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Accueil du site > Actualités > Société > PMA : la levée de l’anonymat du donneur

PMA : la levée de l’anonymat du donneur

« Toute personne conçue par assistance médicale à la procréation avec tiers donneur peut, si elle le souhaite, accéder à sa majorité à l’identité et aux données non identifiantes du tiers donneur (…). Les personnes qui souhaitent procéder à un don de gamètes ou proposer leur embryon à l’accueil consentent expressément et au préalable à la communication de ces données et de leur identité. » (Loi n°2021-1017 du 2 août 2021).



À partir de ce jeudi 1er septembre 2022, le don de gamètes (spermatozoïdes ou ovocytes) est procédé en France avec la levée de l’anonymat du donneur. C’est une nouveauté qui est très importante et qui correspond à la fin d’une règle très stricte en droit français. C’est donc une date marquante pour le droit et la médecine en France.

En effet, la tradition juridique française impose la gratuité et l’anonymat du donneur dans le cas d’un don d’organe en général. La gratuité a pour but d’éviter des trafics et surtout, de les soumettre aux personnes aux conditions les plus modestes afin d’obtenir une rémunération (par exemple, vente d’un rein, vente de sang, etc.). L’anonymat est en quelque sorte le corollaire de la gratuité, du moins sa condition nécessaire pour éviter toute pression du donneur sur le receveur (et le cas échéant, réciproquement).

Lors des premières lois de bioéthique, en 1994, le législateur a voulu encadrer le don de gamètes à destination d’une éventuelle PMA. La PMA était plus ou moins réalisée depuis quelques années sans cadre législatif. Le législateur a encadré cette pratique en reprenant le principe de l’anonymat pour garder un cadre commun à l’ensemble des produits et éléments du corps humain. Ce principe est régi par l’article 16-8 du code civil et l’article L.1211-6 du code de la santé publique.

Ce dernier dit ainsi : « Le donneur ne peut connaître l’identité du receveur, ni le receveur celle du donneur. Aucune information permettant d’identifier à la fois celui qui a fait don d’un élément ou d’un produit de son corps et celui qui l’a reçu, ne peut être divulguée. Il ne peut être dérogé à ce principe d’anonymat qu’en cas de nécessité thérapeutique. ».

L’exception dérogatoire est explicitée au premier alinéa de l’article L.1244-6 du code de la santé publique : « Un médecin peut accéder aux informations médicales non identifiantes en cas de nécessité thérapeutique concernant un enfant conçu à partir de gamètes issus de don. ».

Dans le cadre de l’adoption de la première loi de bioéthique, la loi n°94-654 du 29 juillet 1994 relative au don et à l’utilisation des éléments et produits du corps humain, à l’assistance médicale à la procréation et au diagnostic prénatal, le Conseil Constitutionnel a validé le 27 juillet 1994 les dispositions garantissant l’anonymat des tiers donneurs et interdisant aux enfants de connaître l’identité de ceux-ci (Décision n°94-343/344 DC) : « Les dispositions de cette loi n’ont eu ni pour objet ni pour effet de régir les conditions d’attribution de paternité en cas d’assistance médicale à la procréation ; (…) aucune disposition ni aucun principe à valeur constitutionnelle ne prohibe les interdictions prescrites par le législateur d’établir un lien de filiation entre l’enfant issu de la procréation et l’auteur du don et d’exercer une action en responsabilité à l’encontre de celui-ci. ».

À l’occasion d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) à propos du droit à l’accouchement sous le secret, le Conseil Constitutionnel a commenté sa décision le 16 mai 2012 ainsi : « Le droit au respect de la vie privée n’implique pas un droit d’accès aux origines. » (Décision n°2012-248 QPC).

Le principe français tient donc compte plus des conditions du don que de l’intérêt de l’enfant né sans connaître ses origines. La Cour européenne des droits de l’homme a interprété l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme dans le sens que « chacun puisse établir les détails de son identité d’être humain », mais confirme le droit français : « Le droit pour toute personne de connaître ses origines ne trouve pas de fondement constitutionnel dans le droit de mener une vie familiale normale. ». L’explication est assez simple : on estime que la "vie familiale normale" correspond à son sens concret, concernant ceux qui vivent ensemble, et pas « une consécration en droit des liens biologiques ».

