Introuvable G 20
Le prochain et tant attendu G 20 devrait se borner en un affrontement feutré opposant d’une part les Etats-Unis ardents défenseurs de stimuli fiscaux supplémentaires de l’ordre de 2% du P.I.B. de chaque pays et les nations d’Europe Continentale d’autre part qui plaideront avec ferveur pour une intensification de la réglementation des marchés et des intervenants financiers.

Les Européens feront en effet valoir des arguments certes compréhensibles selon lesquels, alors que ces stimuli se justifiaient amplement il y a une année, plus aucune nation ne peut aujourd’hui se permettre d’aggraver davantage ses déficits déjà gigantesques en taxant moins ou en dépensant plus.
Pour autant, les mesures visant à étoffer la réglementation financière qui devraient être adoptées à l’issue de ce G 20 risquent de laisser les partisans d’une régulation accrue sur leur faim car les Etats-Unis - préoccupés tout d’abord par le sauvetage immédiat de leur système bancaire - regardent poliment ailleurs. Du reste, nul ne se fait des illusions quant à une éventuelle perte d’influence sur le Gouvernement des Etats-Unis du tout puissant lobby financier dont sont issus l’actuel Secrétaire d’Etat au Trésor Geithner mais également des membres éminents de l’équipe Obama comme Lawrence Summers. La réalité est que, en dépit des déclarations d’intention de l’élite de la communauté internationale qui se réunit à Londres début Avril - et des gesticulations théâtrales de certains responsables politiques - ce G 20 ne marquera très probablement pas les esprits car la politique - même au plus haut niveau - ne pourra strictement rien dicter de contraire à ses intérêts à un secteur financier omnipotent.
Les vraies questions resteront très vraisemblablement en suspens car aucun Chef d’Etat ou de Gouvernement n’osera remettre en question la toute puissance des conseils d’administration au sein des entreprises ou analyser sans ménagement la gestion des risques calamiteuse des institutions financières. De même, aucun responsable politique - fut-il au plus haut niveau - n’osera attaquer frontalement le système financier afin de le démanteler et d’en réduire l’influence considérable tout comme aucun politicien au pouvoir n’émettra la suggestion d’allouer - une partie au moins - des immenses ressources de ce secteur financier vers d’autres secteurs plus productifs et moins volatils.
Le prochain G 20 à Londres ne sera même pas comparable au dixième d’un Bretton Woods, tout au plus un « business as usual » tendance Bling Bling où Obama effectuera sa première apparition à un sommet international, où certaines nations de seconde zone seront invitées afin de donner bonne conscience à d’autres qui amuseront la galerie avec leur show habituel...
Du reste, qui espère-t-on berner en prétendant que « des solutions globales doivent être apportées à un problème global » ? Pourquoi s’obstiner en effet à coordonner les politiques économiques dès lors que les réponses aux problèmes dans les divers pays développés devraient précisément se différencier du fait de contextes parfois assez dissemblables ? La récession touche certes toutes ces nations mais les approches ne sauraient se confondre d’un pays à l’autre eu égard aux différences structurelles, fiscales et de politique monétaire qui y prévalent.
Ainsi, pendant que les responsables politiques Allemands et Français s’opposent à adopter des stimuli fiscaux supplémentaires, les Etats-Unis et la Grande Bretagne - dont les déficits budgétaires respectifs devraient avoisiner 10% de leur P.I.B. - plaident pour davantage de mesures de relance...Ainsi, alors que les Etats-Unis et la Grande Bretagne avaient déjà abordé cette crise avec des déficits importants causés par des réductions d’impôts pour les premiers et de fortes dépenses Gouvernementales pour la seconde, la quasi totalité des pays de l’Union Européenne entraient dans la crise avec des comptes nettement plus sains grâce aux critères de Maastricht. Pour autant, et en dépit de déficits publics Européens qui devraient se situer entre 5 et 7% du P.I.B. de la grande majorité des pays de l’Union, cette dernière n’est en rien disposée à stimuler massivement son économie alors qu’elle en aurait les moyens et faciliterait ainsi du coup une sortie de crise au niveau mondial.
Contrairement à leurs homologues Américains, les responsables Européens négligent en effet le moteur fondamental de toute reprise économique qui est la confiance : Il est totalement illusoire de croire que des discours rassurant sur la maîtrise des déficits relanceront une consommation où seules des mesures de relance supplémentaires et substantielles y réussiront.
La confiance étant ainsi l’élément clé, l’échec annoncé de ce G 20 aurait effectivement eu des conséquences dévastatrices si l’opinion publique s’était seulement attendu à quelque mesure décisive ! Hormis les sourires de façade et les discours emphatiques, chaque bloc persistera très vraisemblablement sur sa lancée, les Etats-Unis ayant donc toutes les chances de se sortir en premier de la crise.
100 réactions à cet article
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Mouais.... la confiance pourra revenir avec une économie saine, un capitalisme basé sur l’épargne et une vraie monnaie.
Cependant, il est vrai que les US ont plus de latitude...pour faire des conneries. Le déficit du budget Obama sera un record de l’histoire américaine. Avec pour eux un défaut, l’effet passager clandestin : les politiques keyneisiennes profitent d’abord... aux autres pays. C’est pourquoi les US vont s’employer à nous faire suivre le même chemin. L’énorme paradoxe qui risque de nous sauver, c’est que nous n’en avons pas les moyens ! Drôle ! Enfin, sauver, c’est sauver de l’hyperinflation et de la banqueroute, parce que le scénario à la japonaise, une bonne stagnation qui dure devient le plus probable.-
Sauf que le gigantesque plan d’Obama se fait au detriment de ceux qui font confiance aux etats unis et qui les financent...jusqu’a la banqueroute du Dollar.
Le procédé est celui de l’Allemagne de Bismark qui s’endettait au detriment de ses petits voisins puis, devant l’ampleur de la dette créée, obligeait ceux ci a toujours plus de dettes et de facilitées commeciales envers les interets allemands...
Les etats unis d’Obama ou de la periode post-Bush selon les references qui seront consacrées par les Historiens en sont la. L’Empire bluff jusqu’au jour ou il s’effondrera, comme l’Union Soviétique avec son Rouble. La TOTALITE des banques centrales ont éssayé de se debarasser de leurs dollars depuis 10 ans. pour l’instant, les autorités FMI / Banque Mondiale /Groupe de Bale ont réussit a imposer le status quo....mais jusqu’a quand ?
Dans la panique, la seule chose qu’on peut constater , c’est que dans la tourmente, comme apres le 11-09 , on organise en notre nom la confiscations des pouvoirs souverains des etats et des peuples pour installer des pouvoirs supranationaux de gerance de l’economie mondiale.
Tout cela se fait or de tout controle democratique, mais avec l’assentiment des banquiers qui acceptent volontier notre argent pour se renflouer, tout en accptant de ne plus avoir de compte a nous rendre....
Pour les collabos de cette engeance, les Sarkozy et sa clique, il est urgent de mettre les peuple dans des situation de non-retour avant que tout cela n’explose.
Sinon, comment leurs donneurs d’ordres pourront ils nous regir à l’avenir ?
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Bonjour.
Vous êtes donc favorable à une nationnalisation encore plus grande des pertes de cette "industrie financière"...Et pour ce qui est de la "confiance", pourquoi la vouloir en ayant bien exprimé votre défiance dans les politiques juste au-dessus.. ???
Sinon, critiquer la politique économique Européenne depuis la Suisse ne doit pas être facile, avec les montagnes environnantes-
Un peu de grain à moudre dans la réflexion :
http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2009/03/30/role-du-dollar-une-question-geostrategique-et-monetaire_1174292_1101386.html
Article fait sur les réflexions d’un "business as usual". Donc, valeur subprime. Mais intéressant justement par la volonté de vouloir convaincre du contraire.
See you after death. -
a Plancher des vaches
"Dans une période de baisse de la demande mondiale, se préoccuper de limiter les fluctuations monétaires est légitime, surtout lorsqu’on prétend que Pékin "manipule" sa devise et doit la réévaluer"
c’est ce qui permet aux industriels chinois de pénétrer le marché us et de rivaliser de manière non loyale (pensent les us) les industriels us.
là on est sur un prélude pour que les deux parties lâchent un peu de lest, c’est que si le pouvoir d’achat des ménages us plongent , les chinois vont avoir du mal....il faut dire que la monnaie chinoise ne semble pas bien ajustée sinon aux seuls avantages de la Chine, c’est le reproche us.
pfff....quel foutoir.... -
En titillant le point G20 , ils espèrent faire frisonner l’économie mondiale , ces mous de la croissance ?
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Allez, vous en voulez une bien bonne, pour la bonne humeur du lundi matin ?
Le G20 prévoit un retour à la croissance en 2010
Faut vraiment que ça soit désespéré pour nous fourguer cet ultime rideau de fumée
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Merci ! CDFR (Crise de fou rire) !
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D’autant plus risible que Galbraith, un spécialiste de la crise de 29, prédit que même sans "un monde dirigé par des banquiers" (on constatera qu’au G20, il n’en est même pas question), même sans ce "ce fatal renflouement des banquiers et les coupes dans les budgets des programmes sociaux", il faudrait "disons vingt ans, voire plus".
G20, la farandole de l’incompétence, et en plus il nous prenne pour des billes. -
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John
Tout à fait, pourtant nous avons tout sous les yeux, désolé je ne traine pas plus sur Agora-Vox .
Je vous laisse consulter les 4 articles et vous me direz si vous ne trouvez pas cela troublant après leurs gesticulation de diversion ...
A mes 4 liens, ajoutez la réintégration de la France au commandement intégré de l’OTAN ...
Beaucoup de coïncidences tout ça ... -
@ John,
Ils savent bien que la situation est trop pourrie pour pouvoir y remède. Donc, ils laissent faire jusqu’à ce que ça pète comme cela ils solutionneront en plus leur problème lié à la surpopulation. Il ne faut pas être économiste de haut niveau pour comprendre que nous sommes dans une situation inextricable et que la seule issue est, que tout se casse la gueule pour pouvoir reconstruire.
