@ Mouche-zélée et Abdelkader
Voilà qui réquilibrera la donne sur le Nazisme, les juifs et les Muslmans :
Hitler, les cours d’histoire, les Juifs et le Coran.Partager
« Mein Kampf le livre qui, répandu en Allemagne à plus d’un million d’exemplaires, a eu sur l’orientation soudaine de tout un peuple une influence telle, qu’il faut, pour en trouver l’analogie, remonter au Coran. »(Extrait de l’Avertissement dans l’édition française de Mein Kampf publiée avant la seconde guerre mondiale.)
« La religion d’Hitler est la plus proche qui soit de l’islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l’islamisme, elle prêche la vertu de l’épée. (1936, C.G. Jung à propos d’Hitler, Entretiens et Interview, p. 94) »
« Hitler possède un pouvoir magnétique sur les foules ; qui découle de la foi en une mission qui lui aurait été confiée par Dieu. Il se met à parler sur le ton de la prophétie. Il agit sur l’impulsion et rarement sous l’empire de la raison. Il a l’étonnante faculté de rassembler les points essentiels d’une discussion et de lui donner une solution. Une forte intuition lui permet de deviner la pensée des autres. Il sait manier avec habileté la flatterie. Sa mémoire infaillible m’a beaucoup frappé. Il connait par cœur des livres qu’il a lus. Des pages entières et des chapitres sont photographiés dans son esprit. » (Erwin Rommel à propos d’Hitler, octobre 1938)
Léon Degrelle, fondateur du rexisme qui était un mouvement fasciste belge, écrit « Contrairement à tout ce qu’on a pu raconter, Hitler n’était pas du tout un païen (...) Hitler avait indiscutablement un faible pour la religion islamique. Lui qui était d’origine catholique et comme enfant avait chanté dans le chœur de la paroisse, montrait un grand intérêt pour l’Islam et sa civilisation ».
Dans les Propos de table [4] Adolf Hitler déclare : conversation du 5 juin 1942 : « Et cette fois nous éprouvons une violente sensation de colère à la pensée que des Allemands ont pu s’enliser dans des doctrines théologiques privées d’une quelconque profondeur quand sur la vaste terre il y en a d’autres, comme celle de Confucius, de Bouddha et de Mahomet, qui à l’inquiétude religieuse offrent un aliment d’une bien autre valeur. »
Idem, le 1 août 1942 : « Nous ne comprenons pas que les prêtres s’imaginent Dieu à la ressemblance d’un homme. De ce point de vue, les disciples de Mahomet sont, de loin, supérieurs aux prêtres, parce qu’ils n’éprouvent pas le besoin de se figurer Allah physiquement ! ». « L’époque arabe fut l’âge d’or de l’Espagne la plus civilisée. Puis vint l’époque des persécutions toujours recommencées ».
"La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes.
Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés."
(Adolf Hitler, 28 août 1942, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, vol. 2, 1954, p.297.)
Le sujet est forcément polémique et j’entends déjà les cris d’orfraies des commentateurs qui se plongeront dans une soi-disant Islamophobie, sans même s’interroger sur la véracité du propos. Un adjectif vaut pour beaucoup mieux qu’un véritable débat. Qu’il en soit ainsi si tel sera leur choix.
Si j’ai choisi ce thème et ses analogies, c’est que je m’aperçois qu’un antisémitisme que l’on croyait éteint après les horreurs de la Shoah, n’était qu’un feu couvant, et la braise encore chaude semble donner les signes d’un renouveau de flammes.
Les cours d’histoire, autant que je m’en souvienne, ne font jamais référence à la vie du prophète Mahomet comme il peut en être question quand il s’agit d’aborder les origines du Christianisme, je suis donc en droit de m’interroger sur ce passage au silence de cet homme qui pourtant influence 1 milliard 500 millions de fidèles dans le monde. Retracé l’histoire de cet homme, ces actes, ces choix politiques ou guerriers ferait-il parti du politiquement incorrect ? Je n’ose imaginer que l’éducation nationale puisse volontairement tronquer une partie de l’histoire ? Ou s’agit-il de l’Irénisme qui frappe notre société au point que pour une paix somme toute bien vacillante on se refuse de décrire les faits ?
Je ne referais pas l’histoire complète de Mahomet, je n’en n’ai ni la prétention, ni la compétence, mais je souhaite aborder, les liens qui unissent le Coran aux thèses mortifères du Mein Kampf d’Hitler, ceci expliquant d’ailleurs l’introduction en forme de préambule sur l’avertissement de l’éditeur de l’édition française de Mein Kampf qui n’employait pas de "gants" pour présenter l’ouvrage, à se demander si cela serait encore possible de nos jours ainsi que les propos de CG Jung dont la lucidité et les travaux sur la conscience de l’homme ne sont plus à reconnaître.