Du reste, le droit de filiation n’a rien à voir avec les liens biologiques, ce qui était heureux encore jusque récemment, dans une époque où il était impossible de déterminer avec certitude la filiation biologique (tests ADN). Et à notre époque, depuis quelques décennies, maintenant qu’il est possible, techniquement mais aussi commercialement, de comparer les empreintes génétiques, même si c’est, en France, juridiquement interdit, le risque est de donner du sens au seul lien biologique, au détriment des liens sociaux réels (les parents qui ont réellement élevé l’enfant). Ce sujet peut aller très loin dans l’idée qu’on peut se faire de l’être humain, entre ceux qui insistent plus sur l’apport inné (biologique, naturel) et ceux qui, comme les valeurs républicaines le proclament d’ailleurs, ne se focalisent que sur l’apport acquis (mérite personnel, instruction, culture, liens sociaux, économiques, etc.). Il y aurait beaucoup à disserter sur ce thème hautement philosophique mais ce n’est pas le sujet ici.

Dans sa décision du 16 mai 2012, le Conseil Constitutionnel a d’ailleurs bien pressenti le conflit d’intérêts sur cette question de l’accès aux origines pour un accouchement sous X, entre les intérêts de la mère de naissance et les intérêts de l’enfant. Il n’est donc pas question ici de "droits" mais d’intérêts : « Il n’appartient pas au Conseil Constitutionnel de substituer son appréciation à celle du législateur sur l’équilibre ainsi défini entre les intérêts de la mère de naissance et ceux de l’enfant. ».

Toutefois, le même Conseil Constitutionnel a voulu consacrer, le 21 mars 2019, la notion de « protection de l’intérêt supérieur de l’enfant » en lui reconnaissant une valeur constitutionnelle provenant du Préambule de la Constitution de 1946 : « Il en résulte une exigence de protection de l’intérêt supérieur de l’enfant. Cette exigence impose que les mineurs présents sur le territoire national bénéficient de la protection légale attachée à leur âge. Il s’ensuit que les règles relatives à la détermination de l’âge d’un individu doivent être entourées des garanties nécessaires afin que des personnes mineures ne soient pas indûment considérées comme majeures. » (Décision n°2018-768 QPC). Là encore, ce thème peut bifurquer sur un autre sujet très différent, comme l’immigration de mineurs non accompagnés.

Dans le compte-rendu n°6 du 6 septembre 2019 de la mission d’information de la conférence des présidents (de l’Assemblée Nationale) sur la révision de la loi relative à la bioéthique, il a été observé : « Tout le système, qu’il soit juridique, conditions d’accès, établissement de la filiation, ou médical, a été orienté vers l’idée que le secret n’appartient qu’aux parents et que c’est à eux de dire éventuellement à l’enfant comment il a été conçu et s’il a été conçu grâce à un don. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la médecine a accompagné le mouvement juridique. » (Entre autres, le médecin s’assure que l’enfant à naître par PMA puisse avoir un groupe sanguin compatible avec celui de ses parents si ceux-ci le souhaitent).

Quant au Conseil d'État, dans un rapport daté du 28 juin 2018, il a émis la possibilité d’une brèche à ce principe du secret, principe très imparfait pour les enfants : « La diversification des modèles familiaux tend à banaliser la dissociation entre filiation juridique et biologique et atténue aujourd’hui la dimension potentiellement déstabilisante de la revendication de l’accès aux origines. ».

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Ce dernier constat est probablement l’argument le plus audible pour une évolution de ce principe qui a été adoptée par la loi n°2021-1017 du 2 août 2021 relative à la bioéthique dans ces termes : « Les médecins (…) doivent, en cas d’assistance médicale à la procréation avec tiers donneurs, informer les deux membres du couple ou la femme non mariée des modalités de l’accès aux donnés non identifiantes et à l’identité du tiers donneur par la personne majeure issue du don. ».

Et le plus important est cet article L.2143-2 du code de la santé publique : « Toute personne conçue par assistance médicale à la procréation avec tiers donneur peut, si elle le souhaite, accéder à sa majorité à l’identité et aux données non identifiantes du tiers donneur définies à l’article L.2143-3. Les personnes qui souhaitent procéder à un don de gamètes ou proposer leur embryon à l’accueil consentent expressément et au préalable à la communication de ces données et de leur identité (…). En cas de refus, ces personnes ne peuvent procéder à ce don ou proposer cet accueil. Le décès du tiers donneur est sans incidence sur la communication de ces données et de son identité. Ces données peuvent être actualisées par le donneur. ». J’imagine aussi que l’informatisation de ces données rendra les procédures d’accès aux origines beaucoup plus rapides que dans le cas de fichiers papier qui, en plus, pourraient être détruits ou perdus.

Et l’article suivant (L.2143-3) précise quelles sont les "données non identifiantes" du tiers donneur : son âge, son état général décrit par lui au moment du don, ses caractéristiques physiques, sa situation familiale et professionnelle, son pays de naissance, ses motivations pour son don, rédigé par lui,

Le code civil a été aussi modifié par l’article 16-8-1 : « Le principe d’anonymat du don ne fait pas obstacle à l’accès de la personne majeure née d’une assistance médicale à la procréation avec tiers donneur, sur sa demande, à des données non identifiantes ou à l’identité du tiers donneur. ».

