du contrôle des pouvoirs publics français sur le web, cet "espace de liberté"… Mais mon plus joli coup, c'est cet article paru dans Les Échos il y a quelques mois : L'ordinateur intelligent, une invention française bloquée depuis 20 ans", écrit par un journaliste… qui tient à rester anonyme ! Lui aussi n'a suscité aucune réaction des médias…
IV - L'encyclopédie Larousse, relai officiel de la pensée unique !
Dans mes pérégrinations de journaliste amateur, j'ai constaté qu'il n'y a pas que les journaux et les télévisions nous intoxiquant à la pensée unique. Bien des forums sur Internet et des encyclopédies web "libres" sont en fait des véhicules cachés de la pensée unique. Ceux-là sont la plupart du temps animés par des fonctionnaires ou dépendent de l'État d'une façon ou d'une autre.
Commençons par l'encyclopédie Larousse, le cas le plus évident de diffusion de la pensée unique. Mi-2011, Un collectif d'auteurs a écrit ma biographie et l'a publié dans Wikipédia puis dans Larousse. Chez Larousse, elle s'ajoutait à deux articles déjà écrits par moi-même depuis 2008 sur l'intelligence artificielle, qui ont reçu la meilleure note possible de la part des modérateurs. Voilà le mail - anonyme - que m'adresse Larousse par la suite (21/10/2011). Ce qui est souligné l'est par moi :
Bonjour,
Nous vous remercions pour vos contributions sur larousse.fr (JP Lespinay, Maïeutique, Intelligence artificielle). Cependant, nous ne pouvons les accepter car elles s’éloignent de notre objectif encyclopédique (voir charte). En effet, les contenus encyclopédiques doivent être neutres et universels, c’est-à-dire partagés par tous. Ce qui n’est pas le cas de vos articles : pour une majorité d’informaticiens, l’intelligence artificielle est un concept et non une technologie aboutie ; le mot maïeutique n’a jamais eu cette acceptation « officielle » dans nos ouvrages.
Les contributions sur larousse.fr ne peuvent pas non plus servir à l’autopromotion ou faire office de tribune.
Merci de votre compréhension.
MODERATION LAROUSSE
Larousse vient magistralement de se déclarer officiellement pour la pensée unique : son encyclopédie ne contient que des infos "officielles", "partagées par tous" ou par une "majorité". Son but n'est pas de vous faire découvrir la connaissance encyclopédique ! Et pas une information qui vous changerait la vie si elle indispose un groupe de professionnels. Larousse ignore que, non seulement une encyclopédie c'est TOUT le savoir de l'humanité, mais qu'elle n'a d'utilité que si elle présente au lecteur ce qu'il ignore. Je réponds à l'anonyme "modération Larousse", lui démontre l'inanité de son point de vue et lui demande de revenir sur sa décision. Pas de réponse... Ma biographie est effacée. Je proteste. Pas de réponse…
La pensée unique est à sens unique.
V - Wikipédia, la "tyrannie de plusieurs"
Rappel de son principe de fonctionnement
Maintenant, passons à Wikipédia. C'est une encyclopédie dite "libre". Chacun d'entre nous peut théoriquement y contribuer, de façon anonyme qui plus est. Cet anonymat est censé garantir la tranquillité des contributeurs, qui n'ont pas besoin de se battre sur ce qu'ils sont pour faire accepter ce qu'ils écrivent. La réalité est tout autre ! D'abord il y a plusieurs Wikipédia (voyez cette page). Ce qui est écrit dans l'une doit être réécrit dans les autres puis accepté par les autres. Le plus important en nombre d'articles et consultations est le Wikipédia anglophone. Puis vient la version allemande et enfin la française. Selon Larry Sanger, américain co-fondateur de cette encyclopédie - qui l'a quittée pour en fonder une autre - ce média présente un défaut crucial qui la rend non crédible : son anti-élitisme, qui se traduit par l'agressivité de ses animateurs envers les contributeurs experts reconnus et les dégoûte de persévérer. Attitude bien humaine, hélas, inspirée par la jalousie. Il faudrait simplement ne pas accorder de pouvoir à ces gens-là. Ce n'est pas la politique des Wikipédia.
