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Accueil du site > Actualités > International > Total en Birmanie : pleins feux ou éclairage tamisé

Total en Birmanie : pleins feux ou éclairage tamisé

Trois journaux gratuits datés du 3 octobre 2007 relatent de façon différenciée la plainte belge visant les activités du groupe Total en Birmanie.

20 minutes positionne en gros titre page 10 "Une plainte belge vise Total en Birmanie". On apprend que le géant pétrolier français est accusé d’avoir bénéficié, dans les années 1990, des travaux forcés et autres contraintes menés par la junte. Suivent quelques détails sur les prises de position de certaines personnalités et du groupe Total. Aucune information n’est communiquée, dans cette édition, sur le sort actuel des civils dans ce pays.

Dans Métro cette information fait l’objet d’un petit encart page 5, ce journal préférant insister sur la situation des moines, y compris dans sa une. On y apprend quand même que "la justice belge relance l’instruction contre Total pour complicité de crime contre l’humanité".

Matin Plus attend la page 17 pour placer une petite rubrique "En bref" qui évoque la relance de l’instruction belge au sujet d’un possible recours au travail forcé pour la construction d’un gazoduc et un soutien financier à la junte. Aucune autre évocation n’est faite, dans cette édition, sur la répression actuelle en Birmanie.

Cette comparaison permet de mettre en perspective le choix de privilégier l’une des deux actualités sur la Birmanie : l’actuelle répression ou la procédure menée contre un groupe français. Au lecteur de reconstituer un puzzle tragique dans un contexte d’information bridée par un Etat totalitaire ou un fort enjeu économique.


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7 réactions à cet article    


  • ddacoudre ddacoudre 5 octobre 2007 00:31

    bonjour nicolas.

    je suis particulièrement surpris de la mise en cause de total alors que les compagnies pétrolière américaine se sont approprié par contrat celles de l’Irak. C’est juste un parallèle.

    Ce que je préfèrerai c’est que le tribunal international, (celui qui ne condamne que les perdants, en faisant croire que leur condamnation sert d’exemple aux autres dictateurs)j’aimerais qu’il adresse un ordre d’arrestation aux responsables Birman.

    cordialement.


    • non666 non666 5 octobre 2007 10:28

      Oui le « montrage du doigt » de Total sert de contrefeux a ce qui est en train de se produire aux etats unis.

      Maintenant que l’Irak est un fiasco avéré, que les mensonges et les manipulations de la foule et de la démocratie sont clairs pour tous le monde, il est evident que meme si Bush va payer, cela ne suffira pas.

      Ceux qui l’ont poussé au pouvoir, soutenu et qui ont commandité ces actions sont largement connus.

      Le lobby militaro-indistriel qui esperait refaire le coup de la guerre du golfe (episode I) en faisant payer a la terre entière le financement de l’armée US.

      Le Lobby petrolier qui esperait mettre la main sur lees réserves irakienne. La fin des contrats de 50 , 75 et 99 ans signés par lawrence d’arabie garantissant la mainmise des anglo-saxons en Arabie seoudite impliquaient de trouver une vache a lait de substitution...

      Le lobby Juif ou pour etre exact le lobby pro-israélien qui espérait mettre a bas le seul régime arabe capable de résister militairement a Israël.

      A l’Heure du jugement qui approche, alors que les republicains se redecouvre non-interventionniste, partisan de la fermeture des frontières , il est urgent de montrer du doigt ces français qui ont eu raison trop tot.

      « Regardez ils font comme nous » est le message clair des defenseurs des etats unis.

      Les thésards d’un genocide ruandais organisé par l’armée française se multiplie, on montre Total du doigt en Birmanie...

      Regardez a chaque fois qui sont les « sources » de ces desinformation, c’est edifiant. Encore une fois, le lobby du « devoir d’ingérence » a géométrie variable intervient !