Donc, depuis ce 1er septembre 2022, toutes ces données sont accessibles à l’enfant issus du don de gamètes du donneur, mais seulement lorsqu’il aura atteint la majorité (18 ans). Concrètement, cette disposition ne s’appliquera donc véritablement qu’à partir de l’année 2041 (dix-huit ans après une naissance issue d’un don réalisé à partir du 1er septembre 2022).

Cette disposition est importante car elle donne la priorité à l’enfant dans le fameux conflit entre donneur et enfant : l’accès à l’origine biologique est devenu un principe plus important que le principe d’anonymat. L’enfant pourra ne demander que des données non identifiantes (décrites dans l’article L.2143-3 du code de la santé publique évoqué plus haut : âge, aspect physique, profession, etc.), ou l’identité complète du donneur qui lui permettrait, le cas échéant, de le rencontrer. En revanche, le donneur n’aura pas accès à l’identité des éventuels enfants procréés à partir de son don, sauf, bien sûr, si ces enfants le souhaitent et se présentent à lui.

Précisons aussi que les parents receveurs du don de gamètes n’auront pas eux-mêmes accès à ces données (seul leur enfant issu de ce don, à sa majorité) et en outre, élément essentiel, cette disposition n’a aucun impact sur la filiation, aucun lien légal ne pourra être établi entre le donneur et l’enfant.

Dix-huit ans, c’est beaucoup, c’est très long, on peut se dire que les risques de pression pour violer le principe de gratuité sont assez faibles après une telle période, d’autant plus que cet accès à l’identité est initié uniquement par l’enfant et pas le donneur. Mais c‘est aussi très long pour le donneur dont l’anonymat lui permettait de ne pas présager de son avenir affectif. Comment savoir dans quelle situation affective on pourrait se trouver dans une vingtaine d’années ? Quelle serait la réaction du donneur mais aussi de ses proches, de sa famille, de son éventuel conjoint, de ses éventuels enfants si un enfant issu de son don venait à se présenter à lui, à eux ? C’est là la difficulté et un engagement important du donneur.

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L’aspect juridique de l’accès aux informations du donneur est résolu simplement par un accord signé préalablement par le donneur au moment du don, l’accord que ses informations soient possiblement communiquées aux éventuels enfants issus de son don. C’est en fait dans cette signature que la loi change fondamentalement les choses : les donneurs non seulement sont prévenus mais acceptent cet accès à l’information, or c’est ce point qui fait ou va faire problème pour toutes les demandes d’accès à ces informations des enfants issus de don réalisés avant le 1er septembre 2022 : les donneurs n’avaient pas donné leur accord de communication des données au moment du don. Ils n’avaient d’ailleurs pas forcément communiqué toutes leurs données personnelles.

Il existe donc deux catégories de dons pour l’instant : ceux qui ont donné des gamètes sans cet accord préalable, et ceux réalisés à partir du 1er septembre 2022, dont l’accord est obligatoire pour faire le don. Une période transitoire sera fixée par décret (je crois qu’elle n’est pas encore définie) pour harmoniser ces deux statuts. Les "anciens" donneurs ont tout le loisir d’approuver rétroactivement la transmission de leurs données personnelles (donc après leur don) et on se retrouve dans le même régime que la nouvelle loi. Ceux qui, en revanche, refusent ou ne font pas cette démarche, verront les gamètes qu’ils ont données détruites à une date donnée (c’est cette date que le décret fixera), la période transitoire ayant pour but de laisser le temps aux anciens donneurs de faire cette démarche. C’est d’ailleurs une démarche double car ces donneurs doivent, avant de donner leur autorisation, donner préalablement leur identité et leurs informations non identifiantes pour pouvoir les transmettre, ce qu’ils n’avaient pas fait auparavant.

Ce système a été contesté par ceux qui, militants, voulaient absolument la PMA pour toutes les femmes car ils considéraient que la destruction de gamètes issues des anciens dons était une erreur dans une situation où l’on manque déjà de donneurs et que la nouvelle loi fera appel à des besoins encore plus pressants. Pourtant, la loi ici a privilégié l’intérêt de l’enfant issu de ces dons et rien n’est pire qu’un enfant en recherche d’origines et confronté pendant des décennies à des murs administratifs d’opposition et de secret. Ces militants disent que la destruction de gamètes, alors qu’il en manque déjà, n’est pas pertinente, mais aussi que l’obligation de signer un accord de transmission de données personnelles à l’éventuel enfant va réduire le nombre de donneurs.

