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Alex

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  • Alex 21 avril 2011 13:47

    Oulà ! Que de caricature !

    Tout n’était pas mieux il y a 50 ans. Mais nul doute que certaines choses étaient mieux qu’aujourd’hui.

    Dire qu’aujourd’hui, à tout point de vue, la vie est meilleure qu’il y a 50 ans parce grâce au progrès technique c’est aussi bête que de dire que c’était mieux du temps de grand papa.

    Quid du progrès social, humain ?
    Je ne suis pas sûr qu’aujourd’hui les relations entre les gens soient meilleures qu’il y a50 ans. Que ce soit en ville (surdensité) ou à la campagne où on discute à peine son voisin à force de se déplacer en voiture.
    Nos parents ou grand parents auraient sans doute des leçons à nous donner en terme de solidarité aussi.
    La pression sociale et religieuse étaient fortes mais chacun avait sa place.

    Quant à la qualité de vie. Elle dépend plus d’une posture morale et de sa condition sociale que d’éléments matériels généraux du type :« y a t’il un cinoche, un réseau de bus dans ma ville ? » ou plus particulier :« ai je le dernier téléphone portable à la mode ? Est ce que ma voiture est la plus chère du voisinage ? Ai je bien 22°C dans toutes les pièces grâce mes radiateurs nucléaires ? »



  • Alex 17 avril 2011 19:44

    Attention de ne pas confondre catastrophisme ou pessimisme avec réalisme. L’optimisme béat ou la fois aveugle en la science ne donnent pas non plus des outils pertinents pour analyser une situation. La méthode Coué ne marche pas avec la déplétion des énergies fossiles.

    Peut-être que la situation est réellement difficile et que la fête est réellement finie. Pourquoi ce serait automatiquement du catastrophisme ?



  • Alex 17 avril 2011 01:45

    Pour l’actu, voir le forum



  • Alex 17 avril 2011 01:40

    Si un milliard de gens crèvent de faim ce n’est pas parce que la terre ne peut pas produire assez pour les nourrir ! C’est un problème politique. C’est parce que les pays du nord surexploitent les pays du sud. Parce que le FMI, complice des entreprises de produits phyto, de semences, les industriels de l’agro alimentaire détruisent les structures vivrières des pays pauvres en les incitant à produire des denrées d’exportations qu’ils achètent à bas prix, laissant les paysans dans la misère et sans culture vivrière pour survivre. Lesquels crèvent de faim ou partent dans des bidonvilles urbains pour... crever de faim.

    Qu’on ne puisse pas maintenir indéfiniment une croissance de la population mondiale soit mais n’oublions pas qu’un seul riche consomme beaucoup plus d’espace vital et donc de nourriture que plusieurs pauvres.

    Enfin, il n’y a pas que « faire du blé » dans la vie...



  • Alex 17 avril 2011 01:18

    Personnellement, je pense que la démocratie représentative telle qu’elle existe aujourd’hui n’est plus de la démocratie au sens premier du terme. Elles sert juste à légitimer la position d’une oligarchie qui vit sur le dos d’une masse laborieuse et exclut une autre masse de pauvres.
    Sortir de ce système c’est aussi arrêter de l’alimenter. Dans cette optique, le troc pourquoi pas.

    Qualifier le troc de fonctionnement ultralibéral ne veut rien dire. On pourrait très bien inventer un modèle de société dans lequel on taxerait le mésusage par rapport au bon usage d’une ressource. Auquel cas, tous les échanges, sans exception, ne seraient plus une ressource majeure de l’Etat. On pourrait imposer uniquement certaines transactions (les autres pouvant faire l’objet de troc) afin de faire jouer à plein l’effet de levier de l’impôt.

    Par exemple, au lieu de taxer la consommation globale par la TVA, on pourrait taxer la consommation d’eau ou d’énergie fossile (par exemple) au delà d’un seuil commun pour tous au delà duquel, par une décision démocratique (et non pas institutionnelle soumise aux lobbies, interêts privés et autres magouilles « politiques »), les utilisateurs auraient à payer bien plus cher pour un usage excessif (piscines privées, chauffage au fuel de 300 m² à 25°C, 80 000 KM/ an en voiture ou que sais je...). Cela implique deux choses :

    -Il faudrait mettre fin au fonctionnement actuel politique qui est un simulacre de démocratie dans lequel l’argent est LE facteur discriminant, le seul élément dominant de décision. Mais attention ! Car dans une pelote de fil, quand on tire trop fort sur un bout, cela ne donne qu’un noeud !
    -Cette solution ferait que les pauvres pourraient bénéficier d’un « service publique » accessible à tous et que les riches devraient payer plein pot s’ils veulent flamber. Idée totalement inacceptable en Sarkosie !
    -Il faudrait nationaliser la fourniture de biens et services dont les mésusages peuvent nuire au bien commun comme la monnaie, l’énergie, les ressources rares ou indispensables (blasphème capitalistique suprême !) ,

    -Et surtout il faudrait avant tout admettre que l’Homme puisse être confronté à la notion de limite(s) et qu’il puisse avoir la capacité d’anticipation pour appréhender les conséquences du dépassement de ces limites et donc les solutions pour rester en deça.

    C’est la première fois, dans son histoire globale que l’Homme atteint les limites de son biotope (la Terre). Il ne s’en rend par encore compte mais il va devoir les respecter. De gré ou de force. L’idée commence à faire son chemin. Mais la réalité se chargera d’accélérer la prise de conscience... à moins que les leviers technologiques nous permettent d’exploiter les ressources naturelles jusqu’au dernier gramme, au dernier KWh avant l’extinction des feux !

    Le troc, l’économie, la société, la philosophie, la physique. Tout est lié...


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