Les guignols se consultent même pas pour se donner bonne conscience, ça fait belle lurette qu’ils n’en ont plus mais pour se tuyauter sur leur manière de s’en sortir avec leurs sbires.
Les dés sont jetés depuis un moment, il va y avoir de la casse, beaucoup de s’en sortiront pas. -
@ Appoline
Nous sommes bien d’accord liens pour te prouver que les mêmes recettes sont retenues qu’il y a plus de 65 ans :
1 La recette historique pour les crises :
2 Le choix de la cible .
3 Le début de la relance économique aux USA
4 La France qui prend les mêmes recettes :
Merci de rectifier si je me trompe dans ce parallèle historique .... -
@ Mouche,
Merci pour les liens. Je dois avouer que plus je me penche sur la deuxième guerre mondiale, plus je m’aperçois que le nid de guêpes est beaucoup plus noir que je ne le pensais. Trop de similitudes avec ce qui se passe aujourd’hui. On nous amène gentillement au casse-pipe et quasiment personne ne voit rien. Quelques problèmes turlupinent l’élite, le gratin du gratin et j’ai bien peur qu’ils ne fassent de plusieurs pierres, un seul coup, solutionnant ainsi l’inflation, la surpopulation pour leur laisser les coudées franches. Aurons-nous le gnac pour nous opposer, là est toute la question. -
Sur DECHIFFRAGES, de Jean-François Couvrat quelques considérations, guère optimistes....
Suite à l’affaire Fortis 2/3 des belges sont favorables à la création d’une grande banque belge publique...
Il va falloir entamer des politiques volontaristes pour sauver les meubles, pour créer un semblant de relance.
Cette très grave crise doit être l’occasion dans un premier temps, d’une action pour sauver ce qui doit l’être , ensuite opérer de vrais changements....
Tous rêvent que tout soit comme avant, est-ce possible ?
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....encore plus de la même chose....cependant je n’aimerais pas être à la place des dirigeants car comme les choses se présentent, il n’ont pas l’air d’avoir beaucoup de marge de manoeuvre.
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Les données du Monde sont intéressantes mais les conclusions sont stupides. Le problème n’est pas monétaire, la crise bancaire ne fait que se rajouter à un mal bien plus profond, lequel est la désindustrialisation de l’Europe et de la France en particulier à cause d’une politique mondialiste qui a voulu nous mettre en concurrence sur nos marchés nationaux avec les esclaves du tiers-monde. Je ne vois pas en quoi un plan de relance changera la donne un tant soit peut. Le seul changement viendrait de la mise sur une croix de Saint-André de Nelly Kroes (commissaire de l’UE à la concurrence libre et faussée) ainsi qu’à des mesures de sauvegarde du marché intérieur par la taxation sévère des importations inutiles. Je vous rappelle qu’on fait 50 milliards de déficit commercial chaque année. On se vide de notre substance et c’est là le problème.
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Je parle de la taxation des importation inutiles. On s’apperçoit que les importations utiles comme le pétrole puisqu’on n’en produit pas, sont taxées à 500%. A lors pourquoi ne taxerait-on pas les slips venant de Chine ?
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personnellement, je pense que le protectionnisme ajusté serait utile pour rencentrer l’activité industrielle en Europe et pour momentanément sauver notre peau....
Alors Kroes, on oublie....la seule chose qu’elle a pu faire au mieux de la tourmente bancaire belge a été de s’enquérir pour savoir si la libre concurence serait respectée....elle devrait comprendre que les épargnants belges à ce moment là s’en foutaient royalement ! -
@l’internaute :
la crise a bien comme origine premiere un systeme monetaire international completement depassé et illegitime :
le dollar etant la reference ,le pays qui emet c devises peut faire marché la planche a billet pour vivre au dessus de ses revenus et c’est bien la l’origine d ela crise.
un peu comme si au monopoly un seul des joueurs avait le droit d’augmenter a volonté sa masse de billet -
Je suis d’accord avec vous tous. Je jette Nelly en pâture car il faut bien frapper les esprits. Le système du dollar monnaie mondiale est une des cause de notre infortune mais elle ne fait que s’ajouter aux politiques mondialistes.
Pour une analyse qui en dit vraiment long je vous renvois à mon gourou péruvien préféré, Orlandini. Il se trouve que des prévisions qu’il a faite il y a plus de 6 mois sur la chute du Dow se sont révélées précisément exactes.
« Of course all of this has been tried before (les plans de relance), and it has failed each and every time. Once it becomes clear that the wheels are coming off, the appropriate response will be to go to war. An enemy will be invented and devastation will follow. Currently the administration is seen looking for a way out of Iraq, but rest assured that some "event" will occur that will reverse that process and the war will escalate. How it will all end is anybody´s guess, but it will not end well. »
http://www.gold-eagle.com/editorials_08/orlandini032909.html
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a Internaute,
on a toujours dit que les politiques économiques capitalistiques avait pour solution de relance ultime , la guerre....
cette fois, je n’en suis pas convaincu ....alors trouver une tête de turc en Iran ou au Pakistan ?
je ne vois pas en quoi une initiative militaire en masse vers ces pays serait la solution....cela pourrait entrainer une déséquilibre plus grand sauf à considérer que des pays émergents comme l’Inde, la Chine et la Russie soutienne cette attitude guerrière.... -
Le monde va mal, les gens souffrent, le chômage augmente, tu as 50 ans, toujours pas de Rolex et quelque part cela te chagrine. Le capitalisme a un cancer de la prostate mais tu le savais, le sphincter industriel a craqué puis démissionné, les Chinois mangent les parts de marché de nos étrangers à nous et tu ne peux rien dire à part opiner du sous-chef.
Oui et alors ?
Si la réponse à tous les problèmes est de marcher dans la rue comme une armée de bovins avec des pancartes calligraphiées – à l’heure d’internet – tout en scandant des slogans qu’auraient pu écrire un enfant de 7 ans après la mort de Bambi, félicitations, nous sommes officiellement dans la merde Monsieur le proctologue professionnel.
Quand on met les gens la tête la première dans leur mythomanie militante, ils rétorquent pathologiquement par un désespéré et absolu : « mais qu’est ce que tu fais toi ? »
La suite ici :
http://souklaye.wordpress.com/2009/03/28/best-of-anticipation-le-g20-du-chacun-pour-soi/
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Je pense moi aussi que le G20 ne débouchera que sur des mesures marginales. Et qu’il n’aura en effet strictement rien à voir avec un Bretton Woods de l’économie auquel le comparent certains. Pour un véritable Bretton Woods, mieux vaut se référer aux travaux de Lyndon La Rouche.
Cela n’empêchera pas nos chefs d’état d’afficher à la fin du sommet une mine réjouie et de communiquer sur les résultats exceptionnels qui en seront résultés. Un classique du genre !-
Yann Takvorian 30 mars 2009 11:29La pire chose qui pourrait arriver au G20 serait que l’Europe décide de suivre l’Amérique sur le chemin des folles dépenses publiques. Arrêtons de jouer le jeu de Wall-Street avec l’argent des contribuables.
Comme le disait hier Paul Jorion sur son blog, les économistes marchent sur la tête. La crise vient d’un effet de levier de produits financiers (adossés à une dette privée colossale) qui se sont avérés "toxiques". Le gouvernement américain, par le plan de relance de Geithner, veut produire un effet de levier similaire sur l’endettement public rendu colossal (par son appui à ses mêmes produits financiers "toxiques") en espérant que l’effet de levier les bonifiera. Ahurissant.
Si l’Europe embarque, nous nous noierons tous prochainement dans l’inflation, la misère, la ruine et le chômage. Parce que l’inflation sur greffera sur cette crise sans en régler les causes. Au mieux, elle réduira l’impact des surendettements, mais à un prix humain désastreux.
Et c’est sans compter sur un élément qui n’existait pas dans les années 30 : la vague des baby-boomers qui arrive. Compter que celle-ci, quand elle percutera l’économie, pour très bientôt, provoquera dans les pays du G8 un appel d’air gigantesque. Elle laissera l’économie sans une once d’oxygène. Les retraités iront puiser dans des fonds de pensions rabougris par la crise et l’inflation. Cette vague ne sera pas dépensière. Elle ne consommera plus. Elle épuisera les services sociaux. Elle noiera les systèmes et les économies endettées jusqu’au cou. Cette vague, c’est la brèche impossible à colmater. C’est les 100 kilos de plus sur les épaules de l’athlète au bord de la syncope.
Les jeunes fuiront dans les pays émergents qui eux, relèveront la tête, fort de leur jeunesse et leur marché intérieur peu inflationniste. L’Europe et l’Amérique resteront dans leur bourbier, pour longtemps.
Laissons cette crise passer, les mastodontes tomber (too big to stand) et qui donneront une chance aux petits d’exister enfin et terminons la suprématie d’une monnaie pour un panier de devises plus équitable pour la planète et les autres économies du monde.-
votre commentaire est pertinent, sauf :
"Les jeunes fuiront dans les pays émergents", avez vous déjà été vivre dans un pays émergent ? tien au fait pourquoi les jeunes des pays émergents partent dans les pays riches ?
Je vais dire un truc qui peut choqué, mais l’immigration est une solution au probléme des papyboomers, le probléme c’est que structurellement la société française est totalement inadaptée. La faute aux bobos gôchistes qui ne font que de l’humanisme avec des oeillères bien aux chaud à l’intérieur de leur frontiéres. -
Merci, Chantecler, pour ce coup de gueule en faveur des bobos qu’il est de bon ton de vouer aux gémonies et de rendre responsables de toutes les tares de la société. Les bobos que je connais ont certes des défauts, mais ils se caractérisent surtout par une tolérance et une ouverture d’esprit au-dessus de la moyenne.
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Manusan, votre solution me parait intéressante.
Comme tous les gauchos au pouvoir, envoyons nos vieux dans les pays du tiers-monde, tout comme nos déchets.
Bien à vous. -
Curieusement vous ne parlez pas de la Chine et de la Russie alors que le changement viendra de là. Le directeur de la banque centrale chinoise vient de lancer un avertissement assez sévère aux US concernant leur laxisme en matière financière. Par une simple citation laconique il est possible que le G20 accouche de la fin officielle du dollar ce qui serait déjà une avancée astronomique.
