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Accueil du site > Actualités > Société > La culture de banlieue et ses influences sur la désaffiliation (...)

La culture de banlieue et ses influences sur la désaffiliation sociale

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Samy Seghir dans « Fracture » (2010)

Beaucoup de personnes imaginent que seule la pauvreté devrait être tenue pour responsable du niveau de violence que l’on peut retrouver dans les banlieue française amenant à une non-intégration de ses habitants. Seulement, elle ne saurait en être tenue pour le seul facteur et il est alors aisé de se demander si ce n’est pas la non-intégration en elle-même qui serait préalable aux facteurs de pauvreté et de délinquance.

Dans la majorité des quartiers défavorisés, une part importante de la population se regroupant est originaire de pays différents avec une culture différente, en l’occurrence il s’agit souvent d’une culture nord-africaine, musulmane, et parfois de langue arabe qui se retrouve alors en France créatrice de lien social. Pour mesurer l’importance de ces liens directement importés, il suffit de mesurer le niveau d'antisémitisme des jeunes de banlieue dangereusement élevé comme a pu nous le révéler l’affaire Mohammed Merah. Les enfants de quartiers sensibles ne naissant pas avec des gènes qui de façon innée les pousseraient à échouer dans leurs études, devenir antisémite ou délinquant, on peut alors se demander pourquoi la difficulté de leur intégration reste pourtant une réalité objective.

Un manque de repère. On peut le voir dans le cadre de l'adoption. Vous avez très probablement rencontré des personnes d'origine africaine et pourtant très bien intégrée socialement. Vous avez aussi probablement remarqué que bien souvent soit ces personnes ont des parents français depuis plusieurs générations, soit elles ont été élevé à la campagne sans possibilité de retrouver des proches de leur origine ou soit elles n'ont pas été élevé dans leur contexte d'origine. On peut notamment prendre l'exemple de Steve Jobs, né d’un père Syrien adopté par des parents américains, qui aurait alors sûrement été plus susceptible de devenir membre de l'armée syrienne voire d'Al-Qaïda plutôt que de créer Apple s’il avait grandi dans un orphelinat de Homs.

Toutes les études psychologiques ont montré que nous ne commettons pas des actes en fonction de ce que nous sommes, mais plutôt que nous devenons ce que nous faisons en fonction de nos expériences aléatoires. Par exemple, si une personne aide un inconnu dans la rue, ce n’est pas du tout parce que c’est dans sa nature d’être serviable, mais simplement parce que toutes les expériences qu’elle aura subie dans sa vie jusque là l’auront poussé à être serviable. Avant de faire une bonne action, demandez-vous toujours tout ce que qui a pu vous pousser à commettre cette bonne action. Un enfant a tendance à devenir l’image que l’on a de lui. C’est ainsi qu’un enfant toujours valorisé durant son enfance pour ses moindres petites réussites ne pourra que réussir sa vie d’adulte et inversement un enfant toujours dévalorisé (que ce soit par le regard de ses parents ou le regard implicite que la société porte sur lui) aura tendance à se conformer sans s’en rendre compte à l’image négative que les autres et la société ont déjà de lui-même et échouera.

Comme nous avons pu le voir dans le cadre de la manif pour tous, beaucoup de parents (souvent aisés) considèrent que ce n'est pas le rôle de l'école d'éduquer moralement les enfants de la république. Or ce n’est pas prendre en compte le fait que beaucoup de parents (souvent pauvres) n'aient tout simplement pas la capacité d'élever leurs enfants. Faute de repères à l’école ou au sein de leur famille, ces enfants n’ont alors d’autre choix pour s’intégrer que d’adopter par conformisme cette culture de banlieue qui peut être violente, misogyne, antisémite et homophobe. A l’exemple du brillant téléfilm « Fracture » sorti en 2010, ces jeunes qui peuvent pourtant être très intelligent et travailleurs, une fois être entrés par hasard dans le cycle de la délinquance n’auront souvent plus jamais la possibilité de revenir sur le chemin de la réussite scolaire et des valeurs républicaines. C’est alors qu’ils se sentiront au fur et à mesure qu’ils grandiront de plus en plus dévalorisés par la société dont ils pourront finir par totalement s’exclure pour rejoindre le djihad ou autres catalyseur de misère ; alors qu’il aurait parfois pu suffire de quelques repères supplémentaires pour autoriser à ces enfants d’avoir des rêves et pourquoi pas de devenir les inventeurs d’une nouvelle multinationale comme Apple.

