A la vue du tableau, des sentiments m’ont traversé, et je ne sais si le peintre a fait, dans son champ créatif, le recoupement de ce ressenti .Il me semble que cette halte picturale renvoie comme signes d’une ére que nous vivons présentement.Ces signes sont des marqueurs de postures individuelle et « collective par simple addition pour cause de promiscuité urbaine ou autre, involontaire », de la présente humanité :
__ La tête de l’individu, jamais en face-à-face, par égocentrisme et narcissisme débile, cultivant de plus en plus l’indifférence, ou la haine encastrée.
__ La bouche entrouverte et prête ; à tout bout de champ, à dégainer un débit en continu, paradoxalement du vide de signification, de paroles de la parlotte pour la parlotte.
__ Le ricanement et le rictus d’humour noir, jamais en son endroit, et toujours en son envers, pour rabaisser autrui, pour se sentir in fine, plus puissant, plus civilisé, plus intelligent, plus ..., plus ..., etc.
__ Des têtes d’humains et de singes pour signifier qu’on est en présence d’une masse informe d’individus, d’une population d’incognitos entre eux. La société n’existe pas, et le peuple aussi faute de nation et d’idéologie qui y va avec.
__ Plusieurs visages de badauds et de « hurleurs » pour signifier, la facilité de conditionner et d’exciter mentalement, des populations à ressorts existentiels relâchés ; si ce n’est désaxés.
Et dans dans cette marée humaine, les entités en charge des manoeuvres géostratégiques comme certains Etats à visée de puissance impériale, d’un côté, et des organisations quelconques et des sectes, tous tendues vers des buts illicite, si ce n’est maléfique, de l’autre, trouvent en cette occurrence, à mettre entre leurs mains des matériaux faciles à endoctriner, à conditionner, à corrompre et à lobotomiser, via tout moyen d’action psychologique, de propagande, de désinformation et de smart intox des esprits.
Le mouvement salafiste est idéologiquement et pratiquement une secte nativement ignare et meurtrière.Etant donne cet état de fait, la justice peut engager une action judiciaire pouvant poursuivre tout adepte de cette secte. Le corpus juridique français interdit toute forme d’organisation sectaire à desseins meurtriers et devrait juridiquement conforter, sans complexes, toute décision judiciaire du conseil d’Etat avalisant en ce sens, les jugements des tribunaux.
C’est seulement par un travail grandeur nature sans équivoque et sans atermoiements, des services de sécurité soutenus par les politiques de tous bords, que la france peut être à même de déraciner cette pathologie sectaire meurtrière.
Le salafisme est une secte dont l’origine de sa naissance s’enracine chez les aârabs de la péninsule arabique, et principalement, ceux des tribus du nejd dont celles des Alsaoud. Ces aârabs ont été travaillés par des machayikhs de l’école hanbalite adeptes de la fermeture du BAB ELIJTIHAD__Porte de l’innovation raisonnée dans l’exégèse islamique, dès la fin du 16ème siècle. La rencontre au 17è/18è siècle de l’idéologie wahabbite avec la doxa de ces machayikhs hanbalites de la fermeture du déploiemenent de la raison et de la logique dans les croyances , fait éclore une organisation idéologique messianique, basée sur l’extrémisme opérationnel fortement déployé en secte militante totalisante et violente moralement et physiquement. En fait, on avait plus affaire à une communauté de croyants se ressourçant, peu ou prou, par l’échange d’arguments et de pensée reflexive sur sa propre religion. C’est dorénavant une instrumentalisation de la religion pour des objectifs terre-à -terre de puissance militaire, d’appât du gain et de conditionnement à outrance des membres de la secte pour le messianisme wahabbite.Une 2ème rencontre va être décisive, c’est celle de ladite secte avec les notables des tribus des Alsaoud.Une force guerrière de cette rencontre va naître pour soumettre à son joug la majeure partie de la péninsule arabique.Et la suite est connue, cette force va être instrumentalisée par le RU en premier pour combattre l’empire ottoman, et faire application de l’accord de Sykes-Picot, puis par les USA principalement .L’arabie saoudite est créée en 1932, Israel sa jumelle le sera en 1948, mais il faut dire qu’en 1917, année de la déclaration de balfour, une alliance, sous l’égide du RU, s’est tissée entre les Alsaoud et le sionisme international.L’avènement des pétrodollars a fait exporter cette croyance sectaire dans les pays dits arabes et certains pays musulmans et même, certains pays européens dont le RU en particulier.L’organisation des frères musulmans d’Egypte d’un côté, et les différentes associations des Oulamas musulmans à travers le monde de l’autre, ont été aussi des leviers de propagation de cette croyance sectaire. Cette croyance sectaire appelée salafisme est véritablement une secte satanique habillée pour tromperie de la population, par une doxa propagandiste pleine de mensonges, d’esprit rétrograde et de violence gratuite, et voulant l’arrimer aux fondamentaux de la religion islamique.
