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Accueil du site > Actualités > Technologies > Cosmonadologie quantique et Gravité : la partie commence, Monsieur Hawking (...)

Cosmonadologie quantique et Gravité : la partie commence, Monsieur Hawking !

(1) 1915-2015. Je ne crois pas aux coïncidences qui la plupart reposent sur une surinterprétation des événements. Disons que c’est étrange. Cette année 2015, la relativité générale d’Einstein a 100 ans et c’est le moment où arrive une nouvelle description du cosmos. Une monadologie universelle, englobant la physique quantique, l’étendue cosmique et la gravité, pour ensuite aller vers la physique statistique et la compréhension des processus de transformations inhérents à cette « matière » qui n’a plus rien des atomes et d’un ensemble de mécanismes puisque cette matière est conçue comme substance monadologique. Cette hypothèse découle de l’interprétation réaliste de la physique quantique que j’ai développée dans un essai consistant qui cherche un éditeur. En attendant, le lecteur intéressé par ce sujet pourra lire le dossier spécial de la revue Science Cerveau Conscience parue en kiosque le 8 avril 2015. Une manière de s’inscrire dans le champ éditorial et de signifier le début d’une nouvelle partie en physique quantique et cosmologie.

(2) La partie a commencé. Elle ne peut plus s’arrêter sauf si tous les physiciens et autres philosophes de la nature décident de ne pas la jouer. Le but de cette partie est de parvenir à une nouvelle description des choses de la nature incluant Matière, Etendue et Gravité. Les nouvelles théories doivent en principe passer par les revues spécialisées. Etant donné les circonstances ayant présidé à l’élaboration de la cosmonadologie, c’est plus par nécessité que par choix que j’ai décidé de porter à la connaissance du public instruit et des physiciens le résultat de mes recherches qui ont avancé non pas en dépit d’un isolement institutionnel mais grâce à cette mise hors-jeu de la science ordinaire (pour employer une notion chère à Thomas Kuhn). J’ai la conviction que certaines innovations ne peuvent pas naître dans un contexte institutionnel et comme se plaisait à le raconter Einstein, le physicien Faraday a su faire preuve d’audace parce qu’il n’était pas passé par le moule des études scolaires. Cela étant, il est maintenant impossible de contourner les meilleures théories disponibles en physique mais il est possible de les dépasser pour en construire de meilleures, capables de décrire la Physis.

(3) Je ne conteste pas les règles de la science et je les approuve car elles permettent de disposer de descriptions et théories fiables car filtrées par une communauté de scientifiques aptes à séparer les théories crédibles des idées fantaisistes. Je me suis d’ailleurs appuyé sur ces savantes réflexions, du quantique au cosmos. La prochaine étape pour lancer véritablement la partie sera la publication d’un essai. Les scientifiques pourront très bien ignorer mes hypothèses. C’est leur droit et leur choix n’a pas à être jugé. D’autres pourront à l’inverse jeter un regard averti sur cette nouvelle monadologie qui se dessine et qui, pour parler comme au temps de Galilée, constitue un nouveau système du monde. Une philosophie scientifique de la nature qui « déborde et dépasse » les quatre siècles de modernité et de conceptions partielle de la matière et l’univers.

(4) La partie n’a rien de facile. Elle s’arrêtera peut-être avant d’avoir commencé faute de joueurs. Mais connaissant la curiosité scientifique, je suis certain qu’il se trouvera bien quelques physiciens, pointus ou généralistes, vieux sages ou jeunes aventuriers, pour regarder le système du monde basculer et participer à ce grand jeu de la connaissance. Je ne sais pas ce qui va ressortir de ce jeu car contrairement à l’époque 1900-1930 où il y avait tant de théories à élaborer et tant de phénomènes à observer, maintenant, le domaine des observations est quelque peu saturé. Il se peut bien que la nouvelle physique n’ait rien à expérimenter et qu’elle reste une sorte de monadologie spéculative expliquant et dévoilant les ressorts cachés de la matière, la vie, le cosmos, la conscience et la gravité. Ce qui est sûr, c’est que la compréhension de la Nature sera radicalement métamorphosée. Spinoza, Leibniz et Darwin n’ont pas publié leur oeuvres dans des revues spécialisées. Cette stratégie de contournement est la seule possibilité de faire connaître ces idées nouvelles. Louis de Broglie affirmait que les commissions de spécialistes n’auraient pas laissé passer quelques idées audacieuses, ni aperçu des voies fécondes que la plupart ne voyaient pas.

