Votre conte, je vais
le faire coiter avec l’actualité politique française des
déclarations de rapprochement des sensibilités politiques du souk
de l’allégeance politicienne de ces derniers mois.Il en ressort,
entre autres, ce qui suit :
L’histoire
d’amour d’une bourrique fort vieille et d’un bourricot moyen jeune
Une
bourrique en sa dernière phase de vieillesse, mais restée festive
et motivée, se décida alors à traîner l’ une des charrettes d’
affaires politiciennes interlopes de la maison labelisée LR. Cette
charmante et larbine bourrique avait besoin comme guide conducteur,
d’un arriviste quadra bourricot VRP bankster, hissé
à la surprise générale parrain d’un troupeau appelé REM.
Réunis ensemble, Ils se font priés par leurs élus d’emprunter un
chemin de marche sur leurs têtes panachées de dindons consentants.
Ces dindons bien gras se font bien casquer jusqu’au dernier os, pour
la farce de la fête permanente de commémoration de la
journée-sanctuaire sans fin, de fortification de la puissance d’une
perverse et satanique oligarchie mondialiste, assistée de sa vassale
intellocratie médiatique propagandiste.
La science n’est qu’une partie de la connaissance humaine tout comme la technique y compris les jeux, les métiers et les arts, la philosophie, la poésie et le romanesque, la spiritualité.
La science et la philosophie utilisent tour à tour l’explication et la compréhension mais dans des proportions inverses, la science usant beaucoup plus de l’explication et la philosophie de la compréhension.
L’imagination, l’intuition et la compréhension étant communes à toutes les formes de savoir.
Ce qui compte pour le dévelpppement du savoir est que la connaissance soit signifiante.Le formalisme de la science lui procure une puissance d’explication acceptable pour tous, et qui peut être testée expérimentalement.
Si l’on veuille utiliser le filtre de popper, est seule considéré comme scientifique toute connaissance rationnelle qui a des ressorts à se rendre disponible à des protocoles de réfutation.Ainsi on peut déduire que toute connaissance rationnelle n’est pas nécessairement scientifique, et les exemples sont légion et commun dans la vie de tous les jours.Le crible de la signification renvoie à la pertinence et à l’utilité __ utilité dans son acception pratique de tous les jours et non dans son sens seulement économique__ de la connaissance humaine.
Tandis que l’importance de la compréhension est la plupart du temps subsidiaire par rapport à celle de l’explication dans les sciences dites naturelles, elle est à l’égale si ce n’est plus de l’explication dans les sciences dites sociales et humaines et la philosophie.
Toutes les religions et les idéologies expurgées de leurs fatras messianiques, les doctrines et les enseignements méta, para et quasi-scientifiques, la philosophie et les sciences sociales et humaines compréhensives/herméneutiques bien que non réfutables scientifiquement recèlent des pépites de signifiance, pouvant ou non augurer de percées scientifiques à venir ou de meilleure compréhension, certes limitée scientifiquement mais utile.
C’est sur cet ordre de connaissance que s’ordonnent le marxisme, le freudisme, le girardisme, les doctines et les stratégies politiques, les modèles de compréhension/explication des objets des sciences sociales, etc.
D’après mon humble expérience de la recherche et de
l’enseignement, de la conception et de la pratique de l’ingénierie et du
management, il m’apparaît, de plus en plus,
qu’on ne peut bien réfléchir et agir professionnellement, avec un vent
favorable, dans quelque domaine que ce soit, sans que nous ayons en notre for
intérieur une certaine philosophie de la vie, de la connaissance et du
déploiement pratique de cette connaissance.J’ai toujours essayé, peu ou prou,
en fonction des circonstances et de la nature des divers auditoires,
d’inculquer subtilement par l’exemple cet état d’esprit à mes différents
groupes d’auditeurs/apprenants, que ce soit d’étudiants des 1r et 2d cycles,
des doctorants ou des cadres expérimentés de haut niveau d’ingénierie et de management.
J’ai toujours considéré la personne auditeur/apprenant comme
le noyau central de ma pratique pédagogique.Je me suis toujours considéré comme
un simple animateur en principal privilégiant l’échange de pensées et
d’expériences, tout en étant concentré sur la thématique du jour de
l’enseignement/formation.J’insère, à la fin de chaque échange ainsi effectué
sur une durée d’une heure à 1h30, des exercices inédits de créativité et de
gymnastique des méninges.