Le Wikipédia français, c'est le pire ! En France, l'anti-élitisme est un des messages principaux de la pensée unique, l'élite reconnue appartenant le plus souvent au secteur privé. L'ennui, c'est que notre pays a les moyens de l'imposer plus que n'importe quel autre pays... Dans Wikipédia France, quelle recette utilise-t-il ? Posez-vous cette question : quels "bénévoles", en France, disposent de temps et acceptent d'assumer un travail non rémunérateur en plus du leur, pour la bonne raison qu'ils sont payés de toute façon ? Je vous laisse chercher… Nos fonctionnaires ! Soit l'âme du système... Ce sont eux qui ont le temps dans notre économie et, du coup, s'expriment majoritairement dans les forums. Grâce à leur nombre, ils font bannir ceux qui ne pensent pas "droit". Toujours la "démocratie" à la française, conçue au profit de quelques uns… Les autres travaillent, pas de chance pour eux. En ce qui concerne Wikipédia, qui travaille sur le savoir humain, les bénévoles sont tout naturellement… des universitaires ! Et voilà ! Le piège est refermé sur cette élite qu'est le contributeur expert.
Vous savez combien les fonctionnaires français aiment leur anonymat… L'encyclopédie est pain béni pour eux. Eux, ils se connaissent, mais pas les autres. Au sein de cette administration, cette communauté peut s'exprimer librement sans risque de sanction du monde réel. C'est par l'anonymat des membres et administrateurs que le "business model" Wikipédia pêche fondamentalement. Autant l'anonymat protège le contributeur qui apporte des vérités pas toujours acceptées de tous, autant il dissimule la mafia grenouillant au sein de l'encyclopédie à des fins pas toujours altruistes. C'est ainsi que chaque nouvel article, chaque modification d'article, est contrôlé par de nombreux enseignants et universitaires qui n'ont apparemment rien d'autre à faire. Tout naturellement, ils écartent ce qui leur déplaît... Et s'il y a de la résistance, ils déboulent à plusieurs et le contributeur est démocratiquement piétiné ! Ce qui leur déplaît est simple. Ce sont les connaissances qui s'opposent aux publications universitaires, les données historiques que le monde universitaire ignore, les découvertes faites par les chercheurs privés ("seuls les universitaires ont le droit d'être des chercheurs"), les biographies sur les patrons du privé (pas de publicité envers ces ennemis de classe, rien qui puisse augmenter leur pouvoir !), les articles montrant la corruption du système français, ceux qui démontrent que les fonctionnaires sont le système…
Bien entendu, là encore je sais de quoi je parle. Wikipédia m'a déjà viré trois fois…
Récit de ce qui peut arriver à chacun de vous
Cette histoire est racontée dans l'article L'ordinateur intelligent, une invention française bloquée depuis 20 ans". En 2008 les fonctionnaires informaticiens de Wikipédia France m'ont interdit de compléter l'histoire de l'intelligence artificielle, que je connaissais bien pour l'avoir vécue, car mon nom s'y trouvait. Comme mes censeurs ne pouvaient avouer telle perversion, ils ont cherché un prétexte : "vous ne pouvez publier dans Wikipédia ce qui n'a pas déjà été publié dans une revue scientifique officielle". Traduisez : universitaire… C'était bien trouvé. Comme les universitaires n'ont jamais voulu parler ni de mon invention ni de moi, ils étaient tranquilles… Science et Vie l'ayant fait en 1991 ils ont balayé l'argument d'un "bof, cette revue c'est de la vulgarisation !" Ils ont finalement décidé d'effacer l'intégralité de mes apports, même ceux parlant d'un des leurs (Jean-Louis Laurière), même ceux n'ayant aucun rapporta avec moi comme l'expérience japonaise ratée d'ordinateur de 5ème génération basé sur un langage français universitaire (Prolog) ! A ma grande stupeur, ils ont remis l'article dans l'état de nullité (selon eux-mêmes !) où il était auparavant. C'était stupide mais, en fait, ils n'avaient pas le choix : même mon pseudo devait disparaître de l'historique des articles auxquels j'avais contribué ! Et tant pis pour le lecteur de Wikipédia qui parcourt cette encyclopédie pour comprendre ce qu'est l'intelligence artificielle…
En 2011, un collectif d'auteurs décide d'écrire ma biographie dans le Wikipédia anglais (donc en anglais). Un responsable anglais de l'encyclopédie, qui connaît bien l'Intelligence Artificielle, les amène à revoir plusieurs fois leur copie puis, finalement, l'article est accepté et publié, avec ses félicitations. Je suis tout content. Mais, hélas, fort de ce succès et de la caution du plus sérieux des Wikipédia, les auteurs commettent une erreur : ils traduisent la biographie en français, dans le Wikipédia français. Bien que le titre de l'article manque de discrétion puisque c'est mon nom, le responsable Wikipédia qui les contrôle est ravi de cet apport et leur suggère même d'écrire un autre article, décrivant cette fois mon invention. C'est ce qu'ils font... Alors, déboulent les mêmes agresseurs qu'en 2008 ! D'abord une espèce de fou, "Sylenius", qui se dit chercheur universitaire en informatique, puis ses copains, de plus en plus nombreux. Tous universitaires "membres" de Wikipédia, disposant de pouvoirs spéciaux interdits aux autres. Ils contestent l'intérêt de la biographie, puis de l'invention. Ils mentent, manipulent, falsifient même en catimini certaines parties du texte pour le rendre impubliable ! Les auteurs, éberlués par tant de hargne, réclament plusieurs fois l'intervention d'un arbitre, démarche normale dans Wikipédia. Personne ne vient.