(5) Les mathématiques et la physique… font bon ménage mais gare aux méprises. Une physique qui se fait déborder par les mathématiques devient au mieux redondante, au pire une fiction abstraite dont l’essentiel n’a aucun rapport avec une description de la nature. A l’inverse, une physique pauvre en mathématique peut s’avérer conforme à la nature mais n’offre guère de prise pour étudier les détails et les régularités de cette nature. Le physicien navigue entre le flou des intuitions et le baroque des fioritures mathématiques. Il doit toujours se demander quelle est la contrepartie physique contenue dans ses descriptions formelles et s’il n’y en a pas, qu’il continue à développer ses formules ; au final, il fera le tri. On me reproche parfois d’énoncer des théories physiques sans mathématiques. Le reproche est légitime. Mais je n’ai pas sous la main un mathématicien et puis ce n’est pas nécessaire. Il vaut mieux partir d’intuition physique que de mathématiques arbitraires. Et comme aurait dit le général, il ne suffit pas de sauter comme un cabri en s’écriant, mathématique, équation !.., pour rendre légitime une conception physique. En cette époque indécise, il est des physiciens qui sont en premier lieu des « tronches » en mathématiques. Les Edward Witten et autres Joseph Polchinski jonglent avec les cordes et les trous noirs. Ce qui n’empêche pas Polchinski d’avouer sa perplexité face à la dualité AdS/CFT dont il se demande quel rôle elle joue dans la nature. Carlo Rovelli et Lee Smolin sont aussi de brillants théoriciens mais plus près du sens physique. Le premier ne parvient pas à faire le deuil de la relativité générale et le second pense avec le temps et n’hésite pas à utiliser l’approche concurrente, celle de la dynamique des formes, quitte à réformer la RG (voir Smolin et Gomes, arXiv, 2015).

6) Et si la nouvelle monadologie était une partie de poker jouée avec des cartes de tarot ? La nature est un puzzle. Les physiciens utilisent des notions abstraites dont l’agencement livre une cartographie fidèle des détails de la nature mais aussi une vision approximative de cette même nature. Points matériels, forces, champs, équations différentielles, vecteurs, tenseurs, masse, spin, charge, espace, temps, fonction d’onde, matrices… ces notions étant combinées pour former des équations, certaines devenues célèbres. L’ensemble des théories forme l’édifice achevé et provisoire de la physique contemporaine. La monadologie va bousculer cet édifice. J’ai le sentiment que cette partie se joue avec des cartes qui arrivent progressivement et un jeu sans cette rabattu. Avec du moins mes cartes car pour l’instant, les troupes de l’armada physicienne ne sont pas encore vraiment dans la partie. Les cartes arrivent et il faut savoir les lire. Ou plus souvent, l’intuition arrive avec le sens voire le symbole et alors, il faut savoir reconnaître la carte et lui donner une forme, en général, une correspondance physique. Il y a des cartes maîtresses, mais plus souvent, ce sont des arcanes mineurs qui confortent le puzzle. La dualité AdS/CFT est une carte maîtresse.

(7) Les quelques cartes mises sur le tapis offrent une combinaison pouvant rivaliser avec ce qu’ont misé les physiciens jusqu’alors. Cette partie de poker est assez aventureuse. Les physiciens vont abattre leurs propres cartes, notamment les acteurs de la cosmologie des formes. La méthode que j’emploie est assez décousue et n’a rien des règles de l’art. En général, les physiciens font valider leurs théories par leurs pairs puis ensuite les rendent accessibles au public. Je fais l’inverse, vu que mon cerveau est monté à l’envers. Je livre au grand public et aux scientifiques un travail de fond, le plus complet possible, visant à exposer une philosophie de la nature et la physique alors même que les équations et formules mathématiques ne sont pas encore disponibles. Ou si elles le sont, ce n’est que de manière lacunaire et sans une vision physique aboutie.

(8) Einstein face à la géométrie physique : Je viens de relire les réflexions d’Einstein sur le développement de la physique, depuis Newton jusqu’aux relativités, en passant par Maxwell, en finissant par l’énigmatique physique quantique sur laquelle Einstein a « calé » comme du reste la plupart des physiciens du 20ème siècle. L’un des arcanes majeurs pour comprendre la physique contemporaine (et sans doute son impasse) est contenu dans ce propos extrait de « comment je vois le monde » (Flammarion) où Einstein explique pourquoi la théorie décrivant la géométrie physique (la RG) ne peut pas être considérée comme définitive et satisfaisante

« La gravitation est réintroduite dans la structure de l’espace. C’est un premier point mais hors de ce champ de gravitation existe le champ électromagnétique. Il faut d’abord considérer théoriquement ce dernier champ comme une réalité indépendante de la gravitation. Dans l’équation conditionnelle pour le champ, j’ai été contraint d’introduire des termes supplémentaires pour expliquer l’existence de ce champ électromagnétique. Mais mon esprit de théoricien ne peut absolument pas supporter l’hypothèse de deux structures de l’espace, indépendantes l’une de l’autre, l’une en gravitation métrique, l’autre en électromagnétique. Ma conviction s’impose que ces deux sortes de champ doivent en réalité correspondre à une structure unitaire de l’espace » (p. 156).

