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Accueil du site > Actualités > Technologies > 14 millions de véhicules électriques aux Etats-Unis en 2020 (...)

14 millions de véhicules électriques aux Etats-Unis en 2020 ?

Un rapport américain estime que près de 14 millions de voitures électriques pourraient être en service aux Etats-Unis en 2020... de quoi faire passer la « facture » pétrolière de 8,6 à 2 millions de barils quotidiens.


Les Etats-Unis, toujours moteurs des technologies propres ? En tout cas, après les annonces fortes du président Obama (5 millions d’emplois verts), la nomination du Nobel de physique Steven Chu à la tête du Département à l’Energie et de sa « green team » et de maintes innovations, c’est, cette fois-ci, un résultat attendu que nous livre Cleantechnica : il pourrait y avoir 14 millions de véhicules électriques en circulations sur les routes américaines d’ici 2020.

L’étude, réalisée par Electrification Coalition, une organisation non partisane constituée par des entrepreneurs (on y trouve aussi bien Carlos Ghosn, qui avait fait forte impression à Francfort avec sa gamme « Zero Emission », que des start-ups comme Coulomb Technologies, ainsi que du capital-risque), est résolument optimiste, trop, diront certains.

Fred Smith, DG de FedEx et partie prenante de cette initiative, souligne que « jusqu’à maintenant, l’électrique était resté de l’ordre du rêve ? Mais maintenant, nous proposons un plan réalisable et réaliste pour bâtir un système de transport qui permettra tout à la fois de garantir notre indépendance énergétique, qui alimentera la croissance et qui réduira les émissions de Co2 ».

L’une des motivations sous-jacentes à cette initiative est la prise de conscience du « peak oil », ce moment à partir du quel le pétrole disponible se fera toujours plus rare. « Le risque d’une interruption soudaine de la production jusqu’ici régulière de pétrole plane sur les Etats-Unis et les économies du monde », et, en ce sens, l’objectif visé permettrait dès 2040 de réduire la consommation de pétrole à usage automobile de 8,6 millions de barils quotidiens aujourd’hui à 2 millions.


TechnoPropres

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24 réactions à cet article    


  • morice morice 8 décembre 2009 09:57

    z’ont intérêt à construire des centrales nucléaires si je comprends bien....


    • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 8 décembre 2009 11:46

      Ou à se mettre au géothermique ... ce qui coûte encore plus cher ...


    • K K 8 décembre 2009 10:16

      En attendant la voiture, il y a déjà le vélo électrique qui tourne bien. J’habite en centre ville et c’est devenu le meilleur moyen de transport sans contestation... Ah s’il n’y avait pas tous ces cons qui dégradent tout ou volent tout, ce serait beaucoup plus facile.


      • ObjectifObjectif 8 décembre 2009 10:49

        Bonjour,

        « Les Etats-Unis, toujours moteurs des technologies propres ? »

        Depuis quand les voitures électriques actuelles sont-elles une technologie propre ? Les batteries nécessaires sont une horreur écologique, que ce soit avec du plomb ou avec du lithium.
        Avec cette technologie, on va se remettre sous la dépendance d’une technologie sale et chère, en créant de nouveau une pénurie artificielle donnant lieu à la conservation du pouvoir économique par les maîtres du lithium, des terres rares nécessaires aux aimants et des technologies chimiques et industrielles associées.

        « L’étude, réalisée par Electrification Coalition, une organisation non partisane constituée par des entrepreneurs  »

        Ben voyons, organisation non partisane fondée par les entrepreneurs qui veulent capitaliser sur la pénurie du Lithium...

        Vous arrive-t-il de réfléchir avant de reprendre et propager la propagande industrielle ?


        • Jurassix Jurassix 8 décembre 2009 16:13

          Il va falloir faire la différence entre 2 types de véhicules electriques, et d’ores et dejà, on peut y travailler :
          - la voiture achetée « tout comprit », type Mitsu i-MIEV (et futures PSA). Le consommateur achète tout, la voiture et ses batteries.
          - la voiture achetée à moitié, moitié louée, type Renault ZE. Le consommateur achète une voiture, et loue les batteries.

          Pourquoi une telle différenciation ? Parce que dans le deuxième cas, c’est le constructeur de la voiture, ici Renault, qui reste propriétaire des batteries, donc ce sera à lui d’assurer le retraitement de celle-ci. Vu la poussée écologiste du moment, on ne peut que s’attendre à ce que celà soit fait de la manière la plus intelligente possible.

          Dans le premier cas, quand les batteries sont HS, que va faire le consommateur ?

          Pour le problème du Lithium, gageons que de nouvelles solutions apparaitrons dans quelques années...