En tout cas merci à Junker pour sa position forte en ce qui concerne l’Euro. Ce n’est pas plus de dette ajoutée à la dette et plus de déficit ajouté au déficit qui vont améliorer quoi que ce soit. Grâce au petit Luxembourg, à Fillon et aux allemands on échappera peut-être au pire.-
Maintenant, nous pouvons nous poser une autre question suite à la baisse des prix à cause d’une chute de la conso des ménages. Ne sommes nous pas en face d’un réajustement des marges à un niveau plus normal par rapport aux couts de moyens de productions. Ou encore, ne sommes nous pas en face d’un problème du surcout des techniques qui ne se justifiait que par la capacité des dépenses des ménages.... ?
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grande representation exeptionnelle du cirque le G 20 chez les anglichs
2 jours avec des d’illusionnistes, avec le maitre en la matière mondialement reconnu sarkozy(plus connu sous el chicanos)-
vous accordé trop de "pouvoir" a notre nain national.Son seul talents est de sentir avec precision le sens du vent.
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Pourquoi personne ne prend l’avis de la chine en compte,pour une fois quelle propose iune solution pleine de bon sens :
creation d’une monnaie d’echange mondiale basé sur un panier de devises (euro,yen,yuan,dollar,real....) pour remplacer le dollar.-
Allons, Mr.K...
Pourquoi... ?
Parce que les US ne veulent pas. Tout bêtement. Ce qui arrange bien le Notre Président, toujours friand de "pouvoir aux riches".
Ainsi, tous les pays savent que le dollar va tomber. Et non seulement la Chine qui veut les dépenser au plus vite, les Pays du Golfe qui veulent créer leur propre monnaie, l’endettement monstrueux des US qui savent que leur nationalisation de pertes actuelle ne leur coûtera bientôt plus rien mais font le pari incroyable de forcer un G20 à les suivre comme un seul homme,...
Lisez ceci entre les lignes :
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20090329trib00036 0797/etats-unis-il-reste-135-milliards-de-dollars-pour-le-plan-de-soutien-aux-banques.html
L’american dream a vécu.
Alors, maintenant, changer une mentalité de peuple en, ne serait-ce, que 6 mois ou 1 an.... Et surtout au pays des cowboys....
Je préfère monter la jument la plus fugueuse que d’essayer de passer entre les balles. -
fougueuse, pardon.
Quoi queue... lol -
a Monsieur K
je suis pas sûr que la crise soit monétaire et pour un temps, vaut mieux que le dollar reste en place sous peine de voir la crise se précipiter.
les mondialistes ne revent que ce cette monnaie unique bien commode, et rien que pour leur faire la nique, faudrait dire non....je sais c’est enfantin mais tout de même .... -
NATIONALISER LES BANQUES ! (Intégralement et durablement)
Il n’y avait pas d’autres possibilité nous dit-on que d’accepter le plan de Sarkozy qui met (sous des formes diverses) 360 milliards d’euros à la disposition des banques. Pour Manuel Valls, cette acceptation serait même le critère qui différencie l’homme d’Etat de celui qui ne le sera jamais.A ceux qui s’indignent que de telles sommes soient offertes à des spéculateurs dont les pratiques ont mis l’économie mondiale au bord du gouffre, il est répondu, que sans ce plan, nous ne serions pas au bord du gouffre mais au fond du gouffre.
A ceux qui s’étonnent que l’on puisse trouver si facilement 40 milliards d’euros pour « recapitaliser » les banques alors que la droite n’arrivait pas à trouver 2 milliards pour les retraites par répartition, il est répondu que sans le refinancement des banques, c’était l’économie qui s’écroulait et avec elle, tout notre système de retraite.
Les banques, en effet, seraient « trop grandes pour faire faillite ».
Ces réponses ont pour elles la force d’une certaine réalité, celle de la prise en otage de l’économie mondiale par les banques et la finance. En effet, si le système bancaire s’écroulait comme un château de cartes, nous nous retrouverions dans une situation analogue à celle qui avait suivi la crise de 1929 : une profonde récession, la multiplication des faillites d’entreprises, l’explosion du nombre de chômeurs, la baisse des salaires, des retraites et des minimas sociaux. Car, dans ces cas là, ce sont toujours « ceux d’en bas » qui commencent par payer la gabegie de ceux d’en haut.
Comment éviter le retour de la crise financière ?Mais ces affirmations ne répondent pas à une autre question, tout aussi importante : comment éviter de nous retrouver, demain ou après-demain, dans la même situation qu’aujourd’hui ?
Les banques, en effet, ont fait courir un danger mortel à l’économie mondiale et, loin d’être sanctionnées, l’Etat vient à leur secours et leur rachète (d’une façon ou d’une autre) leurs « créances pourries ».
Comment croire, dans ces conditions, que les banques ne recommenceront pas ? L’épisode de la perte de 600 millions d’euros par la Caisse d’Epargne dans une opération spéculative, alors même que les projecteurs sont braqués sur les banques, devrait faire réfléchir, même les plus obtus des libéraux. Les banques n’ont rien changé à leurs pratiques spéculatives et quelques soient les réglementations qui pourraient sortir d’un « Bretton Woods » de la finance, elles feront tous pour les contourner et continuer leur quête du profit maximum.
La seule justification au plan de refinancement des banques, c’est leur nationalisation intégrale. L’argument utilisé par Susan George est imparable : puisque les banques sont « trop grandes pour faire faillite », elles sont aussi trop grandes pour faire partie du secteur privé ! Il n’est pas possible, en effet, de laisser aux mains du secteur privé dont le seul objectif est la recherche du profit maximum une arme aussi dangereuse pour l’ensemble de l’économie.
Le mot même de « nationalisation » fait de plus en plus peur à la droiteC’est Gordon Brown qui le premier a imposé, de fait, la première nationalisation, en janvier 2008 quand l’Etat britannique a racheté la Nothern Rock pour rétablir la confiance des déposants, de plus en plus nombreux à attendre l’ouverture de la banque et exiger la restitution immédiate de leurs dépôts.
Mais le mot de « nationalisation » fait maintenant peur à la droite car il pourrait donner des idées au salariat et pas seulement dans le domaine de la banque ou des assurances. Fillon préfère donc parler de « recapitalisation ». Un mot tout à fait dans l’optique libérale qui indique que l’Etat n’est qu’un actionnaire comme les autres et que dès qu’il le pourra, il laissera la place au privé. Les pertes auront alors été socialisées et les profits pourront de nouveau être privatisés. Un classique, en quelque sorte. D’autant, et c’est un comble, que Sarkozy a reconnu qu’il n’abandonnait pas l’objectif de privatiser la banque postale et la Poste. Cette privatisation n’est que « différée »…
En accordant 10,5 milliards d’euro (plus que le déficit cumulé de la Sécurité sociale !) à six banques françaises, Sarkozy va encore plus loin. L’Etat, en effet, apporte ces milliards pour renforcer les fonds propres des banques (ce qui constitue bien une nationalisation même partielle) mais ne devient même pas actionnaire de ces six banques. Leurs dirigeants ne voulaient pas : ils se méfient de l’Etat, ont-ils le culot de préciser. Ces fonds sont censés permettre aux banques de « prêter aux entreprises et aux ménages », comme si ce n’était pas leur métier !
La BNPP rassure aussitôt ses actionnaires « cette émission ne diluera pas les actionnaires et n’aura aucune conséquence sur la gouvernance de la BNPP et sa politique de dividende ». On ne peut être plus clair : qu’importe les risques que les banques ont fait prendre à l’ensemble de la société, il n’est pas question pour le gouvernement de toucher quoi que ce soit à la façon de diriger ces banques ou aux dividendes de leurs actionnaires.
Les nationalisations ne doivent pas être temporairesSi la nationalisation n’est que temporaire, les dirigeants de la banque concernée n’auront qu’un seul objectif : rembourser au plus tôt l’Etat pour que leur établissement retourne entièrement aux mains des capitaux privés et continuer tranquillement ses habituelles spéculations.
De ce point de vue, la conduite de la Nothern Bank au Royaume Uni est édifiante. Cette banque est nationalisée depuis plus moins de huit mois mais a déjà remboursé 11,4 milliards de livres sur le total des 26 versés par l’Etat britannique.
Comment les dirigeants de cette banque ont-ils procédés pour y parvenir ? Tout d’abord, ils ont licencié 1 500 salariés. Ils ont ensuite, réduit leur activité de prêt à l’économie (ce qui devrait pourtant être l’activité essentielle d’une banque). Ils ont, enfin, pratiqué (proportionnellement à leur encours de crédit immobilier) deux fois plus de saisies immobilières que la moyenne des 104 expulsions quotidienne opérées par l’ensemble des banques
Des nationalisations sous contrôle de l’Etat et des salariés des banquesDes nationalisations partielles, n’osant même pas dire leur nom, laissent les mains libres aux dirigeants des banques et n’apportent aucune garantie pour l’avenir. Le risque de les voir mettre de nouveau l’économie aux bords du gouffre sera toujours aussi présent.
Cette absence de garantie est évidente dans le plan de refinancement de 10,5 milliards d’euros mis en place par le gouvernement français. Les représentants de l’Etat ne siègeront même pas au Conseil d’Administration des établissements bancaires. L’Etat ne sera qu’un créancier obligataire et ne pourra donc pas prendre part aux décisions stratégiques de la banque.
Les dirigeants faillis restent en place.
Les seules contreparties qui leur sont demandé sont « des engagement de nature économique et de nature éthique ». L’ « éthique » porte, en réalité, sur les rémunérations des dirigeants et consiste à faire beaucoup de bruit sur un aspect, certes scandaleux, de la gestion des banques mais pour mieux faire oublier tout le reste et notamment les dividendes versés aux actionnaires. Quand aux engagements de nature économique, ils portent sur « le volume de crédits accordés aux ménages et aux entreprises ». Rien, dans ces engagements, n’empêchent les banques de continuer leurs pratiques spéculatives. Pourquoi, d’ailleurs, y renonceraient-elles ? Quand elles spéculent, elles espèrent bien obtenir des profits de l’ordre de 20 ou 25 % du capital investi et si elles échouent l’Etat leur offre des dizaines de milliards d’euros au taux de dérisoire de 4 ou 5 %.