    • ddacoudre ddacoudre 5 octobre 2007 00:47

      bonjour nicolas.

      je suis particulièrement surpris de la mise en cause de total alors que les compagnies pétrolière américaine se sont approprié par contrat celles de l’Irak. C’est juste un parallèle.

      Ce que je préfèrerai c’est que le tribunal international, (celui qui ne condamne que les perdants, en faisant croire que leur condamnation sert d’exemple aux autres dictateurs)j’aimerais qu’il adresse un ordre d’arrestation aux responsables Birman.

      cordialement.


      • Marianne Marianne 5 octobre 2007 15:13

        Venez tous à la manif devant l’ambassade de Chine Samedi 6 octobre(demain) à 15h, 11 avenue Georges V - Paris 8ème (M° Alma Marceau, ligne 9) !

        Manifestation organisée à l’initiative de l’association Info Birmanie afin de demander à la Chine de mettre un terme à son soutien politique, financier, et militaire à la junte birmane qui fait obstacle à la résolution du problème birman.


        • blablalain.skynetblogs.be blablalain.skynetblogs.be 6 octobre 2007 19:59

           smiley 1ère partie Suite à cet article, je suis allé consulter mes archives... là, pas mal, j y ai trouvé quelques infos pas très fraiches c’est vrai... mais tellement explicites..., lisez plutôt ... ... du Monde diplo de l’époque ... :

          ‘ ...« Business », pétrole et droits humains (Décembre 2000 ) extrait de ‘ le Monde Diplomatique ‘

          ...’ Les caprices de la géologie font que le pétrole a toujours été plus rare dans le sous-sol des démocraties que dans les pays qui foulent aux pieds les droits et les libertés. C’est donc ce bastion, qui constitue par ailleurs l’un des grands moteurs de la croissance économique mondiale, qu’Amnesty International et Human Rights Watch...’ ...’ Shell, au Nigeria, est le cas le plus connu. Dans ce pays, première puissance pétrolière d’Afrique, dont la population reste l’une des plus pauvres du continent, la manne pétrolière extraite par les majors occidentaux aide, depuis des décennies, des élites tyranniques et leurs clientèles corrompues à s’enrichir et à se maintenir au pouvoir. Bénéficiaires d’un système dans lequel Shell détenait la part du lion, certains ont ainsi amassé des fortunes considérables.( 1 ) Au début des années 90, le delta du Niger, gorgé de pétrole, est devenu le lieu de confrontations violentes entre, d’une part, les minorités ethniques locales, qui accusaient Shell de porter atteinte à leur environnement et à leur culture, et, d’autre part, les forces de sécurité nigérianes chargées de protéger les installations pétrolières. En 1993, le Mouvement pour la survie du peuple ogoni, dirigé par l’écrivain Ken Saro-Wiwa, réussit à mobiliser des dizaines de milliers de personnes contre Shell. L’affaire devient une cause internationale. Sous la pression, le numéro un mondial du pétrole doit cesser sa production. Pour relancer celle-ci, le gouvernement du général Sani Abacha déclenche alors une répression meurtrière. Des centaines d’Ogonis sont arrêtés, emprisonnés et parfois sommairement exécutés. Deux ans plus tard, Ken Saro-Wiwa et huit militants ogonis seront exécutés malgré les protestations internationales. Le scandale fut énorme. Depuis, la compagnie a admis qu’elle avait été amenée « sous la contrainte » à payer directement les forces de sécurité nigérianes à au moins une occasion, en 1993 .( 2 ) En 1998, c’est British Petroleum (BP) qui se retrouva sur la sellette lorsqu’il fut révélé qu’elle avait passé des accords avec l’armée colombienne pour protéger ses installations situées dans une zone de guérilla. Peu après, son officine de sécurité, Defense Systems Colombia (DSC), fut accusée par Human Rights Watch d’avoir importé des armes et fourni un entraînement à la police colombienne, réputée pour sa brutalité. Objet d’une enquête, DSC refusa de coopérer ( 3 ) ...’