L’étude d’impact présentée dans les débats parlementaires expliquait d’ailleurs : « Une des principales controverse concernant la levée de l’anonymat est que celle-ci engendrerait une diminution du nombre de dons. Or, si une baisse transitoire du nombre de donneurs de gamètes a pu être observée [à l’étranger] juste après le changement législatif en question, la tendance semble ensuite s’inverser pour repartir à la hausse et dépasser les chiffres initiaux. Ce fut notamment le cas en Suède, en Australie, en Finlande ou encore au Royaume-Uni. ». En Suède, ce fut une augmentation de 6% des dons dans l’année suivant la mise en place de la levée de l’anonymat. Au Royaume-Uni, le nombre a doublé : « Ainsi, si la levée de l’anonymat est susceptible d’avoir un impact initial sur le nombre de dons, il apparaît néanmoins exagéré de prévoir une baisse radicale à moyen et long terme. ».

Irène Théry et Anne-Marie Leroyer ont voulu aussi dédramatiser avec un autre argument : « Les alarmes sur la chute éventuelle des dons de sperme qui pèsent si lourdement sur le débat français, portent non pas sur plusieurs milliers de personnes, comme on l’imagine souvent, mais sur de très petits chiffre : moins de 500 donneurs par an, en France comme au Royaume-Uni. Sur de si petits effectifs, il est facile de comprendre que dans un pays de 66 millions d’habitants, la moindre campagne d’appel au don, si elle est bien faite, aura des résultats immédiats. ».

Un internaute a laissé ce message plein de bon sens en commentant l’article sur le sujet de "20 minutes" : « Il faut reconnaître que la souffrance de ne pas connaître son géniteur est plus grande que la souffrance de ne pas être né pour cause de pénurie de dons. ». Un autre, faisant dans l’humour, a constaté : « La fin de la discrétion pour les dons en liquide ? Sortez les mouchoirs ! ».

Et les faits sont là, car la réalité est différente des craintes exprimées : jamais l’année 2021 n’a connu autant de donneurs, avec la connaissance des dispositions de la loi. En 2021, il y a eu 600 donneurs de spermes (317 en 2019), 900 donneuses d’ovocytes pour 6 800 demandes de PMA.

En gros, avant la loi de 2021, 25 000 enfants naissaient chaque année par PMA (26 355 naissances en 2016, issues de 147 730 tentatives de PMA), dont 5% grâce à un don de gamètes. Environ 600 femmes (ovocytes) et environ 300 hommes (spermatozoïdes) étaient des donneurs chaque année de gamètes, et environ 5 000 hommes faisaient de l’autoconservation de spermatozoïdes dans le cadre d’une maladie dont le traitement pouvait rendre stérile. Les dons ont ainsi augmenté d’environ 50% en 2021 par rapport à 2019 (l’année 2020 est peu significative à cause du covid-19), sans doute parce que les Français ont été plus sensibilisés à cet enjeu avec le débat public engagé par l’examen de la loi de 2021.

Beaucoup ont critiqué l’extension de la PMA à toutes les femmes, sans considération de maladie ou de stérilité, en la considérant comme la victoire d’un "droit à l’enfant" contre la protection du "droit de l’enfant" et c’est probablement vrai que répondre à la question de la motivation d’avoir des enfants peut revenir à un certain "narcissisme" des futurs parents, mais pas seulement et ce n’est pas valable que dans le cas d’une PMA ou que pour des couples de femmes homosexuelles ou des femmes seules. La levée de l’anonymat donne au contraire un nouveau droit de l’enfant, celui de connaître ses origines et c’est très important pour lui. Beaucoup ont cherché très longtemps à avoir ces informations et parfois n’ont pas réussi à les obtenir dans le passé. Ce sera désormais un droit de connaître l’identité du tiers donneur, auquel l’administration ne pourra pas s’opposer.

En ce sens, même pour les enfants issus de la PMA limitée aux couples hétérosexuels qui ont un problème de stérilité (comme avant 2021), cette loi sera un progrès non négligeable par rapport à l’ancienne procédure. (Cela ne m’empêche pas de considérer cette loi de 2021 dangereuse, mais pas pour ce sujet, principalement à propos de l’expérimentation sur les cellules souches, je l’ai exprimé à de nombreuses occasions).


Aussi sur le blog.

Sylvain Rakotoarison (01er septembre 2022)
http://www.rakotoarison.eu


Pour aller plus loin :
PMA : la levée de l’anonymat du donneur.
La PMA en France depuis le 29 septembre 2021.
Validation de la loi de bioéthique par le Conseil Constitutionnel.
Bioéthique 2021 (11) : adoption définitive du texte, les embryons humains protestent !