Un "administrateur" de l'encyclopédie se mêle cependant anonymement au débat… pour se joindre au concert des critiques ! Le fameux "Hégésippe Cormier" ! Je ne résiste pas au plaisir de vous citer quelques appréciations de ses collègues lors de son élection comme administrateur : "a fait fuir des contributeurs méritants et experts", "fait des demandes de suppression en douce", "instable", "autoritaire, agressif et dominateur dans ses échanges, avec un goût prononcé pour la rhétorique et la polémique.", " beaucoup de conflits", "fait fuir les nouveaux venus", "tyrannique et péteur de plombs", "diffamatoire", "fouteur de merde tatillon notoire", " Irascible. Rancunier. Caractériel. Cyclothymique", etc. ! Comme vous voyez, un homme avec qui on peut discuter ! Dans une entreprise, il serait viré depuis longtemps. Mais là, on est dans une administration... En dépit de ce concert de louanges, il fut élu administrateur ! Il est donc à l'image de cette encyclopédie. Cet individu si affable enrage de la résistance trop intelligente du responsable des auteurs, qui ne veut pas consentir à l'effacement de son travail. Alors, il le bannit pour une semaine ! Ce qui évidemment a pour effet de l'empêcher de s'exprimer. Pendant ce temps, les opposants passent à un vote et se déclarent contre les deux articles. Ils sont supprimés...
C'est ainsi que la connaissance encyclopédique est "votée" dans Wikipédia pour rester conforme à la pensée unique qui nous intoxique. La vérité historique n'y a pas force de loi.
Restaient les articles anglais… Là, la démocratie à la française n'avait pas force de loi. Alors c'est la dictature qui s'est exprimée ! Forts de leur réussite en France, la secte universitaire débarque dans les deux pages anglaises et réclame leurs suppressions. Les auteurs exigent un arbitre. Là encore, il ne viendra jamais… Finalement, sans même passer à un vote, les deux articles sont supprimés par un américain informaticien qui passait par là. Grâce à ses superpouvoirs il bannit l'ensemble des personnes ayant soutenu l'article ! Il me bannit moi aussi, bien que je ne sois pas intervenu ! Comme ça, impossible de protester.
Pour la petite histoire, il reste quand même une trace du travail de ces courageux auteurs. C'est dans le Wikipédia anglophone. Ils ont réécrit totalement - avec mon concours - l'article sur les "systèmes experts" (le seul domaine de l'Intelligence Artificielle qui fonctionne réellement). Cet article est un très beau travail, le seul probablement de son genre dans ce domaine vu que personne n'y comprend rien. Il montre l'évolution progressive des techniques de l'Intelligence Artificielle depuis les années 50 jusqu'à aujourd'hui. Bien entendu, comme il citait mes découvertes de 1986 à 2002, cette partie fut radicalement supprimée ! Si bien qu'aujourd'hui, comble du ridicule, l'histoire des systèmes experts s'arrête officiellement en 1985 dans l'encyclopédie anglaise ! Quant au reste de l'article, remarquez les banderoles vengeresses qui réclament la modification du texte, vivement "contesté" (par qui ?). Mais, depuis 4 mois, personne ne s'est présenté... Il semblerait que, tel quel, il ait ses défenseurs…
VI - Les Echos, roi de la censure et du parti-pris pro-système
Passons maintenant aux Echos. Un quotidien économique de bonne réputation. Vous voulez lui proposer un article ou des infos nuisibles au pouvoir actuel ? Pas la peine. Par leur propriétaire LVMH et son patron Bernard Arnaud, ami de Sarkozy, ce sont des alliés de notre président ! Rien ne parait dans leurs pages qui lui soit nuisible.