Dans les zones sensibles et même parfois jusque dans les campagnes, les jeunes venant de pays différents se retrouvent souvent ensemble ; accru par l'effet du communautarisme, les jeunes algériens, marocains ou tchétchène se retrouvent tous ensemble entassés dans des quartiers populaires à soutenir les équipes de foot de leur pays d’origine avec la télévision câblée, sans réel contact avec la culture française. Et il n’existe actuellement aucun réel moyen d'échapper à ce communautarisme étant donné que même les campagnes retracent désormais ce schéma communautaire à moins grande échelle.

Comme nous avons pu le voir avec l'affaire des jeunes toulousains partis faire le jihad en Syrie, ceux-ci venant déjà du même lycée se sont lié d’amitié par le simple fait de partager une même religion plutôt que de préférer s'intégrer indifféremment en fonction de leur affinités personnelles avec les autres élèves de leur établissement. On peut conclure que l’islam est certainement le plus grand créateur de lien sociaux dans les cités, notamment grâce aux mosquées. Pour se rendre compte de son influence, prenons l’exemple d’un lycée de campagne. La plupart des élèves de confession musulmane se regroupent en cercle, en communauté (parfois à remuer leur haine de la France ou des juifs), sans vraiment s’intégrer aux autres élèves. Inversement, les élèves d’origine subsaharienne non musulman ne forment généralement aucun repli identitaire, ceux-ci sont parfaitement intégrés socialement à la vie du lycée et peuvent se lier à n’importe quel élève sans se soucier de leurs origines. Avec une étude comparative de l’histoire de l’intégration des afro-américain aux Etats-Unis, on se rend compte que cette socialisation réussi n’aurait probablement pas été possible jusque dans les années 80 et peut s’expliquer principalement par une lutte accrue contre le racisme qui a permis aux élèves noirs de se sentir intégrer à la société ainsi qu’aux élèves blancs de ne pas avoir peur de se mélanger.

Le phénomène de repli identitaire, exacerbé dans les banlieues par l’islamophobie implicite qui s’y engouffre très bien (à la manière de l’homophobie implicite dans les milieux chrétiens conservateurs), recrée la culture des pays d'origine des différents habitants, à tel point que les nouvelles familles française depuis des générations s'installant dans les banlieues adoptent sans s’en rendre compte un mode de vie plutôt nord-africain. Par ce phénomène d'assimilation, on peut remarquer que le taux d'antisémitisme ou d'homophobie par exemple parmi de jeunes blancs de banlieue non musulman est aujourd'hui presque identique à celui que l'on pourrait trouver parmi un bon nombre de musulman au Maghreb.