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39 réactions à cet article    


  • Lynwec 2 septembre 2022 16:18

    Encore un sujet d’importance capitale traité en urgence par le cabinet-conseil, du coup, manque de temps pour les sujets anecdotiques tels les pénuries organisées depuis belle lurette, ou la transformation d’un régime avec parlement en régime avec conseils de défense dictatoriaux (le point Godwin me tenterait bien, mais trop facile...) .

    Je me réserve pour la note,tout en regrettant qu’on ne puisse pas noter moins qu’une demi-étoile...


    • Clark Kent Philippulus 2 septembre 2022 17:02

      @Lynwec

      « Je me réserve pour la note, tout en regrettant qu’on ne puisse pas noter moins qu’une demi-étoile... »
       Il suffit de fixer la parité : 1 ici = 0 ailleurs


    • mmbbb 3 septembre 2022 09:56

      @Lynwec vous êtes sévère ! In fine si les hommes sont devenus assez cons pour devenir des burnes sur pattes et etre des reservoir à gamètes sous l injonction des féministes qui veulent absolument la PMA pour toutes. C est leur engagement
      La secu paie et entre temps et on supprime des lits de renanimtaion .
      Le cout d une PMA est elevée ! La secue se devoie

      Ces féministes nous affirme que la filiation avec le pere n a aucune importance et cette loi veut lever l anonymat
      L esprit occidentaux est schizophrène .


    • chantecler chantecler 3 septembre 2022 10:04

      @mmbbb
      Encore un coup des francs maçons !
      Et derrière de l’école de la république .
      Des syndicats , des fonctionnaires , des juifs , des arabes , des socialistes et des bolcheviques !
      Sous Charlemagne nous étions plus réactifs .
      Et les Romains maîtrisaient davantage la question : droit de vie ou de mort sur leurs épouses et leur progéniture .
      Et chez les Carthaginois ....
      Lisez : Salambô !


    • mmbbb 3 septembre 2022 10:47

      @chantecler je m en tape royalement de ces problemes « societaux » je souligne simplement la contradiction des mentalites .

      Je me répète , la PMA pour toutes est entièrement payée par la SECU parce que sous la pression de ces groupes , la prise en charge a ete exigée

      Et pendant ce temps , on nous affirme que les urgences ne peuvent plus accomplir leur travail , que les lits de reanimation ont ete supprimés pour economie .

      Le financement de la SECU a ete en partie fiscalisée CSG PRELVEMENTS SOCIAUX . 

      In fine on finance ces avancees « sociétales » Si je dois voir un spécialiste , je devrais payer plein pot parce que je n appartiens ^pas à un groupe de pression

      C est ce point qui m interpelle . et c est pour cela que ne m oppose de moins en moins a la privatisation de la secu !

      tu dérives mon gars mais c est dans tes habitudes , 


    • mmbbb 3 septembre 2022 11:04

      @chantecler tu peut donner ta semence , nul doute que cela donnera de tres grands profs donc l EDUC a tant besoin
      La destruction de l EDUC c est donc les syndicats , des fonctionnaires , des juifs , des arabes , des socialistes et des bolcheviques !

      les bolchéviques , lesquels a priori il en reste peu en France .

      Brighelli , homme de gauche et encore un des dernier fervent hussard de la république , a l honnête d établir les responsabilités de ce délabrement

      je l ai &écouté avec attention , une personne qui parle sans ambages ce qui rare aujourd hui .

      Atteindre ce niveau de connerie est digne d un instit de cette gauche déconstruite

      Vas dans les bras de S Rousseau elle te consolera


    • Clark Kent Philippulus 2 septembre 2022 16:59

      « La Cour européenne des droits de l’homme a interprété l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme dans le sens que « chacun puisse établir les détails de son identité d’être humain », mais confirme le droit français : « Le droit pour toute personne de connaître ses origines ne trouve pas de fondement constitutionnel dans le droit de mener une vie familiale normale. ».


      Bon, déjà, il faudrait faire la distinction entre LE droit et LES droits. Le premier désigne la discipline adaptée aux conditions d’application des lois, les seconds sont synonymes de « privilèges » au sens premier du terme (ex : la nature a repris ses droits ». Les « droits de l’homme » sont une notion philosophique (ô combien respactable) et pas juridique.

      Après, faudrait savoir d’où est sortie cette nouvelle règle, si elle est contraire au droit, contraire à la position de l’UE et contraire aux convictions de Rakoto qui est ici le porte-parole agréé par le régime en place.


      • jocelyne 2 septembre 2022 17:01

        Certains doivent déjà baliser....