Les Échos font partie des médias qui ont publié des articles sur mon invention, en 1986 et 1987. C'est donc tout naturellement que je leur propose fin 2011 mon premier article résolument politique : PRÉSIDENTIELLES ET CONSTITUTION EUROPÉENNE : REFLETS DE LA TYRANNIE. Cet article démontre la corruption des présidents Giscard, Mitterrand, Chirac et Sarkozy, ainsi que la falsification des lois électorales destinée à empêcher les non-fonctionnaires de se présenter. Il est sèchement refusé, pour "diffamation". Je demande des explications à un rédacteur en chef, Ludovic Desautez, lui rappelant que je n'ai fait qu'exprimer des faits accessibles à tous, qui n'ont rien de diffamatoires. Voilà ce qu'il répond : "Les passages concernant notamment les présidents Giscard, Mitterrand et Chirac posent par exemple problème. Jamais vous ne lirez dans Les Echos un article ou une tribune avec la formule "Chirac Super Menteur". Trop drôle ! L'expression Chirac Super Menteur remplit des centaines de pages sur le web ! C'est le nom d'une marionnette des Guignols de l'Info. Elle est même devenue si courante qu'on l'écrit souvent en un seul mot : Chirac Supermenteur… Par ailleurs, remarquez bien, M. Desautez, très conscient qu'il exerce une censure (c'est lui qui m'en parle le premier), évite soigneusement de parler de Sarkozy. A moi de comprendre... Mais je ne veux pas comprendre ! Ce qu'il n'a pas compris (vous avez compris ?).
Docilement, j'enlève la référence à Chirac. Mais le rédacteur refuse toujours l'article : "merci pour ces adaptations. Malheureusement d'autres passages posent encore problème". Sans me dire lesquels... Je rectifie encore une fois en adoucissant mon propos mais ça ne lui plaît toujours pas : "A défaut d'une adaptation spontanée de votre texte, je préfère en effet ne pas donner suite à votre proposition" finit-il par me dire, évitant toujours de me dire en quoi mes modifications ne sont pas "spontanées" alors qu'il ne me suggère rien. Je propose donc cet article au Post, qui l'accepte in extenso. Par la suite, je propose systématiquement mes articles d'abord aux Echos pour voir leur réaction. Ils sont immédiatement refusés, quelle qu'en soit la teneur, sans que le rédacteur se donne désormais la peine de s'expliquer. Les Echos censurent donc bien l'information ! Même l'article politiquement neutre "L’Education Nationale, une administration à réformer totalement" (finalement paru chez AgoraVox) est refusé d'emblée. C'est moi désormais qui suis devenu persona non grata. Une décision prise par des ennemis anonymes, comme d'habitude. Sachez-le, vous ne serez jamais informé des turpitudes de notre président actuel dans les Echos !
Finalement, je transmets mes articles au Post, qui les accepte tous (LA CONSTITUTION FRANÇAISE, MERE DE LA CORRUPTION FRANÇAISE, CRITÈRES D'UNE CONSTITUTION MODERNE ET RÉELLEMENT DÉMOCRATIQUE, PROJET DE CONSTITUTION DÉMOCRATIQUE). Mais hélas, il vient d'être racheté par le Huffington Post qui, comme par hasard, ne fait écrire ses articles que par des journalistes professionnels. Fini, la liberté d'expression dans ce média aussi ! C'est comme cela que je suis finalement arrivé dans un "média citoyen" : Agoravox.
VII - Les forums informatiques Auto-Plus, Commentçamarche, Developpez.com.