          (1) Le général Sani Abacha, décédé en 1998, et ses proches auraient accumulé « quelque 3 milliards de dollars » sur des comptes ouverts en Suisse, entre 1993 et 1998, auprès de 19 banques helvétiques et françaises. Le Monde, 6 septembre 2000. (2) Selon le rapport annuel 1999 de Human Rights Watch, la répression et les exécutions extra-judiciaires se seraient poursuivies, en 1998 et 1999, dans plusieurs régions d’exploitation pétrolière du Nigeria. (3) Toujours en Colombie, les Uwa, une minorité du Nord-Est soutenue par un collectif d’ONG américaines, s’opposent depuis plusieurs années aux forages de l’Occidental Petroleum, basée aux Etats-Unis.

          à peluch’


          • blablalain.skynetblogs.be blablalain.skynetblogs.be 6 octobre 2007 20:02

             smiley 2ième partie Pétrole et droits de l’homme ne font pas, non plus, bon ménage au Soudan. Les dirigeants islamiques de Khartoum, qui affrontent la guérilla de l’Armée populaire de libération du Soudan (APLS) dans le Sud peuplé de noirs et en partie christianisé, sont régulièrement accusés d’atrocités, de déplacements de populations et aussi de tolérance à l’égard des pratiques esclavagistes en vigueur chez les milices à leur solde. Sur cette toile de fond, Amnesty International a publié un rapport dans lequel elle estime que la plupart des compagnies pétrolières étrangères « tolèrent ces violations en faisant semblant de regarder ailleurs ». Or la liste des pétroliers qui opèrent dans la région du haut Nil occidental est fournie. On y retrouve, à des degrés divers, la China National Petroleum Corporation (Chine), Petronas (Malaisie), BP Amoco (Anglo-américaine) et Talisman Energy (Canada), l’International Petroleum Corporation (Suède) ou encore Agip (Italie), TotalFinaElf (France), la Gulf Petroleum Company (Qatar), la National Iranian Gas Company (Iran) et Shell (Pays-Bas). Fin 1999, alors que rien ne laissait prévoir la moindre embellie du côté des droits humains, le ministre soudanais de l’énergie, M. Awad Ahmed Eljaz, a annoncé qu’une demi-douzaine de pétroliers étrangers attendaient l’obtention de nouvelles concessions. En Birmanie, c’est la compagnie française Total et son partenaire américain Unocal qui se trouvent, depuis 1996, au centre d’une campagne de critiques internationale. Les deux sociétés, associées à la société birmane Myanmar Oil and Gas pour l’exploitation des gisements de gaz de Yadana et la construction d’un gazoduc, sont accusées d’avoir profité de violations des droits humains commises par les militaires birmans dans une douzaine de villages à l’occasion de ce chantier. La Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH) et d’autres ONG ont fait état de déplacements de populations manu militari, de travail forcé et même d’exécutions sommaires. Total et Unocal ont démenti être directement concernés par ces accusations. La société française, qui a mis en oeuvre un programme de réhabilitation destiné aux villages concernés, et sa partenaire américaine continuent à affirmer que leur présence est à terme bénéfique pour les populations. Mais cette défense est affaiblie par le comportement caricatural de la junte au pouvoir depuis 1988. A tel point que les Etats-Unis, l’Union européenne et l’ONU ont pris des résolutions critiques à leur encontre