Un des moyens que l'on pourrait retenir contre ce communautarisme serait donc de lutter plus expressément contre les discriminations et la musulmanophobie (à la manière du racisme), il serait alors judicieux de remplacer le terme islamophobie par musulmanophobie (à la manière de l’antisémitisme), pour empêcher aux personnes musulmanes de se sentir ostracisé par une simple critique de l’islam. De la même manière qu’a permis la lutte contre le racisme aux personnes noirs non musulmane de s’intégrer socialement, la lutte contre les discriminations et la musulmanophobie permettrait par exemple dans les établissements scolaires, de pousser d'avantage les élèves intégrés socialement à se mélangé à d'autre personnes moins intégrés et/ou de culture différentes. (Beaucoup de parents étant effrayé à tort ou à raison à l'idée que leur enfant puisse avoir pour amis ces personnes non intégrées à la culture française traditionnel, ceux-ci transmettent leurs peurs à leurs enfants qui auront alors tendance à ostraciser à leur tour toutes formes de différence, empêchant ainsi à ces différences de s’estomper). Il serait aussi nécessaire de créer un réel programme de lutte contre les discriminations dès la primaire auxquelles faire directement participer les élèves avec des test contre l’intolérance et des questions portant sur tous types de discriminations. Il serait également utile de condamner certains rappeurs français (faisant notamment passer les médias et les classes dirigeantes pour « de dangereux pédophiles juifs ») considérés comme des pères et des modèles dans les banlieue par ces jeunes enfants et adolescent en manque de repère. Interdire réellement les imams ayant des propos radicaux, et enfin interdire aux mineurs (ou couper totalement) l’accès depuis la France aux sites Internet d’embrigadement jihadiste ou antisémite pour éviter à ces jeunes influençables de retrouver sur Internet puis d’importer les pires formes d’intégrismes depuis des sites français ou étrangers qui maintiennent en quelque sorte voir fabrique cette sous culture de banlieue qui ne permet pas d’en sortir.

Une autre solution cumulable pourrait consister à supprimer toutes formes de distinctions religieuses dans les écoles, la laïcité ne permettant que de limiter certaines formes de discrimination sans rendre les élèves égaux du point de vue religieux. Il faut inciter les élèves à privilégier le vivre ensemble et ce qui rassemble plutôt que ce qui ressemble. Dans n'importe quel établissement public, n'importe quel élève serait par exemple capable de distinguer dans sa classe qui est chrétien ou musulman, et qui ne l'est pas. Notamment au moment de la cantine ou les élèves musulmans se voit obligé de demander entouré de leurs camarades si un plat contient où non du porc. De plus, toutes les polémiques sur le halal instrumentalisée par les médias et politiques ne font qu'accroître le repli identitaire des différentes catégories socioculturelles. Il serait alors envisageable de créer dans les écoles une réelle neutralité religieuse, c'est à dire ne plus permettre à aucun élève de laisser transparaître la foi que ses parents lui ont implicitement imposée. L’islam étant la religion de près de 5 millions de personnes en France, il est donc urgent de facilité l’intégration de ces près de 10% de la population. Certaines des ces mesures de neutralité religieuse pourraient consister dans les écoles et universités, à interdire le port de tout signe qui pourrait faire suspecter une appartenance à un groupe religieux, interdire aux accompagnatrices d’être voilées lors des sorties scolaire, faire la promotion de la neutralité religieuse dans les écoles, ou plus paradoxalement à privilégier des viandes halal ou d’autres viandes à la viande de porc dans les cantines. Ces mesures pourraient également se limiter aux établissements sensibles situés en zone d’éducation prioritaire (ZEP). Enfin il serait aussi envisageable de rendre tous les établissements privés sous contrat avec l’État laïques pour favoriser l’universalisme républicain.

 Malheureusement, sans réelle prise de conscience de l’opinion, ces démarches pragmatiques visant à empêcher la rupture du lien social ne sont pas prête de voir le jour. Les questions d’intégration ne pouvant jusqu’à présent produire au niveau politique que des débats populistes ostracisant davantage les minorités.


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38 réactions à cet article    


  • maQiavel machiavel1983 28 avril 2014 10:24

    Tant de cliché dans un seul article , c’ est incroyable.

    Il y’ a des choses vraies mais trop de clichés.
    L’ auteur a-t-il déjà mit les pieds en banlieue ?

    • lucidus lucidus 28 avril 2014 10:55

      Ce qu’il faut retenir, c’est que les responsables, c’est la France et les français, bien sûr. Le fait de laisser notre pays se faire envahir par une déferlante migratoire sans précédent, n’a rien à voir... Le fait que l’on impose aucune règle (limite de la natalité par exemple) et aucune sanction aux envahisseurs non plus. 

