Des chercheurs de l’Université d’Oxford, en Angleterre, vénérable institution s’il en est, viennent de rendre publique une étude très encourageante sur la maladie d’Alzheimer. Ce fléau sociétal dont divers diagnostics permettent désormais de déceler rapidement la maladie, pourra-t-il être éradiqué ? D’ailleurs, pendant plusieurs années, malgré sa présence, elle demeure infra-clinique, c’est-à-dire qu’elle ne s’exprime pas, car, les fonctions cognitives ne sont pas altérées. Tous les traitements médicamenteux répertoriés n’ont jamais permis jusqu’à ce jour, d’enrayer entièrement la maladie. Et pourtant, selon cette étude, le lait pourrait aider à prévenir cette maladie, simplement, en buvant deux verres de lait par jour. Ceci permet ou peut aider à se protéger contre la perte de mémoire et la maladie d’Alzheimer chez les personnes âgées. Le lait paraît radical, le sésame.
Ces scientifiques de l’Université d’Oxford ont donc découvert que le lait est l’une des meilleures sources de vitamine permettant de réduire considérablement les dommages neurologiques du cerveau qui peuvent conduire à des formes de démence. En effet, les patients âgés ayant un faible niveau de la vitamine connue sous le nom de B12 ou Cobalamine, souffrent deux fois plus de rétrécissement du cerveau, que celles qui ont un taux plus élevé de cette substance dans le corps. Selon bien sûr, le résultat de cette recherche qui pourrait apporter plein d’espoir dans de nombreuses familles éprouvées. Ils espèrent maintenant, les chercheurs, que l’augmentation de l’absorption de la vitamine B12 chez les personnes âgées pourrait contribuer à ralentir le déclin cognitif. Ils sont entrain actuellement, de réaliser une étude clinique qui vise à démontrer qu’il est possible, en définitive, de traiter radicalement et fondamentalement, tous les problèmes liés à la mémoire, chez les séniors, avec des suppléments vitaminiques conséquents.
Ils estiment aussi qu’il est possible de protéger les anciens, contre les effets dévastateurs sur les conditions dégénératives de la maladie d’Alzheimer, qui touche 150.000 nouveaux patients chaque année au Royaume-Uni (il y a en France, 230 000 personnes atteintes par an), par l’amélioration de leur apport alimentaire en vitamine. Ainsi, Le professeur David Smith, en charge de ce projet de l’Université d’Oxford, a enquêté sur les effets de la mémoire et du vieillissement, et attesté que, le lait était un véritable sésame, face à tout ce qu’on avait vu auparavant, et que les deux verres de lait journalier suffisaient largement à régénérer des mémoires défaillantes en B12. Il a précisé : « Il y a 550 personnes, atteintes de démence [sénile ndrl], principalement due à la maladie d’Alzheimer, qui viennent tous les jours, dans les hôpitaux du Royaume-Uni. Il s’agit donc, d’une épidémie majeure. » Rajoutant : « Ces patients ont des cellules nerveuses qui sont mortes, donc il est peu probable que nous soyons en mesure de trouver les moyens de réparer ces dommages ou de les traiter avec des médicaments. »
Une consommation soutenue en lait, augmente les chances de prévention de la maladie d’Alzheimer. La vitamine B12 est l’une des 8 vitamines B existantes, et on le trouve principalement dans la viande, le poisson et les produits laitiers. Une recherche publiée par le American Journal of Clinical Nutrition, a révélé il y a quelques temps déjà, que, bien que la viande ait cette vitamine, elle est mal absorbée par l’organisme, après consommation. Le professeur Smith, en collaboration avec ses collègues de l’Université d’Oslo, en Suède, et de l’Université de Bergen, en Norvège, a trouvé que les taux les plus élevés de vitamine B12 que l’organisme absorbe le mieux, proviennent du lait.