Les nationalisations doivent donc combiner plusieurs caractéristiques.
Elles doivent se faire sans indemnité, ni rachat : les actionnaires, les dirigeants des banques n’ont que trop profité de la situation sans jamais prendre en considération les risques qu’ils faisaient courir à toute la société. Ils doivent beaucoup à la société mais la société ne leur doit rien.
Ces nationalisations doivent être intégrales. Dans le cas contraire, c’est la logique du capital privé qui prévaudra, comme pour la Nothern Bank.
Elles doivent concerner les principales banques françaises (notamment BNPParibas, la Société Générale, le Crédit Agricole-Crédit Lyonnais) afin de permettre avec la Caisse des dépôts et Consignation et la Banque postale la constitution d’un puissant pôle public de crédit.
Les dirigeants de ces banques ne doivent pas rester en place. Ils ont déjà amplement fait la preuve de leur savoir-faire. Ils doivent partir avec des indemnités normales (deux ans de salaires dans le meilleur des cas) et sans bénéficier de leurs exorbitantes « retraites chapeau ».
Aucun plan de licenciement des salariés du secteur n’est envisageable, les salaires devront être intégralement maintenus. Ce n’est pas aux salariés de payer les erreurs catastrophiques de leurs dirigeants.
Le profit ne doit plus être l’objectif d’une banque nationalisée. Le prétexte de la course au profit des banques était la crainte d’être racheté en bourse si la valeur de leur action baissait et la volonté de racheter d’autres banques dans une espèce de Monopoly à l’échelle planétaire. Une fois, nationalisée, hors de toute cotation boursière, une banque n’aura plus aucune raison de subir cette crainte ou de poursuivre cet objectif.
Les banques nationalisées seront dotées d’une mission de service public : le financement des entreprises et des ménages. Elles n’auront plus le droit de se livrer à la moindre spéculation. Les rapports entre les capitaux propres et les crédits accordés seront strictement réglementés afin de permettre le financement de l’économie tout en évitant des prises de risques disproportionnées.
Les nouveaux dirigeants des banques, nommées par l’Etat, seront étroitement contrôlés par l’Etat mais aussi par les salariés des banques et par leurs syndicats. Il est hors de question de laisser s’instaurer la situation qui avait vu (par exemple) le Crédit Lyonnais, banque nationalisée, avoir les mêmes pratiques que les banques privées.
Seul, ce nouveau type de nationalisation, pourra permettre de contrôler le système bancaire et de redonner à la banque sa seule fonction : le financement des ménages et des entreprises. Le monde commencera à être remis sur ces pieds : les banques seront au service de l’économie et non l’économie au service des banques.
Des usagers, pas des clientsLa nationalisation des banques, la modification de leurs objectifs aura également un autre avantage qui ne sera pas sans intérêt pour ceux qui sont, aujourd’hui, les « clients » des banques.
Il y a 30 ans, le résultat des banques françaises avaient une seule origine : les intérêts réalisés sur les crédits qu’elles octroyaient.
Aujourd’hui, ces résultats ont une triple origine (comptant chacune en moyenne pour un tiers dans ces résultats) : les intérêts sur les crédits, la spéculation financière, les commissions imposées aux clients.
La nationalisation des banques, avec pour objectif de simplement équilibrer leurs bilans et non de rechercher à augmenter chaque année leurs profits, permettrait non seulement de proscrire les opérations spéculatives mais également de supprimer les commissions de toute nature imposées au client. Le client devenu « usager » pourrait enfin entrer sans crainte dans son agence bancaire. Il ne serait plus angoissé à l’idée de voir une nouvelle commission lui tomber dessus à chaque fois qu’il tousserait ou respirerait un peu trop fort.
Jean-Jacques Chavigné (Octobre 2008)
Pour que de telles mesures révolutionnaires voient le jour, il faut lutter dans la rue mais aussi dans les urnes en élisant des candidats qui veulent vraiment prendre le taureau par les cornes !
Le 7 juin prochain, les élections européennes nous en donnent l’opportunité. Voter pour le Front de Gauche (PCF, Parti de Gauche, unitaires du NPA, alternatifs ?) c’est se donner une chance que de telles mesures soient défendues, voire appliquées, au plus haut niveau.-
Oui. Rien de tel que de sacrifier une ou deux générations avec une bonne cure de communisme. Leurs enfants et petits enfants deviennent curieusement plus intelligents.
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Ou une cure de fascisme. C’est parfois assez difficile de faire la distinction, qui devient purement formelle. Allez, un petit tour de socialisme national......
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Parce que des générations ne sont pas sacrifiées peut-être à l’heure actuelle ?? Chomage de masse, précarité etc...C’est sûr, à l’heure actuelle, le capitalisme on en redemande encore et encore !!!
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Précarité= pas fonctionnaire. Chômage de masse = chômeur indemnisé. Vous m’en remettrez une couche de votre malheur, le malheur le plus riche de toute l’histoire de l’humanité. Un petit tour en Corée du Nord ou au 18ème siècle vous remettrait les idées en place, pleurnicheur.
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Entièrement d’accord avec Marianne (et Chavigné) : la nationalisation totale, réelle, des banques est la seule solution permettant d’éviter le pire...
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Ce Michel Santi est le grand chroniqueur écomique dont Agoravox avait besoin.
Il est donc bien normal que nous ayons droit à une demi-douzaine d’articles "économiques" par semaine, de la part de ce redoutable auteur qui ne ménage pas sa peine.
En voilà un qui se prétend chef cambiste, puis "gérant de fortune" dans de "grands établissements" Suisse (la référence absolue dans ces domaines), mais qui a tellement de temps libre qu’il peut nous pondre des centaines de milliers de lignes de nartics économiques tous les jours.
Est-il à la retraite, ou au chomage ?
Je cite quelques phrases tirées de cet article :
"Ainsi, alors que les Etats-Unis et la Grande Bretagne avaient déjà abordé cette crise avec des déficits importants causés par des réductions d’impôts pour les premiers et de fortes dépenses Gouvernementales pour la seconde, la quasi totalité des pays de l’Union Européenne entraient dans la crise avec des comptes nettement plus sains grâce aux critères de Maastricht"
...............
Et j’invite les membres du comité de lecture d’Agoravox à relire les statistiques historiques de déficits budgétaires des pays cités par notre artiste, ils constateront que les pays de l’Union Européenne ne peuvent en aucun cas être traités comme une seule entité, car l’Union Européenne rassemble des pays vertueux comme l’Allemagne ou la Hollande, et des pays en faillite virtuelle, comme l’Espagne ou la France.
Et ce sont les seconds qui proposent l’augmentation des déficits budgétaires !
D’ailleurs ils les proposent parce qu’ils sont contraints et forcés d’avouer qu’ils ne pourront pas satisaire les critères de Maastricht en période de recession, puisqu’ils n’ont déjà pas été en mesure de les respecter en temps de vache grasse !
Il s’agit pour ces inpécunieux de faire croire que la dérive accélérée de leurs finances publiques est volontaire, afin de "relancer la croissance", alors qu’il s’agit d’un dérapage de plus en plus incontrôlé en période de vache maigre.
Peut-être serait-il avisé de cesser de publier des âneries pareilles, si toutefois ce site désire acquérir une crédibilité qu’il n’a sûrement pas aujourd’hui ?
J’invite également le comité de lecture à relire la phrase suivante, tirée encore une fois de l’article, et qui n’a strictement aucun sens :
"Pour autant, et en dépit de déficits publics Européens qui devraient se situer entre 5 et 7% du P.I.B. de la grande majorité des pays de l’Union, cette dernière n’est en rien disposée à stimuler massivement son économie alors qu’elle en aurait les moyens et faciliterait ainsi du coup une sortie de crise au niveau mondial"
.....................
Le comité de lecture a-t-il songé à en demander une traduction intelligible de ce charabia ?
Un déficit de 5 ou 7% du PIB signifierait que l’on a "les moyens" de "stimuler l’économie" ?
J’invite enfin le même comité de lecture à relire la phrase suivante, que je tire encore de l’article et qui n’a strictement aucun sens non plus :
" Contrairement à leurs homologues Américains, les responsables Européens négligent en effet le moteur fondamental de toute reprise économique qui est la confiance : Il est totalement illusoire de croire que des discours rassurant sur la maîtrise des déficits relanceront une consommation où seules des mesures de relance supplémentaires et substantielles y réussiront".
........................................
Le comité de lecture a-t-il songé à demander à notre inénarrable auteur d’expliquer le lien qu’il fait entre ce qu’il appelle le "rétablissement de la confiance" et les mesures de "relance supplémentaires" (De quoi s’agit-il sinon de dettes supplémentaires ???? Et ces dettes supplémentaires ne sont-elles pas plutôt de nature à ruiner la confiance, ou le peu qu’il en reste ????). "Relance supplémentaire" qui, selon lui, sans qu’il prenne d’ailleurs la peine nous expliquer pourquoi, "réussiront, selon lui, à relancer la consommation".
Tout ceci n’est pas sérieux et ce n’est même pas digne du niveau de première année de licence de sciences économiques.-
Mon pauvre Frederic Lyon : vous êtes tellement limité et tellement prévisible.
En tout cas, avec des énergumènes comme vous, des gens comme sont encore loin - très loin - de la retraite...
et : Bonne Continuation surtout ! -
je vous dire que des gens comme moi sont encore loin de prendre leur retraite...
Aux Amis d’AV, désolé si je ne participe pas au fil mais suis dans un aéroport en train d’attendre un avion... -
Lyon tu sais très bien qu’il n’y a pas de comité de lecture. Moi, je trouve ce papier assez habile : dans un langage suffisamment simple pour être compris du lecteur d’Avox pour qui l’économie n’est qu’une opinion parmi d’autre, il prêche pour que les gouvernement européens s’alignent sur la politique d’Obama. Ne pas oublier que le secteur bancaire est devenu au fil des années un appendice des états. Et donc il est rationnel pour ce secteur de modifier l’opinion afin que l’argent coule à flot, il est le premier à en profiter.
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Frederic Lyon
Arffff ! ....