      Sanctionnons la musulmanophobie, interdisons les crucifix, transformons les églises en mosquées, voilons nos femmes, interdisons la viande de porc,...
      Que vous êtes stupide monsieur Vionnet, et que vos propos sont criminels.
      Pouah...


      • foufouille foufouille 28 avril 2014 11:08

        il serait alors judicieux de remplacer le terme islamophobie par musulmanophobie

        ce serait encore pire, le lobby imposerait le hallal obligatoire

        sinon dans les campagnes, ce sont des blancs, les délinquants. en zunie, ils sont noirs et protestants. au brésil, brésiliens

        tous sont pauvres, sans police suffisante et dans une société libérale


        • Wilemo Wilemo 28 avril 2014 12:21

          En préambule, je dirai que je suis assez d’accord avec le fond de l’article, mais comme le souligne Machiavel, je crois qu’il y a pas mal d’approximations, notamment au niveau des exemples, qui mettent en exergue des problématiques au lieu ne n’apparaitre que comme des épiphénomènes rarissimes, donc pas forcément significatifs de quoi que ce soit.

          Par ailleurs, tandis que les propos se veulent généralistes, ils se concentrent sur une population musulmane ou banlieusarde qui, de fait, elle, est mise en avant.

          Sur le caractère massivement antisémite de la banlieue... j’émets pas mal de réserve, dans le sens où je connais pas mal de gens hors banlieues qui sont antisémites (« de toute façon, ce sont tous les mêmes »). Je ne suis pas sûr que l’antisémitisme soit consubstantielle d’un terreau banlieusard ou musulman. Je parle bien ici d’antisémitisme (« les juifs sont ceci ou cela », et pas de critique politique de la politique israélienne.)

          Sur le caractère influençable de ces jeunes, je crois aussi que c’est une fausse vraie idée, car ce serait considéré que ces jeunes là, de fait, sont idiots, et incapables d’avoir leurs propres raisonnements. Comme tout à chacun, ils se forgent un système de représentation et des croyances qui, un jour, deviennent performatives ou pas (=qui en arrivent à agir). Ce qui m’amène à penser que le problème des « banlieusards », des « musulmans », mais aussi des « petits patrons », des « profs »... bref, de toute catégorie sociale caractérisable, c’est celui de l’impuissance politique. Politique au sens d’avoir une action réelle sur la cité, i.e. les règles qui nous régissent. Ce sont des problématiques de pouvoir démocratique.
          Penser qu’ils sont influençables, c’est accepter de les considérer comme des gens à éduquer, c’est les faire objets politiques, et c’est la même chose que JE ressens, moi, petit blanc athée lettré, lorsqu’un homme politique me dit que j’ai mal voté parce que j’avais mal compris et que, comme il est gentil, il va mieux m’expliquer.

          De plus en plus, chacun se rend compte que les institutions sont irréformables, non par manque d’idées ou d’envies (voir toutes les « initiatives citoyennes » et manifestations sans effets), mais parce que les institutionnels ne souhaitent pas remettre en cause leur pouvoir. Nous sommes dans un système « charitable », qui gère et éventuellement aide les individus « à leur place », plutôt que de les considérer comme des agissants potentiels (supprimant la valeur ajoutée, et donc l’existence même des gestionnaires).
          A titre d’exemple, pour fréquenter des assos dans des « quartiers sensibles », je me rends comptes que ceux qui gèrent ces assos sont tous blancs et cultivés, qui habitent ailleurs que le quartier, et ne délèguent jamais le pouvoir de faire à la population, ou alors à la marge.
          Le pouvoir réel, le rapport à l’institution (ici, la mairie), c’est toujours pour les gestionnaires. Et comme ils sont subventionnés par la mairie, et que leur existence dépend de ces fonds, ils ne se donnent aucun pouvoir de contestation, et ne formulent pas l’expression politique de la contestation de la population du quartier : ce serait se mettre en danger ! Et souvent, parce que ces gestionnaires sont mal payés, pétris d’idéaux et qu’ils ne comptent pas leurs heures, ils croient qu’ils aident, tandis qu’ils fondent le terreau, non de la violence ou du communautarisme, mais de l’impuissance.

