• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Actualités > International > Sionisme et antisionisme d’hier et d’aujourd’hui

Sionisme et antisionisme d’hier et d’aujourd’hui

Chaque soubresaut de ce conflit appelé, tour à tour, israélo-arabe, israélo-palestinien ou crise du Proche-Orient, provoque, aux quatre coins de la planète, des vagues d’indignation, des campagnes de solidarité et d’innombrables manifestations et rassemblements. Chacun se doit d’exprimer son soutien, qui pour la cause palestinienne, qui pour légitimer l’énième – et hélas ! assurément pas l’ultime – opération militaire israélienne dans la bande de Gaza, en Cisjordanie, au sud-Liban ou sur le plateau du Golan. Il faut dire que ce vieux conflit a toujours constitué, et dès avant 1948 – année de la proclamation de l’indépendance de l’État d’Israël et du déclenchement de la première guerre israélo-arabe –, une ligne de clivage intangible. Il a toujours fallu choisir, apporter son soutien – nécessairement inconditionnel et indéfectible – à l’un des deux camps.

Quiconque dénonce la stratégie nihiliste des groupes de résistance armée palestiniens et défend, avec la même énergie, le droit des deux peuples, israélien et palestinien, à vivre en paix et en sécurité, se voit systématiquement qualifié par les défenseurs de la cause palestinienne d’ennemi de l’ensemble de la nation arabe et de la foi musulmane. Il est aussitôt désigné « agent du sionisme ».

Sionisme. Ça y est ! Le mot est lâché, prononcé, écrit. Dans la bouche de ceux qui soutiennent la cause palestinienne, le sionisme est une insulte infâmante. À leurs yeux, le sionisme et la politique actuelle de l’État d’Israël se confondent. Ils affirment que le sionisme légitime et encourage l’occupation de la Cisjordanie et s’oppose à la création d’un État palestinien. Certains prétendent que tous les Juifs sont sionistes et qu’ils œuvrent sournoisement dans l’ombre pour contrôler le monde. D’autres comparent les traitements – par trop souvent inhumains – réservés aux Palestiniens par les autorités israéliennes à ceux qu’infligeaient les nazis aux Juifs. Les défenseurs de l’État d’Israël, quant à eux, droits dans leurs bottes, récusent toute condamnation de la politique de l’État hébreu, aussitôt assimilée à une forme déguisée d’antisémitisme.

Toute réflexion objective et dépassionnée ayant pour sujet le sionisme – terme apparu en Europe au milieu du XIXe – et l’antisionisme – vocable entré en usage bien plus tard – impose d’essayer de comprendre et d’expliciter pourquoi et comment est née, au sein des communautés juives d’Europe, et plus tard du monde entier, cette volonté de retourner en Eretz Israël, la terre d’Israël, la Terre promise du Pentateuque, la Torah, La Loi des Juifs.

La pensée sioniste s’est construite à partir d’un constat : l’impossibilité de l’existence juive dans la Galouth, l’Exil. Partant, vouloir aborder le sionisme nécessite l’évocation de l’antisémitisme et, sa plus ignoble conséquence, la Shoah.

L’Arabe et l’Européen que je suis constate, le cœur plein de peine, que sur les terres des deux contrées que j’aime, celle où je vis et celle où j’ai décidé de vivre, les traitements réservés aux Juifs poussèrent ceux-ci à se sentir étrangers sur le sol qui les avait vus naître.

Je regrette et condamne les nombreux passages explicitement haineux envers les Juifs contenus dans le Coran, considéré parole incréée d’Allah par tous ses fidèles et donc, vérité absolue et éternelle. Partant, il n’est guère surprenant de constater que les sociétés arabo-musulmanes du Maghreb au Levant, de Rabat à Damas, aient toujours été profondément antisémites. Le rejet, les lois d’exception et les persécutions que les Juifs subirent, et continuent de subir, dans les pays où l’islam est religion d’État sont – il faut le dire haut et fort – tout sauf des légendes ou des mythes.

En Europe, ce ne fut guère mieux. Se convertir ou fuir ; la Reconquista et l’Inquisiteur en chef, Torquemada, ne laissèrent aucune autre alternative aux Juifs d’Europe. Certains quittèrent l’Espagne et le Portugal pour l’Afrique du Nord, d’autres devinrent des marranes. Mêmes les apports à l’Humanité d’un Spinoza ne purent empêcher que les Juifs ne fussent les victimes directes ou « collatérales » des différentes guerres et querelles religieuses qui sévissaient à l’époque en Europe.

Aux anathèmes et autres condamnations religieuses s’ajoutèrent, à partir du milieu du XIXe siècle, les persécutions raciales. Au fur et à mesure, les clichés et les propos les plus vils se répandirent tandis que les suspicions et les fausses rumeurs se propagèrent. En Russie, la promulgation, en 1882, de lois délibérément antisémites ne fit qu’accentuer la répression à l’endroit des Juifs. Ceux-ci se virent imposer la vie dans les ghettos ; cependant que les pogroms se multipliaient. En Europe occidentale, des ligues antisémites virent le jour et leurs libelles remportaient de francs succès. En France, l’affaire Dreyfus démontra qu’au pays des droits de l’Homme et des Lumières, un citoyen innocent pouvait être accusé des faits les plus graves et condamné au bagne à perpétuité car sa judaïté faisait de lui un traître en puissance.

Théodore Herzl, un journaliste autrichien, critique littéraire et romancier, un Juif ne parlant pas l’hébreu, un laïc qui refusa de circoncire ses enfants, réunit en 1887, à Bâle (Suisse), des Juifs venus du monder entier. Les participants conclurent peu ou prou de la manière suivante :

« Le Congrès juif de Bâle nous a soumis un compte-rendu exact de la situation de nos frères de par le monde ; en l’étudiant nous avons appris trois choses :

Premièrement, qu’on nous hait partout dans le monde. Deuxièmement, que la situation est si terrible qu’elle ne peut plus continuer comme cela longtemps. Troisièmement, qu’il faut donc chercher une solution, et cette fois-ci, une solution efficace. Et cette solution est une terre, une terre à soi, ce sera l’idéal de tous les Juifs du monde entier. »[1]

La montée du fascisme, l’arrivée au pouvoir d’Hitler en Allemagne, les persécutions raciales et le génocide poussèrent de nombreux Juifs d’Europe à quitter leur terre natale. Certains prirent le chemin de la Palestine. Ces derniers, surnommés les Chaloutzim – les pionniers –, étaient convaincus « que la Palestine était le lieu, le seul lieu où les Juifs pourraient échapper à la haine qu’on leur vouait. »[2]

Mais pourquoi donc en Palestine ?

Le sionisme, nous l’avons évoqué précédemment, s’est construit à partir d’un constat : l’impossibilité de l’existence juive hors de la Terre promise par Dieu au peuple juif. La réponse proposée par le sionisme s’appuie sur une idée : tout Juif, quel qu’il soit, où qu’il soit, porte en lui un rêve, l’envie, le projet, le désir d’aller, un jour, s’installer là où, selon la Bible, vivaient ses aïeux ; là-bas, au pays de Sion, l’autre nom de Jérusalem. Aussi, bien qu’il soit un mouvement essentiellement nationaliste et non un courant religieux, le sionisme est intimement lié au judaïsme ; car il s’adresse aux Juifs et aux juifs, individus, peuple, nation et religion à la fois. C’est que « le sionisme et la religion juive sont tous les deux fondés sur le même axiome : les Juifs forment un peuple. »[3]

Partant, afin de défendre leur projet auprès des grandes puissances du début du XXe siècle, les dirigeants sionistes s’appuyèrent sur les droits historiques du peuple juif sur la Palestine.