Le chantre de l’incompétence en personne, qui ose encore commenter, après ses judicieuses analyses de jadis. Voilà ce qu’il disait, à l’époque, à ceux qui prévoyaient la crise actuelle :
"Prenez un Forest End, par exemple, qui nous prédit ici même, et c’est un scoop dont il nous a gentiment réservé la primeur, l’effondrement du capitalisme dans un remake de la Crise de 1929 (à laquelle, est-il besoin de le dire, il n’a, rien compris, il sait seulement qu’elle a existé et il voudrait que ça recommence pour des raisons qui lui appartiennent en propre !). Et bien je soutiens que Forest End est un intrépide spéculateur intellectuel, un mec qui a des couilles dans le cerveau, et je n’oserais pas imaginer les positions d’investissements qu’il prendrait s’il était à la tête d’un hedge fund"
Frederic Lyon, pourquoi ne pas proposer vos contines dans les garderies ou les colonies de vacances, bénévolement bien-sûr, vous voudriez quand même pas être payéEuh, soit dit en passant, je n’ose imaginer ce qui se passerait si vous-même étiez à la tête d’un hedge fund.
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"Ainsi, alors que les Etats-Unis et la Grande Bretagne avaient déjà abordé cette crise avec des déficits importants causés par des réductions d’impôts pour les premiers et de fortes dépenses Gouvernementales pour la seconde, la quasi totalité des pays de l’Union Européenne entraient dans la crise avec des comptes nettement plus sains grâce aux critères de Maastricht"
c’est une question que je me pose aussi, les fameux critères de convergences qui font partie de l’orthodoxie européenne....soit ils sont là pour limiter la casse mais, c’est vrai qu’avec l’engagement de soutien des Etats au mal être des banques il faut s’interroger sur les déficit publics...
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abdelkader17 30 mars 2009 17:47@Lyon
Continuez ainsi la méritocratie sarkozyste pourrait vous récompenser
Le plus grand concentré d’inepties et de débilités dans quelques lignes, disont que vous nous avez habituer au pire. -
> 2008 année noire : le crépuscule des dieux
à JL
drôlement intéressant le lien
par Bulgroz
Tous les économistes s’accordent pour dire que dès cet été, la crise sera en voie de(IP:xxx.x2.80.37) le 21 mars 2008 à 12H11 -
. Ne pas oublier que le secteur bancaire est devenu au fil des années un appendice des états.
Si vous voulez comprendre la réalité de la situation, il suffit d’inverser les propositions du péripathétique : comprendre :
"ne pas oublier que les états sont devenus, au fil des années, les appendices du secteur bancaire",
et tout s’éclaire.
Peripate, le Alain Minc d’AVox !
Avec Lyon, ils font une sacrée triplette, comme on dit chez moi...
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Ton psy ne t’a dit que tu devais être gentiment dans ta chambre à cet heure ci ?
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King Bounty 30 mars 2009 13:45Tout cela ne me derangerait pas le moins du monde , si tous ces pourris politiques ne profitaient pas ehontément de la crise pour s offrir une belle excursion et de bons petits plats sur le compte de ceux la meme , dont ils sont censés améliorer le quotidien !!! :-> :->
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Bonjour,
La politique ne peut plus grand chose pour nous. Le PDG de Total a bien plus de pouvoir que notre Président et l’ensemble des sociétés du CAC 40 que le G20 réunit...
Trop tard pour guérir.
Les solutions sont dans les activités simples, petites concrètes locales et libérales.
Cyber entrepreneur-
A Cyber entrepreneur,
Je me demande si les administrations fiscales ont les outils nécessaires pour pouvoir normalement examiner les comptes consolidés des multinationales et les interpréter, je pense que non.
Or, si aujourd’hui nous sommes en train de socialiser les pertes des entreprises transnationales, il serait bien que l’impôt soit mieux le reflet de cette politique, c’est à dire, qu’au prétexte de les attirer comme investisseurs afin de créer de l’emploi, le pouvoir les exempte trop vite de ce qu’ils doivent rendre à la communauté via l’Etat.
C’est un débat qui pourrait être mené....sur cette hypothèse. -
et ce d’autant que j’ai lu qu’Alain Minc serait marxiste....(enfin conceptuellement) .
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Bonjour Michel Santi !
Il n’y a pas grand chose à attendre de cette future réunion du G20, qualifiée de "réunion d’acooliques dans un bar" par Jacques Attali. Il me semble que cette expression est de lui... ?
Cette réunion d’un groupement autoproclamé, sans statuts et dépourvu de toute légitimité démocratique faut-il le rappeler, servira avant tout de tribune à des chefs d’états et de gouvernements en recherche de crédibilité auprès de leurs opinions publiques qu’ils tenteront de rassurer.
Elle leur permettra de présenter des plans de relance et de nouvelles règles du jeu par ceux-là même qui n’ont pas été capables de faire respecter celles qui existaient. Ces intentions aussi louables soient-elles, seront forcément divergentes, voire incohérentes, tant les remèdes préconisés par les participants semblent avant tout adaptés à résoudre à court-terme des problèmes proprement nationaux.
Elle permettra aussi à ces donneurs de leçons de se défausser sur les absents, en récitant leurs couplets démagogiques devant la colère qui gronde dans la rue. Il faut bien tenter d’anticiper les problèmes sociaux !
A propos, sur la vignette jointe à l’article, c’est bien M. Sarkozy qui est sorti du droit chemin pour s’engager dans le pré et montrer la direction à suivre, à moins qu’il ne pointe son doigt accusateur ? Oui, mais vers quoi et vers qui ?
S’agit-il d’une sortie de route accidentelle ?
S’il est vrai que "Le bonheur est dans le pré", ses complices de circonstance sont quant à eux restés sur le droit chemin, bien disciplinés ! Est-ce prémonitoire ?
Le décodage de cette vignette ferait probablement un très beau sujet d’article pour notre ami Paul Villach ... ?
Cordialement !-
A Parpaillot,
j’ai envie de mettre une légende sur la vignette :"Hey, les gars, je vois une issue par là, barrons-nous vite fait !" -
@ Antoine :
... Peut-être pointe-t-il son doigt pour montrer la direction de la sortie des artistes ...
Cordialement ! -
bientot les états tomberont
les gens perdront toute leus économies
et accepteront le NWO.
m^me rupert murdoch le dit
We are in the midst of a phase of history in which nations will be redefined and their futures fundamentally altered,” wrote media mogul Rupert Murdoch in a recent memo to the management staff of News Corp, his global media empire, which includes Fox TV.
ét wé,l’atterisage va etre dure
sinon,,petit extrait de jAY ROCKEFFELER,qui se plaint d’internet
http://www.youtube.com/watch?v=i8PCmLPPVnA&eurl=http%3A%2F%2Fsathyadas2%2Eblogspot%2Ecom%2F2009%2F03%2Fla%2Dfamille%2Drockefeller%2Ehtml&feature=player_embedded
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Arc- bouté sur leur idéologie ultra-libérale et sur leur volonté d’être les serviteurs les plus zélés du Cac 40 le tandem Sarkozy/Fillon refuse obstinément toute relance de la consommation ;or à quoi sert de produire des objets si il n’y a pas d’acheteurs du fait de la baisse du pouvoir d’achat ?
Résultat de cet aveuglement...nette chute de la consommation en Février et dans tous les secteurs !!!
Les chefs d’entreprises comprendront-ils un jour que le "pouvoir d’achat" de l’ensemble de la population ( et pas seulement de quelques privilégiés qui ne pourront jamais tout consommer ! ) est une condition essentielle et nécessaire à l’écoulement de leurs produits...la crise du secteur automobile,avec le gonflement des stocks,en est la parfaite illustration.
A quoi sert de se lamenter ( voir Parisot ,Lagarde et consorts ) sur "le vide des carnets de commande" quand ils asphyxient la consommation par leur politique de baisse du pouvoir d’achat ?-
Le " Financial Times ",difficile de suspecter ce journal d’être anti-capitaliste et de véhiculer des idées révolutionnaires,indique que l’ébauche du communiqué final du G20 dans les discussions préparatoires à ce sommet regorge de formules creuses et langue de bois !
" La crise globale requiert une solution globale"
Quand on connaît le coût des ces festivités entre "grands du monde" !!!
Ou encore...
" Nous sommes déterminés à restaurer la croissance...à réformer nos marchés...à assurer que cette crise ne se répétera pas..." etc...
Le point d’orgue de l’écran de fumée que va produire la réunion du G20 se situe au niveau du vocabulaire où pour désigner le capitalisme il est écrit :
" Economie mondiale ouverte basée sur les principes du marché "
Quand on se refuse à changer la réalité on change les mots !!!-
Et voilà...pour accoucher de platitudes,banalités et changer sensiblement la langue de bois sur le capitalisme...
M.Malloch-Brown, secrétaire d’Etat britannique aux Affaires étrangères, vient d’annoncer que le coût du G20 serait de 20 Milllions d’Euros !!!
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a Serge, je suggère que pour stimuler la croissance on organise un G20 tous les 15 du mois
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Un G20 pour quoi faire, ils réutilisent les mêmes recettes :
La donne de la relance économique est une évidence, je vous propose de lire la démonstration en quelques étapes.
1 La recette historique pour les crises :
2 Le choix de la cible .
3 Le début de la relance économique aux USA
4 La France qui prend les mêmes recettes :
La nouvelle cible est connue de tous, si après ces 4 articles qui que se soit peut me démontrer que je me trompe, qu’il ne se prive pas...-
la presse belge economique commence a parler des entreprises qui vont se réfugier sous concordat suite aux défaut de payements parfois porté à 180 jours.....
j’ai rencontré il y a un mois un entrepreneur actif sur un marché secondaire, du jour au lendemain il perd des sommes importantes avec des stocks bien fournis....
dépréciation des stocks qui vont affecter les actifs.....et là le mec il tire la langue ....cela fait mal de voir son blé s’évaporer....
pffffff-
Bonjour,
Cet article fait reference a celui que vous avez publie le 9 mars et auquel j’ai repondu :
> Comment sauver les Banques ?
				 				par bob 								 (IP:xxx.x14.236.7) le 9 mars 2009 à 22H17 				 				
																					Accord du debut a la fin.