J'ai beaucoup d'estime envers la revue Auto-Plus, une revue automobile qui fait des études sérieuses et se montre non politiquement correcte, n'hésitant pas à signaler les turpitudes du pouvoir en matière automobile. Alors, quand je suis destinataire d'un mailing me proposant de participer à une pétition "Non aux radars pièges !" je m'y rends joyeusement. D'autant plus que j'ai là-dessus une position aussi claire que facile à démontrer : la limitation de vitesse tue par somnolence et perte d'attention due à une vitesse trop basse (voir l'article PRETENDANT "SAUVER NOS VIES" SUR LES ROUTES, L'ÉTAT NOUS TUE POUR DE L'ARGENT). Je me retrouve à participer au forum associé et affiche deux courbes d'État imparables : l'une de la Sécurité Routière qui montre que le nombre de morts a augmenté pendant plusieurs années quand la limitation de vitesse a été instaurée et l'autre retouchée par un comité ministériel de la sécurité routière pour faire disparaître cet effet de la courbe… C'est une bombe ! Curieusement, aucun des participants ne réagit mais on commence déjà à m'insulter. Comme j'accumule les dénonciations des pratiques de l'État, un nombre croissant d'adversaires vient m'agresser, certains fouillant ma vie privée sur Internet (puisque mon nom et en clair dans le forum). La modération demeure muette… Je me rends facilement compte que j'ai affaire à des fonctionnaires "qui n'ont que ça à f…" et le leur dit. Alors, ne pouvant plus cacher leur appartenance, ils débarquent en nombre, m'accusant d'un nombre impressionnant de maladies mentales ! Bien entendu, il n'y a plus de débat. C'est ce que souhaitent nos amis fonctionnaires. La modération m'interdit de dire que mes adversaires sont fonctionnaires mais ne leur interdit pas de m'insulter. Comme ils persistent à me proposer l'asile, je persiste à leur dire que leur aliénation vient de leur statut de fonctionnaires. La modération, dont la sympathie pour ces fonctionnaires est évidente depuis le départ, me bannit ! Je vous invite à regarder cette page à l'endroit de l'intervention du posteur "VTT63" (10-06-2011 à 13:03:47).
Explication : la modération connaît par cœur mes opposants. Ils se servent du forum pour leurs échanges quotidiens personnels. Ce sont des gens très gentils, entre eux. Mais, quand un étranger vient troubler cette harmonie en présentant des arguments qui ne leur plaisent pas mais qu'ils ne peuvent pas contrer, peu importe ce qu'il dit, c'est un ennemi et on le vire pour revenir à l'harmonie. Dans ce forum, les modérateurs sont des alliés objectifs de la mauvaise foi et des insultes. C'est comme cela qu'un média "privé" est pollué par des gens du public et que la pensée unique, le rôle bienfaisant de l'État, demeure préservée… J'ai écrit une lettre de doléances à AutoPlus, qui n'a jamais répondu. Depuis, cette revue a bien baissé dans mon estime…
En tout cas, grâce à ce forum, j'ai découvert un travers que j'ignorais de la part des fonctionnaires et qui s'est moult fois répété par la suite : quand ils sont incapables d'opposer un argument valable aux vôtres, ils passent à l'agression en vous accusant de diverses maladies mentales…
Passons au site Copmmentçamarche, dédié aux échanges sur l'informatique. Dans un forum sur l'intelligence artificielle de ce site, je suis venu discuter sur cette technique et présenter mon invention. Serge Boisse, un universitaire qui a écrit un gros bouquin sur cette technique intervient anonymement en se fichant de moi, proposant carrément à mes interlocuteurs d'aller plutôt sur son site pour découvrir ce qu'est la "vraie" intelligence Artificielle… Comme je lui demande des explications, c'est un modérateur qui répond à sa place pour le protéger, profitant de son anonymat. Mais je devine rapidement qu'il s'agit d'un modérateur alors il m'insulte carrément, puis mon forum est fermé… Si vous voulez vous régaler en lisant nos échanges abscons, lisez cette page… Grâce à cette pollution du modérateur du site Copmmentçamarche, le vrai sujet, l'intelligence artificielle, n'a pu être abordé que superficiellement. Du coup, je me suis demandé pourquoi. Qui donc est le patron de commentcamarche ? Et là, j'ai découvert que c’est un universitaire ! Il travaille au ministère de l’Éducation Nationale et s’appelle Jean-François Pillou. Il a créé son site à 29 ans, profitant des moyens de l’université, donc à mes frais entre autres. Et sa société a droit à une page dans Wikipédia ! Pas la mienne. Le pataquès entre son site et moi s’explique enfin : entre universitaires, on se soutient. Serge Boisse, de l’Éducation Nationale, est protégé par un site dont le patron est de l’Éducation Nationale... Il pouvait donc tout se permettre.