Cette remarque d’Einstein s’explique par une image très simple. Allez au bord d’une falaise, lancez une pierre dans une direction horizontale, elle va tomber et c’est la structure spatiale de la gravitation métrique qui apparaît dans ce phénomène. Prenez un stylo laser, orientez le faisceau horizontalement, il ira éclairer tout objet qui se situe à la même altitude. Et c’est la structure spatiale de l’électromagnétisme. La structure unitaire de l’espace n’a pas été trouvée. Ou bien on n’a pas trouvé la structure unitaire, ou bien l’étendue spatiale se dédouble en deux structures. Ou enfin et c’est la plus audacieuse des hypothèses, il n’existe pas de gravitation métrique. Il faut donc trouver autre chose.

C’est ce que j’ai suggéré avec l’hypothèse d’une matière qui se dispose dans le cosmos en fonction des informations diffusées par une sorte de fluide informationnel. Ce qui signifie qu’il n’y a pas de champ de gravité mais une étendue qui fonctionne comme médium informationnel avec deux types d’informations, celles du champ EM et celle de la gravité. La force de gravité est en fait inhérente à la matière qui réagit aux informations gravitationnelles. Dans la théorie d’Einstein, lorsqu’une masse est « attirée » par une autre, les deux forment une géodésique spatiale et dynamique ; le mouvement en résulte, avec l’accélération. Dans ma conception, il n’y a pas de géodésique « portée » par l’espace mais une trajectoire et une dynamique qui est « calculée » par la matière, un peu comme un randonneur se représente le chemin à suivre. La matière porte en quelque sorte une mémoire du passé et une anticipation des futurs possibles qui dans le contexte de la gravité, sont limités à une seule possibilité, celle calculée par les lois de « l’attraction universelle ». Quand la matière est vivante, elle se prête à l’évolution et les futurs sont ouverts aux possibles de la création ordonnée en « éclairant » le hasard et le chaos quantique.

Je reviens brièvement sur cette idée de structure unitaire exposée par Einstein dans l’un de ses derniers écrits en 1950 (conceptions scientifiques, Flammarion) où il évoque une théorie du champ total (le Tout unifié). En suggérant d’abandonner le tenseur symétrique de la relativité générale pour passer à un tenseur antisymétrique (ce qui ajoute 6 composantes indépendantes). Drôle de geste qu’on peut interpréter comme une manière de casser les tables de la loi cosmologique (écrites dans du marbre) par un Einstein insatisfait et désireux d’accéder au champ total mais bien conscient de l’impasse de la théorie du champ. Cette époque est datée. Je crois pour ma part que cette symétrie des tenseurs découle d’une symétrie fondamentale dans la Nature, au même titre que la symétrie CPT qui a conduit Hawking à amender la conception du trou noir quantique. Pour ce qui est de la géométrie, on notera qu’à l’inverse d’Einstein, de jeunes physiciens utilisent une formulation avec moins de composantes que dans les tenseurs de la RG pour décrire une géométrodynamique en 3D, sans matière pour commencer (la dynamique des formes).

(9) J’ai maintenant la conviction que Einstein s’est égaré en voulant suivre une conception néo-spinozienne de la nature. Le succès de la relativité générale est un triomphe à la Pyrrhus de la physique moderne. La description complète de la nature a été perdue. Mais ne soyons pas défaitiste. La relativité générale n’est qu’une « ligne de Maginot épistémologique » qui doit être contournée pour sortir de la caverne moderniste et accéder aux principes universels du cosmos et de la « matière ». Monisme, non, dualisme et dualité oui ! Et puis le Verbe à la fin. Du quantum au cosmos, avec la Trinité et Platon.

CFT (fermions, Yang-Mills) / AdS (RG) <-> (RG) / CFT (géométrie, shape dynamics)

Cette formule quasiment kabbalistique tente de décrire la structure complète du cosmos avec matière et étendue. On note la position centrale de la RG qui est débordée sur deux pôles opposés et très différents du point de vue physique mais construits avec le principe du champ conforme (CFT) : la matière avec les « champs » de fermions ; l’étendue avec la dynamique des formes. Fermions et formes étendues : un lien avec le doublet platonicien sensible et intelligible ?

Cette formule est un peu courte. Sur un T-Shirt il y a encore un peu de place pour écrire deux autres formules tout aussi sibyllines. Deux cartes jouées mais sans être certain qu’elles soient définitives. C’est pour l’instant une exposition provisoire, compressée à l’extrême, de la cosmonadologie quantique dont je n’ai pas les équations mais qui comprend deux descriptions du cosmos incluant Matière, Etendue et Gravité. C’est plus beau que le marbre d’Einstein. Normal, c’est de l’algèbre et ça rappelle Platon. Mais je trouve notre grand architecte (qui n’existe pas) très pointilleux. Il y a une virgule et ça change tout.