Toutefois, ils n’étaient pas les seuls à mettre en avant leurs droits historiques sur la Palestine. La population arabe autochtone brandissait les mêmes arguments afin de s’opposer à la migration juive en Palestine. Si les Arabes refusaient de reconnaître les droits des Juifs en Palestine, de leur côté, les migrants juifs se comportaient comme si depuis l’exil à Babylone imposé à leurs ancêtres par Nabuchodonosor, la Palestine demeurât une terre sans peuple. En revenant, des siècles plus tard, sur la terre habitée jadis par leurs aïeux, les migrants juifs découvrirent qu’un autre peuple y était lui aussi installé depuis des siècles. C’est que « l’existence effective des Arabes ne les effleurait même pas ».[4]

Au vrai, dès ses origines, le mouvement sioniste fut traversé par deux courants qui n’eurent jamais la même conception des modalités d’établissement du foyer national juif en Palestine. Il fut toujours divisé entre ceux qui voyaient en la Palestine une terre à développer au profit de tous et ceux qui la considéraient propriété exclusive des Juifs. Les premiers ont toujours défendu l’idée d’un État binational ; les seconds ont toujours considéré la Judée et Samarie (Cisjordanie), le Sinaï, voire le sud-Liban comme des parties intégrantes d’Eretz Israël. En 1942, lors du congrès de Biltmore (Etats-Unis), ce dernier courant remporta une victoire décisive. En effet, l’Organisation sioniste adopta, à cette occasion, un programme réclamant la création d’un État juif sur l’ensemble du territoire de la Palestine sous mandat britannique. Au reste, de nombreux dirigeants sionistes s’opposèrent à la résolution de l’Organisation des Nations unies (ONU) du 29 novembre 1947 consacrant le partage de la Palestine mandataire en deux États, l’un juif, l’autre arabe. Menahem Begin estimait, à l’époque, « la partition illégale » et que « Eretz Israël sera[it] rendue au peuple d’Israël. En totalité. Et à jamais. »[5]

Il n’est donc guère surprenant de constater que la Constitution israélienne, inchangée depuis la création de l’État, ne définisse pas les frontières du pays. David Ben Gourion et les autres pères fondateurs laissèrent de la sorte volontairement la voie ouverte à de futurs élargissements des frontières de l’État au-delà des limites fixées par la résolution de l’ONU. Par ailleurs, dès 1937, David Ben Gourion avait explicité sa position au sujet des frontières en déclarant : « Nous acceptons un État délimité par des frontières établies aujourd’hui, mais les limites des aspirations sionistes sont du ressort du peuple juif et aucun facteur externe ne pourra les restreindre. »[6]

Une fois la création d’Israël effective et la première victoire militaire acquise contre une coalition de pays arabes, David Ben Gourion, devenu Premier ministre, ne changea pas de point de vue au sujet des frontières du pays :

« Avant que l’État ne soit fondé, à la veille de sa création, nous avions qu’une obsession : l’autodéfense. […] Or aujourd’hui, l’heure est à la conquête, et non à l’autodéfense. Et quant à la détermination des frontières : c’est une question ouverte. Dans la Bible comme dans l’histoire, les frontières du pays sont définies de façons multiples. Aussi n’y a-t-il pas de véritable limite. Aucune frontière n’est absolue. »[7]

À l’évidence, les différentes guerres israélo-arabes influèrent sur la vision sioniste. Les cinglantes défaites infligées aux armées arabes coalisées confortèrent les responsables politiques israéliens dans la possibilité d’étendre les frontières du pays au-delà des limites définies par la résolution onusienne de novembre 1947. Les dirigeants israéliens ne se cachaient plus pour revendiquer un État d’Israël dont les frontières se confondraient avec celles de la Palestine historique.

« Le refus de concessions par les Arabes, leur désir d’éliminer Israël ont justifié et justifieront à l’avenir l’extension du peuplement juif, au-delà des frontières de 1948. […] Il en découle […] la nécessité d’élargir peu à peu l’établissement d’agglomérations juives le long des nouvelles frontières et à l’intérieur des territoires eux-mêmes. Il est évident que tout accord futur devra prendre en compte la situation telle qu’elle existe au moment de la négociation : aucun processus historique ne peut-être annulé d’un simple trait. »[8]

Ygal Allon, ministre de la Défense du gouvernement Menahem Begin (1977-1982) estimait qu’ « Israël d[evait] retrouver les frontières […] de la Palestine au temps du mandat britannique ».[9] Nahum Goldmann, qui présida le Congrès juif mondial, reconnaissait dès la fin de la guerre de Kippour (octobre 1973) que « le principe fondamental de la politique israélienne était de ne pas revenir aux anciennes frontières ».[10]

Cette position relative à la question des frontières a toujours été partagée par d’influents responsables religieux du pays. Au sujet du partage de la Palestine en deux entités : l’une juive et l’autre arabe, le rabbin Tsvi Yehouda Hacohen Kook affirmait, au milieu des années 1970 :

« La Torah nous défend absolument, et à un double titre, de céder aux étrangers la moindre parcelle du pays : il nous est interdit de les [les Arabes de Palestine] laisser camper à demeure sur notre terre et céder [celle-ci…] ».[11]

Aujourd’hui, le Gouch Emounim (Bloc de la foi), fondé par des étudiants du rabbin Tsvi Yehouda Hacochen Kook, continue de justifier l’annexion et la colonisation de la Judée et Samarie en s’appuyant sur les mêmes références talmudiques.

Tous ces responsables politiques et religieux se réclament du sionisme, du moins de la conception nationaliste juive de celui-ci. Cette vision du sionisme conduit, selon l’historien Zeev Sternhell, la droite israélienne à affirmer la « supériorité des Juifs [sur la minorité arabe et à vouloir] la conquête définitive des territoires [occupés] ».[12] Bien plus, cette conception du sionisme s’est imposée à l’ensemble des dirigeants politiques israéliens, tous désormais tournés, bon gré, mal gré, vers la réalisation d’un objectif commun : « intégrer la plus grande partie des territoires occupés au sein d’Israël. »[13] Au reste, aux dernières élections législatives (mars 2015), la gauche et le centre présentèrent une liste commune appelée l’Union sioniste, fruit de l’improbable entente entre le parti travailliste et celui de centre droite de Tzipi Livni. Dans le programme de cette Union sioniste figurait en premières lignes « […] le maintien des grands blocs de construction [en Cisjordanie] sous l’autorité israélienne ».[14]

Est-ce pour autant que la tradition progressiste qui a toujours existé au sein du mouvement sioniste ait disparu ? Existe-il encore de ces sionistes qui, comme les définissait Albert Memmi, sont des individus, « […] Juif[s] ou non-Juif[s], ayant constaté que la condition juive est une condition d’oppression, trouve[nt] légitime la reconstruction d’un État juif : pour faire cesser cette oppression, et pour redonner aux Juifs, à l’instar des autres peuples, leurs dimensions d’hommes libres ».[15] Ces sionistes là, je leur apporte tout mon soutien. En revanche, à ceux qui, justement agissent au nom du sionisme et d’Israël pour empêcher la création d’un État palestinien indépendant, je leur dis : vous n’honorez pas votre pays. Je ne suis pas antisioniste ni antisémite. Toutefois, je suis fermement opposé à la politique israélienne.