Le salafisme, mieux vaut dire le talafisme (égarement), est un courant sectaire maléfique, totalitaire et fasciste.Ce courant est en fait, de par sa structuration sectaire et sa haine de tout ce qui est rationnel dans l’approche de la croyance, une organisation satanique , qui a été toujours instrumentalisée par les monarchies et émirats du golfe arabique, en accompagnement stratégique et opérationnel par les services d’intelligence des USA, d’Israel, du Royaume-Uni et de la France. La guerre interne en syrie a montré, grandeur nature, les véritables parrains d’une telle organisation sectaire constituée d’êtres lobotomisés et prêts , via en plus un mercenariat à gros fric, a être utlisés comme objets de violence pour la violence. Ca a été un cas d’école, tout comme en Afghanistan dans le soutien de ces pays aux talibans et Elcaida dans la guerre contre l’ex- Union soviétique dans les années 1980.
La majorité des journaux, des magazines, des chaînes TV et des autres mass medias dans les pays occidentaux et de certains autres pays sous leur influence de par le monde, se plient à un modèle formalisé de journalisme de gueux propagandistes, conçu par leurs maîtres de l’oligarchie impériale « satanique », propagateurs d’une nouvelle table de valeurs humanitaristes fondée sur l’idéologie fric-roi , le titillement chaotique des bas instincts animaux de l’être humain et la création de foyers de tension pour un soft accaparement des biens d’autrui d’un côté, et de l’autre côté, de terrain d’expérimentation des nouveaux matériels et équipements militaires et paramilitaires (à croisement ou à recoupement d’usage civil-militaire).
Ce journalisme subtilement mensonger et propagandiste, autant rétribué largement que « généreusement », constitue aujourd’hui le mainstream dans les mass media, et a pour parrains principaux 2 puissances idéologiques, qui sont en train de se recouper de plus en plus, et d’avoir chemin faisant plus d’influence et de puissance, à savoir :
_ Le corpus, tous domaines de la connaissance confondus ( idéologie, politique, philosophie, art, littérature, histoire, géostratégie politique et militaire, théologie, savoir occulte satanique et sectaire, redéfinition des concepts de la séxologie de la perversité sexuelle et irruption de l’idéologie du séxualisme , idéologie du transhumanisme, etc.) du mondialisme impérial bidimensionnel de la richesse matérielle -reine et de la culture du « satanisme » dans les relations sociales et dans les moeurs des relations familiales et intimes.
__L’extension du sionisme originel vers le sionisme militant international et mondial en exacerbant, entre autres, les foyers de tension dans les minorités nationales et les régions territoriales nationales appelant à la secession de l’Etat-nation mère.L’objectif est de créer une nouvelle configuration territoriale et ethnique à l’échelle du monde entier, et surtout dans sa partie du proche et moyen-orient. Et ainsi on peut tabler à ce que l’Israel colonisateur, raciste et soft théocratique restera en permanence comme il est par cette dilution des territoires, des régions et des Etat-nations.
Il me semble que l’esprit de l’univers/multivers n’est pas le créateur de l’humanité.lui-même, il est créé par une entité inconnaissable que les uns appellent dieu et d’autres sous différents noms..
Cet esprit est exempt d’affects, indifférent à l’amour/haine et est déployé par dieu aux fins de poursuite d’atteinte de l’objectif du bien cosmique. Toutes les créatures baignent et ressortent de l’entité esprit.Ce dernier est en quelque sorte un soubassement “énergétique” inconnu dont les créatures ne sont que des parties/démembrements manifestées par de la matière /’énergie ; Laquelle nous ne connaissons la nature profonde que de manière superficielle.Cet esprit est probablement à structure holistique et holographique.
Des preuves de cet état de fait, il me semble qu’ils s’en trouvent 2 s’inscrivant sur 2 registres :
1.] L’un, celui relatif à notre vie de tous les jours, à savoir le phénomène de la créativité dans tout domaine de connaissance, scientifique soit-il, artistique, philosophique, technique, etc.Toute oeuvre de créativité fait intervenir une entité exogène en relation avec notre cerveau, dévoilant l’éclairci ou pour les grandes oeuvres une illumination
2..]l’autre est relatif aux avancées de la science fondamentale qu’est la physique de l’infiniment petit, à savoir : le phénomène de l’intrication en physique quantique. Ce phénomène n’a rien à voir avec le mouvement en rapport avec la vitesse de la lumière. C’est un phénomène, tout comme la créativité humaine, est régi par ce soubassement “énergétique”qui fait Interagir instantanément les particules, bien qu’elles soient distantes les unes par rapport aux autres à des millards d’années-lumières.
Le bien cosmique, objectif de sa poursuite assigné à l’esprit de l’univers/multivers par dieu, est décliné sous 3 attributs fondamentaux :
1.] celui de cohérence cosmique, c-à-d, un déploiement dynamique des créatures “chacun en son coin” en complémentarité “systémique” l’un par rapport à l’autre.
2.] celui de congruence pour les créatures dotées de conscience humaine dans leur dynamique d’interaction
3.] celui de justice banissant les actes délibérés par fait de volonté de puissance asymétriques inéquitables entre les créatures doteés de conscience, et jugeant les actes de chacun en fonction de leur degré de libre arbitre.