          Dès lors, sans alternatives performatives, cette impuissance se fait jour, et la performation n’est qu’un moyen de retrouver de la puissance politique par l’action, qui peut trouver une ouverture dans l’action entre pairs, c’est à dire en communanutés auto-caractérisables et stéréotypiques.

          Ma conclusion : si la banlieue peut être considérée comme un ensemble de problématiques (architecturale, sociale, géographique, communautaire,...), celle ci est surtout contenue dans la problématique très actuelle de la bonne gestion du débat démocratique, ce que nos institutions ne permettent pas.


          • Jelena XCII 28 avril 2014 12:39

            Quel torchon... On a l’impression de lire du BHL.


            • philouie 28 avril 2014 12:47

              Bonjour,
              Les conclusions de l’article me semblent en tout point opposées aux miennes et il me semble que la question du repli identitaire ne saurait être considérée comme le fond du problème qu’il suffirait de gommer pour le voir disparaitre quand il est pour moi que le symptôme d’une problématique plus vaste.
              Le repli identitaire n’est pas le fruit d’un excès d’identité mais bien au contaire le résultat d’une perte de l’identité : le repli identitaire est réactif à un manque d’indentité et non l’expression d’une conscience de l’identité marqué.

              A mon sens, le fond du problème est celui de l’acculturation : acculturation des population immigrée par perte du référent culturel originel à travers la migration.
              cette question s’en trouve accrus sur la question de l’éducation pour les populations d’origine maghrébine, simplement parce que la dimension sociale de l’éducation à la mode islamique n’est plus.
              Mais acculturation aussi de la part des sociétés qui accueillent les immigrants puisque cette société a fait le choix de acculturation en renonçant d’elle même a ses propres valeurs et à la transmission de ses valeurs.
              Donc, pour moi, le jeune se retrouve perdu, entre une société d’origine qui n’est plus, qui a été disloqué dans le voyage et une société d’accueil qui ne sait elle même plus où elle en est.
              Les solutions que prônent l’auteur, et qui en remêde à la crise identitaire propose la voie de l’indifférenciation sont des remèdes qui ne feront que renforcer la maladie : par le simple fait que le repli identitaire est toujours le fruit d’un manque d’identité et non l’inverse : on vient à renforcer ce que l’on perçoit comme affaiblit, aussi supprimer les repères identitaires ne peut conduire qu’à l’exacerbation du repli identitaire.
              Je crois à contrario, qu’il faut plutôt à cehrcher à donner du sens à des questions comme qu’est-ce qu’être français ? qu’est-ce qu’être musulmans ? Trouver un espace de dialogue mais qui commence par le respect de l’autre, c’est à dire l’acceptation de sa différence et non la négation comme le propose l’auteur.
              pour être fiers d’être français, comme être fiers d’êtres musulmans.
              Avec des valeurs respectives qui méritent qu’on s’y attache.

              évidement, la France est incapable de ce débat, parce qu’elle même ne sait plus où elle en est.


              • scylax 28 avril 2014 12:54

                Article courageux sur ce site


                • lucidus lucidus 28 avril 2014 17:25

                  Ouahou !!! Le courage de répéter une fois de plus le discours convenu de la propagande dominante !!! Quel courage !!! Et sur ce site de fachos en plus !!! 

                  YESSSSSS !!!