 

[1] Shalom Aleikhem, in Pourquoi les Juifs ont-ils besoin d’une terre ?, repris par Denis Charbit, in Sionismes, Textes fondamentaux, Éditions Albin Michel, Paris, 1996, pp. 128-129.

[2] Hannah Arendt, in Réexamen, repris par Denis Charbit, op. cité, p.660

[3] Baruch Kurtzweill, in L’essence et les sources du mouvement des Cananéens, repris par Denis Charbit, op. cité, p.676.

[4] Hannah Arendt, in Réexamen du sionisme, repris par Denis Charbit, op. cité, p.556.

[5] Menahem Begin, in The Revolt, Schuman, New York, 1951, p.335.

[6] Discours cité in New Outlook, Tel Aviv, avril 1977.

[7] Archives de l’État, ministère israélien des Affaires étrangères, 2447/3. Consultations politiques, 12 avril 1949, citées par Tom Segev, in Les premiers Israéliens, Éditions Calmann-Lévy, Paris, 1998, p.24.

[8] Eliezer Schweid, in La Palestine, patrie du peuple juif, 19772, repris par Denis Charbit, op. cité, p.836.

[9] Ygal Allon, cité par Daniel Amson, in Israël et Palestine, territoires sans frontières, Éditions PUF, Paris, 1992, p.161.

[10] Bahum Goldmann, in va Israël, Éditions Calmann-Lévy, Paris, 1975, p.61.

[11] Tsvi Yehouda Hacohen Kook, in Soyons entiers envers la Torah et Eretz Israël, 1974, repris par Denis Charbit, op. cité, pp.843-844.

[12] Entretien accordé au quotidien Le Monde, Paris, 14 mars 2015.

[13] Noam Chomsky, in Israël, Palestine, États-Unis : le triangle fatidique, Éditions écosociété, Montréal, 2006, p.29.

[14] Communiqué de presse de l’Union sioniste du 8 mars 2015, Consultable à l’adresse http://hamahanehazioni.con.il/zionist/

[15] Albert Memmi, in Qu’est-ce qu’un sioniste, 1966, repris par Denis Charbit, in Sionismes, Textes fondamentaux, op.cité. , p.880.


Moyenne des avis sur cet article :  2.04/5   (27 votes)




Réagissez à l'article

31 réactions à cet article    


  • jaja jaja 28 avril 2015 12:28

    « Dans la bouche de ceux qui soutiennent la cause palestinienne, le sionisme est une insulte infâmante.Ils affirment que le sionisme légitime et encourage l’occupation de la Cisjordanie et s’oppose à la création d’un État palestinien »

    L’antisionisme est un anti-colonialisme et s’oppose à la confiscation de toutes les terres palestiniennes conquises par la violence et les massacres, soutenus par les forces impérialistes et l’URSS de Staline... (cela ne concerne donc pas uniquement la Cisjordanie et les terres conquises en 1967 par les forces armées sionistes)...

    La seule solution c’est l’État Palestinien unique, désionisé, regroupant les terres spoliées en 1948 et 1967 où juifs et arabes vivront en paix. En dehors de cette solution il n’y aura jamais de paix !

    Depuis le texte de Bibeau violemment anti-palestinien c’est le déchaînement sur Agoravox contre le peuple martyr de Palestine !


    • Ben Schott 28 avril 2015 12:37

      “ Je regrette et condamne les nombreux passages explicitement haineux envers les Juifs contenus dans le Coran ”

      Lisez le Talmud, ça relativisera vos regrets.


      • krapupul 28 avril 2015 17:25

        @ben schott. Visiblement cela ne vous plait pas que l’auteur, musulman, reconnaisse qu’il y a de nombreux passages anti juifs dans le coran, et pour riposter, vous sous-entendez que ce serait pire dans le talmud des juifs. Vous êtes un menteur, un manipulateur et un malhonnête. Je vous met au défi de prouver vos affirmations.



      • Doume65 28 avril 2015 22:56

        @krapupul

        T’as pas dû te fouler à chercher sur le web. Tiens, un exemple cachère, euh pas cher.
        (recherche dans Google « haine talmud » : 110 000 résultats)


      • Ben Schott 29 avril 2015 10:07

        @krapupul

        “ Je vous met au défi de prouver vos affirmations. ”

        Pas de problème, il suffit de demander. Bien évidemment, ce ne sont que quelques exemples, cherchez le reste vous-même, et renseignez-vous la prochaine fois avant de l’ouvrir.

        Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 Un Non-juif est comme un chien. Les écritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un non-juif.

        Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b : Les âmes des non-juifs proviennent d’esprits impurs que l’on nomme porcs.

        Talmud, Yebamoth 98a. Tous les enfants des goyims sont des animaux.

        Talmud, Abhodah Zarah 4b : Vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains.

        Talmud, Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un Non-juif, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.

        Etc, etc.


      • Jonas 29 avril 2015 13:30

        @Ben Schott

        Vous êtes un pauvre idiot et un analphabète. 

        Pour lire le Talmud et le citer, il faut aussi , lire les commentaires, qui vont avec. sans cela , vous êtes êtes comme cet aveugle qui critique les tableaux de Velasquez ou de Goya sans voir les couleurs ni les visages. 


      • Ben Schott 29 avril 2015 14:10

        @Jonas

        Vous en êtes un autre.

        “ il faut aussi lire les commentaires ”. Le Talmud, espèce d’ignare, ce sont déjà des commentaires de la Torah. Et que disent-ils, ces fameux commentaires, gros malin ? Tiens, donnez-moi juste les commentaires qui vont avec la petite sélection que je donnais en exemple, qu’on rigole.

        Pour l’aveugle, ça marche aussi avec Le Caravage ou Rembrandt, notez bien.


      • Jonas 29 avril 2015 18:27

        @Ben Schott

        J’ai dit et je répète que vous êtes un idiot et un analphabète. Un idiot parce que vous abordez un sujet que vous ne connaissez pas et un analphabète parce que je m’appuie sur le Programme des Nations Unies pour le développement ( PNUD) , étude faite par des intellectuels, des chercheurs et des philosophes des 22 pays arabes qui précise que le monde arabe est analphabète à plus de 45%. 
        L’ancien directeur de l’Agence des Nations unies pour Energie Atomique ( AIEA) l’égyptien Mohamed AlBaradei , prix Nobel de la Paix a reconnu courageusement le fait sur la chaîne de TV qatarie Al-Jazeera. 
        A part une minorité admirable , et bien éduquée le reste du monde arabe ne vaut pas un clou. Et ce n’est pas en lisant et en répétant les inepties de vos frères en religion aussi nuls que vous que vous ferez impression. Regardez la réalité en face. 500 millions d’arabes , presque pas une université parmi les 300 premières a part le Qatar ( un confetti de 200 000 personnes).
        Quant au Talmud cet Océan écrit sur plusieurs siècles et commenté par des savants religieux juifs de différents pays est déjà inaccessible pour ceux qui ont fait de longues études. Ce livre le Talmud est composé de 10% d’hébreu et 90% d’araméen et reste un traité juridique pour les initier. Et ce n’est pas un analphabète comme vous qui peut en parler. Je suis sûr et certain qu’en tant qu’arabo-musulman ,vous ne maîtrisez même pas la langue du Coran. Vous devez baragouiner le dialecte du pays de votre origine, et mémoriser les Sourates. 