L’auteur passe neanmoins un peu rapidement sur l’interet de personnes puissantes. Ces gens refusent de voir perdre leur fortune et useront de tous les artifices pour se faire croire que la situation peut etre changee. Les creances insolvables etant superieures a la totalite des capitaux mondiaux non adosses a une dette, il apparait clairement qu’a moins d’un changement de gouvernement moins enclin a dispenser les deniers publics et plus regardant a leur beneficiaires, la crise ne pourra pas se resoudre.
J’ ajoute que le marche est base sur la confiance et que la perte de celle-ci a fait fuir les investisseurs plus rapidement qu’une volee de moineaux. Voila pourquoi, en meme temps qu’une politique saine, les pays touches auront aussi besoin de temps pour restaurer une confiance serieusement ebranlee et une economie variablement touchee.
Je reste honore d’avoir ete ainsi entendu.
				
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Heureusement qu’il y a, de temps en temps, quelques traits d’humour, pour nous distraire de tout ce marasme : merci, ancien du gud !
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De même, aucun responsable politique - fut-il au plus haut niveau - n’osera attaquer frontalement le système financier afin de le démanteler et d’en réduire l’influence considérable tout comme aucun politicien au pouvoir n’émettra la suggestion d’allouer - une partie au moins - des immenses ressources de ce secteur financier vers d’autres secteurs plus productifs et moins volatils.
Vous avez vu juste, ce " G vain " n’est qu’une grande mascarade politico-médiatique de plus, pendant ce temps là les problèmes s’aggravent, et l’orage commence à se faire entendre un peu partout.-
@frederic Lyon
hahaha
tu nous dis que les USA ez la grande bretagne n’ont pas de dettes ???
c’est la meilleure blague que j’ai lue depuis longtemps.
merci pour cette bonne rigolade
bref d’après frederic Lyon tout va pour le mieux du monde et il est normal que des esclaves restent esclaves et tout est très bien ainsi, l’économie fleurit, la croissance est constante, la vie se porte comme un charme et les dégénérés qui ont encore un cerveau devraient vraiment aller se faire l’ablation recommandée pour enfin entrer dans le parc d’atractions des "happy few" et se faire tirer une pipe par Paris Hilton. Et puis dire solenellement "O merci grand Molok de nous remplir l’abreuvoir à bière et la boîte à conneries, moi aussi je violerai des jeunes filles et je sacrifierai des enfants à bohemian grove en juillet".
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LA supercherie du G20 du 2 avril à Londres
« Nous serons guidés dans nos travaux par la conviction commune que les principes du marché, des économies ouvertes et des marchés financiers correctement réglementés favorisent le dynamisme, l’innovation et l’esprit d’entreprise qui sont indispensables à la croissance économique, à l’emploi et à la réduction de la pauvreté. Durant la période de croissance mondiale soutenue, d’essor de flux de capitaux et de stabilité prolongée qui a marqué les débuts de cette décennie, les acteurs des marchés ont cherché à obtenir des rendements plus élevés sans évaluer les risques de façon adéquate et sans faire preuve de la vigilance requise. ». Déclaration officielle du dernier sommet du G20 qui s’est tenu en novembre 2008, en pleine crise, à Washington ;
En gros, on continue comme avant, mais il faut mieux réglementer les marchés financiers.
Sauf que si les marchés financiers occupent une telle place dans l’économie mondiale, c’est bien la conséquence des politiques, initiées par Reagan aux Etats-Unis et Thatcher en Grande-Bretagne et reprises par TOUS les gouvernements, qui ont consisté à diminuer de l’ordre de 10% la part des salaires dans les richesses produites, à laminer les services publics, les systèmes de santé, de protection sociale et des retraites.Et c’est bien aux racines de cette politique-là qu’il faut aujourd’hui s’attaquer. Il ne s’agit plus de se laisser embobiner par les discours enflammés que ne manqueront pas de faire Obama, Sarkozy & Cie contre des paradis fiscaux.
La première mesure sérieuse à prendre serait la nationalisation sans indemnisation et sous contrôle social du secteur bancaire. Elle seule permettrait une réelle levée du secret bancaire et le contrôle et la traçabilité des opérations financières.
Il s’agit aussi, face à la tentative du G20 de relooker un système économique défaillant et mortifère, de défendre un programme d’urgence au coeur duquel doivent figurer la diminution du temps de travail, une redistribution massive de la richesse au profit du plus grand nombre, le droit à la souveraineté alimentaire, le retrait de toutes les troupes d’occupation et la préservation des grands équilibres écologiques.
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critères de convergence
- L’inflation ne doit pas excéder la moyenne des trois pays les plus performants de plus de 1,5 %.
- Pour les finances publiques, le besoin net de financement des administrations centrales, régionales et locales, y compris la sécurité sociale, ne doit pas dépasser un maximum de 3 % du produit intérieur brut (PIB*) et l’endettement* brut ne doit pas représenter plus de 60 % du PIB. Ce dédoublement du critère concernant les finances publiques a conduit des commentateurs à déclarer qu’il existait cinq critères de convergence.
- Pour les taux d’intérêt à long terme, le taux des obligations d’État ne doit pas dépasser de plus de 2 % la moyenne des trois pays membres dont l’inflation est la plus basse.
donc pour les deficit publics....je reste en effet coi par rapport au contenu de l’article....
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"Pour autant, et en dépit de déficits publics Européens qui devraient se situer entre 5 et 7% du P.I.B. de la grande majorité des pays de l’Union"
mais il me semble que les critères de convergence ne sont déjà plus respectés....or récemment les autorités européennes ont insisté sur le respect de la norme....
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....et donc parlons nous de la même chose ?
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et donc avec une contraction du PIB en Europe et les possibles déficits publics, j’ai plutôt l’impression que les Etats vont avoir bobo....
donc l’Europe va peut-être devoir aller chercher ds les fonds structurels....
bien, ce n’est pas ma matière favorite et n’ai pas d’expertise dans ce domaine, mais le débat est lancé.... -
Comme dirait Gordon Brown le G vain n’est qu’une autre « étape » de plus dans leur incompétence, pourvu que ça dure, ils reconnaissent néanmoins qu’ils ont beaucoup appris, dans la manière de tromper aussi les gens, il faut donc que les journalistes écrivent que c’est déjà un grand succès planétaire, tant de faux semblants d’avancement. Ils ne peuvent bien sur imaginer qu’ils passeront davantage pour des imbéciles demain, ce n’est pas leur scénario prévu, c’est si bon d’avoir des responsabilités, nabot nerveux et irréfléchi à leurs cotés !
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l’Europe est évidemment dans une position de dominé, elle n’a pas l’initiative. L’Europe désunis face aux états unis aura toujours le désavantage politique de ne pas etre une fédération d’états.Elle ne peut donc qu’attendre qu’on se décide pour une Europe,sociale, libérale,des nations, sioniste, viticole, gaulliste, pro Aubry, noniste, des cantons, des chasseurs.... et cet attentisme et cette indétermination qui joue pour du beurre dans le rappoprt de force peut prendre la forme de : "pour un monde plus régulé", forme elle méme dérivé de la forme ; "pour un monde multipolaire"
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Faut dire qu’avec des gens qui continuent sans broncher à faire tourner une machine de guerre criminelle... tout en se voulant absous de toute responsabilité du type "on n’a pas le choix"... il ne nous reste plus qu’à leur demander QUI donc a le choix si eux-mêmes se le refusent ?
de quels stimuli parlez-vous ? ... ah de ces cadeaux de milliards que les banksters se distribuent en s’autocongratulant... et dans un mois il leur faudra 200 milliards supplémentaires. Et encore le mois suivant. Et dans trois mois ce sera la même somme pour deux semaines d’activité. De la masturbation boursière, oui, et du brassage de centaines et de centaines de milliards posés en dettes sur la tête des enfants occidentaux pour que des criminels puissent continuer à festoyer sur le dos des souffrants.
Comment voulez-vous qu’un équilibre économique s’installe quand à chaque seconde 5000 dollars partent en fumée dans une guerre infecte ?
Si, 5000 dollars par seconde qui passe.
Même un handycapé mental peut comprendre que cette équation n’est qu’une destruction volontaire de la société, établie par des criminels qui se prennent pour des dieux et ne sont qu’une bande d’infâmes pilleurs assassins.
L’occident n’est plus qu’un monstre sans but, hormis la destruction du vivant et la foire à la connerie, type "vous vous êtes vaccinés contre la rougeole ?"
...
cette affreuse maladie auto-immune appelée aussi 1ère maladie et dont le virus n’échappe pas à un sauna d’une demi heure à 60°... et qu’en prime TOUS LES ENFANTS NORMALEMENT CONSTITUES attrapent entre leur 5ème ou 6ème année.
Mais les experts vous rassurent... tandis qu’ils vous tuent en vous souriant...
et en colportant une connerie meurtrière après l’autre sans sourciller.
Une question à l’occidental : quand vos enfants vous demanderont "papa-maman, vous avez fait quoi pour empêcher ce système fasciste de tout envahir, dans lequel on est aujourd’hui enfermés et qu’on n’a plus de liberté d’expression, plus de droits quels qu’ils soient, qu’on n’existe même plus comme de véritables êtres humains , mais comme des animaux de trait et de labour, remplacés comme des boulons sitôt qu’on tombe malade ? Et nos copains torturés dans des camps parce qu^’ils voulaient réfléchir ?
Qu’avez-vous fait pour nous préserver de cette horreur ?"
Vous leur direz quoi ?
-
..tout ces milliards ne sont que des tartes à la créme
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Ils sont pas beaux eux,avec leur jolis costards a trois smics,leurs prestations payées par notre sueur,leurs gargantuesques repas chaque jour regles par nos impots,leurs privileges octroyés aux sus du peuple et tout ça pourquoi ??pourquoi ????.......................................................... ;;pffffffffffffff
pour que ça continue dans le meme sens .................
faut pas se leurrer mais cette masse de parasites de l’humanité et avide de pouvoir, n’a aucune envie que cela change, car leur mode de vie et ils en connaissent qu’une est : le profit !!!!!!
bande d’escrocs....-
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Si aux Etats-Unis ça ne pètent pas,..