SU(3) --- SU (2) --- SO (3) SU(3) --- SU(2) ---- U(1) ---- SO (3, 1)

(10) La partie est lancée, avec une stratégie qui n’est pas dans les règles de la profession puisque je présente une théorie sur la base de notions physiques et d’interprétations avant même qu’elle ne soit formalisée, finalisée, aboutie, filtrée par les revues scientifiques et les examinateurs. Dans sa brève histoire du temps, Hawking souhaitait qu’une théorie physique livrant la pensée de Dieu puisse être comprise par tous. Je suggère alors que cette nouvelle philosophie de la nature émerge d’une savante partie jouée avec un débat public en incluant tous les scientifiques et les citoyens instruits désireux d’y participer. La présentation dans la revue « Science cerveau et conscience » sera suivie de l’édition d’un essai qui, malgré quelque 400 pages, ne constitue qu’une modeste et perfectible esquisse de ce grand basculement de la conception du cosmos et de la matière. Sans compter les autres sciences qui vont prendre un tournant inédit mais dont on ne peut tracer les contours. Si les sciences sont une cathédrale, alors il n’y a pas de schéma préétabli. Ce n’est qu’en ajoutant les pièces du puzzle qu’on voit se dessiner la compréhension complète des choses de la nature. En ligne de mire, une science totale (universelle), à l’instar de la théorie du champ total que cherchait Einstein.

Dans son dernier livre, Hawking commence par le constat d’une philosophie devenue morte faute d’avoir suivi les progrès de la science. Est-ce bien certain ? Non seulement la philosophie peut ressusciter mais elle a aussi la possibilité de jouer la partie avec quelques physiciens ou même seule, en proposant un système du monde qui puisse rivaliser avec ceux des physiciens dont le tort serait selon moi, non pas d’avoir ignoré les développements de la philosophie, mais de l’avoir tout simplement oubliée, de Platon à Leibniz.

(11) Comme le lecteur l’aura compris, il faut maintenant construire une nouvelle théorie du cosmos et de la Gravité pour remplacer celle d’Einstein. Il n’y a rien d’étonnant à ce que la cosmologie quantique soit dans une impasse. La relativité générale n’est pas la bonne description. Il faut même deux descriptions de la Gravité puis essayer d’inclure la physique quantique. Ce n’est pas la vérité mais c’est mon hypothèse. Une partie scientifique commence toujours par une hypothèse.

(12) Y a-t-il un grand architecte dans l’univers se demande Hawking dans son dernier livre. Non, suis-je enclin à lui répondre. Mais il y a les Verbes, le Logos et l’Eternité. C’est peut-être cela l’impensé de Dieu. Mais avant d’en arriver là, il faut jouer la partie (Que les anges soient avec vous, ils sont aussi de la partie dans la Gravité universelle et peuvent influer sur la trajectoire de vos existences sans passer par les tenseurs, à bon entendeurs !).

Bernard Dugué, Bordeaux, le 14 avril 2015


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35 réactions à cet article    


  • Francis, agnotologue JL 14 avril 2015 11:58

    @ l’auteur,
     
    ’’Il se peut bien que la nouvelle physique n’ait rien à expérimenter et qu’elle reste une sorte de monadologie spéculative expliquant et dévoilant les ressorts cachés de la matière, la vie, le cosmos, la conscience et la gravité’’
     
    Il n’y a pas quelque chose qui vous choque, dans cette phrase ?


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 14 avril 2015 12:34

      @JL

      Non, mais je ne suis pas étonné de votre remarque

      En bon fidèle de la science moderniste, vous avez besoin de faits empiriques pour entretenir votre croyance, au même titre que les fidèles de l’Eglise (ou de la synagogue) ont besoin de miracles pour croire


    • Francis, agnotologue JL 14 avril 2015 13:15

      @Bernard Dugué,
       
      « Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots » (Jean Jaurès)
       
      C’est très tendance. Je ne suis pas étonné de vous voir vous y mettre.


    • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 13:20

      @Bernard Dugué : « En bon fidèle de la science moderniste, vous avez besoin de faits empiriques pour entretenir votre croyance ».

      Ah, tu n’as pas de bol, Dugué. Chaque fois que tu tombes sur des physiciens, ils s’aperçoivent aisément que tu résides en plein délire mégalomaniaque.

      Change carrément de public : adresse-toi aux psychiatres, dans l’espoir qu’ils te prêteront main forte face aux incroyants et/ou aux physiciens.


    • Nicolas_M bibou1324 14 avril 2015 14:03
      Vous n’avez défini aucune théorie il me semble. Vous vous contentez de répéter comme une andouille « cosmonadologie », un mot qui ne regroupe aucune théorie, qui ne veut rien dire. Dans tout votre article, celui ci comme les précédents, vous n’avez jamais défini ce que c’était. Gnagnagna unification des théories ... gnagnagna partie physique et médecine .... STOP  !

      VOUS PARLEZ DE QUOI ???

      A aucun moment vous n’avez défini ce qu’était votre théorie, sur quoi elles se reposait. Quelles sont ses applications. Quel ensemble d’équations elles regroupe. Quelles notions. Quelle logique. RIEN, QUE DALLE. 

      Les autres, c’est nul, moi, c’est mieux. Ben si vous, c’est mieux, faudrait nous expliquer pourquoi. Parce que la relativité générale, les équations sont trouvables partout sur Internet. Les applications aussi. Les limites aussi. C’est un outil précis, qui fonctionne bien et qui ne sera jamais périmé. Un outil qui n’a pas vocation à expliquer l’univers. Qui n’a jamais eu cette intention.