      • Ben Schott 30 avril 2015 07:06

        @Jonas

        “ J’ai dit et je répète que vous êtes un idiot et un analphabète. ”

        Oui, vous ne faites que confirmer que c’est vous la triple buse. Équipée d’une solide mauvaise foi. J’aborde un sujet que je connais manifestement mieux que vous, vous évitez soigneusement de répondre à mes arguments et bottez lamentablement en touche en me parlant d’autre chose (quel rapport entre l’analphabétisme supposé du monde arabe et le sujet ?).
        Pour éviter de passer définitivement pour un petit roquet inculte, citez-nous les commentaires qui permettraient selon vous de relativiser les quelques exemples que j’ai tirés de votre “ Océan écrit sur plusieurs siècles ”. Ou alors bouclez-la.

        Par ailleurs, je suis français blanc athée de culture catholique.

        Et estimez-vous heureux de ne pas répondre devant la justice de propos tels que “ a part une minorité admirable , et bien éduquée le reste du monde arabe ne vaut pas un clou ”


      • Massada Massada 30 avril 2015 16:59

        @Ben Schott

        Vous n’avez jamais lu le Talmud (moi non plus) mais vous avez la présentation d’en parler comme un connaisseur. LOL




      • Ben Schott 1er mai 2015 15:30

        @Massada

        Si vous ne l’avez pas lu, vous n’êtes donc pas en mesure de contester les quelques extraits que j’ai montrés. LOL

        Oui, les cons ça ose tout, vous le prouvez en permanence. Les salopards aussi : on bombarde des enfants au phosphore la journée et on fait le sayan sur les forums français le soir.


      • Massada Massada 3 mai 2015 10:37

        @Ben Schott

        Vous n’avez aucune logique 
        Est-ce que j’ai contesté vos citations ? aucunement

        J’ai seulement dit qu’il était idiot de citer un livre que l’on a pas lu soi-meme.
        Décidément vous n’êtes vraiment pas une lumière smiley


      • Ben Schott 3 mai 2015 10:43

        @Massada

        J’ai au moins lu ces citations, homme de Lumière ! Et on en revient au point de départ...


      • Massada Massada 28 avril 2015 13:50

        L’idée de deux états commence sérieusement à se fissurer.


        Quelques nouvelles pour les antisionistes de service smiley

        Ramallah perd de plus en plus le soutient du monde arabe et se retrouve isolé avec la France comme allié, ce qui ne représente plus grand chose.

        Les sunnites comptent de plus en plus sur l’expertise de Tsahal pour contrer à la fois l’avancée d’ISIS et surtout celle de l’Iran. Nous fournissons un sérieux coup de main aux Saoudiens dans la réalisation de leurs frappes aériennes au Yémen. De nouvelles alliances très fortes se créent

        La ridicule tentative de traîner Israël au CPI est voué à l’échec. L’avocat de l’Etat hébreu ne manquera pas de citer l’appel à la guerre lancé par Abbas à Sharm el Cheikh. 

        Le Hamas est dans l’incapacité de se réarmer, grâce au blocus égyptien à Rafah.
        Il évolue également dans un environnement géopolitique défavorable, en froid avec son mentor qatari, en bisbille avec les Saoudiens, et en guerre avec les Egyptiens. Le Hamas, qui lit la presse aussi bien que vous et moi, a appris que nous avons mis au point un appareil capable de localiser précisément les tunnels stratégiques qu’il s’est remis à creuser ; il ne dispose plus ainsi du moindre avantage relatif comparé à Israël. 

        Vous pouvez continuez à cracher sur Israël, c’est tous ce qui vous reste mais comme on dit : les chiens aboient la caravane passe smiley

        Bien le bonjour d’ Ashdod

        • Massada Massada 28 avril 2015 21:30

          @OMAR

          1)

          Le CPI n’a pas compétence sur les soi-disant crimes israéliens présumés. Ce, en raison du « principe de complémentarité » selon lequel la Cour n’a pas compétence pour des crimes ayant fait l’objet d’enquêtes et de poursuites par un tribunal national.

          Israël dispose déjà d’un système judiciaire qui traite les crimes de guerre impliquant des soldats israéliens. Il faudrait démontrer qu’Israël n’a pas mener d’enquêtes sur les faits dénoncés par les palestiniens ou qu’il est incapable de le faire.

           Or, une enquête minutieuse a été déclenchée au sein de l’Etat d’Israël qui a conclu à l’absence de crimes contre l’humanité ou de crimes de guerre. La CPI est donc incompétente, pour connaître des évènements survenus à Gaza au cours de l’été 2014. Ces cas resteront sous la juridiction d’Israël et non d’une cour pénale internationale.


          2)

          le crime doit avoir été commis sur le « territoire » d’un Etat partie ou qui a adhéré à la CPI. Or, pour l’heure, aucun territoire n’a été affecté à la Palestine. Par conséquent, aucun crime n’a pu être commis sur le territoire de la Palestine (qui n’en a pas encore).
           
          La condition territoriale faisant défaut, la CPI est donc une nouvelle fois incompétente pour connaître des plaintes palestiniennes.


          3)

          Enfin, est qualifié de crime de guerre, les crimes qui s’inscrivent dans le cadre d’un plan ou d’une politique ou sont commis sur une grande échelle et qui viole le Droit international humanitaire (attaques intentionnelles de civils, de bâtiment civils, les prises d’otage, le pillage, le viol…). Au cas particulier, les civils palestiniens tués l’ont été après avoir été pris comme bouclier humain par les terroristes palestiniens. 
           
          Aucun crime de guerre n’est imputable aux militaires israéliens et la plainte contre Israël devant la CPI est une nouvelle fois vouée à l’échec.

          Les palestiniens, conscients de la pauvreté de leur plainte contre Israël devant la CPI risquent bien de voir les plaintes se retourner contre eux.

          Vingt-six Américains ont décidé de demander à la justice des Etats-Unis de poursuivre de hauts responsables du Hamas palestinien pour « crimes de guerre » commis selon eux lors du conflit de 2014 avec Israël, a indiqué mardi l’organisation israélienne qui les représente.
          De tels procès pouvaient avoir des effets désastreux pour les Palestiniens, en condamnant l’Autorité et l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à des centaines de millions de dollars d’indemnités aux familles.




        • La Dame du Lac La Dame du Lac 29 avril 2015 01:47

          OMAR M’A TUER, pour une fois je te plusse ! Va falloir célébrer ça, vite car je crains que cela ne soit la seule et unique fois. Tu vois, la femme du Capitaine n’est ni lâche ni fourbe.