La pédagogie est une thématique en forme de confluent de
tous les retombées et les enseignements
1)des expériences d’enseignants pédagogues et celles grandeur nature des
entités organisationnelles pédagogico-éducatives, comme par exemple celle menée
au Royaume Uni dés 1921 du siècle dernier par Neil d’un côté,
2)de la recherche tant en psychologie des groupes qu’en psychothérapie
d’apprentissage en général et celle rogérienne appélée approche centrée sur la
personne, en sciences de la cognition et des neurosciences, de la philosophie
socratique de la maieutique, celle analytique, critique et des
sciences/épistémologie et celle du personnalisme, de l’autre, et enfin
3)de la quête spirituelle personnelle de cheminement vers la bénédiction
divine comme chez le sage Jiddu Krishnamurti.
Le substrat
de soubassement de déploiement de ces savoirs et savoir-faire étant toujours
via une approche transdisciplinaire et holistique dans son sens d’un esprit
général contenant des univers et les entités qui s’y trouvent, tous sans
exception, à qualité fondamentalement holographique
et à interactions asymétriques de par la différentiation dans leur puissance
d’effets réels.
Un texte d’une enseignante- pédagogue a expérience éprouvée m’a paru intéressant a être partagé.Je vous
y livre son fichier PDF sur le
lien
“Meirieu a été l’inspirateur - il l’a
reconnu lui-même pour le regretter (! !! ) récemment - de la
formule : « l’élève au centre du système éducatif » de la Loi
d’Orientation de 89, formule qui pervertit la notion même d’autorité et de
rapport à la Loi.”
Si ce n’est pas la personne élève ou
apprenant en général que nous prenons comme noyau ou centre du système
éducatif, quelle entité alors devrait en être le pivot ?
Et quel rapport y’a t-il entre l’exercice
de l’autorité de l’organisation éducative, et le fait de considérer l’apprenant
comme central dans la problématique de l’apprentissage ?
Et quel lien y’a t-il entre enfant coeur de
cible du système éducatif et la publicité d’un côté, et la flatterie de ses
élans pulsionnels et la revendication de narcissisme enfantin “tout, et tout de
suite”.
J’aimerais bien être éclairé sur ces points
par votre savoir et savoir-faire de la pédagogie.
C’est un papier qui sent, à mille lieues, une odeur nauséabonde de propagande inintelligente d’attardé, avec en prime cerise sur le gateau, une saisie au vol d’un commentaire à la gloriole propagandiste venant d’une sentinelle Tsahal dans son penchant de psychopathe macabre, je veux dire le sioniste invétéré Chr. Labrune.
Bien au contraire, ces manifestations sont le signe d’un Iran de plus en plus vigoureux, dynamique et fort par son influence morale et non par prosélytisme ou une quelconque connivence prouvée dans les affaires intérieures des pays voisins des ennemis aârabs et des bases américaines dont il est entouré. Depuis l’avènement de la révolution islamique d’Iran en 1979, le régime en place, malgré la guerre de 8 ans qui lui a été imposée par les aârabs du golfe arabique menés par les USA et certaines puissances d’Europe, avec comme armature et outil de guerre le lâche et assassin Saddam Hussein, n’a cessé de s’assouplir et de se moderniser d’année en année, jusqu’à avoir une force d’opposition réelle mais fondamentalement positive et constructive de l’Etat et de la nation iranienne.
L’Iran n’est pas un pays factice et artificiel comme le sont les monarchies et les émirats aârabis du golfe arabique et Israel, pour prétendre le détruire avec votre espoir propagandiste d’enfant gâté du mauvais fric du mercenariat de la plume. C’est ces derniers pays cités bâtis sur du sable mouvant, conforté pour l’instant par leurs maîtres que sont les USA et certaines autres puissances occidentales, qui peuvent à tout moment une fois le parapluie de leurs maîtres fissuré ou carrément retiré pour une raison ou une autre à advenir, tomber d’eux-mêmes comme des chateaux de cartes.