55% environ de la vitamine provenant du lait s’incrustent dans le flux sanguin. Ensuite, vient le poisson. Le problème lié à la viande viendrait du fait que, dans celle-ci, selon le professeur Smith, je cite : "Dans la viande, le B12 est étroitement liée à la protéine et ce lien fait qu’il doit être ventilé par de l’acide dans l’estomac avant que l’organisme ne puisse se l’approprier." Or, les personnes âgées ont un niveau d’acide inférieur à la moyenne. Il est donc beaucoup plus difficile pour eux d’absorber aisément les substances liées à la vitamine B12 de certains aliments. L’espoir vient donc du lait, qui est la liaison la plus facilement réversible. Un scanner du cerveau des patients qui ont une carence en vitamine B12 a révélé que, plus ils souffrent, plus leur cerveau présente une atrophie plus prononcée que ceux qui ont un taux plus élevé de la vitamine.
On pense que la vitamine B12 est essentielle au cerveau, pour le maintien de la gaine qui se forme autour et isole les cellules nerveuses. Sans des niveaux adéquats de la vitamine, cette gaine ne peut pas être maintenue en bon état de fonctionnement, entraînant donc, un dysfonctionnement des cellules et accélérant leur mort. Des études précédentes par le même groupe, ont indiqué que le chocolat et le vin ont un effet similaire. Pourtant, l’Institut national du cancer dénonce la consommation du vin comme étant l’un des facteurs cancérigènes endémiques majeurs. Les chercheurs anglais vont maintenant passer à une phase d’essai sur des cobayes, au nombre de 170, de plus de 70 ans, sur une période de 2 années consécutives, pour prévenir l’effet placébo qui pourrait être lié à l’effet de la vitamine B12.
Le professeur Smith a aussi déclaré : « Nous avons besoin de faire plus d’études cliniques sur la vitamine B12 avant de pouvoir commencer à offrir des conseils pour aider à protéger contre la démence et le déclin cognitif. Mais, en attendant, la prudence suggère l’adoption d’un mode de vie sain et un régime alimentaire riche en vitamine B12. » Tous les espoirs semblent être permis, avec cette découverte. Néanmoins, il s’agirait du lait écrémé, plus que le demi-écrémé. Cette étude aura aussi permis, à l’aide de l’IRM, de mieux observer l’avancée de la perte de mémoire sur une période de 6 mois, et, des tests spécifiques ont pu démontrer l’évolution de l’atrophie de l’hippocampe, ou de constater le taux anormal d’un biomarqueur dans le liquide céphalorachidien, conséquence des troubles de la perfusion cérébrale dans certaines régions du cerveau visible par neuro-imagerie fonctionnelle. >>>Allain Jules
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Mon grand-père était producteur laitier. Du lait, tout chaud sorti du pis de la vache, il en consommait tous les jours et en faisait parfois ses repas. Ca ne l’a pas empêché de faire un Alzheimer très marqué et très pénible. Ce n’est peut-être qu’un cas particulier, mais ça me rend quand même très dubitatif...
Cela dit, comme je suis presque végétarien, ces infos sur la vitamine B12 m’ont beaucoup intéressé.
Si on commence à boire deux verres de lait avant d’être atteint, probablement, on aura pas besoin de chercher sa bouteille, vu que, on aura aucun problème de mémoire.
@TousVÉRITÉ SUR LE LAIT
Un débat fabuleux sur France Inter
Ce débat s’est déroulé entre Thierry Souccar auteur du livre ci-dessous et un lobbyiste du lait, Bernard Guy-Grand. Celui-ci n’est pas présenté comme tel
mais il reconnaît lui-meme a la fin du débat etre fondateur et ex-président de l’institut
Danone pendant 5 ans !
Dans ce débat, vous apprenez que
Le lait est un facteur de risque connu du cancer de la prostate mais que personne n’en parle. ,
- Les japonais, qui ont l’espérance de vie la plus élevée 3t7 "monde, n’ont jamais bu une goutte de lait au cours de leur longue vie et ont moins d’ostéoporose que les occidentaux.
- Le lait n’a jamais prévenu l’ostéoporose.
- L’AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire et Alimentaire), qui est censée etre indépendante, comporte 29 experts en son sein. Sur les 29 experts, 20 travaillent ou ont des liens étroits avec l’industrie du lait. Dans le PNNS (Programme National Nutrition Santé), un expert travaille pour l’industrie du lait.