          Madame Lacustre


        • La Dame du Lac La Dame du Lac 29 avril 2015 13:44

          @OMAR
          .
          Oui, oui, c’est bien moi cher ami ! Disons que j’anticipe l’avenir du Francistan, cette tenue me permet de passer inaperçue chez les Bisounours. Je me suis convertie aujours’hui au salafisme pour faire plaisir à Fifi et à Sampiero ! Ainsi qu’à toi.
          .
          J’ai lu une théorie intéressante du journaliste Britannique Douglas Reed qui dit que le véritable diot utile du sionisme était Adolf Hitler en personne !
          .
          Ce n’était pas une tignasse blonde, c’était le voile de la statue de la vierge qui pleure de la Cathédrale de Rome. Mon avatar était une statue de la Vierge Marie. Quant à mon Capitaine, ne t’inquiète pas, il sait très bien tout ce qu’il y a sous cette « robe » ! Tu es toujours le parrain de notre petit Benito al Mouhammar Pota.
          .
          Ta chère et tendre Madame Lacustre


        • Jonas 29 avril 2015 20:33

          @OMAR


          D’abord il n’a pas de peine de mort en Israël. ( Sauf pour le nazi Eichmann) 
          Ensuite depuis deux ans l’Armée de Bachar Al-Assad assiège le camp 
          palestinien Yatmouk, Et pendant ce conflit syrien plus de 2000 palestiniens sont tués dans le silence assourdissant des masses arabes. 
          Des Palestiniens du camp Yarmouk sont obligés de manger des chats et des taupes. Où sont les arabes ? 
           Par ailleurs si vous connaissiez un peu l’histoire de l’expansion de l’islam et leurs conquêtes, vous constaterez que cela ne s’est pas fait sans massacres, tueries égorgements etc. . 

          Voyez aujourd’hui malgré les preuves du génocide Arménien , les turcs continuent à le nier farouchement. 

          Le poète kabyle Kateb Yacine résume bien le fait l’expansion de l’islam.

          <<L’Algérie arabo-islamique , est une Algérie contre-nature , une Algérie qui est contraire à elle-même. C’est une Algérie qui s’est imposée par les armes,car l’islam ne se développe pas avec des bonbons et des roses, il se développe avec des larmes et du sang,il croît dans l’oppression,la violence le mépris , par la haine et les pires humiliations que l’on puisse faire à l’homme>>. 

          Nous avons l’exemple en plein XXI e siècle , avec Daesh, Al-Qaïda, Aqmi, Boko Haram et les autres, Massacres, assassinats, crucifixions , violes ,kidnappings , terreur contre les minorités religieuses, Yézédis, Chrétiens , etc. Destructions des musées, sculptures etc mêmes les nazis respectaient l’ART. 

          Un autre écrivain Algérien Rachid Boudjedra déclare avec courage. 

          << On en parle peu, mais il s’agit bien d’une colonisation. Il faut avoir le courage de dire . Nous avons colonisés et nous avons « esclavagé » les autres. Bien avant les Portugais. Les Arabes étaient des esclavagistes . Il y a encore des non dits >>. Au salon du livre lors de la sortie de son " Prise de Gibraltar) ( Maäkatou Ezourak-. 



           

        • tf1Groupie 28 avril 2015 15:45

          @L’auteur,

          Merci pour cet exposé bien argumenté et sur les conclusions duquel je suis d’accord.


          • krapupul 28 avril 2015 17:41

            Tout d’abord bravo pour votre courage, il est rare de voir un musulman reconnaitre le climat d’anti-judaisme du coran, cela mérite tout le respect du monde.


            Après cela il y a deux grands points qui me gênent. Le plus gros c’est de douter que les juifs soient un peuple, qu’ils aient des liens avec cette terre (je croyais que l’ancien testament était connu de tous) et de ne pas se poser la question inverse, ces arabos musulmans qu’on appelle « palestiniens » sont ils un peuple ? Ont ils des particularités ethniques, culturelles, linguistiques, religieuses,... qui les distinguent d’un égyptien ou d’un jordanien ? Pas vraiment n’est ce pas ! De plus un minimum de recherche historique vous indiquera qu’il n’a jamais existé de royaume, califat ou quoi que ce soit d’Arabes sur cette région. On peut dire, car c’est la vérité, que cela fait des siècles qu’il y a une présence arabe en israël. Ni plus ni moins, et ça ne fonde pas une revendication territoriale. Car sinon allez dire aux européens que dans quelques siècles vous allez leur exiger Paris et Bruxelles !?

            La seconde point est de considérer les israéliens comme des agresseurs alors qu’ils ne font que ce défendre. Sans le terrorisme, les palestiniens l’auraient depuis longtemps leur état ! Mais les israéliens ne sont pas stupides, ils donneront des terres contre la paix, pas contre encore plus de guerre. 

            Allez faire un tour sur place, vous êtes assez ouvert d’esprit pour vous rendre compte objectivement.

            • Allexandre 28 avril 2015 19:31

              @krapupul
              Ca c’est l’Histoire falsifiée par le sionisme. Les juifs ne sont pas un peuple, mais partagent une confession. Quant aux agresseurs, votre version serait drôle si elle n’était pas construite sur des dizaines de milliers de morts, d’exilés pour que le « peuple élu » puisse s’y installer à son aise. Votre mauvaise foi et vos mensonges éhontés sont bien dans la droite ligne de la propagande sioniste. Israël est un Etat historiquement illégitime.


            • krapupul 29 avril 2015 07:01

              @Allexandre
              Je dois vous dire une chose terrible et dont vous n’avez peut être qu’à moitié conscience : vous êtes totalement, viscéralement raciste. Votre tête est pleine de merde qui ressort par les narines, les oreilles et les yeux. Bien sur vous pouvez vous consoler et en vous disant que vous n’êtes pas seul, loin de là, et même que vos « penchants » vous rapprochent de vos amis, mais tout de même, quelle honte.


            • Ben Schott 29 avril 2015 10:24

              @krapupul

              “ Le plus gros c’est de douter que les juifs soient un peuple ”

              Il y a même des juifs qui en doutent.

              “ qu’ils aient des liens avec cette terre ”

              Quels liens, en dehors du fait qu’elle leur a été promise (par qui ?).

              “ ces arabos musulmans qu’on appelle « palestiniens » sont ils un peuple ? Ont ils des particularités ethniques, culturelles, linguistiques, religieuses ” (Oui, les arabo-musulmans ont une particularité religieuse, ils sont musulmans).

              Là, vous avez décroché le pompon ! Et où sont les particularités ethniques, culturelles et linguistiques des juifs ? Quoi de commun entre un ashkénaze de l’europe de l’est et un juif du maghreb, ou encore un sépharade ? Et puis ça change quoi au fait que la création de l’État d’Israël s’est fait au détriment des gens qui vivaient là depuis des siècles ?