        • ObjectifObjectif 8 décembre 2009 17:47

          Vous confondez mode de financement et fabrication : le nombre de batteries sera le même, voire encore plus grand, que les batteries soient la propriété de la société automobile, ou plutôt de la banque qui fera le prêt, ou bien de son utilisateur.

          Mettre les batteries en location ne change ni leur prix, ni leur toxicité : c’est encore un leurre marketing pour faire passer la pilule et mettre dans le même état de dépendance vis à vis des batteries que du pétrole.

          Quand à dire que un jour le problème du lithium sera résolu, alors je préfère que les subventions publiques soient orientées vers la cogénération bi-énergie par concentrateur solaire thermique ou par combustion de biomasse : toute la technologie est connue, cela fonctionne parfaitement à grande échelle, reste à le démocratiser à l’échelle d’une maison.

          Parce que si chaque foyer français produit 3KW électrique en cogénération avec la chaleur correspondante, alors on n’a plus besoin d’importer aucun combustible en France.


        • Jurassix Jurassix 8 décembre 2009 18:04
          Mettre les batteries en location ne change ni leur prix, ni leur toxicité : c’est encore un leurre marketing pour faire passer la pilule et mettre dans le même état de dépendance vis à vis des batteries que du pétrole.

          Non, ni l’un ni l’autre, ne déformez pas mes propos s’il vous plait. Ce que je dis, c’est que c’est au propriétaire des batteries de s’assurer du recyclage, et donc autant que ce soit le constructeur/fabricant qui les commercialise.


        • ObjectifObjectif 8 décembre 2009 20:36

          Mais le problème n’est pas QUI fait le recyclage...

          Si le recyclage est impossible, donc polluant, cela fait-il une différence qu’il soit fait par vous ou par moi ?

          Quand aux paysages naturels devenus des mines de lithium, ils seront bien détruits. Et les ouvriers qui y travaillent pour une bouchée de pain voire moins, cela leur fera un belle jambe que ce soit vous ou moi. Et le pétrole dépensé pour transporter le lithium en chine, puis les batteries en europe, par cargo polluant, il sera à mon nom ou au votre ?

          La pensée à courte vue de cour d’école, « c’est pas moi, c’est lui », « c’est pas de la faute de mon parti, c’est l’autre parti qui l’a fait », nombreux sont ceux qui en meurent...


        • Jurassix Jurassix 9 décembre 2009 08:20

          Si on prend Renault, les batteries seront fabriquées en europe, notamment à Flins, qui incluera aussi un système de retraitement. Doncle recylclage impossible, vous vous basez sur quoi pour dire ça ? Votre avis ?
          Le problème, c’est bien en partie qui fait le recyclage, ne vous en déplaise, et la solution Renault/Nissan est quand même assez bonne sur le papier (à voir ce que celà va donner).

          Parce que vous croyez quoi ? Que le plastique que vous utilisez tous les jours, il proviens pas du pétrole extrait par des petites mains ?
          Le cuivre, l’alu ? C’est pas des mines avec des petites mains ?

          Il faut arrêter avec les salades écologistes. Ca, pour faire de la macédoine de toute idée, y’en a qui sont fort...


        • ObjectifObjectif 9 décembre 2009 11:17

          @Jurassix :

          « Ca, pour faire de la macédoine de toute idée, y’en a qui sont fort... »

           Effectivement, vous commencez à nous expliquez que la location des batteries fait faire des économies : si vous croyez ce que vous dites, retournez à l’école, sinon c’est que vous faites cette macédoine sciemment, en faisant partie du processus marketing autour de ce concept d’enfumage.

          Cela me rappelle un autre auteur de naturavox, qui encensait la location de batteries, et qui effaçait les commentaires sur son blog qui montraient un calcul précis d’efficacité énergétique qui n’allait pas dans son sens. Faites-vous partie de la même équipe ?

          Je sais parfaitement que les matériaux que nous avons à disposition ont déjà provoqué des dégâts immenses, alors autant les réutiliser sans en ajouter de nouveaux qui n’apportent rien.

          Les batteries actuelles sont un non-sens économique et technique, leur masse qui demande plus d’énergie pour les déplacer que pour déplacer les passagers, leur limitation en durée de vie, l’énergie perdue dans chaque cycle de charge/décharge et les dangers qu’elles posent dans leur instabilité thermique, sans compter leur prix et leur « retraitement » (vous avez remarqué l’absence du mot recyclage :- ? ), font qu’elles apportent plus de problèmes que de solutions.

          Et si des batteries étaient packagées en France, voire même en Europe, ce qui n’est clairement pas le cas à ce jour, il faudrait bien amener le lithium d’Amérique du Sud : en cargo à voile ?

