D’abord et avant tout, je suis entièrement en accord avec l’intro et le 1er paragraphe que j’estime d’une parfaite justesse et dont j’apprécie tout particulièrement les métaphores plus que parlantes.
Tu vois, je savais que la brillance serait vite de retour.
Ensuite, d’où tires-tu ce passage en italique ? Il est surprenant d’actualité pour des faits relatant une partie de l’Histoire d’il y a pas loin d’un siècle. Incroyable !
Quand on sait ce qu’il en est de l’état de délabrement de l’économie américaine (et pas que, d’ailleurs), quand on imagine la planche à billet essoufflée de tant de travail actuellement, quand les libertés se restreignent plus vite que les jours ne passent, bref... Incroyable ! Bis repetita, et pas rassurant du tout.
Dans la logique intelligente des choses, on se rencontre, on discute et on partage, on trouve des affinités, on tente le coup, et on avise en fonction de ce qu’il advient lors du temps qui passe.
En quoi cette obligation de ne pas être « en couple » ou « un couple » ?
Une entente se fait à deux (ou plus !) et il est vrai que c’est le départ d’un compromis entre les « contractants ».
Mais pourquoi donc vouloir absolument mettre des termes définitifs dans le cadre d’une relation « r », alors que la base même d’une relation affective (et ce dernier terme est présent dans l’appellation à laquelle vous faites référence) est soumise naturellement à de l’imprévu et donc à du « hors-contrat » ?