            • Allexandre 29 avril 2015 12:13

              @krapupul
              C’est tout ce que vous avez trouvé pour argument ? Comme d’hab quoi !! Oui je suis un vilain raciste et les juifs sont des victimes de ce vilain racisme. En revanche, ils sont purs comme des anges blancs. C’est une façon de voir les choses. La vôtre engénéral. Voilà pourquoi on ne peut pas discuter avec un sioniste. Ils sont totalement lobotomisés et finissent par croire à leurs conneries mal huilée. Mais ce n’est pas grave !! Je prends vos propos d’où ils viennent et ne m’en émeus même pas !


            • Massada Massada 30 avril 2015 07:47

              @Ben Schott

              ashkénazes, séfarades etc.. cela ne veut plus rien dire.

              Je suis israélien, athée et soldat de Tsahal avec mes sœurs et frères d’armes druzes, bédouins, arabes chrétiens ou musulmans, certains hétéro et d’autre gay.

              Ma femme est chrétienne, noire, mes enfants métis non juif ! c’est ça la diversité d’Israël en 2015. 

              Mais ça vous ne pouvez pas comprendre, vous avez 70 ans de retard sur le monde d’aujourd’hui. smiley

            • Ben Schott 30 avril 2015 10:50

              @Massada

              “ Je suis israélien, athée et soldat de Tsahal avec mes sœurs et frères d’armes druzes, bédouins, arabes chrétiens ou musulmans, certains hétéro et d’autre gay. ”

              Et tout ce petit monde massacre les enfants palestiniens dans la joie et la bonne humeur ! Avec ou sans couches-culottes Pampers ?

              Après, vous me racontez votre vie qui ne m’intéresse pas.


            • Massada Massada 30 avril 2015 16:54

              @Ben Schott

              Les massacres sont entre musulmans en Syrie, Libye, Yemen,.... mais en tant qu’ islamiste vous le savez très bien, c’est votre djihad.

              Benjamin Schott smiley


            • Allexandre 28 avril 2015 17:42

              A l’auteur,

              Cher Youssef, Votre article plein de nuance et d’objectivité vous honore. Cependant, j’aimerais apporter, si vous le permettez, quelques précisions à votre propos.
              • Tout d’abord, le sionisme et Israël ne peuvent qu’être associés, l’un étant la finalité de l’autre.Si au départ, Herzl avait oeuvré pour que les juifs aient un territoire à eux, il avait émis plusieurs hypothèses, dont l’Argentine et l’Ouganda. Il est compréhensible que dans le contexte de violence de l’antijudaïsme de ce dernier tiers du XIX ème siècle, Herzl ait pensé à cette éventualité. Très vite, cependant, la thèse de la Palestine s’imposa comme une évidence biblique (et non historique), surtout après sa mort en 1904. 
              • Le Congrès sioniste mondial se mit alors en demeure, financé par les riches banquiers ou industriels juifs étasuniens, dont Rothschild fut le chantre. Il faut dire que la Palestine était proche du canal de Suez, passage obligé pour gérer toutes les richesses des Rothschild en extrême Orient. Les sionistes comprirent qu’ils auraient besoin des grandes puissances européennes pour mener à bien leur tâche. Ils tentèrent d’abord avec le Kaiser Guillaume II, allié du Sultan ottoman régnant sur la Palestine. Ils espéraient obtenir une entrevue avec le Sultan afin de négocier la cession de cette terre. Mais Guillaume II ne donna pas suite à leur demande. Déçu, le sionisme mondial se tourna alors vers le Royaume-Uni, première puissance maritime et coloniale. De ces transactions opaques sortit la fameuse « Déclaration Balfour » de novembre 1917. En réalité il s’agit d’une lettre adressée par Balfour, ministre des Affaires étrangères britannique, à Lord Lionel Rothschild, dans laquelle il engage son pays dans le projet sioniste de création d’un foyer national juif en Palestine. Le problème de cette déclaration, c’est qu’on ne précise jamais dans quel contexte et pour quelles raisons le RU prit cet engagement, et on oublie de mentionner la condition mise par Balfour, de respecter les populations, quelles que soient leur ethnie et leur religion, déjà présentes. On connaît la suite. La Conférence de la paix qui se tint à Paris en 1919, réunit de nombreux Etats, engagés dans le conflit, et le président étasunien Wilson emmena dans ses bagages, une délégation sioniste de 110 personnes menées par Bernard Baruch. Que venaient-ils faire ? Ils ne représentaient aucun Etat. Et pourquoi Wilson accéda-t-il à cette requête sioniste ?
              • La suite, on la connaît. Les juifs émigrant en Palestine n’étaient pas assez nombreux pour justifier la création d’un Etat, et coincés par les Britanniques ayant reçu la Palestine en mandat après la Guerre 14-18, ils commirent des ctes terroristes à leur encontre. Par ailleurs, quand Hitler fut nommé chancelier en 1933, le Congrès juif mondial organisa de grandes manifestations aux Etats-Unis afin de boycotter tout produit allemand. Ce boycott n’arrangeait pas une Allemagne déjà gravement touchée par la crise de 1929. Des négociations eurent lieu entre le IIIème Reich et le Congrès sioniste mondial afin de trouver une solution. C’est ce qui fut appelé l’Accord de transfert (archives du III ème Reich). Il permettait aux Allemands de confession juive d’émigrer en Palestine, contre l’assurance d’acheter des produits allemands. Malgré cela, les candidats au départ ne se bousculaient pas. Après l’annexion de l’Autriche en mars 1938, Roosevelt organisa , en juillet, une Conférence à Evian, invitant tous les Etats à accorder des visas au juifs du Grand Reich, afin de les soustraire au sort qui les attendait. Hélas ! peu de pays répondirent à l’appel, et le Congrès sioniste ne fit pas grand chose pour sa réussite. Il craignait qu’une fois accueillis dans un autre pays, les juifs allemands ne prennent pas la direction de la Palestine.
              Vous voyez que le sionisme et Israël sont intimement liés. Le vote de l’ONU en novembre 1947, fut pour le moins, le fruit d’un chantage de Truman à l’encontre des Etats ayant voté « non » au premier scrutin. Israël n’avait pas obtenu le quota requis. Parmi ces pays, la France et le Royaume-Uni avaient voté « non ». Mais Truman avait une arme de poids : le Plan Marshall. Au second scrutin, la France vota « oui » et le RU s’abstint. De nombreux petits pays, menacés par Washington, s’exécutèrent et votèrent « oui ». Voilà comment Israël naquit « démocratiquement.
              Depuis ce jour de mai 1948, les Israéliens n’ont pas connu un jour de paix. C’était pourtant l’objectif de Herzl. Peut-être les Israéliens devraient-ils se poser les vraies questions au lieu de s’auto-persuader que cette terre leur revient de »droit".

              • Depositaire 28 avril 2015 22:02

                De la part d’un arabe, que l’on serait assez tenté de qualifier « d’arabe de service » tellement il prend la défense d’israël, ce genre d’article est assez choquant. Quant à qualifier ce monsieur de « musulman », c’est tout aussi choquant. Ce n’est pas parce qu’il est arabe qu’il est automatiquement musulman. Ce n’est pas synonyme. D’ailleurs, il fait bien des citations des livres juifs, au point qu’il y a lieu de se poser aussi la question, n’est-ce pas un sioniste qui a pris un nom arabe pour se faire passer comme tel et ainsi faire passer plus facilement les idées sionistes ? Il peut être aussi un juif arabe et son arabité le rendant plus « crédible » aux yeux du monde arabe. Ces deux hypothèses mériteraient une enquête. Mais au fond, peu importe.