          Au passage, vous me dites « Doncle recylclage impossible, vous vous basez sur quoi pour dire ça ? Votre avis ? »

          Mais je me basais sur votre question précédente « Dans le premier cas, quand les batteries sont HS, que va faire le consommateur ? » et je répondais « Si le recyclage est impossible, donc polluant, cela fait-il une différence qu’il soit fait par vous ou par moi ? » Ce n’était pas une affirmation mais une question, à laquelle vous n’avez pas répondu d’ailleurs.

          Mais si vous disposez de preuves que le recyclage est possible, avec une documentation scientifique sur le procédé, ça m’intéresse : un peu de transparence ne peut pas faire de mal...

          Et je distingue bien « retraitement », le mot élégant pour dire que l’on ne sait pas bien quoi en faire, comme pour les pneus, du mot « recyclage », où l’on réutilise la même matière pour le même usage, comme le verre.

          Ma question en conclusion serait : qui a apporté des subventions publiques à ces technologies de batteries, et quels sont leur liens avec les industriels qui prônent ces mêmes batteries ? Et je ne parle même pas des liens avec les médias...


        • Jurassix Jurassix 9 décembre 2009 15:08

          Donc remontons dans nos bon vieux mazout, et brulons les voitures electrique.

          Non, ne les brulons pas, ca va encore faire du CO2...


        • ObjectifObjectif 10 décembre 2009 12:50

          @Jurassix :

          « Donc remontons dans nos bon vieux mazout, et brulons les voitures electrique. »

          Les voitures électrique n’existent pas sur le marché : trop de risque d’explosion des batteries actuelles pour les vendre, comme pour les portables retirés du marché...

          Si je ne pense pas que les voitures électriques soient une bonne solution, il y en a d’autres :

          • Remplacer progressivement tous les systèmes pour l’eau chaude et le chauffage par des capteurs solaires sous vide à haut rendement : c’est prêt, c’est déjà rentable, et on peut stocker la chaleur dans de l’eau chaude.
          • Mettre en place une production généralisée de granulés des déchets de biomasse, et de poêles à granulés à haute efficacité (>80%)
          • Remplacer les systèmes de combustion par des systèmes de cogénération électricité et chaleur.

          Ces 3 mesures sur 10 ans permettraient d’économiser tous les combustibles fossiles utilisés pour le chauffage ou l’électricité.

          Pour les véhicules urbains, je crois beaucoup aux véhicules à air comprimé, dont le premier va être homologué sous peu.


        • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 8 décembre 2009 11:51

          J’ai appris ( sur les news scientifiques de yahoo ) qu’il y a deux semaines environ une équipe de chercheurs français avait trouvé un moyen pour transformer une plaque de fer avec des nano particules pour remplacer le platine pour les piles à combustibles : cette technologie pourrait faire baisser considérablement le prix des voitures à hydrogène...

          Compte tenu des avancées technologiques sur l’hydrogène ces voitures fonctionneront peut être avec cette technologie : rendez vous dans 10 ans !


          • Gonzague Gonzague 8 décembre 2009 12:17

            Êtes-vous en train de prétendre que les Etats-Unis ont réalisé le plus grand complot de l’histoire de l’humanité, celui du 11 septembre, qu’ils se sont employés comme de beaux diables pour envoyer un autre objet qu’un avion sur le Pentagone, qu’ils ont badigeonné pendant des mois, voire des années, les murs du WTC de nano-thermite, qu’ils ont dépensé des milliards de dollars pour faire taire les milliers de complices, tout ceci de facon à pouvoir envahir l’Irak et voler son pétrole, alors qu’ils se démènent, d’un autre côté, pour faciliter l’expansion de la voiture électrique ?
            Désolé de vous le dire ainsi, mais ca n’a aucun sens.


            • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 8 décembre 2009 12:21

              Hi hi hi !

              Gonzague vous êtes un pince sans rire !


            • Lisa SION 2 Lisa SION 2 8 décembre 2009 13:57

              Pour être leader en matière de véhicule électrique, les dominants ne reculent devant rien ni même Bolloré... http://199.84.131.196/catacombes/EV1Eulogy.htm


              • Patapom Patapom 8 décembre 2009 14:09

                Pffff... On aurait pu avoir des voitures électriques depuis bien longtemps (film) si, comme toujours, des lobbies ne s’y étaient pas opposés.

                Qu’est-ce qui vous fait croire qu’après Copenhague et ses vides promesses, ces lobbies auront disparu ?


                • faxtronic faxtronic 8 décembre 2009 15:26

                  Ha bon, Copenhague a fait des promesses ??? Non j y crois pas non plus. Vous avez des sources.


                • mrlargo 8 décembre 2009 16:52

                  Ah... enfin des voitures propres...

