Al Qaïda, c’est un peu comme la forêt tropicale. Si on la définit en fonction de ses composants fixes d’autrefois, elle n’en finit pas de mourir. En revanche, si on la définit par les composants qui présentent des caractéristiques similaires, elle se porte tout de suite beaucoup mieux.
Le service météorologique britannique (MET Service) annonce qu’il va refaire le travail du CRU à partir de zéro (écrire à 188 pays, collecter des données brutes de 160 ans de relevés, refaire les bases de données, les tris, les pondérations,...), cette fois en publiant l’ensemble des données et des codes. Il prévoit d’y passer trois ans.
L’élément le plus décisif qui ressort du climategate est peut-être la mise au jour du fait que les démonstrations de l’origine humaine du réchauffement ne sont pas fondées scientifiquement.
Ni l’équipe du CRU, ni celle de la NASA (donc les auteurs des principales sources, et de loin, de la démonstration du réchauffement des 150 dernières années) n’ont publié les données qui permettraient de contrôler leurs travaux. L’équipe du CRU n’a publié aucunes données brutes (bien que les revues scientifiques qui ont publié leurs travaux exigent, d’ordinaire, que tout soit publié, dans le pire des cas après un ou deux ans, le temps de bien exploiter les données avant que la « concurrence » ne puisse y accéder), arguant du fait que (certaines de) ces données lui avaient été transmises sous condition de ne pas les divulguer (questions commerciales). Entretemps, ces obstacles ont été levés (dans le cadre d’une action en justice) et les « scientifiques » ont alors déclaré avoir détruit les données originales lors d’un déménagement. L’équipe de la NASA a publié les données brutes US (bien obligé, il s’agit de données obtenues avec l’argent des contribuables américains), mais elle se refuse toujours (là aussi, des actions en justice sont en cours) à publier ses tris de ces données brutes (toutes les sources n’ont pas été utilisées ou pas sur toutes les périodes couvertes) ainsi que les pondérations effectuées (il faut homogénéiser les données pour tenir compte des différents systèmes de mesure et des modifications intervenues dans l’environnement des stations météo). Si bien qu’il est impossible (et pour le CRU, semble-t-il, cela le restera à tout jamais) de vérifier la qualité des travaux qui ont formé la base de la démonstration du réchauffement climatique moderne.
Le réchauffement climatique d’origine humaine existe peut-être. Mais pour l’instant, ce n’est pas la science qui le dit.
Selon la même traduction de l’auteur (page 446), verset 33:59 : « Ô prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs mantes. Cela est le moindre pour qu’elles soient reconnues et ainsi elles ne subiront pas de mal. Dieu est (...) » Et c’est pour cela surtout que les musulmanes sont voilées. Et il vaut la peine, bien que cela s’inscrive dans un autre registre, mais mille fois plus commun dans le coran, de citer aussi les versets 61 et 62 (donc quelques lignes plus loin) de la même sourate, selon le même ouvrage du même traducteur : « Maudits ! où qu’on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement. C’est la loi de Dieu pour ceux qui sont passés auparavant. Jamais tu ne trouveras de changement dans la loi de Dieu. »