                Revenons à son article. Ce qu’il y a de notoire et qui saute aux yeux de tout lecteur averti, c’est l’incroyable dose d’audace de ce monsieur ! Les mensonges flagrants qui sont relatés ressemblent à s’y méprendre à la propagande sioniste, d’où mes questions sur ses origines plus haut. Alors corrigeons ses mensonges :

                - "Il n’est guère surprenant de constater que les sociétés arabo-musulmanes du Maghreb au Levant, de Rabat à Damas, aient toujours été profondément antisémites« . Cette déclaration est fondamentalement mensongère et de plus complètement absurde, les arabes étant des sémites !

                Il faudrait rappeler à ce petit monsieur, (petit pour l’envergure intellectuelle), l’histoire médiévale de la »Reconquista« espagnole par Isabelle la catholique qui a forcé un grand nombre de juifs vivant en Espagne à fuir ce pays et à se réfugier au Maghreb, principalement Maroc, Algérie et Tunisie et s’ils ont trouver refuge dans ces pays, c’est qu’il y ont trouvé un accueil chaleureux et ainsi, ils ont pu vivre en parfaite entente avec les arabes musulmans durant des siècles. De même lors de la dernière guerre mondiale, de nombreux juifs vivant en France et ailleurs en Europe, ont pu trouver refuge au Maroc et en Algérie protégés par les musulmans, parfois au péril de la vie de ces derniers, alors pour des gens qui détestaient les juifs, c’est un peu léger comme argument et du fait de ces événement très bien connus dans l’histoire, est un mensonge flagrant !

                - Autre mensonge. Les juifs ne pouvaient pas vivre dans l’exil en tant que juifs, hormis dans la »terre promise« . Voilà bien un affirmation extraordinaire ! Les juifs vivent en occident depuis des siècles sans que cela pose problème. et s’il y a eu, effectivement, des persécutions, il faudrait bien analyser les causes de cette persécution. Les choses ne se produisent pas par hasard, hasard qui n’existe pas d’ailleurs.

                - Autre mensonge : »Je regrette et condamne les nombreux passages explicitement haineux envers les Juifs contenus dans le Coran, considéré parole incréée d’Allah par tous ses fidèles et donc, vérité absolue et éternelle.« Il y a effectivement des versets dans le Coran qui condamnent durement les juifs. Mais une précision importante est à donner. Tout d’abord, ce ne sont pas des »versets haineux« et ils ne sont pas si nombreux que cela. Ce sont des versets qui condamnent certains groupes de juifs à cause de leur hypocrisie et de leur déformation de la vérité ainsi que ceux qui combattirent en compagnie des idolâtres. Par contre, d’autres communautés juives ont été louées par le Coran. de plus, si les juifs étaient systématiquement condamnés par la parole de Dieu dans cette Révélation, on ne comprendrait pas pourquoi Moïse et la Thora seraient aussi loués et bien vu dans ce livre. Ou l’auteur de l’article énonce de façon flagrante un mensonge éhonté, ou il fait un amalgame pour le moins douteux qui amène encore une fois à poser la question : pour qui écrit-il ?

                - Il pose l’idée bizarre que la diaspora de Babylone revenue dans son pays qui aurait découvert un autre peuple vivant là depuis des siècles. Je dis bizarre, car nous n’avons pas connaissance de ce fait. C’est une invention pure et simple. Nous lui conseillons de lire l’excellent livre écrit pas un historien juif contemporain : »Comment le peuple juif a été inventé", par Shlomo Sand. dans cet ouvrage très bien documenté l’auteur montre que le peuple palestinien est descendant des juifs qui occupaient ce pays à l’époque de l’exil de Babylone et de la conquête romaine. Certains sont restés juifs, très peu, d’autres se sont convertis au Christianisme lors de son apparition, et plus tard un certain pourcentage se sont convertis à L’Islam. Ce qui est assez logique. Tous, loin de là n’ont pas été emmenés en exil.

                - Autre point. La question de la résolution de l’Onu en 1948 pour le partage de la Palestine. Premièrement, ce n’est pas une résolution qui n’est que du ressort du Conseil de Sécurité qui ne l’a jamais votée, et pour cause, mais une recommandation de l’assemblée générale dont le vote en faveur de cette partition, illégale car en violation flagrante de la Charte de l’Onu, (raison pour laquelle l’Onu, qui s’appelait la société des nations, à l’époque, n’a pas vu apparaître au Conseil de sécurité un tel projet de résolution. Il était illégal et n’aurait pas pu être voté), n’a pu être obtenu que grâce aux pressions faites par les mouvements sionistes et par les états unis sur les petits pays. Pressions et menaces financières.

                - Les juifs qui se sont installés en Palestine en spoliant de manière extrêmement violente le peuple palestinien, ne sont ni des sémites, ni des descendants des peuples juifs de l’antiquité. Ce sont des turco-slaves issus de l’ancien empire khazar qui s’étendait en Europe de l’est et dans les Balkans dont l’empereur, pour des raisons politiques, s’est converti au Judaïsme surtout talmudique, et a obligé son peuple à se convertir en rendant cette religion obligatoire dans tout l’empire, il y a environ six ou sept siècles. Ce n’est que par une falsification grossière de l’histoire que ces juifs européens ont prétendus avoir cette filiation ethnique avec les juifs de l’antiquité.

                - Il ne faut pas confondre,comme semble le faire l’auteur de l’article entre la Thora livre Révélé et le talmud qui n’est qu’un ensemble de commentaires écrits par des rabbins sur plusieurs siècles et dont certains éléments du contenu sont particulièrement choquants, si l’on en croit les extraits qui ont pu être publiés.

                En conclusion, nous pouvons constater à quel point cet article est truffé de mensonges et d’amalgames douteux. De deux choses l’une : Ou l’auteur est très mal informé, ce qui est très surprenant, en particulier sur l’attitude des musulmans vis à vis des juifs, (et on rappellera à ce monsieur qu’en Iran non seulement les juifs sont parfaitement libres d’exercer leur culte sans aucune restriction, mais qu’ils ont même des députés au parlement iranien et ne sont en aucune façon persécutés. Ce qui est loin d’être le cas des parlementaires arabes au parlement israélien !), et sur l’exil des juifs fuyant la persécution d’Isabelle la catholique en Espagne au Moyen âge et les persécutions des nazis durant la dernière guerre mondiale, ou alors, ce que nous pensons plus probable, il est un agent israélien arabe. Les fameux sayanim. malgré ses propos un peu atténués laissant croire qu’il est plutôt pacifiste, force est d’admettre que par les mensonges flagrants que nous avons soulignés, dans les faits, il se comporte comme un des meilleurs soutien d’israêl. D’ailleurs certains commentateurs, visiblement sionistes le félicitent, ce qui est très significatif !

                Pour le problème palestinien, la solution est évidente. C’est un état unique où juifs, chrétiens et musulmans vivront côte à côte sans persécution ni haine. Autant dire que ce n’est pas demain la veille. Quant à un état palestinien à côté d’un état juif, ce n’est qu’une grossière plaisanterie ! Sur quoi les palestiniens pourront-ils faire leur état ? Sur des confettis de territoire ?