        • Clark Kent Philippulus 2 septembre 2022 17:05

          @jocelyne

          bof, qui ça ? les branleurs, c’est tout !


        • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 08:59

          @Philippulus

          A la confession, un gamin avait dit qu’il se masturbait, alors le curé l’avait tancé d’importance en lui disant qu’il avait peut-être tué un grand artiste, ou un champion sportif, ou même un génie.

          Alors, le gamin avait renoncé aux plaisirs de l’onanisme jusqu’au jour où il a eu les dents du fond qui baignaient, et il a remis ça. Alléluia, le jet était tellement fort qu’il a atterri sur la moquette.

          « Merde ! Un aviateur ! » a soupiré le gamin.


        • Samson Samson 2 septembre 2022 19:05

          « Ce sujet peut aller très loin dans l’idée qu’on peut se faire de l’être humain, entre ceux qui insistent plus sur l’apport inné (biologique, naturel) et ceux qui, comme les valeurs républicaines le proclament d’ailleurs, ne se focalisent que sur l’apport acquis (mérite personnel, instruction, culture, liens sociaux, économiques, etc.). Il y aurait beaucoup à disserter sur ce thème hautement philosophique mais ce n’est pas le sujet ici. »

          Et quel serait-il donc, si ce n’est précisément l’enjeu d’un tel changement législatif ???
          La notion même de « paternité biologique » est en soi un pur non-sens : si destiné dès l’aube du néolithique à garantir et affermir par toutes règles et institutions un système de transmission patrilinéaire, le feu patriarcat naît de l’établissement de la compréhension du lien entre relation sexuelle et procréation, au contraire de l’indéniable filiation biologique matrilinéaire, il ne peut déterminer l’évidence biologique du géniteur et y substitue en conséquence l’évidence légale et juridique de la paternité.

          Si dans le meilleur - ou le pire - des cas géniteur et père se confondent en une seule et même personne, il n’y a pas à confondre entre les deux : le premier relève des lois de la biologie et de l’hérédité - qui dépendent comme on ne le sait que trop bien aux PTT de nombreux « facteurs » -, quand le second est pur sujet de droit !

          Je conviens volontiers que l’invention au début des années ’80 du test génétique de parenté biologique et la possibilité d’une détermination scientifique et sans équivoque du géniteur met définitivement terme à l’ère patriarcale, ainsi qu’à toute la structure et les institutions visant à la conforter, mais est-ce une raison suffisante pour tout confondre ???

          « Il faut reconnaître que la souffrance de ne pas connaître son géniteur est plus grande que la souffrance de ne pas être né pour cause de pénurie de dons. ».

          Mais en quoi donc cela constituerait-il une souffrance, quand il s’agissait depuis près de 10.000 ans et jusqu’à l’établissement du test génétique du lot commun et de l’évidence de tout-e un-e chacun-e ???


          • Clark Kent Philippulus 2 septembre 2022 19:19

            @Samson

            1. En quoi la possibilité d’établir sans doute possible la paternité biologique serait-elle la fin du patriarcat ? C’est tout le contraire, sinon, à quoi ça servirait ? l’identité du donneur n’aurait aucune importance, pas plus que pour les poissons qui larguent peur laitance et fécondent les femelles de façon aléatoire
            2. Comment un non-né pourrait-il souffrir puisqu’il n’est pas ? 

          • Samson Samson 2 septembre 2022 22:35

            @Philippulus
            « En quoi la possibilité d’établir sans doute possible la paternité biologique serait-elle la fin du patriarcat ? »
            Précisément parce que tout le patriarcat s’est construit sur son impossibilité. A partir du moment où l’évolution du génie scientifique et technique permet sans équivoque l’établissement de cette filiation masculine, c’est tout l’édifice laborieusement construit pour y pallier qui n’a plus lieu d’être et comme nous le constatons quotidiennement dont la logique s’écroule pan après pan. Nous sommes donc passés dans une nouvelle ère, c’est en tout cas mon analyse.

            « Comment un non-né pourrait-il souffrir puisqu’il n’est pas ? »
            J’avais bien lu ! Ma question portait sur « la souffrance de ne pas connaître son géniteur » ? J’entends bien que dans leur férocité à abattre jusqu’à la dernière pierre et fondation les infâmes institutions et symboles d’un patriarcat qui, comme je l’ai souligné plus haut, est d’ores et déjà révolu, ces temps survalorisent et jusqu’à la plus improbable toute forme de victimologie, mais je me questionnais sur l’ampleur de ce « traumatisme », bien significatif à mon sens des errements de notre belle modernité.

            Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations ! smiley


          • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 08:01

            @Samson

            la phrase du texte à laquelle mon commentaire se réfère est :
            « Il faut reconnaître que la souffrance de ne pas connaître son géniteur est plus grande que la souffrance de ne pas être né pour cause de pénurie de dons. »


          • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 3 septembre 2022 08:20

            @Samson gardez vos respec tueuses salutations pour d’autres.... 


          • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 08:25

            @Mélusine ou la Robe de Saphir.

            de quoi je me mêle ?


          • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 3 septembre 2022 08:28

            @Philippulus et vous ???


          • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 08:35

            @Mélusine ou la Robe de Saphir.

            Je discute avec Samson en privé, et vous, vous venez non seulement vous mêler à la conversation, mais en plus vous semez la zizanie.
            On fait peut-être ça dans les estaminets en Belgique, mais ici, au café du commerce, ça ne se fait pas !


          • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 3 septembre 2022 08:38

            @Philippulus y pas des conversations en privé sur des comment taire...


          • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 08:43

            @Mélusine ou la Robe de Saphir.

            au café du commerce non plus, en fait, mais il y a la politesse, la courtoisie et la discrétion


          • mmbbb 3 septembre 2022 10:21

            @Samson nous baignons dans les « problèmes sociétaux désormais et dans les paradoxes à la Kon dont notre société avancée générent
            Sandrine Rousseau une éminente prof avant gardiste a crée le mot » androcène « 
            Elle veut tuer la virilité et dénaturer l homme moderne encore » genre« 
            Les mioches de ces hystériques de féministes avant gardiste chantre de la PMA pour toutes , donc de l effacement du mâle , veulent retrouver leur filiation donc leur » père "

            Le mental des occidentaux est devenu de la fiente et je donne au moins raison a ces barbus , nous sommes devenus des dégénérés .


          • Samson Samson 3 septembre 2022 17:12

            @mmbbb
            « nous baignons dans les « problèmes sociétaux désormais et dans les paradoxes à la Kon dont notre société avancée générent »

            Toute la question est de savoir à quelle avant-garde se rattachent Sandrine Rousseau, Clémentine Autain et consorts, sinon celle d’un capitalisme bio-tech transhumaniste et des juteux marchés et bénéfices qu’ouvrent tant l’utopie d’une abolition technologique de nos déterminations biologiques et sexuelles que l’industrialisation et la commercialisation de la reproduction humaine !
            Bref, il y a des montagnes de fric à se faire, d’autant que dans la novlangue produite par la Pensée Unique, son marketing se veut « €colo », ou de « gauche » ?!?

            Je relève aussi qu’une part des prétendues « féministes » les plus hystériques ne revendiquent en fait rien moins que l’abolition de toute référence au sexe biologique pour y substituer une très subjective indifférenciation genrée, ce qui s’oppose en fait frontalement au féminisme « traditionnel » soucieux quant à lui d’une revendication d’égalité en droit des sexes, de leur accès aux études ainsi que de conditions de travail et de rémunérations égales entre sexes, ainsi qu’une prise en compte des problématiques biologiques spécifiques au sexe féminin (cycles menstruels, grossesse et maternité, accès aux protections hygiéniques, violence masculine, ...).

            En Angleterre, J.-K. Rawling, géniale auteure de la saga « Harry Potter » et grande féministe devant l’Éternel se voit ainsi conspuée, vilipendée et traînée dans la boue par les plus extrémistes tenants de la théorie genrée pour avoir encore osé souligner l’importance du sexe biologique. Déso, je n’ai trouvé son texte qu’en anglais, mais son analyse est des plus intelligentes et met cruellement en lumière toute la problématique à laquelle nous sommes actuellement confrontés.

            Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations ! smiley


          • mmbbb 3 septembre 2022 18:39

            @Samson la femme de Jospin, Mme Agacinski s est vu refuser un débat au sein d une univeriste de Bordeaux Montaigne . Elle voulait debattre de la PMA pour toutes et aussi de la GPA .
            Cette université porte le nom de Montaigne, on régresse en France les mentalités deviennent pourries .
            le mot « avant gardisme » est employe par dérision .


          • Samson Samson 5 septembre 2022 13:06

            @mmbbb
            « ... le mot « avant gardisme » est employe par dérision . »
            Ben, c’est l’avant-garde du transhumanisme vers le néant.
            « En Marche vers Nulle Part », on avance à toujours plus grands pas ! smiley smiley smiley


          • Samson Samson 5 septembre 2022 13:19

            @mmbbb
            Enfin, je viens de lire que certains LGB militent (enfin) pour se distancier du T+. Ils refusent l’instrumentalisation de leurs inclinaisons sexuelles et affectives par le lobbying transhumaniste de la théorie du genre et considèrent qu’elles n’ôtent rien à leurs qualités respectives d’hommes ou de femmes.
            Il est temps que cela se sache ! smiley


          • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 3 septembre 2022 08:07

            Les bonnes nouvelles sont tellement rares. Hier articles de psycho : la stérilité est dans la tête... Combien de femmes tombent comme par hasard enceintes après une adoption ou une PMA. Et parfois,...délaissent l’enfant adotpé...


            • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 3 septembre 2022 08:16

              Qui sème à tout vent, mais n’assument pas. Actuellement, il est possible génétiquement de savoir qui sont nos frères ou soeur. Eh le risque de consanguinité est majeur.... Ainsi une « famille » reconstituée s’est retrouvée avec une dizaine de demi-frères et soeurs..... Espérons ces soi-disant généreux, réfléchissent à deux fois.....


              • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 3 septembre 2022 08:20

                Les pipettes du pipeau...


                • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 3 septembre 2022 08:22

                  De toutes façon, ces enfants seront malheureux. Car ils savent ne pas avoir été conçu dans la chaleur d’une relation sexuelle. Mais juste pour combler un manque, une envie. Comme on achète la dernière voiture...


                  • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 08:31

                    @Mélusine ou la Robe de Saphir.

                    Il vaut mieux acheter une voiture belle et fiable que de bricoler soi même (avec amour) un tacot qui va tomber en panne régulièrement et consommer une quantité excessive d’énergie.

                    Vous savez, les voitures nous sont plus reconnaissantes de le traiter correctement et d’assurer leur entretien que de les avoir fabriquées nous-mêmes (toujours avec amour, évidemment, sinon où serait le plaisir du bricolage ?).


                  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 3 septembre 2022 08:37

                    @Philippulus Deux canadiennes sont allées en justice quand en chippotant dans les dossiers, elles ont su que le donneur venait d’un hôtpital psychiatrique.. Je ne pesne pas qu’elles ont été indemnisées. N’avaient qu’à pas utiliser ce bricolage...


                  • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 08:45

                    @Mélusine ou la Robe de Saphir.

                    comme disait Ray Charles, ça aurait pu être pire, il aurait pu être noir !


                  • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 08:49

                    @Mélusine ou la Robe de Saphir.

                    Quitte à user de métaphores, je vous propose celle du jardinier qui achète ses graines pour les cultiver lui-même plutôt que d’acheter ses légumes.

                    Le résultat sera attribué au jardinier, pas au grainetier et encore moins au pépiniériste (métier ingrat !).


                  • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 09:07

                    @Mélusine ou la Robe de Saphir.

                    Pourquoi n’avez-vous pas commenté l’article de remiaufrere ?

                    Moi je suis banni !

                    Vous aussi, peut-être ?


                  • zygzornifle zygzornifle 3 septembre 2022 09:02

                    Un n’article pour Rakoto

                    Le sperme peut t’il être avalé par une Végan ? ....


                    • Clark Kent Philippulus 3 septembre 2022 09:10

                      @zygzornifle

                      il existe d’autres orifices que la bouche


                    • Emohtaryp Emohtaryp 3 septembre 2022 21:06

                      On s’en branle......


                      • L'apostilleur L’apostilleur 3 septembre 2022 21:17

                        Il y a PMA et PMA.

                        Indépendamment de cette histoire d’identité du donneur, une PMA pour un couple de mères pose des problèmes pour le législateur. Sans réponse ces PMA devraient être interdites 

                        Sans parler du business et de la sécu... 

                        Au fait, vous connaissez des pauvres qui auraient bénéficier d’une PMA ?

                        https://onenpensequoi.over-blog.com/2019/09/la-pma-invente-mere-et-mere-une-nouvelle-designation-parentale-pour-les-actes-de-naissance-et-de-nouveaux-homonymes.html


                        • juan 4 septembre 2022 09:58

                          Chacun doit pouvoir connaître ses racines, je n’ai jamais compris que des ramollis du bulbe aient pu autoriser l’anonymat ! On nous rebat les oreilles avec les droits de l’homme et ça fait des dizaines d’années que l’on bafoue les droits humains les plus élémentaires.

                          C’est comme le directive européenne sur l’intégrité physique, et l’on continue joyeusement à découper des enfants sous le prétexte fallacieux de la coutume, de la religion. Comment demander aux gens de respecter leurs leaders si ils ont le sentiment que ceux-ci s’assoient sur les lois pour ne pas déplaire à une communauté ?

                          La violence dénoncée par des pleurnicheries n’est que le constat frustrant fait par les gens du non respect des lois fondamentales, celles qui ont un rapport au physique de la personne humaine !

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