Il ne s’agit pas non plus de faire un rapport complet entre le Coran et la « religion islamique » mais bel et bien d’en parler comme une source d’inspiration pour Hitler.
Mahomet a combattu les populations Juives et à écrit les textes les plus durs à l’égard de ce peuple comme l’a fait Hitler en son temps avec le désastre que nous connaissons tous.
D’ailleurs Hitler a reçu pendant la guerre de 39-45 le Grand Mufti de Jérusalem et il donne le 10 février 1943 son accord pour la création d’une division Bosniaque Musulmane pour laquelle Himmler donnera les recommandations suivantes :
Le 6 aout, il adresse au une lettre aux SS-Gruppenführer Phleps (chef du V.SS-Gebirgs-Korps dont dépend la division) et Kammerhoffer dans ce sens. « Tous les Musulmans de la Waffen-SS et de la polce, écrit le Reichfürher, doivent être en mesure d’accomplir les préceptes de leur religion comme ne pas manger de porc, de saucisses de porc ou de ne pas boire d’alcool. Dans ce cas des vivres de remplacement doivent leurs être attribué ». Suit une série de recommandations :
« Je demande à tous les officiers, commandants de compagnies et autre officiers SS et spécialement aux officiers et sous officiers chargés de questions administratives, de garantir scrupuleusement ces privilèges accordés aux Musulmans »
« Les Musulmans ont répondu à l’appel de leurs chefs musulmans et sont venus à nos côtés en raison de leur haine envers nos ennemis communs judéo-Anglos-bolcheviques et par fidélité et respect pour celui qu’ils respectent par-dessus tout, le Führer. Je ne tiens pas à ce que, à cause de la sottise et l’étroitesse d’esprit d’une seule personne, un seul de ces braves volontaires ainsi que leur famille souffre de ces plaisanteries stupides et se sente privé des droits qui lui ont été garantis (…) Je demande en conséquence que toutes les infractions de ce type soient relevées systématiquement, soient punies et que j’en sois averti. En outre, j’interdis les plaisanteries et remarques facétieuses à l’égard des volontaires Musulmans »
Cette division finira par compter plus de 21 000 hommes et portera le nom de 13 Waffen-Gebirgs-Division der SS « handschar » (Kroatische nr1) (le mot Handschar désignant un sabre recourbé)
Le lien qui unissait Hitler au Grand Mufti de Jérusalem n’est plus à démontré et dans les rangs de ses plus hauts gradés tel que Rommel la similitude de comportement entre Hitler et Mahomet est parfaitement décrite.
Alors pourquoi ce silence des cours d’histoire alors que la guerre de 39-45 fait l’objet d’un travail important pour tous les étudiants ? Alors qu’en cours d’histoire actuellement tel que s’en fait l’écho un ancien inspecteur d’académie Jean-Pierre Obin les jeunes Musulmans de nos écoles n’hésitent pas à applaudir à l’évocation de l’expulsion des Juifs en 1492 d’Espagne ou lors des cours traitant de la Shoah quand tout simplement ils ne se font porter pales lors des cours traitant des Hébreux. L’antisémitisme, issu des textes Islamiques semblent ne pas avoir disparu contrairement aux propos tenus par beaucoup de Musulmans qui voudraient replacer dans un contexte historique et guerrier les appels aux meurtres des Juifs. Trouveront-ils le moyen d’expliquer ces débordements sans faire le lien avec ce texte fondateur de la religion Musulmane ?
Le monde dans lequel nous vivons est bien imparfait et les sources de tension sont nombreuses, mais cet antisémitisme appuyé par les thèses révisionnistes et par une extrême gauche qui semble ne pas vouloir fuir ses vieux démons finit par rejoindre les thèses de l’extrême droite. Un comble !
Le contexte dans lequel nous vivons ne manque pas non plus d’analogies avec la période qui a précédé la guerre de 39-45 et qui a vu l’ascension de celui qui restera dans l’histoire comme un des pires monstres ayant vécu.
Que faudra-t-il faire pour que ne se reproduise pas encore une fois l’histoire et faire mentir ce terrible adage ? Et que les consciences s’éveillent enfin pour faire vivre en paix un monde qui n’attend que nous pour y œuvrer.
La paix nécessite une connaissance de l’histoire complète car elle est souvent un tableau certes passée d’une histoire qui pourrait se répéter. Et je pense sincèrement que seuls des Musulmans éclairés par ce passage peu glorieux pourront savoir comment inverser cette tendance dangereuse.
Je le souhaite sincèrement. Et comme le disait le chroniqueur Alexandre Vialatte, c’est ainsi qu’Allah est grand.
Le fruit de la raison est le seul qui pousse sur l’arbre de la connaissance.