et que plusieurs multinationales : Heineken, Pepsi Cola, Motorola, Eastman Kodak mais aussi les pétroliers américains Texaco et Atlantic Richfield, ont plié bagage en invoquant « le manque de démocratie ». Après ces départs, Mme Aung San Suu Kyi, dirigeante de l’opposition et Prix Nobel de la paix, a estimé que Total était devenu « le meilleur soutien » du régime militaire. En Angola, les revenus du pétrole alimentent une guerre civile interminable qui a déjà fait plusieurs centaines de milliers de morts, mais combien profitables ! C’est ainsi qu’en 1999 une bonne moitié des 900 millions de dollars de droits d’exploitation payés par les compagnies pétrolières internationales auraient servi à financer une énième offensive militaire contre l’Union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola (Unita) de M. Jonas Savimbi. Le reste, à alimenter la corruption. L’an dernier, l’association britannique Global Witness a accusé des officiels angolais haut placés d’acheter des armes à la pègre russe avec les royalties du pétrole et de les revendre au gouvernement, par le biais de compagnies écrans, à des prix gonflés (6). Dans un rapport sévère, elle a également accusé les multinationales du pétrole et les banques occidentales de se faire les complices, en Angola, d’« une catastrophe humanitaire ». Une vingtaine de sociétés pétrolières, à commencer par BP (devenue BP-Amoco à la suite d’une fusion), Exxon, Gulf et TotalFinaElf, opèrent dans ce pays où elles prévoient d’investir des milliards de dollars dans les prochaines années. Enfin, en janvier 1999, Human Rights Watch accusait le conglomérat Enron, géant américain de l’énergie, de se faire le complice de « sérieuses violations » des droits de la personne en Inde. L’usine électrique de Dabhol, dont Enron possède 50 %, « emploie des forces de sécurité qui battent et harcèlent régulièrement les gens qui manifestent pacifiquement contre la centrale », écrivait l’organisation, qui accusait les gouvernements américain et indien de faire semblant de ne rien voir. Dabhol, le plus gros investissement étranger en Inde, est une joint-venture entre deux des plus grandes sociétés américaines, General Electric et Bechtel et Electricité de l’Etat de Maharashtra. A cette liste noire des pays dans lesquels l’exploitation pétrolière ne s’embarrasse guère de principes, on pourrait ajouter la Chine et la Russie, la Turquie et l’Arabie saoudite, le Caucase et l’Asie centrale, où se déroulent de grandes manoeuvres pétrolières, ou encore l’Algérie et le Pakistan, la Libye, le Congo et une poignée d’Etats africains. La plupart des cas recensés concernent des abus des services de sécurité chargés de la protection des pétroliers à l’encontre de populations qui, pour des causes diverses - atteinte à l’environnement, à la culture, non-respect des engagements, etc. -, manifestent leur opposition. Pourtant, d’après Human Rights Watch, la plupart des compagnies ont démenti avoir eu connaissance de tels faits. Aucune n’a protesté publiquement contre les abus commis dans le cadre de ses opérations. Aucune tentative n’a été faite pour limiter l’action de forces armées dont la brutalité est souvent notoire. Sauf dans les cas dont la presse internationale se fait l’écho, c’est l’indifférence et l’inaction qui prévalent...’ .

