D’abord, oui, les Musulmans font bien pire : http://www.unfpa.org/swp/2000/pdf/english/chapter3.pdf
Pourcentage des femmes adultes ayant signalé avoir subi des violences de la part d’un partenaire mâle (extrait réordonné) :
Bangladesh 47%
Ethiopie 45%
Inde 40%
Egypte 34%
Canada 29%
Nicaragua 28%
Mexique 27%
États-Unis 22%
Suisse 21%
Cambodge 16%
Ensuite, le problème vient des lois. Il est interdit partout en Occident de battre sa femme (et aucune religion n’essaie seulement, à part l’Islam justement, de justifier ces exactions), mais pas là où le Coran est considéré comme une source de loi.
Enfin, je ne fais nulle part ici référence à Daniel Pipes. Et si c’était le cas, cela n’aurait rien pour me faire honte, au contraire.
De fait, le Coran a incité et incite des millions de maris à battre leur femme. Ne serait-ce qu’en permettant de l’interpréter si aisément de cette manière : http://www.ajm.ch/wordpress/?p=886
En fait, le verset 33:59 original (en arabe) évoque textuellement le jilbab, un vêtement couvrant le corps entier à l’exception du visage et des mains. Et le verset 24:31 est sensiblement plus précisément normatif que l’auteur de cet article ne le laisse croire, probablement dans le souci de favoriser l’impression selon laquelle ces textes peuvent aisément être interprétés (et pour éviter, peut-être, de rappeler que les esclaves et les eunuques sont des éléments communs de la société du prophète de l’Islam).
Je trouve qu’il y a une certaine légèreté, un peu coupable, à présenter les choses de cette manière. Car en proposant de baser des valeurs tolérantes sur le Coran, on participe également à en répandre le respect. Or l’expérience et le bon sens nous crient que l’intensité de la pratique religieuse islamique est proportionnelle à la fréquence de la lecture littérale de ses textes.
On ne peut pas en même temps prôner la légitimité du message du Coran et en refuser l’acceptation littérale. Pour tous ceux qui acceptent de croire en la valeur affichée de ces textes, pour les croyants, donc, le Coran est la parole même de Dieu. Cela ne se discute tout simplement pas. Et, en l’occurrence, la femme doit donc être couverte des pieds à la tête devant les étrangers et ne rien laisser voir de ses attraits. Pour plaire à Dieu. Le reste procède de simples jeux intellectuels, au fond un peu irresponsables.
Coran 9:111
Certes, Allah a acheté des croyants, leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis. Ils combattent dans le sentier d’Allah : ils tuent, et ils se font tuer.
Sahih Bukhari (les ahadith les mieux authentifiés) :
Volume 4, Book 52, Number 41 ; Narrated Abdullah bin Masud :
I asked Allah’s Apostle, "O Allah’s Apostle ! What is the best deed ?" He replied, "To offer the prayers at their early stated fixed times." I asked, "What is next in goodness ?" He replied, "To be good and dutiful to your parents." I further asked, what is next in goodness ?" He replied, "To participate in Jihad in Allah’s Cause." I did not ask Allah’s Apostle anymore and if I had asked him more, he would have told me more.
Volume 4, Book 52, Number 46 ; Narrated Abu Huraira :
I heard Allah’s Apostle saying, "The example of a Mujahid in Allah’s Cause— and Allah knows better who really strives in His Cause----is like a person who fasts and prays continuously. Allah guarantees that He will admit the Mujahid in His Cause into Paradise if he is killed, otherwise He will return him to his home safely with rewards and war booty."
On peut estimer à quelque 270 millions le nombre de victimes de cette doctrine (et ceci presque uniquement à l’arme blanche...), qui a fait loi (étude des bases légales islamiques du djihad par Averroès) pendant un bon millénaire. Ainsi, les Musulmans qui se font exploser aujourd’hui ne font qu’utiliser les techniques actuelles pour réaliser un très vieux projet.
Et rien n’indique qu’ils cesseront aussi longtemps qu’ils pourront croire à cette supercherie vénéneuse logée au plus profond du saint des saints islamique. C’est donc là qu’il faut intervenir pour « venir à bout de l’intégrisme ». Le reste, à une époque où plus de crédules que jamais dans l’histoire sont en mesure de lire ces textes, ne fait guère qu’attiser la flamme.
En fait, une réelle étude des motivations des Musulmans, contenue dans les textes sacrés de cette religion (coran, ahadith, sira, tafsir), révèle que le terrorisme islamique est né avec la fable de Mahomet et l’histoire de l’Islam indique clairement qu’il a toujours été la marque des Musulmans puissants, et non des pauvres.