USA : emplois, la chute la plus rude depuis les années 1930-31
L’ampleur et la rapidité des destructions d’emplois, voilà une des caractéristiques de la récession mondiale présente. Et les records sont loin d’être atteints. Ainsi au début du mois de mars — selon le New York Times et le Wall Street Journal — les grandes entreprises industrielles et les moins grandes, ainsi que celles des services qui y sont reliées, plus la branche de la construction sont les secteurs qui suppriment le plus d’emplois. Le secteur bancaire et financier contribue aussi à l’envol des personnes licenciées.
Mais, il faut y ajouter aujourd’hui : des écoles, des administrations publiques, des bibliothèques. Elles licencient des salarié•e•s. Pour ce « secteur public », ce sont la Californie, l’Illinois, la Pennsylvanie, la Géorgie et le Massachusetts qui sont au premier rang. La réduction des dépenses publiques en est à l’origine.
Dans l’industrie, une firme aussi prestigieuse qu’United Technologies — un conglomérat transnationalisé, basé dans le Connecticut et actif dans l’aéronautique (les hélicoptères Sikorsky, les moteurs Pratt&Whitney) ou la domotique (les ascenseurs Otis, systèmes antifeu, etc.) — annonce, début mars, des « réductions d’emplois » à hauteur de 15 000 pour les États-Unis.
Manpower International, dans son enquête auprès des employeurs sur les perspectives d’engagement de nouveaux employés d’avril à juin 2009, enregistre son résultat le plus plat depuis qu’il établit ce recensement en 1982. Le résultat net est négatif.
La hache pour les emplois
La simple énumération des emplois supprimés entre janvier 2008 et février 2009 (Tableau 1) donne une image de ce qui se passe dans la principale économie capitaliste à l’échelle mondiale.
Tableau 1 — Emplois perdus aux États-Unis (cumulatif)
Janvier 2008 72 000
Février 216 000
Mars 338 000
Avril 498 000
Mai 635 000
Juin 796 000
Juillet 924 000
Août 1 099 000
Septembre 1 420 000
Octobre 1 800 000
Novembre 2 397 000
Décembre 3 078 000
Janvier 2009 3 733 000
Février 2009 4 384 000
(Sources : Wall Street Journal et CNBC)
Le 6 mars 2008, le Bureau of Labor Statistic annonçait que le chômage avait atteint le taux de 8,1 %. Ce résultat valait un grand titre, en première, du quotidien britannique Financial Times (du 7 mars 2009) : « Le nombre de sans-emploi états-uniens est le pire depuis 25 ans ».
Au cours des quatre mois (novembre 2008-février 2009), l’économie américaine a perdu, en moyenne, 600 000 emplois par mois.
Pour mieux se représenter la situation, il est utile d’avoir en mémoire la durée, en mois, des récessions enregistrées officiellement aux États-Unis :
en 1973-1975 : 17 mois ;
1981-1982 : 16 mois (sans compter la récession de janvier-juillet 1980) ;
1990-1991 (9 mois) ;
2001 (9 mois) ;
décembre 2007 à mars 2009 : déjà 16 mois et l’on est loin d’une relance.
La part de la population employée (qui dispose d’un emploi) a passé de 63,4 %, en décembre 2006 à 60,3 % en février 2009. Cette chute est déjà supérieure à celle enregistrée lors du repli économique des années 1980.
Or, pour maintenir le nombre d’emplois en tenant compte de l’arrivée sur le marché du travail de nouvelles personnes, il aurait fallu augmenter le nombre de postes de travail de 1,8 million depuis décembre 2007.
Ne sont pas comptabilisées dans les statistiques les personnes incarcérées : 2,7 millions en décembre 2007. Le taux de chômage des Afro-Américains est, en février 2009, de 13,4 % et celui des Hispaniques de 10,9 % ; et cela n’est que la pointe de l’iceberg. La « désafiliation sociale », entre autres, d’une fraction de ces populations crée les conditions légitimant une politique carcérale d’une rare brutalité.
Enfin, il faut avoir en mémoire que le chômage se prolonge bien après la fin, formelle, d’une récession, c’est-à-dire lors de la phase dite de relance. On le constatera en Suisse en 2010 et 2011 ; ce qui ne signifie pas que 2010 sonne la fin de la récession helvétique.
Pour disposer d’une mesure plus exacte de la situation de l’emploi, il faut prendre en compte le sous-emploi. C’est-à-dire les personnes qui travaillent à temps partiel et qui cherchent un emploi à temps plein. Or, selon le BLS, le pourcentage de personnes sous-employées a passé de 13,9 % en janvier 2009 à 14,8 % en février. Depuis le début de la récession, le nombre de salariés contraints à un temps partiel — avec la perte de revenu que cela implique, sans même mentionner l’inexistence de couverture sociale, pour l’essentiel — a augmenté de 4 millions. En effet, la statistique indique le chiffre de 8,6 millions pour février 2009, par rapport à 4 millions en décembre 2007.
Au total entre les sans-emploi et les sous-emploi, ce sont 23,1 millions de personnes qui sont frappées par cette pandémie propre au système capitaliste.
A cela s’ajoute le chômage à long terme, c’est-à-dire ceux qui, aux États-Unis, se trouvent sans emploi durant une période de plus de six mois. Il est fort élevé : 23,1 %, ce qui n’a rien d’étonnant lorsque l’on sait que le rapport entre les « places vacantes » et les chômeurs et chômeuses est de 1 à 4 (une place vacante pour 4 sans-emploi). Quant aux « personnes découragées » de chercher un emploi, elles ne figurent pas dans les chiffres mentionnés ici.
Or, au cours de cette année, vont se multiplier les faillites, avec leurs effets en cascade. Le volume des emplois qui seront supprimés — en plus de celui déjà effectué — par l’industrie automobile sera énorme ; d’autant plus si l’on prend en compte l’ensemble du secteur (équipementiers, revendeurs, etc.) qui dépend du « noyau dur » que sont, en tant que telles, les firmes GM, Ford, Chrysler, mais aussi Toyota et Honda dont les ventes déclinent fortement.
Dans ce secteur, déjà sinistré, des licenciements massifs débouchent sur des pertes non seulement de salaire, mais aussi d’assurance-maladie et de retraite.
Comme le titrait l’hebdomadaire Business Week : « Le temps du travail pour les personnes à la retraite commence ». Entre autres, celles qui ont perdu leurs « avoirs retraite ».
Ces seuls constats montrent que les « plans de relance » de l’administration Obama sont loin de répondre aux besoins d’emplois, sans même mentionner la qualité de ces emplois.
Cette crise met ouvertement en question la capacité du système capitaliste à répondre aux besoins sociaux. Et la brutalité avec laquelle ce système traite les êtres humains (les « ressources humaines » !) n’est qu’une autre facette de la rudesse avec laquelle il « épuise les ressources de la planète »
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Comme le souligne l’auteur , le G20 semble n’etre qu’un nième replatrage du titanic de la finance mondiale , pas de mesures véritablement spéculaires .
Le problème c’est que les citoyens du monde regardent nos dirigeants , et commencent à constater leur impuissance , voire leur incompétence à résoudre cette crise .
Les Etats Unis viennent la semaine dernière de capituler devant Wall Street , et Obama le sait , et son dernier discours , il semblait bien terne pour un président de 60 Jours . Le dernier plan Mrs. Geithner et Summers étant qu’un Plan Paulson remanié , Nul doute que l’argent du contribuable américain va encore servir à prolonger un système à bout de souffle .
On est donc bien loin d’un Bretton Wood .
Mais les choses pourraient bouger ailleurs , car nul doute que la solution à la crise ne viendra pas des US .
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Ainsi Sarkozy poura s’exclamer : "Je suis venu, j’ai vu, G 20 !"
Comment ? Non ! il ne manque rien...A homme court, pensée courte et parole courte !
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le sommet du G20 ne servira qu’a accroite le pouvoir des pays riches ! La france veut adhérer le G20 pour la venue de l’ère apres pétrole, avec les guerre qui s’en suivront ! je suis tres péssimiste, mais un jour ou l’autre, ca viendra ! toute notre économie est basée sur le pétrole, sans pétrole, c’est la crise, alors autant y rester pour ne pas rechute dans 10-15 ans encore pire que ca !
IL FAUT DU CHANGEMENT !!!
En vivant de l’intérieur le sommet du G20, travaillant dans une zone sensilbe de Kehl,
il y a 14 000 policiers allemands, 5000 policiers francais, sans compter les gendrames et militaires !
100 hélicos, des armes intercéptrice de missiles ! ils ont meme prévu des ponts flottants au cas où les terroristes font péter les ponts du rhin entre la france et l’allemagne !
dans les zones sensibles les habitant ne pourront pas sortir de leur habitations, les volets fermés ! quand le chien veut faire caca, sarko envoie un policier escorter le toutou !!!
mon boss nous a gentillement demander de prendre sur nos congés, le jeudi et le vendredi !!! sans compensations des autorités ! que dale !
la manifestation aura lieu dans un super port de strasbourg totalement vide. le centre à ville est a 5km, avec comme barrières, les glissières de sécurité !
Bref, comme en tant de guerre !!! Jetais pas né en 39-45, mais l’occupation a ses similiudes....
a+-
Les Etats-Unis ayant donc toutes les chances de se sortir en premier de la crise. 			
On va plutot voir la plus grande banqueroute , qui aura des conséquences incalculables , provoquant la déconfiture de la finance mondiale .-
La censure qui sévit désormais sur Agoravox devient parfaitement ridicule.
A quoi sert-il de censurer ?
Je ne fait que souligner que les articles d’économie publiés par Agoravox sont, en général, d’une nullité crasseuse.
Tout le monde peut le voir.
Prenons les exemples d’aujourd’hui : Il y a en ce moment même TROIS articles en première page consacrés à la réunion du G20.
Ces trois articles nous annoncent la fin du monde, les derniers soubresauts d’une crise "systémique", des émeutes dans les rues, la fin du "capitalisme "financier" et l’effondrement de la Galaxie.
Pourquoi trois articles, là où un seul aurait largement suffit ?