                • Yohan Yohan 28 avril 2014 19:06

                  Si écrire un nartik bobo de gauche sur Avox c’est avoir du courage, alors les mecs qui ont déserté le métro de Lille pendant que le nana se faisait violer sont aussi des héros smiley smiley


                • mmbbb 28 avril 2014 22:00

                  @ Sylax et oui et contrairement a beaucoup qui conclu cet artcicle « par quel torchon » ou « des cliches » il est quand meme etonnant que dans le Point paresse le journal d’un prof en banlieue dont les propos rejoignent peu ou prou cet article Agora Vox produit certes des articles interessants mais souvent les commentaires et les intervenants sont trop partials et orientes ou de simples pharses lapidaires ballancees ainsi sans argumenation On retrouve un vieux fond gauchiste des annees 70 80, ou la propagande et l’opposition sont le fond de pensee


                • stetienne stetienne 28 avril 2014 13:08

                  la vrai solution c est d’instaure le zero immigration le pretendu besoin en immigration est le grand mensonge d’une caste dirigeante qui recherche avant tout autre chose a casser nos acquis sociaux en détruisant l homogéneite de la societe


                  • lucidus lucidus 28 avril 2014 17:12

                    @Stetienne.

                    Parfaitement. C’est en une phrase, un parfait résumé de la situation.

                  • Crab2 28 avril 2014 15:13

                    Le problème majeur dans certains des quartiers des banlieues ou de nos ville c’est la montée incessante de l’antisémitisme encouragée par des personnalités infantiles en ’’ exercice ’’ sur les plateaux de certains des médias télivision

                    Suites :

                    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2014/04/aymeric-caron.html

                    -

                    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2014/04/28/aymeric-caron-5357336.html


                    • blablablietblabla blablablietblabla 28 avril 2014 15:17

                      Bonjour, disons que l’auteur fait une simple constatation de certaines réalités.

                       

                      C’est l’éducation islamique qui amène au communautarisme et à certaines dérives ,dernièrement- (la semaine dernière) - l’imam de la mosquée ne comprend pas comment des jeunes montpellierains vont faire « le jihad » en Syrie « ils sont une vingtaines » dixit l’imam.

                      C’est curieux ils lès éduquent la dedans tout petit hallal pas hallal harram pas harram après ils s’étonnent que les jeunes décérébrés du bulbe disjonctent.

                      En faite comme les parent sont des crétins incultes tout comme les imams ils n’ont jamais ouvert un bouquin de leur vie mise à part le coran et encore la majorité ne le lise pas.

                      les musulmans n’apprennent pas à leurs enfants à raisonner,ils veulent qu’ils soyent avant tout « musulman » et apprendre l’arabe, de plus le garçon (le male) est élevé sur un piedéstale ,il faut etre un homme pas une mra (une femme) en arabe tarlouze ajouté à ça la violence coranique et on à là toute une génération de crétins hyperviolent ne sachant pas parler arabe et encore moins le français.

                      Et croyez-moi je connais des français d’origine arabes comme moi et de mon age

                      la cinquantaine ils n’en pensent pas moins que moi.

                       

                      L’idéologie islamique à changé elle se fanatise ,d’ailleurs on le voit ,on a des Bernadette Soubirou islamique à tous les coins de rue.

                      Donc l’auteur de l’article fait comme tous le monde ils constate la réalité que beaucoup ne veulent pas voir et c’est la vérité ya pas de racisme la dedans ya rien du tout le problème c’est « l’islam » point !

                       


                      • claude-michel claude-michel 28 avril 2014 17:14
                        La culture de banlieue...c’est trop d’immigrés...qui ne respecte pas la France...Retour à l’envoyeur.. !

                        • lucidus lucidus 28 avril 2014 17:20

                          Le problème n’est pas l’immigration en général, mais l’immigration en provenance d’Afrique. Avec la composante islamique comme dénominateur commun. Aucun problème avec l’immigration intra- européenne, d’Asie, du sous continent indien ou d’Amérique du sud.

                          Quand dira-t-on enfin clairement cette simple vérité. 
                          Qui sera notre Charles Martel ?