Moralité
1. les recommandations de l’AFSSA n’ont I
aucune valeur scientifique	 2. laissez le lait de vache aux veaux 3. lisez le livre-bombe ci-dessous qui vient
de sortir
LAIT, MENSONGES ET PROPAGANDE
Thierry Souccar - 19.00 €
Au terme de plus de cinq ans d’enquete, Thierry Souccar montre comment le lobby laitier a réussi en l’espace de sept décennies a faire
d’un aliment marginal et mal considéré un pilier incontournable de l’alimentation moderne. Présentés par les nutritionnistes comme « indispensables a la santé des os », les laitages cachent une réalité moins glorieuse. Vous apprendrez ainsi
	—
- Comment le lobby laitier et les politiques ont imposé le lait a l’école des les années 1930. - Pourquoi,(5 millions de Français souffrent sans le savoir d`intoférance au lactose et comment la diagnostiquer.
- Pourquoi l’ostéoporose ne diminue pas avec la consommation de lait, et pourquoi au contraire elle progresse.
- Comment les constituants du lait sont a l’origine de l’augmentation de la taille ces dernieres décennies.
- Comment une protéine du lait accélere les tumeurs.
- PouTquoftes cancers de la prostate et des ovaires sont associés a la consommation de laitages. - Pourquoi les chercheurs soupçonnent le lait de favoriser le diabete de l’enfant. - Comment	l’industrie fait croire que
e	calcium	laitier	prévient	l’obésité. - Pourquoi les besoins en calcium ont été exagérés.
Puisé aux sources scientifiques les plus rigoureuses, ce livre-révélation propose une alternative nutritionnelle, la seule aujourd’hui capable de
prévenir l’ostéoporose et les maladies de civilisation.
SUPERVACHE ET LE LAIT ENCHANTÉ
Oubliez les jolies vaches qui mâchonnaient des pâquerettes dans les prés de notre enfance. Elles ont été remplacées par Supervache. Un pur produit
du génie génétique, une véritable usine a lait. Mais un lait un peu particulier lui aussi. Un lait enchanté. Pourquoi les vaches sont-elles monstrueuses, de plus en plus grosses, a demandé cette dame l’autre matin a l’antenne de France Inter, dans le « Sept-neuf trente », l’émission animée par Nicolas Demorand, ou l’on recevait, salon de l’agriculture oblige, Philippe Meurs, président du syndicat des jeunes agriculteurs.
- Pourquoi les vaches sont-elles si grosses ? dit a dame, visiblement choquée par ce qu’elle a vu au salon. Elle se demandait si finalement tout ça n’était pas suspect, si ces animaux n’avalaient pas autre chose que du fourrage ou des aliments pour bétail, peut-etre des hormones, des médicaments ?
- Rien a craindre, rassure Philippe Meurs, les vaches françaises reçoivent une alimentation naturelle.
- Oui, mais alors pourquoi sont-elles si grosses ?Et chaque année encore un peu plus ?
- Ah, mais la, explique le président du SNJA, ça n’a rien a voir avec des hormones.
Et c’est a ce moment précis, écoutez bien, chers amis, que ça devient passionnant.
- Les vaches, continue le syndicaliste, bénéficient des progres de la génétique : en clair, la recherche française, qui est en pointe sur la sélection génétique a permis de transformer une vache normale - celle des boites de fromage - en Supervache. Et cela, explique M. Meurs, c’est un progres. Il faut bien nourrir la planete, n’est-ce pas ?
Et tout le studio de s’attendrir devant le génie -français qui a fait Supervache. Personne n’a réalisé, hier matin un peu avant neuf heures, qu’il y a dans cette Supervache, au-dela de ce qu’elle mange, motif réel a inquiétude. Laissez-moi vous expliquer.