Pense-t-on que la répétition des mêmes âneries les transformera en vérités ?
Ces trois articles ont été écrits par trois auteurs dont personne n’a jamais vérifier les états de service, ni les compétences, et qui se sont bornés à afficher des CV ronflants qui n’ont jamais été vérifiés non plus.
A titre d’exemple, notre ami Michel Santi se prétend "membre du Forum de Davos" (! ?)
Il se prétend aussi ancien "chef cambiste" et ancien associé dans un cabinet de gestion de fortune en Suisse. Or il se trouve que je suis moi-même ancien banquier spécialisé dans la banque internationale et que j’ai travaillé dans deux ou trois des plus grandes banques mondiales.
Je peux vous dire que les âneries débités par Michel Santi sur les sujets économiques, ne sont que des rabachages d’opinons marquées d’a prioris idéologiques et politiques qui n’ont pas voix au chapitre dans les banques ou dans les sociétés de gestion de fortune, à Genève ou à Zürich.
En effet, ces honorables établissements n’ont guère besoin de recruter dans les groupuscules d’extrème gauche ou d’extrème droite. Ils se contentent de recruter les meilleurs économistes et les meilleurs mathématiciens qui sortent des grandes universités, en Europe ou en Amérique.
Autant dire qu’il n’y a pas de Michel Santi, ni de John Lloyds, ni de Reinette dans ces établissements. Ceux-là, on les laisse à Agoravox.
Enfin, pourquoi TROIS articles allant dans le même sens, qui se contentent d’asséner des affirmations péremptoires qui ne constituent en aucune façon une analyse économique sérieuse, et qui pourront tous les trois être mis à la poubelle et oubliés avant l’été ?
Juge-t-on que les réunions du G20 ne méritent pas un traitement plus sérieux ?
Pourtant il est assez facile de deviner qu’un sommet du G20 réunit des responsables et des spécialistes de l’analyse économique autrement plus capables que le panel de "journalistes citoyens" que peut aligner Agoravox pour en commenter les résultats.
Tout ceci est ridicule, encore une fois et il ne sert à rien de censurer, sous des prétextes futiles, ceux qui viennent pour dire que, décidemment, le roi est tout nu.-
TALL 31 mars 2009 04:09Lyon
Ce site n’est pas un vrai média-citoyen, ou pas seulement. Et notamment sur le sujet de la crise économique où Cybion a des clients qui veulent prévoir si la crise pourrait éventuellement déboucher dans la rue.
Aussi, plutôt que d’aller seulement chercher la "menace" sur le web, on l’attire aussi ici, avec des articles aguicheurs encourageant l’extrême-gauche et autres frustrés du système à s’exprimer, pour voir leurs forces réelles et ce qu’ils ont dans le ventre.
Et toi, tu viens déranger leur jeu ... alors, on cherche à te décourager.
Ca été le même topo avec le complotisme 0911 et Bayrou avant les présidentielles.
Tout est là, noir sur blanc. Lis bien le dernier paragraphe.
Et regarde ce reportage, notamment l’interview de Carlo dans les bureaux de cybion à 18 min 30.
A + -
Que Cybion vende du blablabla à ses clients, celà la regarde et celà regarde ausi ses clients. Je constate que cette société vend surtout de la veille informatique et qu’il faut tordre le sens des mots pour appeler celà de l"intelligence", en utilisant un anglicisme pour faire plus savant.
Celà ne m’intéresse pas, encore une fois.
Je serais curieux de curieux de connaitre le trafic réel d’un site comme Agoravox, mais lorsque je constate que 80 % des articles et des commentaires sont écrits par un petit groupe de d’intervenants qui ne doit pas dépasser une trentaine de personnes, avec de grandes vedettes à la productivité impressionnante, tel que Momo, Allain Jules, Dugué, la Taverne, ou Michel Santi qui, à eux seuls produisent la moitié des articles, je pense que le trafic réel ne doit pas être très important.
Sans doute quelques milliers de visites par jour, avec beaucoup d’intervenants qui cliquent plus de dix fois dans la journée. Donc quelques centaines de personnes par jour, qui viennent sur le site.
Faire de "l’intelligence" avec ça, c’est une plaisanterie. -
En effet, le post de Lyon, qui ne faisait que souligner quelques phrases au sens pour le moins obscur, a disparu. Curieuse hypothèse de Tall, mais qui a le mérite d’expliquer pourquoi on a souvent l’impression d’être dans un asile d’aliéné sur ce site.
Ca mérite réflexion. -
a Lyon, Tall et quelques autres.....
Hier, Mireille Dumas, par ailleurs charmante, a mis en scène Rachida Dati, pour une opération marketing à la veille des élections européennes via une chaine connue.
Hier aussi, des blogueurs , ont lancé quelques informations buzz sans intérêt et pauvrement documentés.
Qu’est devenue l’information et son traitement au moment où tous se félicitent de vivre au milieu de la société de communication, c’est la vraie question.....
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C’est certain , les honorables établissements bancaires ( ironie !!!!) se contentent de recruter les meilleurs économistes et les meilleurs mathématiciens qui sortent des grandes universités, en Europe ou en Amérique.
Lors d’une conférence à l’ONU , François Houtart, représentant du Président de l’Assemblée générale au sein de la Commission d’experts, a lui dit que « nous nous trouvons face à l’effondrement de tout un système économique et pas seulement d’un système financier. Pourquoi simplement réformer ou réparer un système qui a détruit des millions d’emplois et des millions de personnes et continue de détruire la planète, alors qu’il faudrait reconstruire le système financier mondial ? »Il est question de « transformer, de manière radicale, les bases de l’économie mondiale ». On demande « la création de nouvelles instances qui prennent en compte à la fois la crise climatique à venir et les exigences de démocratisation ». Le communiqué déclare que « Le G-8 et le G-20, s’étant montrés incapables de corriger les défaillances des cadres économique et réglementaire , les experts ont proposé la mise en place d’institutions dotées de la légitimité politique et réelle de tous les habitants de la planète, soit un « New Deal mondial », ou un G-192 travaillant sous les auspices des Nations Unies ».
Etonnant que les meilleurs experts économistes de la planète , rejoignent les soit-disant ( d’après Mr Lyon ) médiocres rédacteurs d’Agoravox . -
les nations unies sont devenus à mon sens inutiles a moins d’une totale refonte de cette instiution.
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je signale tout de même que je n’ai rien à voir avec ce Diederick Legrain.
il ne faut pas être dupes en effet.....la révolution Internet se fatigue.....et commence à fatiguer
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Non, il est illusoire de croire que seules les mesures de relance peuvent rétablir la consomation, c’est la justice qui, seule, peut ramener la confiance.
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L’aveuglement idéologique de certains commentaires serait du plus haut comique si il ne s’agissait pas du sort de millions d’êtres humains.
Par exemple cette louange dithyrambique des protagonistes du G20..." des responsables et des spécialistes de l’analyse écononomique plus capables..."et sérieux... que ces "pauv’cons" de la "France d’en bas".
Spécialiste de haut vol comme une certaine Mme Lagarde c’est sûr...
" Le gros risque systémique qui était craint par les places financières et qui les a amenés à beaucoup baisser au cours des derniers jours est
DERRIERE NOUS."
Qui a fait cette "analyse économique" des plus sérieuses ?C.Lagarde le 20Septembre 2008 !!!
Avec des Mmes Soleil de ce niveau nous pouvons dormir tranquille et attendre un miracle au G20 !!!
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Je reconnais à C.Lagarde une qualité...l’art du boniment qui, parfois, inconsciemment,lui fait énoncer des vérités.C’est ainsi qu’à Davos en Janvier 2009 elle a déclaré :
Les mesures que nous allons prendre le 2 avril au G20 devront être..." VENDABLES EN TERMES POLITIQUES AUX OPINIONS PUBLIQUES."
Non,non,...vous lisez bien : VENDABLES !!!
Elle révèle ainsi le vrai objectif de ces festivités à 20 millions d’euros entre "grands du monde".
Nous vendre ou plus exactement,tenter ( je l’espère ! ), de la poudre de perlimpinpin à effet anesthésiant social !!! -
Je livre à notre banquier qui demande que s’accroisse les aides de l’état aux banques (car la confiance le demande, n’est-ce pas) cette réflexion.
“Les banques ont commis les même erreurs en 1982, 1991 et en 1998 avec Long Term Capital Management (LTCM).
Si on n’avait pas renfloué ces banques, on n’aurait pas permis à des créatures aussi fragiles de s’agrandir.
La nature aime à casser les choses (fragiles) rapidement, et le capitalisme exige des échecs précoces.
Quand l’État vous tient à bout de bras, la chute n’en est que plus dure, et vous entraînez avec vous un grand nombre de contribuables.
Cela a commencé très tôt, en 1982, avec la crise de la dette des pays en développement, et aucune banque n’a été pénalisée.
Le capitalisme a besoin de sanctions, pas de sauvetage.”
Il ne faut jamais cesser de le rappeler : le capitalisme n’est pas avant tout un système de profits : c’est un systèmes de profits et pertes - et ces dernières jouent un rôle sans doutes plus important dans la discipline des marchés.
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a Lyon
un cambiste n’est défintivement pas un "chief economist"
cet article aurait eu a mes yeux un véritable intérêt s’il avait évoqué par delà le traitement de l’actualité du G20, une reflexion sur l’impact du soutien à l’industrie financière et de l’automobile sur les finances publiques.
Quelle part les flux financiers de soutien aux banques défaillantes dans les budget de l’Etat et quelle part du Pib sachant que celui ci décline....
ensuite quel impact sur la dette publique ....
a partir de là , il était plus facile de juger les propos politiques des dirigeants réunis au G20
le vrai problème, c’est que cet aspect technique à communiquer aux citoyens n’est pas le souci des politiques qui sont dans une communication politique et non objective (que la déclaration d’intention surpasse les faits).
rappel, les etats ont alloué des sommes au prix du marché.....
je dois dire que je commence aussi a fatiguer sur Avox....., comme lecteur de passage, à la recherche de vérité et non pas d’émotions.
en fait le médium citoyen n’échappe pas aux travers des métiers de la com. en général.
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