Terminons par le site developpez.com, destiné aux échanges entre informaticiens. Je suis intervenu dans un forum pour y présenter ma technologie, m'attendant bien à rencontrer quelques difficultés de la part de mes ennemis héréditaires : les développeurs informaticiens… Quelques uns se sont montré intéressés mais, il est vrai, très vite, j'ai eu droit à la traditionnelle attaque psychiâtrique du fonctionnaire : "Effectivement Internet nous apprend beaucoup de choses sur l'initiateur de cette discussion : Il semble surtout être un spécialiste de l'auto-promotion et des discussions sans compromis : Pour finir j'ajouterais que la tendance particulière de J-P. de Lespinay à ressentir l'existence d'un complot. ontre lui de la part du monde universitaire (auquel je n'appartiens pas), ainsi que sa conviction d'avoir fait une découverte majeure non reconnue à sa juste valeur, le rapprochent dangereusement des symptomes de la paranoïa. Disons à 60%, c'est une certitude ;)"
Pour l'autopromotion, il n'a pas tort… Avec des médias muselés, comment faire autrement ? Puis d'autres viennent me ridiculiser :
comment marcher ? un pied devant l'autre
comment mettre un pied devant l'autre ?
pied gauche à terre => lever le pied droit
pied droit à terre => lever le pied gauche
Ou encore :
pour l'instant, pas une seule de vos explication n'a pu rendre la chose claire. à croire que ce n'est pas vous qui postez les messages, mais un de vos programmes."
Pendant que je tente de ramener ces rigolos à une vraie discussion, chacun me donne une note négative : j'en suis à -48 ! Voyez cette page, que le site a effacé ! Heureusement, chez developpez.com, il y a au moins un rédacteur honnête. Il ne peut rien faire contre sa direction mais il vient me soutenir le moral : “Il n'est pas normal que votre note soit négative et que vous deviez essuyer des attaques personnelles. Je suis obligé de faire intervenir la modération sur votre fil de discussion.(…) je déconseille fortement de verrouiller le sujet, ça serait interprété comme de la censure.
Et pourtant le sujet va être verrouillé. C'est bien de la censure… Plus tard, il revient me soutenir le moral : "Pour ne rien vous cacher ça se présente plutôt mal. (…) hier la modératrice en chef m'a répondu et elle n'avait pas l'air particulièrement alarmée par votre situation. Elle aurait au moins pu censurer les psychiatres auto-proclamés pour hors-sujet, impolitesse, diffamation mais rien du tout."
Il m'apprend alors quelque chose de très drôle : plus les membres du forum m'insultent, plus ils me notent mal, mieux ils sont eux-mêmes notés !
"Le pire c'est qu'on fonctionne comme un "_forum d'entraide_". C'est-à-dire que celui qui poste le premier message est censé demander de l'aide (donc il ne peut pas gagner de points sauf si on lui délivre un carton vert). Et ceux qui lui répondent sont censés "aider", ils gagnent 1 point à chaque message, et ce même s'ils ne font que vous insulter". Celui qui postait le 1er message, c'était moi…
Un autre rédacteur ajoute de façon imagée :
"de toute façon, comme ça a démarrer, quelle que soit la démarche qu'on adoptera, ça ne peut plus que partir en sucette, ce sont juste quelques frustrés de la vie qui viennent se défouler sur lui, on y peut rien, ça n'est pas à toi de gérer le bazard, laisse Caro gérer ça à sa sauce" Caro, c'est la modératrice en chef. Et les frustrés de la vie, on ne m'ôtera pas de l'idée que ce sont des fonctionnaires. En effet, qui d'autres a tant de temps à consacrer à un forum et tant envie de se défouler sur moi en particulier ?