      Vous prétendez posséder une théorie qui, elle explique l’univers. Allez-y. Déballez. Ne vous faites pas prier. On attend.

    • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 14:42

      @bibou1324 : « un mot qui ne regroupe aucune théorie, qui ne veut rien dire ». Oh que tu es méchant ! Tu demandes à Dugué de se lexicaliser ! Mais c’est de la cruauté mentale !

      Jamais Dugué n’acceptera de donner et respecter une définition fixe et contractuelle de chacun de ses termes, ancrée dans des expériences vérifiables par tous.


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 14 avril 2015 14:49

      @JC_Lavau

      Gloire au grand lexicaliste Lavaud !

      Je vous dois des excuses. Vous êtes un modèle de rigueur. Vous vous définissez parfaitement, comme un abruti. Et en plus, tout le monde peut le vérifier en faisant l’expérience de vous lire.


    • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 15:13

      @Bernard Dugué. « Lexicaliste » ? Merci de bien vouloir en donner une définition, un jour, peut-être... Quand vous accepterez de vous lexicaliser comme une grande personne.


    • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 16:12

      Merci à Bernard Dugué pour cet aveu qui lui a échappé : « vous avez besoin de faits empiriques ».
      Merci d’avoir avoué que vous n’avez jamais expérimenté, que la paillasse vous est un monde étranger... On avait déjà les preuves en abondance, mais un bon aveu par dessus, ça n’est pas plus mal.


    • bourrico6 14 avril 2015 16:15

      @JC_Lavau

      Mais chacun de ses posts n’est autre qu’un aveu d’ignorance, sinon il perdrait pas son temps à insulter tout le monde.


    • pai mei 9 juin 2017 19:12

      @Bernard Dugué
      la science a besoin de faits empiriques depuis qu’elle existe, newton a basé sa théorie de la gravité sur les observations astronomiques de son époque, et si vous voulez une référence philosophique david hume (18ieme siècle) lui même explique comment toute connaissance découle de l’expérience.On peut être ou pas être d’accord avec hume, mais il n’y a rien de « moderniste » la dedans.

      Les fidèles de l’église (n’importe laquelle) n’ont pas besoin de miracles pour croire, la foi étant le principe du miracle et non l’inverse.


    • Furax Furax 14 avril 2015 12:24

      @ l’auteur
      Cette citation de Robert Jastrow dans le dernier livre de Jacques Arnould est fort drôle et juste :
      « Pour le scientifique qui a vécu grâce à sa foi dans le pouvoir de la raison,l’histoire se termine comme un mauvais rêve. Il a escaladé les montagnes de l’ignorance, il est en train de conquérir le pic le plus élevé ; lorsqu’ il se hisse sur a dernière cime, il est salué par une bande de théologiens qui y étaient assis depuis des siècles »


      • Bernard Dugué Bernard Dugué 14 avril 2015 12:31

        @Furax

        Excellente citation tirée du livre d’Arnould que j’ai du reste recensé récemment

        Comme vous vous en doutez, je ne vais pas rester sur une citation mais la prolonger. Parmi les scientifiques, certains pratiquent la double fois, dans la raison et le mystère. Ils peuvent accéder à un pic plus faut que celui où trônent la bande de théologiens depuis des siècles.

        Ils, ou du moins, Il pour l’instant


      • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 12:33

        Le vaticinant erratique divague, et repousse les limites du galimatias.

        Confer les délirants mégalomanes, dossier déjà connu et bien fourni fin 19e siècle.


        • Bernard Dugué Bernard Dugué 14 avril 2015 12:38

          @JC_Lavau

          Exact, la relativité générale était connue fin 19ème et d’ailleurs, Descartes avait inventé la mécanique quantique mais vous êtes le seul dans le secret. Je vous laisse à votre révisionnisme et vos coup de colère qui font de vous une sorte de Jean Marie le Pen aigri et qui pour exister, se plaît à provoquer. Vous ne serez jamais président, Lavau, ni prix Nobel et encore moins « prix » au sérieux. Ne vous énervez pas, vous risqueriez un infarctus et ce serait une grande perte pour le cirque scientifique


        • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 12:46

          @Bernard Dugué.
          N’hésite pas à demander à ton psychiatre qu’il te prête main forte contre ces méchants incroyants.


        • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 16:23

          @JC_Lavau..
          Excuses, j’avais négligé de donner la référence à la date sur les délires mégalomanes : Benjamin Ball. De mémoire, publié en 1890. Numérisation en 2004, disponible en ligne.


        • stetienne stetienne 14 avril 2015 13:42

          concretement dieu existe ou pas celon se monsieur ?
          car j ai encore rien compris


          • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 20:56

            @stetienne.

            Une chose est sûre : si aucun dieu ne vole à son secours, alors Dugué a vraiment tout raté dans sa vie.

            Dugué se voudrait philosophe. Raté, car il accumule les fautes professionnelles dans ce domaine, pourtant peu exigeant.