@ crop
danone fait du lait chimique
les vaches des salons sont des fausses vaches industrielles selectionnes pour produire plus
les laiterie achetent le lait entier 30c en moyenne
ensuite le lait est separe pour fabriquer plus et gagner plus
en 1930, il y avait pas de UHT infect
@Tous(suite,le lait)LE JOURNAL DE MICHEL ia06Nf ; - NotwELLE ÉDITION
SUR LES TRACES DE SUPERVACHE
Supervache a fait son apparition dans ma vie il y a exactement deux ans. J’étais allé rendre visite au professeur Walter Willett, le patron de l’Ecole de santé publique de Harvard, à Boston. Nous nous étions donné rendez-vous au restaurant Nightingale, 578 Tremont Street. Il arrive à vélo, nous nous attablons et de fil en aiguille, la conversation bifurque sur Supervache. Car là, j’apprends que Harvard s’intéresse à Supervache. Je raconte cette enquête en détail dans mon livre parce qu’elle est hallucinante. Mettez-vous à la place de Willett. Son équipe a publié ces dernières années plusieurs études qui montrent que les gros consommateurs de laitages ont un risque plus élevé de cancer de la prostate (hommes) et de cancer des ovaires (femmes). Les chercheurs de Harvard se demandaient si dans le lait il n’y aurait pas quelque chose qui favorise ces cancers et qui soit apparu récemment, parce que des laitages on en consomme aux Etats-Unis depuis des décennies, mais le cancer de la prostate n’a véritablement augmenté qu’à partir du milieu des années 1980.
Alors les épidémiologistes de Harvard se sont fait détectives, et c’est cette histoire que me raconta ce soir-là Walter, chez Nightingale, avec le jour qui décline. Ils réussissent à se procurer des échantillons de lait prélevés des années plus tôt sur des vaches américaines, avant l’ère de Supervache. Ils les comparent aux échantillons d’aujourd’hui, au lait produit par Supervache. Et le résultat est sidérant
LE LAIT ENCHANTÉ
Mais pourquoi Supervache a-t-elle autant d’IGF1 dans le lait ? Précisément parce que c’est Supervache. Parce que des chercheurs forcément géniaux de l’INRA et d’ailleurs, ont réussi à sélectionner les espèces les plus productrices de lait, et dans ces espèces, les individus les plus producteurs. Ces espèces-là, ces individuslà, sont des usines à facteurs de croissance, en l’occurrence l’IGF-1, parce qu’il faut des facteurs de croissance comme l’IGF-1 pour être Supervache et produire des superlitres de ce lait enchanté. Ce matin-là, sur France Inter, les journalistes et leur invité avaient simplement oublié que même si les campagnes ne sont pas à la ville, nous sommes biologiquement liés à Supervache par les aliments qu’elle nous donne à manger et à boire. Son IGF-1 devient le nôtre. Sa méga-croissance devient la nôtre.
C’était vendredi 2 mars sur France Inter (décidément), j’étais l’invité d’isabelle Giordano et Yves Decaens dans l’émission Service public. Visiblement ébranlée par ce qu’elle avait lu dans mon livre, Isabelle Giordano m’a demandé, un peu avant la fin de l’émission, si ce n’était pas « irresponsable » d’écrire comme je le fais dans Lait, mensonges et propagande qu’il y a dans le lait enchanté de Supervache une protéine qui accélère les tumeurs.
Chère Isabelle Giordano, ce qui serait irresponsable, ce serait de se taire !
Thierry Souccar
Note MD
Les supervaches en question sont surtout d’une race génétiquement modifiée (OGM) venant des
PAGE 5
Etats-Unis et nommées HOLSCHTEIN. Elles ont des pis si énormes que pour qu’elles puissent marcher sans trop de problème, on a (génétiquement) allongé leurs pattes. Leur programme de surproduction de lait est immuable, si bien qu’elles ne peuvent se suffire alimentairement en broutant seulement de l’herbe ; une supplémentation de farines alimentaires leur est indispensable pour ne pas maigrir dangereusement et simplement survivre. A savoir qu’une vraie vache vit entre 25 et 30 ans alors que Supervache-Turbolait est bonne pour la casse au bout de 8 ans. Non seulement on retrouve son lait enchanté partout dans toute la chaîne alimentaire (il est très difficile d’y échapper) et dans les gigantesques rayonnages des supermarchés sous de multiples formes, mais en plus, on vous fait manger en boucherie les reliquats dévitalisés de ce malheureux animal-chimère-zombie 100% OGM made in USA. A noter en outre que les femmes qui consomment beaucoup de produits laitiers (yaourts, beurre, crème fraîche...) ont statistiquement de gros seins en raison de l’énorme quantité de prolactine bovine qu’elles absorbent, leur téléchargeant le programme galactogène de supervache.
Conclusion : être contre les OGM et pour les produits laitiers (OGM) et aussi les vaccinations (OGM) ne serait guère cohérent.