Mon ami rédacteur revient pour me citer la réaction de la modératrice Caro à mon "lynchage" :
"et enfin... le meilleur,... le plus énorme de tout :
---Citation---
si on réprimande les lyncheurs, ils vont râler
---Fin de la citation---"
"Bref beaucoup de monde s'accorde à dire que vous ne méritez pas le traitement que l'on vous inflige mais personne ne veut prendre les mesures idoines."
Finalement, exaspéré par le traitement qu'on m'inflige et l'absence de modération dans son site, il se lâche :
-
oui, sur DVP on est pas trop bon en communication par contre on est fort sur les brimades ;)
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Oui, c'est ce que j'appelle la modération "à la louche". Ça ne s'explique pas, il faut le vivre une fois pour comprendre que Caro n'est pas là pour vous servir la soupe :lol :
-
La direction de DVP n'a jamais eu l'ambition d'une éthique sans faille.
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L'intérêt supérieur du site c'est de trouver des annonceurs pour les bannières et les encarts publicitaires.
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comme je suis rédacteur je n'ai pas accès aux forums cachés de la modération. Les modérateurs, eux, n'ont pas accès aux forums cachés de la rédaction. Et presque personne n'a accès aux forums cachés du comité de direction. C'est aussi cloisonné qu'un service de contre-espionnage.
Pendant nos discussions, ma note passe à -62 ! Puis mon forum est supprimé… Vous n'en trouverez plus trace. Ce serait trop dommageable à l'image de Developpez.com. Encore un média du web dans lequel on n'est pas libre d'intervenir si l'on s'oppose à l'opinion commune… Vive le progrès !
VIII - Médias jugulés = tyrannie et recul technologique
Ce que j'ai vécu, et continue à vivre, la plupart de ceux qui me lisent ne l'ont jamais rencontré et auront du mal à le croire. Mais, le jour où vous aurez quelque chose d'original à vendre ou à communiquer susceptible de déranger l'establishment, vous verrez… Car je ne suis ni le premier ni le dernier. Le nombre d'inventeurs et de chefs d'entreprise français partis écœurés en Angleterre ou aux États-Unis témoigne de la tyrannie régnant dans notre pays.
La France actuelle dominée par des fonctionnaires, c'est une société dirigée par des spécialistes de la dépense et du recrutement à tout va, des énarques bombardés à des postes qui les dépassent dès leur sortie de l'école, sans aucune expérience en entreprise. Notre justice qui donne le plus souvent raison au fort et tort au faible, qui se vend au plus offrant, n'a finalement pour rôle que de maintenir le statu quo dans notre société : ceux qui ont acquis une position dominante - très souvent malhonnêtement - y sont maintenus, les autres restent en bas. Or, le progrès n'est possible qu'en inversant les rôles.
Nos médias, qui sont complices de ce système, mériteraient qu'on les boycotte. En ne signalant pas la corruption qui nous gangrène (la France est aujourd'hui le 24ème pays mondial à l'indice de la transparence derrière l'Uruguay et ne cesse de reculer), ils sont coresponsables de notre recul économique et de notre souffrance. Les Français sont connus comme un peuple malheureux, ce sont "les pires touristes du monde" depuis des années, ce qui est bien le signe d'un mal être.
Les présidentielles approchent. C'est le moment de ne pas voter pour le système, de nous donner une chance de créer l'électrochoc salutaire dont nos compatriotes ont besoin : la prise de conscience commune que ça ne va pas du tout en France, qu'on est toujours dirigé par les mêmes incompétents menteurs et manipulateurs et qu'on peut changer ça grâce au suffrage universel, le seul dispositif qui permet d'élire qui on veut... à la condition que les maires aient assez de courage pour soutenir des candidats anti-système !
C'est donc le moment de communiquer, et pas dans les médias scélérats à la solde du pouvoir. Agoravox est exactement le type de média dont nous avons besoin pour faire circuler l'information. C'est la voix du peuple. Son site a son siège à Bruxelles pour éviter les pressions trop insistantes… Il a été fondé en 2005 par Carlo Revelli et Joël de Rosnay pour permettre la publication d'informations inédites, détectées par les citoyens et écrites par les citoyens. On peut dire que mon article est en plein dans cette thématique ! J'y ai d'ailleurs mis les liens permettant d'accéder à la totalité de mes articles. Il présente donc la totalité de mes points de vue iconoclastes refusés par les autres médias. Et pourtant, vous êtes en train de le lire…
Merci AgoraVox !
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