            Dugué voudrait se faire passer pour physicien, à force de répéter Kuhn. Raté : il est juste capable de lire de la vulgarisation, et de la répéter. Il ne sait toujours pas ce qu’est la physique, ni même les sciences d’une manière générale.

            Dugué voudrait se faire passer pour un biologiste. Il a été quelque temps étudiant en biologie, mais c’était il y a longtemps.

            Dugué voudrait se faire passer pour un psychologue cogniticien. Encore raté, aucune de ses élucubrations ne passe devant un homme du métier. Visiblement Dugué n’a que son culot, et aucune qualification.

            Alors que lui reste-t-il ? Seul un dieu pourrait le sauver de la nullité, à condition de drôlement se magner...


          • tRivi 14 avril 2015 14:20

            « On me reproche parfois d’énoncer des théories physiques sans mathématiques. Le reproche est légitime. Mais je n’ai pas sous la main un mathématicien et puis ce n’est pas nécessaire. » A un moment il va falloir s’y mettre. La mathématique sert quand même à donner une vision, un plan. Théoriser ce que l’on ne peut pas forcément observer ! La physique quantique (l’infiniment petit) s’exprime principalement par l’application de la mathématique. Pour le moment vous proposez une vie de l’esprit, et ’est votre droit mais cela relève juste d’une explication théologique / philosophique (comme vous voudrez) et pas scientifique, car vous ne démontrez rien, vous en êtes incapable apparemment. 


            Sauf si vous voulez bien nous faire partager un cour extrait de « vos recherches » ?

            « Spinoza, Leibniz et Darwin » n’ont pas publié leur œuvres dans des revues spécialisées« . Belle brochette par contre attention vous mélanger les personnes, leurs œuvres, leur histoires personnel. Spinoza n’a pas était publié dans des revues scientifique car, il n’en »est« pas un ! De plus essayez de vous intéresser à la vie de l’homme et vous comprendrez vite pourquoi il a connu quelques difficultés a exister par rapport au »public". Pour Leibniz (vous citez quand même deux rationaliste ce qui est drôle venant de vous...) et Darwin comme pour d’autre à leur époque ce n’est pas forcément l’auteur des écrits qui publie ses ouvrages !

            Pour finir vous jonglez entre Science dur, philosophie, et religion. On ne peut pas toujours tout mélanger. Sinon il n’y aurait pas de grand chefs !

            • Bernard Dugué Bernard Dugué 14 avril 2015 15:02

              @tRivi

              A l’époque des derniers hommes, les gens ne savent plus qu’il y a des bibliothèques, des kiosques et des librairies où on peut consulter, voire acheter des documents et livres pour connaître la pensée d’un auteur. Le dernier homme rêve d’accéder à l’encyclopédie universelle en la téléchargeant dans son cerveau grâce aux interfaces dédiées à l’homme augmenté


            • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 16:47

              @tRivi, objection ! « La physique quantique (l’infiniment petit) »

              C’est ce qu’on t’enseigne en vulgarisation, mais c’est faux.
              Un atome c’est petit, ça a des dimensions floues, mais finies : il suffit de mesurer le volume d’un cristal et le motif et les dimensions de la maille cristalline, et on a le volume occupé par chaque atome. Directement si c’est un cristal mono-élément, tel que du silicium ou un métal, ou du soufre à basse température, indirectement et avec matière à discussion si c’est un cristal partiellement ionique, partiellement covalent, comme le sont la grande majorité des minéraux.

              Pour les gaz, la loi de Van der Waals donne un ordre de grandeur irréprochable du volume de chaque molécule gazeuse ; même s’il y a des précisions à apporter par d’autres moyens.

              Un électron n’est pas « infiniment petit ». A basse température, dans un monocristal de grande qualité, chaque électron de conduction occupe tout le volume du cristal, même si cette absence de partage, auquel vous vous attendriez par habitude millénaire de la macrophysique, ça vous fait mal aux seins. En revanche la masse au repos du e- est fixe.

              La quantique n’est pas la science de l« infiniment petit » mais de l’individuel.

              Sauf que le salmigondis qui t’est raconté partout (depuis 1927, le groupuscule Göttingen-København est devenu hégémonique) escamote les lois physiques, escamote les réactions individuelles, et les lois des fuseaux de Fermat de chaque propagation individuelle, par un postulat de non-loi, juste modulé par le postulat que les statistiques magiques vont arranger tout cela sur le grand nombre.

              Que cela soit toujours hégémonique est une lourde faillite, obtenue par le communautarisme de la « communauté scientifique ». Mais ça n’est pas incurable, juste très très lourd à remuer.


            • tRivi 14 avril 2015 16:56

              @JC_Lavau

              Ou vous avez complètement raison ! Je me suis mal exprimé :) En fait je voulais suggérer les domaines dans lesquels l’observation n’était pas encore possible.

            • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 17:59

              @tRivi. Si, expérimentalement on sait beaucoup de choses. C’est l’interprétation qui pose problème quand en plus, on veut demeurer fidèle à des postulats subreptices et clandestins, indéfendables. J’en avais donné une liste, d’ailleurs incomplète :

              http://deontologic.org/quantic/index.php?title=Microphysique_:_ondulatoire_ou_poltergeist_%3F

              En un sens, c’est pô juste : j’ai une formation professionnelle complète en heuristique (et il vaut mieux quand on gagne sa vie comme ingénieur de recherches), tandis qu’aucun étudiant en sciences dures n’est autorisé à savoir que ça existe. Je suis surentraîné à détecter les postulats clandestins à l’oeuvre sur une personne, dans une entreprise concurrente ou une collectivité. Alors qu’une telle lucidité serait suicidaire - et sévèrement sanctionnée - pour l’étudiant qui veut avoir une bonne note à l’examen de MQ.

              Expérimentalement on sait beaucoup de choses, mais ces connaissances percolent difficilement d’un amphi à l’autre, sur le même campus.

              Là encore, c’est pô juste : j’ai une expérience professionnelle répartie sur plus de quarante deux ans en radiocristallographie, de novembre 1966 à janvier 2009. Aucun étudiant en formation initiale en MQ ne soupçonne rien de cela, ni leurs profs non plus, car le spécialiste est un monsieur qui sait beaucoup de choses sur peu de chose, et à la limite tout sur rien du tout.


            • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 17:42

              Le coup de « La conscience est-elle un phénomène cosmique ? » est cliniquement un symptôme schizophénique.

              Ce qui peut vous brouiller pour recourir au DSM 4 pour ce symptôme, est qu’il est collectivisé dans des collectivités de croyants. J’en avais déjà traité dans l’article

              Le naufrage de Roger Penrose, et de Stuart Hameroff en incompétence cognitivo-quantique

              Adresse http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/le-naufrage-de-roger-penrose-et-de-155566

              Même si Penrose avait été un scientifique novateur voici 44 ans, en 1971, même si Stuart Hameroff peut avoir été un anesthésiste compétent quelque temps, ils sont à présent dans un délire de schizophrènes, un délire à deux.

              Même si des individus de valeur sauvent l’honneur, la communauté « institution psychiatrique » est collectivement pleutre et veule : ce sont des notables (voire imposteurs, comme la BD de Bédu et Cauvin se fait un plaisir de les croquer). Ils veulent bien s’attaquer à des individus isolés et sans défense, mais ils n’oseront rien dire sur les délires d’une secte puissante, avec ses organes de presse et ses fusils à lunettes. Il a fallu attendre la perspective que l’URSS soit proche de perdre la guerre froide, pour que les jeunes psychiatres parviennent à convaincre leurs aînés au sommet des institutions psychiatriques, de condamner enfin publiquement les incarcérations et tortures sous couleur psychiatrique des dissidents politiques tels que Jaurès Médviédiev ou Léonid Pliouchtch (et j’en oublie beaucoup, que les lésés me pardonnent). Quand la communauté des homosexuels les a menacés de voies de fait, l’institution psychiatrique des U.S.A. s’est couchée.

              Dès qu’ils commencent à mentir, nos enfants savent bien que chacun de nos psychismes est borné, et relativement impénétrable à autrui. Sauf une minorité de malchanceux, qui sont nés dans une famille schizophènogène, à laquelle ils ne parviennent pas à faire face - il y faut des recours extérieurs. Aussi bien Benjamin Ball que Charles Lasègue ont décrit les hallucinations, principalement auditives, des délirants qui leur ont été confiés. « Consciences cosmiques »...

              Là où on est moins renseignés, et où il nous faudrait une vraie anamnèse des cas Bernard Dugué, Stuart Hameroff, ou Roger Penrose : on ne sait pas quand ni comment le mode schizophrénique a pris le dessus chez eux. Pour Penrose, j’en sais un peu plus : sa rédaction devient de plus en plus obscure et inutilisable dans son domaine de compétence originelle, jusqu’à ce qu’il bondisse dans la plus complète incompétence - pour le plus grand profit de son éditeur.


              • Piere CHALORY Piere Chalory 14 avril 2015 17:55

                « Y a-t-il un grand architecte dans l’univers se demande Hawking dans son dernier livre ».


                Stephen Hawking a été initié en 1974 à la ’Royal Society’ dont les liens avec la franc maçonnerie sont connus, d’où sa ’question sur l’existence d’un ’grand architecte de l’univers ; le dieu des francs maçons. certains disent m^me que son rôle au sein de la communauté scientifique serait plus d’ordre ’maçonnique que scientifique :
                 
                ’’According to historian David Stevenson, the Royal Society was also influential to Freemasonry as it was emerging in Scotland. In later centuries, many esoteric societies have claimed to derive their doctrines, in whole or in part, from the original Rosicrucians. Several modern societies, which date the beginning of the Order to earlier centuries, have been formed for the study of Rosicrucianism and allied subjects. The 1974 initiation of Stephen Hawking into the Royal Society was thus functionally his initiation into an institution with a Masonic, rather than a scientific, legacy.’’

                ’’ Hawking souhaitait qu’une théorie physique livrant la pensée de Dieu puisse être comprise par tous.’’