            Plus récemment ... , ‘Le 25 avril 2002, quatre Birmans déposaient devant le Tribunal de Première instance de Bruxelles une plainte contre TotalFinaElf, accusée de complicité de crimes contre l’humanité. La plainte était plus précisément déposée contre l’ancien PDG Thierry Desmarets (à l’époque Directeur de l’exploitation à l’étranger) et Hervé Madéo, responsable de Total Birmanie entre 1992 et 1999. Cette plainte fut rapidement l’occasion d’une foire d’empoigne juridique.

            Drastiquement amendée en août 2003, la loi dite de Compétence universelle du 26 juin 2003 conditionne désormais toute poursuite à des critères de rattachement stricts entre les plaignants et la Belgique. Concrètement, une juridiction belge ne peut poursuivre l’examen des actions introduites que si un des plaignants a la nationalité belge au moment de l’introduction de la plainte. Si aucun des quatre Birmans ne remplissait cette condition, l’un d’eux avait néanmoins le statut de réfugié. Or, en vertu de la Convention de Genève, tout réfugié doit avoir les mêmes droits qu’un justiciable national. Enfin, la Constitution belge interdit toute discrimination.

            En avril 2005, interrogée par la Cour de Cassation, la Cour d’Arbitrage (rebaptisée Cour constitutionnelle depuis mai 2007) avait statué que dessaisir une juridiction belge de cette affaire serait discriminatoire. Mais, en juin 2005, la Cour de cassation avait malgré cette réponse dessaisie la juridiction bruxelloise. Les avocats des plaignants birmans avaient alors demandé l’annulation de l’article de loi problématique, ce qui fut accepté par la Cour d’Arbitrage en juin 2006. Mais, à nouveau, la Cour de cassation avait refusé ce scénario. Finalement, juste avant l’entrée du gouvernement en « affaires courantes », préalable aux législatives du 10 juin 2007, ce dernier a fait injonction au Parquet fédéral de transmettre ce dossier à un juge d’instruction et de reprendre la procédure là où elle avait dû s’arrêter.

            Les avocats des Birmans affirment disposer de preuves suffisantes d’une aide logistique et militaire (c.à.d. pas seulement morale ou financière) apportée par Total à la politique de travail forcé imposée par l’armée à des villageois birmans réquisitionnés pour défricher les terres par lesquelles passe le gazoduc construit par le groupe pétrolier.

            P.F. http://www.amnestyinternational.be/doc/article11801.html...’

            Voilà, en espérant avoir contribué à quelques ‘ éclaircissement ‘ sur ces groupes pétroliers.. au plaisir de vous lire.. amis bloggeurs.. à peluch’ !


          • blablalain.skynetblogs.be blablalain.skynetblogs.be 6 octobre 2007 20:26

            et par rapport à l’actualité .. et du pétrole ..., ses concéquences ... de mon blog.. ’ blablalain ’ sur skynet , ...’Il ne se passe plus un jour sans qu’une ou l’autre mauvais nouvelle économique ou autre bruit de bottes fassent la une de l’info aussitôt suivie d’une contre info , mais il est évident que le système économique actuel montre de plus en plus des signes de... moribond. Il est en outre, de plus en plus évident que la puissance du dollar qui reposait essentiellement sur les transactions pétrolières libellées en son nom est remise gravement en cause. Les acheteurs qui étaient obligés jusqu’alors de négocier avec cette monnaie modifient leur stratégie, à l’instar de l’Iran et du Venezuela qui utilisent de plus en plus d’autres monnaies dans leurs transactions. De même, en juillet dernier, l’Iran et le Japon qui ont redéfinis leurs accords pétroliers afin de remplacer le dollar par le yen. À partir de la crise du subprime et de l’engagement des banques dans la bulle spéculative et autres ‘ montages exotiques ‘ bien au-delà de leur capacité , révélateurs de l’état plus qu’exsangue de l’économie US ( voir de l’effondrement imminent pur et simple du système capitaliste dans son ensemble ) , le dollar n’en finit pas de s’effondrer face à un euro qui atteint des records historiques, tandis que le court du brut (le dollar est une monnaie basée sur le pétrole) est à son plus haut niveau jamais atteint, dépassant aujourd’hui la barre des ...80 dollars. La guerre à l’Irak pour garder la mainmise sur son pétrole ( et par conséquent le maintien du dollar et de l’économie US , et des autres économies capitaliste dépendantes de celle -ci en général ) comme unique voie à l’époque , bien que déjà dénoncée comme immorale, ne serait que le prélude à des actions militaires très proches qui n’auront aucunes communes mesures avec ce que nous avons connu jusqu’ici , à partir du fait que l’hégémonie des USA et du système qu’il représente ne seront jamais remis en causes par leurs propres instigateurs , ceux -ci ayant choisis depuis longtemps ( avant le 11 septembre ...) la fuite en avant comme unique prérogative et ce pour que perdurent leurs suprématies quels qu’en soit le coût humain , social et politique mondial futur ... Sans doute la raison pour laquelle les lois liberticides ont fleuris partout en occident sous prétexte de lutte contre le terrorisme, mais il est fort à parier que celles -ci serviront avant tout à contenir ...les manifestations populaires économiques et anti-guerres dans un futur proche...’ à peluch’ smiley

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