N050 - AVRIL 2007
renferme passe sans trop de difficultés dans votre sang, il booste le vôtre. C’est le niveau très élevé d’IGF-1 dans le lait de Supervache qui pourrait expliquer que des cancers comme celui de la prostate touchent plus fréquemment les buveurs de lait.
2
O
Q
Le lait de Supervache contient des quantités infiniment plus élevées d’une protéine appelée IGF-1. Qu’est-ce que l’IGF-1 ? C’est le bras armé de l’hormone de croissance, une substance qui stimule la prolifération de toutes les cellules. Les bonnes, et les moins bonnes. Or l’IGF-1 des bovins et celui de l’homme sont identiques. Vous buvez du lait ? L’IGF-1 qu’il
Avant d’fmprfmer,
pensez aux arbres
Savez-vous que la consommation mensuelle de papier, par employé de bureau, frôle les 80kg ? Si nous faisons nos comptes, seulement 12 employés de bureau utilisent mensuellement 1 tonne de papier, ce qui nécessite 2 à 3 tonnes de bois, 15.000 litres d’eau et l’équivalent de 7201 de pétrole. Or, avec une tonne de papier usagé l’on peut faire 900kg de papier recyclé.
Petit problème : le papier recyclé est vendu plus cher que le papier normal. Si nous avions un gouvernement écologiste, il pourrait simplement surtaxer le papier premier jus et détaxer le papier recyclé.
Source : Quelle Santé
@Tous(suite,le lait)LE JOURNAL DE MICHEL ia06Nf ; - NotwELLE ÉDITION
SUR LES TRACES DE SUPERVACHE
Supervache a fait son apparition dans ma vie il y a exactement deux ans. J’étais allé rendre visite au professeur Walter Willett, le patron de l’Ecole de santé publique de Harvard, à Boston. Nous nous étions donné rendez-vous au restaurant Nightingale, 578 Tremont Street. Il arrive à vélo, nous nous attablons et de fil en aiguille, la conversation bifurque sur Supervache. Car là, j’apprends que Harvard s’intéresse à Supervache. Je raconte cette enquête en détail dans mon livre parce qu’elle est hallucinante. Mettez-vous à la place de Willett. Son équipe a publié ces dernières années plusieurs études qui montrent que les gros consommateurs de laitages ont un risque plus élevé de cancer de la prostate (hommes) et de cancer des ovaires (femmes). Les chercheurs de Harvard se demandaient si dans le lait il n’y aurait pas quelque chose qui favorise ces cancers et qui soit apparu récemment, parce que des laitages on en consomme aux Etats-Unis depuis des décennies, mais le cancer de la prostate n’a véritablement augmenté qu’à partir du milieu des années 1980.
Alors les épidémiologistes de Harvard se sont fait détectives, et c’est cette histoire que me raconta ce soir-là Walter, chez Nightingale, avec le jour qui décline. Ils réussissent à se procurer des échantillons de lait prélevés des années plus tôt sur des vaches américaines, avant l’ère de Supervache. Ils les comparent aux échantillons d’aujourd’hui, au lait produit par Supervache. Et le résultat est sidérant
LE LAIT ENCHANTÉ
Mais pourquoi Supervache a-t-elle autant d’IGF1 dans le lait ? Précisément parce que c’est Supervache. Parce que des chercheurs forcément géniaux de l’INRA et d’ailleurs, ont réussi à sélectionner les espèces les plus productrices de lait, et dans ces espèces, les individus les plus producteurs. Ces espèces-là, ces individuslà, sont des usines à facteurs de croissance, en l’occurrence l’IGF-1, parce qu’il faut des facteurs de croissance comme l’IGF-1 pour être Supervache et produire des superlitres de ce lait enchanté. Ce matin-là, sur France Inter, les journalistes et leur invité avaient simplement oublié que même si les campagnes ne sont pas à la ville, nous sommes biologiquement liés à Supervache par les aliments qu’elle nous donne à manger et à boire. Son IGF-1 devient le nôtre. Sa méga-croissance devient la nôtre.