                Oui, une sorte de ’nouvelle religion laïque ; précisément ce que nos ’élites tentent de nous imposer...

                • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 18:06

                  @Piere Chalory.

                  Voir là le délire de Hawking :
                  http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,1570.0.html

                  http://www.physicisttv.com/videos/The%20Grand%20Design.pdf
                  page 66 :

                  Citation
                  In the double-slit experiment Feynman’s ideas mean the particles take paths that go through only
                  one slit or only the other ; paths that thread through the first slit, back out through the second slit,
                  and then through the first again ; paths that visit the restaurant that serves that great curried shrimp,
                  and then circle Jupiter a few times before heading home ; even paths that go across the universe
                  and back. This, in Feynman’s view, explains how the particle acquires the information about
                  which slits are open—if a slit is open, the particle takes paths through it. When both slits are open,
                  the paths in which the particle travels through one slit can interfere with the paths in which it
                  travels through the other, causing the interference. It might sound nutty, but for the purposes of
                  most fundamental physics done today—and for the purposes of this book—Feynman’s formulation
                  has proved more useful than the original one.

                  Discussion avortée et punie là :
                  https://www.physicsforums.com/threads/feynman-paths-and-double-slit-experiment.513139/

                  Autres sommités qui niaisent à pleins tubes :
                  http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,887.0.html


                • Pierre-Joseph Proudhon Pierre-Joseph Proudhon 14 avril 2015 18:10

                  Cher Monsieur Dugué,

                  Vous devriez vous renseigner et vous informer : Votre théorie de la monadologie est dépassée par la nouvelle théorie que je suis en train de publier.

                  Elle s’appelle Cosmogonadologie des champs tendus.

                  Contrairement à celle que vous défendez et qui est basée sur la propagation d’un champ foutrique isotrope à 7 dimensions, la mienne est contruite sur la l’existance d’un champ ectoplasmique anisotrope sans dimension qui créée dans un vortex local l’apparition d’un champ radiant scalaire foutrique à 12 dimensions dont vous ne percevez malheureusement pas les 5 dimensions supplémentaires car elles ne sont pas foutriques mais ectoplasmiques.

                  Je vous prie donc de bien vouloir considérer cette théorie qui explique entièrement les artéfacts pentadimensionnels que vous ne parvenez pas à expliciter et que vous négligez honteusement.

                  Ces artéfacts sont pourtant bien l’élément le plus important qui permet de relier la physique relativiste, la physique quantique et surtout la physique bodybuildique (qui est, comme tout le monde le sait, une variante locale limitée de la topologie de surface).

                  Cordialement.

                  Pierre-Joseph Proudhon.


                  • MKT 14 avril 2015 18:21

                    @Pierre-Joseph Proudhon
                    Diable !
                    Auriez vous découvert « les roubignoles de Dieu » ?
                    Les Bogdanoff nous avaient déjà déniché « la particule de Dieu ».

                    Avez vous une idée à propos des anges (évitez de me sortir la réponse de jean Cocteau SVP) ?


                  • JC_Lavau JC_Lavau 14 avril 2015 18:35

                    @Pierre-Joseph Proudhon. Les « champs tendus » ? Il y en a sûrement une là dedans, mais je n’ai pas réussi à la trouver. Les dents en chute ? Mais la liaison ?

                    Et avec les champs de Dirac, vous faites quoi ?


                  • soi même 14 avril 2015 19:12

                    @Pierre-Joseph Proudhon, diable Proudhon vous aurez découvert le Diable avant Bernard ?


                  • Pierre-Joseph Proudhon Pierre-Joseph Proudhon 14 avril 2015 20:01

                    @soi même :

                    En effet, j’ai découvert le diable.

                    C’est tout à fait normal : Satan m’habite.

                    C’est d’ailleurs pour ça que j’ai nommé ma théorie « champs tendus » smiley .


                  • soi même 16 avril 2015 00:39

                    @Pierre-Joseph Proudhon, vous êtes partie pour vivres les contrastes .... !


                  • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 14 avril 2015 18:20

                    S’il y a encore des lecteurs qui n’ont rien compris et n’ont pas compris les fables de Bernard Dugué, je répète que ce bonhomme est « bloqué », il veut bien dire des choses mais il ne le peut pas !
                     
                    Pour aller au delà de la science du XXe siècle, il y a les NOUVEAUX CONCEPTS définis dans « RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET ÉPISTÉMOLOGIE » en 2001.


                    • JC_Lavau JC_Lavau 15 avril 2015 02:54

                      Avant lui, il y avait eu le hugodomoïde, de Léopold Hugo.
                      Lui aussi, c’était un cas grave.
                      Mauvaise copie, guère utilisable à https://archive.org/stream/lathoriehugodci00hugogoog/lathoriehugodci00hugogo og_djvu.txt

                      Il y avait au moins un dessin saisissant dans l’original.

                      Dans un mode plus narquois, il y avait eu aussi le cosmogol des Shadoks, et le bithure de zitron...

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