                          • Ruut Ruut 28 avril 2014 17:34
                            Le film suivant traite bien de ce sujet.
                            Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ?
                            (2014)

                            Le problème ce n’est pas d’avoir peur de la différence (c’est commun a tous les humains), c’est d’être prêt a faire fis de ses préjuger et de vivre normalement avec l’autre.
                            Nos différences nous renforcent autant qu’elles nous déchirent.

                            C’est comme le mariage hétéro, c’est clairement plus difficile qu’un mariage homo au quotidien, mais extrêmement enrichissant.

                            Divorcer c’est comme être raciste envers les autres mais contre sa compagne ou son compagnon. Un échec dans le respect de la différence de l’autre au sein du couple.
                            Et un manque de respect envers ses enfants.


                            • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 18:03

                              Le problème réside d’abord et avant tout dans l’éducation reçue au niveau familial : aucun respect de ce qui est un tant soit peu différent d’eux.


                              Le contraste avec les familles d’émigrés du Sud Est Asiatique est éloquent alors que pour la plupart des gens originaire de la péninsule indochinoise il s’agit de boat people qui n’avaient plus rien.

                              Rien que la différence de comportement à l’école vis à vis des professeurs et des professeures est éloquent à cet égard.

                              • Jelena XCII 28 avril 2014 18:10

                                Vu ton QI de poule morte, t’es mal placé par ramener ta science.


                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 18:31

                                On ne peut que rester béat d’admiration devant la pertinence de ton argumentation !


                                Tant que j’y suis, t’as trouvé l’adresse de l’ambassade d’Iran à Abidjan, la « Serbe » ?

                                Avec un peu de bol, ton obole ne leur servira pas à se payer des putes !

                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 18:36

                                Enfin bon, je te l’avais déjà signalé hein, toi et les raisonnements, c’est pas franchement top.


                                Mais,bon, c’est vrai que d’un autre côté, quand on compare les résultats scolaires des personnes originaires du Sud Est asiatique avec ceux qui viennent d’Afrique du Nord y a pas photo.

                                Toute personne qui a fait ses classes dans un environnement multiculturel pourra dire la même chose.

                              • Jelena XCII 28 avril 2014 18:36

                                Tiens le « feuj », histoire de te rafraichir la mémoire.


                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 18:52

                                Faudra que tu penses à consulter un jour ou l’autre à moins que tu préfères la http://fr.wikipedia.org/wiki/Ruqiya ?


                                Note bien que les vrais Serbes disposent d’autres rituels, mais évidemment, tu les ignores vu que c’est pas ta culture ...

                                Comment qu’on dit déjà, chez les antisémites quand on a bien entubé autrui ?

                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 18:57

                                Ce qui est marrant avec toi, c’est que tu insultes les autres, tu te fais virer, tu changes de pseudo et tu recommence, mais t’es tellement vulgaire que tu te refais virer après qu’on t’as démasqué parce que tes insultes ne changent pas.


                                Faudrait que tu deviennes un peu plus subtil histoire de ne pas rester la risée de tous avec l’autre champion que t’aimes tant d’ailleurs surtout depuis vos divergeances de point de vue concernant la Syrie !


                              • Jelena XCII 28 avril 2014 19:16

                                Voila que le supra-raciste nous la joue petite victime, c’est d’un classique...

                                Pour toi la nunuche >> Cadeau.


                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 21:08

                                Ne te méprends pas : se faire insulter par des gens de ton engeance est le plus grand compliment que tu puisses me faire.


                                Vu qu’intellectuellement tu représentes ce qu’il y a moyen de faire de pire point de vue nazisilamisme et j’en passe.

                                Je n’ai même pas besoin d’étaler des arguments, tes réponses sont amplement suffisantes pour que tout le monde puisse se faire une idée des gens qui ont les mêmes idées que toi.

                                T’es en plein autogoal quoi.