                • Doume65 28 avril 2015 23:13

                  L’art est difficile, surtout sur ce sujet, et donc on ne peut que louer l’effort

                  Mais...

                  « Certains prétendent que tous les Juifs sont sionistes et qu’ils œuvrent sournoisement dans l’ombre pour contrôler le monde »

                  Parler de cas isolés de paranoïaques ressemble à une diversion

                  « Quiconque dénonce la stratégie nihiliste des groupes de résistance armée palestiniens [...] se voit systématiquement qualifié par les défenseurs de la cause palestinienne d’ennemi de l’ensemble de la nation arabe et de la foi musulmane. »

                  Mais alors, pourqoui Israël soutient-t-il les fanatique wahhabites en Syrie alors que Bahar Al Assad a signifié (c’est vrai, depuis peu) qu’il ne faisait plus confiance au Hamas ?

                  « Il n’est donc guère surprenant de constater que la Constitution israélienne, inchangée depuis la création de l’État, ne définisse pas les frontières du pays »

                  Vrai pour les frontières, mais la constitution ne peut pas les définir, puisqu’elle n’existe pas. Isaraël est un état sans frontières et sans constitution. Ce qui a été écrit en 1948 sont les « lois fondamentales d’Israël ». Cool ! Pas de constitution = pas de conseil constitutionnel = tout est permis pour ceux qui légifèrent !


                  • Jonas 29 avril 2015 19:56

                     Je voudrai , ici , rendre hommage , à cet arabe et musulman , l’auteur de l’article Youssef Jebri , pour son courage et son intégrité intellectuelle. 

                    Car malheureusement, rares sont ceux qui peuvent exprimer leur opinion sortie de l’unanimisme sans risquer sa vie. 
                    Youssef Jébri , rejoint des intellectuel comme Abdenour Bidar, Mezri Hadad, Tahar Benjelloun, Boualem Sansal, Fati Ben Slimane, les regretés, Mohamed Arkoun et Abdelwaheb Meddeb et bien d’autres. 
                    Pour ces intellectuels il ne s’agit pas de faire l’éloge de la politique israélienne , elle ne mérite pas , pas plus que les autres. Mais de s’attacher a la genèse de l’histoire compliquée israélo/Palestinienne. 
                    Les faits que relate Youssef Jebri sont strictement vrais. Cependant .

                    Israël n’est pas né de la Shoah , puisque , la ville de Tel-Aviv a plus de cent ans. Ville fondée en 1909.et possède plus de 4000 immeubles construits dans le « style Bauhaus » , elle est inscrite dans le Patrimoine mondial de l’UNESCO. Le journal Haaretz a été créé en 1919. La grande université israélienne de Haïffa (Technion ) plusieurs prix Nobel en 1912 etc. Tout cela pour dire qu’un Etat israélien informel existait. 

                    Quant à la présence juive sur cette terre malgré les malheurs ,le exils, les massacres il y a eu toujours des juifs pour prier.
                    Je cite F.R de Chateaubriand lors de sa visite à Jérusalem en1806 ( bien avant la naissance du Sionisme) 

                    << Pénétrez dans la demeure de ce peuple , vous le trouvez dans une affreuse misère, faisant lire un livre mystérieux à des enfants, qui à leur tour le feront lire à leurs enfants. Ce qu’il faisait il y a cinq mille ans , ce peuple le fait encore.
                    Il a assisté dix-sept fois à la ruine de Jérusalem, et rien ne peut le décourager ; rien ne peut l’empêcher de tourner ses regards vers SION. Quand on voit les juifs dispersés sur la terre, selon la parole de Dieu, on est surprit sans doute : mais pour être frappés d’un étonnement surnaturel, il faut les retrouver à Jérusalem ; il faut voir ces légitimes maîtres de la Judée esclaves et étrangers dans leurs propres pays : il faut les voir attendant sous toutes les oppressions un roi qui doit les délivrer. Ecrasés par la Croix qui les condamnent et qui est plantés sur leurs têtes , cachés près du Temple dont il ne reste pierre sur pierre , ils demeurent dans leur déplorable aveuglement .
                    Les Perses, les Grecs, les Romains ont disparus de la terre, et un petit peuple , dont l’origine précéda des grands peuples , existe encore sans mélange dans les décombres de sa patrie.
                    Si quelque chose, parmi les Nations , porte le caractère du miracle, nous pensons que ce caractère est ici >>. Chateaubriand ne peut-être soupçonner d’être un Sionniste ni un Agent du Mossad. 
                    L’histoire de cette région est compliquée , il faut rappeler , qu’avant la dislocation de l’empire ottoman qui avait colonisé pendant plus de quatre siècles le monde arabe ( à l’exception du Maroc) il n’ y a jamais eu d’Etat Palestinien, ni Israéiien et 50% des Etats aujourd’hui dans cette région n’existaient. alors. 
                    Je rappellerai à Youssf jébri , la résolution 181 , que tout un chacun peut vérifier .
                    Cette résolution 181 de l’Assemblée générale de Nations -Unie ,votée le 29 novembre 1947 recommande le partage de la Palestine en :
                    1) Un Etat Juif
                    2) Un Etat Arabe ( et non palestinien) 
                    3) une zone « sous régime international particulier ». ( Corpus separatum). 

                    Les responsables israéliens ont accepté le partage , les pays arabes NON. Il faut dire que les Palestiniens n’avaient pas droit au chapitre. Et hélas ce sont les cinq pays Arabes qui se sont lancés dans une guerre dès la déclaration de l’indépendance d’Israël le 15 mai 1948. 
                    Après leur défaite et un armistice. en 1949. 

                    L’Egypte a conservé GAZA 
                    Et la Transjordanie devenue Jordanie a , elle, annexé purement et simplement la Cisjordanie et Jérusalem -est. 

                    Alors une question simple. Pourquoi les Etats Arabes ayants dans leurs mains , GAZA, la Cisjordanie et Jérusalem -est, n’ont pas créé un Etat Palestinien ? 
                    Pourquoi ont -ils attendu leur défaite de juin 1967, pour penser à un Etat Palestinien dans les frontières qu’ils avaient de 1949 à 1967. soit 19 ans ? 

                    Tout cela pour dire que ce sont les pays arabes qui ont trompé les Palestiniens, par deux fois. 
                    1) Lors du partage qu’ils ont refusé sans demander leur avis aux Palestiniens.
                    2) En ayant entre leurs mains les territoires ( GAZA, Cisjordanie et Jérusalem-est) d’un Etat
                     Palestinien sans leur offrir. 

                    Aujourd’hui , nous somme au XXI e siècle , les Palestiniens ont droit à un Etat, comme tous les peuples , c’est une question de justice et israël doit cesser de tergiverser , parce que rien n’arrête la marche de l’histoire. 
                    Pour cela il faut que les deux factions Palestiniennes fassent la paix et parlent d’une même voix au sein des Nations-Unies. 

                    Je suis pour un Etat ,Palestinien vivant au côté d’Israël avec les mêmes droits et les mêmes devoirs. 
                    Encore une fois merci Youssef Jébri pour votre courage. 

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité