[...] il revient aux partis traditionnels, républicains, de hausser le niveau. Redonner à la politique ses lettres de noblesse. Ne pas se vautrer dans le populisme ou la démagogie. Arrêter de nous envaper. Parler correct. Comme à des gens qu’entravent ce qu’on leur baragouine. S’il n’est pas trop tard...
Il est trop tard !
Comment pourriez-vous, pourrions-nous, avoir encore quelque espoir sur une forme d’intégrité de la part de ces charlots ? Que ce soit ceux qui nous (hem) « gouvernent » ou ceux qui aimeraient le faire. J’ose espérer que nous sommes tous bien conscients qu’il n’y e a pas un seul de valable dans toute la liste.
Excusez-moi, mais à pat profiter de ce qui me reste de temps pour installer des panneaux solaires, creuser un puits et y foutre une pompe, récupérer le max de livre pour faire la classe à mes mômes et m’entourer de murs d’enceinte digne d’Auschwitz, je ne vois pas bien quoi faire....
Sinon, on s’y met tous avec des piques et des fourches et on dégage tout ce beau monde !!!
Puisque vous voulez absolument en rester à des personnages célèbres : Quid des « Mère Théresa », des « l’Abbé Pierre », des « Gandhi » ?
Ces gens-là, les compareriez-vous à un Johnny ou un James Dean ?!!?
Et ces gens-là, pensez-vous qu’ils agissaient seuls ? Bien évidemment que non !
Des tas de personnes sur Terre donnent de leur temps, 5 mn ou toute une vie, pour le bien-être d’un ou des autre(s).
Et c’est seulement cela qui suffit à ce que ces personnes ne soient pas oubliées. Elles ne le seront pas par celui qui a reçu le réconfort nécessaire au moment où il en avait le plus besoin. Et ceci, il l’aura raconté à ses enfants, ses proches, qui eux non plus n’oublieront pas, et ainsi de suite...
Et la création d’une oeuvre artistique n’est rien d’autre qu’un don, don d’une partie de soi-même, souvent dans l’attente d’une reconnaissance ; C’est une question d’ego.
Le don gratuit est au moins autant, si ce n’est plus, important !
C’est ce don de 5 mn ou de toute une vie qui fait que l’on ne vous oubliera pas. Vous voyez, toute vie a une raison d’être, de partir, puis de demeurer.