                                Le pire étant que tu n’a pas l’air de t’en rendre compte à un point tel que des fois, on se demande si tu n’est pas comme ... d’AUCUNS en train de faire de la propagande d’extrème droite en caricaturant à l’excès le nazislamisme vaguement tiersmondisant.

                                J’ose espérer que t’es pas un LAVE-VAISELLE , parce que des fois on pourrait se le demander tellement que t’es destroy point de vue contre-argumentation.

                                Quoiqu’il en soit, point de vue Serbie t’es complètement à la masse, encore pire que quand tu prétendais être Russe.

                                Contrairement à toi, j’ai des potes Serbes dans ma grande fraternité Deaaaaaaaaaaath Metalliste et eux ils me racontent des anectdotes cocasses sur leur pays, d’où les histoires de Chiptar.

                              • Jelena XCII 28 avril 2014 21:26

                                « Chiptar » c’est quoi ça ? Une marque de chips israélienne ? ^^

                                Plutôt que de vouloir te la jouer Yougoslave, écris en céfran ou en hébreu.


                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 21:40

                                La « Serbe » ne sait pas ce qu’est un Chiptar !


                                Désolée, c’est intraduisible !

                                Enfin, pas tout à fait, mais bon, je suis RAVIE que ça te fasse HONTE !

                                En plus, tu cherches hyper mal !

                                En un coup, je TROUVE  !

                                M’étonne pas que tu n’apprécies pas le Deaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaath Metal !

                                Soft tu es et soft tu resteras !

                              • Jelena XCII 28 avril 2014 21:55

                                >> Désolée.. je suis RAVIE..

                                En plus d’être tordu dans sa tête, c’est un travelo.

                                Il est beau « le peuple élu »....


                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 22:13

                                T’as qu’à demander autour de toi c’est quoi un Chiptar.


                                Yen a pas à Abidjan ?

                                Ya pas des mercenaires ex yougo dans ton coin ?

                                Sinon, t’as qu’a aller à l’ambassade de Serbie leur demander de quoi il retourne !

                                Ou alors virer Deaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaath Metal : il y aura bien quelqu’un pour te brancher sur la Yougo.

                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 22:15

                                Je ne suis en aucun cas responsable de ce qu’ils feront de toi suite à la question : on est bien d’accord hein.




                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 22:40

                                Et puis, si tu veux te cultiver, il y a peut être une vidéo ci dessous que tu ne connais peut être pas encore par coeur, mas, par pitié, ne pignoles pas en les regardant ...


                                Je parie que tu va A-DO-RER ...



                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 28 avril 2014 22:41

                                Dans ma réponse à Papon est partout ...


                                et ron et ron petit patatapon ...

                              • scylax 29 avril 2014 00:12

                                Laisse béton. En fait c’est une arabe qui se fait passer pour une serbe. 


                              • Jelena XCII 29 avril 2014 06:03

                                Laisse béton Jelena. En fait ce sont des parasites qui se font passer pour des humains.


                              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 29 avril 2014 14:31

                                Tu te parles à toi même en plus !




                              • TREKKOTAZ TREKKOTAZ 29 avril 2014 17:31

                                Si des jeunes sont partis en Syrie, il en incombe une responsabilité certaine aux gouvernements en place depuis printemps 2011, parce que ça les arrangeait bien de les voir se sacrifier avec al quaida contre Bachar. Sinon comment expliquer qu’ ils se réveillent aussi tard ? Et d’ annoncer un plan anti départs.....3 ans après le début de la révolte syrienne mdr. Des jeunes sont déjà morts , bravo Hollande ! Quelle idée lumineuse, t’ es un bon ! N’ importe quel abruti aurait mis en place un dispositif dès le début du conflit ; 


                                • zygzornifle zygzornifle 29 avril 2014 17:44

                                  La culture de banlieue c’est celle du cannabis me semble t’il !!.....

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R. V.


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