C’était vendredi 2 mars sur France Inter (décidément), j’étais l’invité d’isabelle Giordano et Yves Decaens dans l’émission Service public. Visiblement ébranlée par ce qu’elle avait lu dans mon livre, Isabelle Giordano m’a demandé, un peu avant la fin de l’émission, si ce n’était pas « irresponsable » d’écrire comme je le fais dans Lait, mensonges et propagande qu’il y a dans le lait enchanté de Supervache une protéine qui accélère les tumeurs.
Chère Isabelle Giordano, ce qui serait irresponsable, ce serait de se taire !
Thierry Souccar
Note MD
Les supervaches en question sont surtout d’une race génétiquement modifiée (OGM) venant des
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Etats-Unis et nommées HOLSCHTEIN. Elles ont des pis si énormes que pour qu’elles puissent marcher sans trop de problème, on a (génétiquement) allongé leurs pattes. Leur programme de surproduction de lait est immuable, si bien qu’elles ne peuvent se suffire alimentairement en broutant seulement de l’herbe ; une supplémentation de farines alimentaires leur est indispensable pour ne pas maigrir dangereusement et simplement survivre. A savoir qu’une vraie vache vit entre 25 et 30 ans alors que Supervache-Turbolait est bonne pour la casse au bout de 8 ans. Non seulement on retrouve son lait enchanté partout dans toute la chaîne alimentaire (il est très difficile d’y échapper) et dans les gigantesques rayonnages des supermarchés sous de multiples formes, mais en plus, on vous fait manger en boucherie les reliquats dévitalisés de ce malheureux animal-chimère-zombie 100% OGM made in USA. A noter en outre que les femmes qui consomment beaucoup de produits laitiers (yaourts, beurre, crème fraîche...) ont statistiquement de gros seins en raison de l’énorme quantité de prolactine bovine qu’elles absorbent, leur téléchargeant le programme galactogène de supervache.
Conclusion : être contre les OGM et pour les produits laitiers (OGM) et aussi les vaccinations (OGM) ne serait guère cohérent.
N050 - AVRIL 2007
renferme passe sans trop de difficultés dans votre sang, il booste le vôtre. C’est le niveau très élevé d’IGF-1 dans le lait de Supervache qui pourrait expliquer que des cancers comme celui de la prostate touchent plus fréquemment les buveurs de lait.
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O
Q
Le lait de Supervache contient des quantités infiniment plus élevées d’une protéine appelée IGF-1. Qu’est-ce que l’IGF-1 ? C’est le bras armé de l’hormone de croissance, une substance qui stimule la prolifération de toutes les cellules. Les bonnes, et les moins bonnes. Or l’IGF-1 des bovins et celui de l’homme sont identiques. Vous buvez du lait ? L’IGF-1 qu’il
Avant d’fmprfmer,
pensez aux arbres
Savez-vous que la consommation mensuelle de papier, par employé de bureau, frôle les 80kg ? Si nous faisons nos comptes, seulement 12 employés de bureau utilisent mensuellement 1 tonne de papier, ce qui nécessite 2 à 3 tonnes de bois, 15.000 litres d’eau et l’équivalent de 7201 de pétrole. Or, avec une tonne de papier usagé l’on peut faire 900kg de papier recyclé.
Petit problème : le papier recyclé est vendu plus cher que le papier normal. Si nous avions un gouvernement écologiste, il pourrait simplement surtaxer le papier premier jus et détaxer le papier recyclé.
Source : Quelle Santé
Vous vez raison mais, je vais réagir sur le papier récyclé. justement, je suis resté 6 mois à l’UNESCO et, c’est le papier recyclé qui y est utilisé. Votre proposition est la bonne en matière de taxes.
La meilleure des prévention contre la maladie d’Alzheimer c’est l’activité.
Pratiquer un maximum d’activités, quelles qu’elles soient, artistiques, sportives, scientifiques, associatives, etc, sont indispensables pour stimuler l’activité des neurones tout au long de la vie.
Dans les hôpitaux de gériatrie, la corrélation est flagrante entre la précocité des patientts ateints et leur manque d’activités autres que professionnelles.
La très grande majorité des patients atteints n’ont jamais pratiqué de sport, de loisirs quels qu’ils soient. Se sont consacrés à 100 % au travail et à l’éducations de leurs enfants jusqu’à ce que ceux ci partent du domicile. Et puis ensuite, le fauteuil avec le journal, l’apéro, les copains à la belotte pendant des week end entiers, bref, rester à la maison sans rien faire.