                  Le titre aurait pu être 7 millions de véhicules au charbon, quand on regarde de près la répartition de la production électrique aux US... http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?codeTheme=6&codeStat=EG.ELC.PROD.KH&codePays=USA&codeTheme2=6&codeStat2=EG.ELC.COAL.ZS&langue=fr

                  + 2,5 millions de véhicule au Gaz naturel....

                  http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?codeTheme=6&codeStat=EG.ELC.PROD.KH&codePays=USA&codeTheme2=6&codeStat2=EG.ELC.NGAS.ZS&langue=fr

                  et oui, curieusement, l’électricité, il faut la produire...


                  • pseudo 8 décembre 2009 20:20

                    http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/la-fusion-froide-contre-attaque-20-apres_18718/


                    Peut être que le futur sera la « fusion froide » pour les voitures ? 
                    Le rêve serait d’ utiliser l’hydrogène de l’eau pour faire une fusion nucléaire à température normal avec comme déchet de l’hélium.

                    • jjwaDal jjwaDal 8 décembre 2009 21:06

                      Pourquoi lire un article où une ânerie manifeste se loge dans l’introduction du texte.
                      Il y a de l’ordre de 240 millions de véhicules aux USA et donc 14 millions de véhicules électriques ne constitueraient que moins de 6% de leur parc. Et par magie ils diviseraient par 4 leur consommation quotidienne de pétrole ? Vous ne me donnez pas envie de vérifier la totalité de vos chiffres tant cette énormité vous disqualifie.
                      Je comprends que la planète soit économiquement au sous-sol, si tous les économistes calculent comme vous le faites...


                      • ZOULOU 6 8 décembre 2009 21:08

                        La voiture électrique est-elle une voiture « propre » ? Car si on économise de l’essence, on devra produire davantage d’électricité. Avec quoi, sinon du pétrole ? En dehors de la France, qui la produit avec du nucleaire bien sûr.


                        • plancherDesVaches 8 décembre 2009 21:15

                          D’ici que le cowboy moyen accepte de monter sur un cheval électrique, il faudra qu’il ait aussi plus fait confiance au taser qu’à son fusil mitrailleur automatique qu’il peut acheter librement dans la boutique du coin.

                          Ca nous laisse de la marge.


                          • olivier.naturavox 24 décembre 2009 14:46

                            Bonjour,

                            Je me permets d’apporter quelques informations (techniques exclusivement, sans idéologie) complémentaires sur les différentes réactions à cet article.

                            La voiture électrique n’émet pas ou très peu de CO2 lorsqu’elle est utilisée, elle produit par contre un peu d’ozone comme tout composant électrique en fonctionnement sans que ce soit alarmant par rapport à la pollution actuellement générée par les moteurs à combustion interne. Reste à étudier le cycle complet du produit, exercice particulièrement complexe auquel je ne me risquerai pas tant les hypothèses sont variables.

                            Plus largement le véhicule électrique d’aujourd’hui n’est pas forcément la solution idéale mais certainement un bon outil de transition technologique.

                            Les constructeurs de batteries ont déjà investis en R&D sur le recyclage, pour faire bonne figure, certe, mais aussi pour sécuriser l’approvisionnement en matière première, le procédé de traitement hydrométallurgique afficherait un taux possible de récupération du lithium à 90% à partir des éléments usagés, reste à le mesurer dans un cycle industriel.

                            N’oublions pas que la batterie n’est « que » l’élément de stockage de l’électricité et contrairement aux idées reçues, elle n’est pas inerte et présente un risque fort d’explosion (le lithium est hautement inflammable au contact de l’oxygène).

                            L’avenir du modèle électrique passe donc par une maîtrise parfaite du stockage. L’une des pistes très étudiée est la filière H2 (hydrogène) dont les paramètres sont très simples : abondance de la molécule, cycle de transformation produisant de l’eau et de la chaleur, stockage statique maîtrisé, excellent ratio massique, voilà pour quelques uns des bons côtés. Revers de la médaille c’est une matière hautement instable, son moyen d’obtention est très gourmand en énergie, son stockage dans un environnement dynamique (véhicule) est très incertain notamment en cas de choc, son utilisation directe est technologiquement complexe, etc…

                            Mais plus qu’en tant que source d’énergie, c’est sous son aspect vecteur énergétique (pile à combustible) que cette filière prend tout son sens et certains, comme ITM Power (http://www.itm-power.com), présentent un concept novateur factorisant l’énergie pour l’appliquer à l’habitat et au transport. Le vecteur naturel en est l’hydrogène dont la production est assurée par des sources renouvelables comme le soleil ou le vent.

                            En attendant, vous pouvez trouver une information particulièrement fouillée sur les véhicules électriques, la recherche associée, les modèles que nous pourrons utiliser dans les mois à venir les implications structurelles de ce mode de déplacement dans le magazine hors série d’Energie Et Développement Durable (http://www.2e2d.info).

                            Bonne lecture et bonnes fêtes à tous,

                            Cordialement,

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