La très grande majorité sont des ouvriers ou des ouvrières qui n’ont jamais voulu ou pu avoir une activité extra professionnelle quelconque.
Pas de lecture, pas de voyages, pas de sport, pas de club de quoi que ce soit.
Résultat, les neurones peu ou pas stimulés par la moindre curiosité laissent la maladie les envahir.
N’importe quel gériatre vous l’expliquera.
Même au niveau aides soignants et infirmières c’est tellement flagrant qu’on en discutte souvent entre nous.
La preuve, l’efficacité de ces petits jeux électroniques stimulant l’activité cérébrale dont on nous fait la pub en ce moment, qui sont d’un niveau scolaire des plus élémentaires, niveau école primaire pour certaines questions.
Cette article pose plusieurs questions intéressantes.
1 Qu’est ce qu’un article original ?
Un article original est, à mon sens, un écrit qui ne se contente pas d’être une simple traduction. Dans le cas présent "l’auteur" fait essentiellement une traduction de la source qu’il donne et que l’on peut consulter à l’URL suivante :
A la louche, de l’ordre de dix phrases sont de lui , ça fait peu...
2 Qu’est ce qu’une bonne traduction ?
Perso je ne me hasarderai pas à vouloir traduire du Joyce ou du Whitmann : il me manque tout un arrière fond culturel. Sans doute ne suis-je pas assez décomplexé comme s’en targue l’auteur qui lui, indubitablement, l’est. Mais il lui manque l’indispensable pour se rendre compte que sa traduction est fausse (mauvaise maîtrise de l’anglais), et pour être conscient des absurdités qu’il écrit (connaissances médico-biologiques que l’on peut estimer entre peanuts et pas grand-chose), enfin il ajoute parfois son opinion, déformant la pensée des rédacteurs de l’article original.
Des exemples (pas tous il faudrait des pages)
	⁃	They are conducting a clinical trial that aims to show that it may be possible to treat memory problems in the elderly with vitamin supplements. Qui signifie : ils réalisent un étude clinique dont le but est de montrer qu’il serait possible de traiter les problèmes de mémoire chez les personnes agées par des suppléments vitaminiques, mais pas : "Ils sont entrain actuellement, de réaliser une étude clinique qui vise à démontrer qu’il est possible, en définitive, de traiter radicalement et fondamentalement, tous les problèmes liés à la mémoire, chez les séniors, avec des suppléments vitaminiques" comme l’écrit A.J.
	⁃	They also believe it may be possible to protect people against devastating degenerative conditions such as Alzheimer’s disease, veut dire : Ils croient également qu’il peut être possible de protéger les gens contre des maladies dégénératives invalidantes telle la maladie d’Alzheimer. Et non pas : Ils estiment aussi qu’il est possible de protéger les anciens, contre les effets dévastateurs sur les conditions dégénératives de la maladie d’Alzheimer ( ce qui, accessoirement, ne veut pas dire grand-chose).
	⁃	La dernière, (mais il en a d’autres, rassurez-vous, vous avez le droit jouer aussi) : "In meat, B12 can be tightly bound to protein and this bond has to be broken down by acid in the stomach before the body can use it. Qui se traduit par : "dans la viande la vitamine B12 peut être solidement liée aux protéines et cette liaison doit être cassée par l’acidité dans l’estomac avant que le corps puisse l’utiliser". Que notre auteur a transformé en : "Dans la viande, le B12 est étroitement liée à la protéine et ce lien fait qu’il doit être ventilé par de l’acide dans l’estomac avant que l’organisme ne puisse se l’approprier."...
3 Qu’est ce qu’un journaliste même s’il ne se dit que citoyen ? Que penser d’un tel monument de désinformation ? Est-ce suffisant d’écrire au fronton de son blog : ALLAIN JULES C@MMUNICATION * LA LIBERTE D’EXPRESSION DANS SA QUINTESSENCE* « LE COURAGE C’EST DE REFUSER LA LOI DU MENSONGE TRIOMPHANT, DE CHERCHER LA VÉRITÉ ET DE LA DIRE » (JEAN JAURÈS).