Ton texte est très beau parce qu’il est simple et cru, comme la vie.
J’ai trouvé étonnante la chronologie que tu y a appliquée avec chacun des titres de phase. Cela m’a fait très exactement pensé à toutes ces étapes que l’on traverse lorsque l’on fait le deuil d’un proche. Et quand on arrive enfin au bout de cette longue période, l’espoir, la vie, la joie et le nouveau renaissent.
Alors si tu permets, je dirais qu’Evan a fait le deuil de lui-même. Il s’est ouvert vers un infini heureux.
Je crois que c’est ce qui me touche le plus dans ce beau texte.
Il n’y a qu’à écouter les airs de maître d’école à l’ancienne qu’a pris Barouin pour tancer Hirsh à la suite de ses déclarations.
Il n’y a qu’à lire l’actualité de ce même jour pour en voir certains effarer qu’on puisse oser - vous rendez-vous compte : OSER !!! -penser à taxer les oeuvre d’art.
Il est tellement plus simple d’aller taper un peu plus fort encore sur la tête de ceux qui sont déjà englués dans le sol au point de ne plus pouvoir rester droit. Tous ces « pauvres » qui n’ont rien pour se défendre sérieusement. Ces raclures qui sont bien évidemment la seule et unique cause du déficit de l’Etat, avec les immigrés.
Le mépris exprimé publiquement par des journalistes (comme vous le notez) et par les hommes politiques à l’égard de ceux qui ne sont rien d’autres que les victimes d’un système qui marche sur la tête (et Dieu sait, si cela ce voit partout sur la planète actuellement !) est absolument infâme, intolérable, honteux et indigne.
Que des responsables politiques puissent dire ces choses avec une sorte de haussement d’épaule, comme si c’était une évidence, devrait les mener directement à la potence.
Ces gens n’ont strictement aucune idée de ce que représente le fait de vivre avec moins que le seuil de pauvreté (900 euros) qui est lui-même déjà ridicule...
Effarant d’aveuglement idiot et égoïste, révoltant de profit d’une place octroyant des droits qui ne lui ont pas été donné par le peuple. Car, pour le peuple, pour les votants (si l’on veut être intègre - Savoir si nous le devons est autre chose), qui est Copé, QUI ? A part, un, parmi les pires opportunistes...
Il est grandement temps de rendre à la Démocratie ses lettres de noblesse, perdues depuis belle lurette.
Merci de votre papier, toute indignation à ce sujet est importante et elle devrait être bien plus conséquente, si l’on songe à tout ce que cela peut suggérer pour l’avenir et ce que ces vampires ont l’intention d’en faire à l’encontre du peuple.
Ne vous leurrez plus ! Pour être démago puissance 10, je dirais : Ca n’arrive pas qu’aux autres.
Il nous faut nous unir, en aucun cas nous laisser prendre à leur jeu de délitement de la solidarité, de séparation des uns et des autres.
Cette proposition de loi n’est rien d’autre que le retour du STO, c’est une honte.
Tu as parfaitement ciblé tous les points dégueulasses qu’elle représente, j’y ajouterais qu’en plus, le sempiternel diviser pour mieux régner n’a pas été oublié puisque tous les bénéficiaires du RSA ne seront pas concernés. Parce qu’il y a selon Marc-Philippe Daubresse, [...]
« Environ un tiers des 1,15 million de foyers qui perçoivent l’ancien RMI ne sont pas en état de travailler sans un accompagnement social lourd. Mais pour les autres nous allons proposer un contrat d’utilité sociale rémunéré de cinq à dix heures par semaine, dans des collectivités ou des structures d’insertion », explique-t-il. En cas de refus, « le RSA pourra être diminué de manière dégressive », précise le secrétaire général adjoint..."
Beurk, beurk, beurk et re-beurk ! Allons-y gaiement pour foutre le bordel entre les uns et les autres d’une même population. Ces décideurs sont des fous dangereux.
Ils ne reculent devant rien avec un air de condescendance insupportable. Suggérons donc que ces cons descendent un peu de leur piédestal auto octroyé.
Le coup de semonce (si je puis m’exprimer ainsi !) de ce maire n’est rien d’autre que le cri du désespoir !
Et comme on le comprend ! Non seulement lui, mais surtout et avant tout, tous les gens qui vivent dans cette atmosphère quotidienne, si « vivre » est encore le terme qui convient...
Que l’on cesse de nous bassiner avec des histoires d’immigration, etc.
Les choses sont on ne peut plus simples ! Nous sommes en république ! En République, il y a des lois qui se doivent d’être respectées.
Il est inadmissible que ceux qui y contreviennent ne soient pas au plus vite, empêchés de nuire !
Le problème est donc, directement et absolument lié à l’Etat (et donc, au gouvernement) qui n’applique pas les mesures nécessaires pour faire cesser illico-presto, ce marasme.
Je tiens, en ce qui me concerne, personnellement responsables, le Chef de l’Etat et celui du Gouvernement, de cette gabégie. Que l’on fasse intervenir l’armée ou la police ou la gendarmerie, peu nous importe !
Faites intervenir qui vous voulez mais mettez un coup d’arrêt définitif à ce foutoir intolérable.
Ca devient « Il était une fois dans l’ouest » ! On rêve ! Enfin, plutôt, on cauchemarde !
Mais, pardon, c’est tout l’intérêt de considérer le couple traditionnel comme n’étant PAS une cage, justement !
Je comprends bien que ceux qui s’enferment dans un tel grillage aient envie de s’en enfuir. Mais pourquoi, le couple « traditionnel » comme vous le nommez devrait forcément être l’équivalent d’un cadre dans lequel on s’ennuie, ou dans lequel on est submergé par des règles auxquelles o n’adhère pas ?
Il me semble que l’on peut vivre en bonne intelligence, dans le cadre de cet aspect traditionnel, sans pour autant nécessiter le recours à une nouvelle forme de vie avec de nouvelles règles, et puis, gnagnagna...
Enfin, je veux dire que la question posée est celle de l’accord entre les partenaires sur la façon de voir la vie, non pas seulement au moment de la rencontre mais bien au-delà dans l’avenir, y compris lointain.
A partir du moment où il y a une entente sur les points essentiels de la vie, enfants, famille, couple, travail, amis etc., et que les choses sont posées de manière claire, il n’y a aucune raison pour que le couple ne fonctionne pas. Certes les anicroches et autres engueulades sont bien évidemment probables mais sans remise en question profonde.
Donc, où est l’intérêt de créer cette nouvelle forme de relation que vous proposez ? Ne serait-ce pas plus judicieux d’aborder le couple, tel qu’il existe actuellement, mais d’une façon plus approfondie, plus réfléchie ?
Je n’ai pas eu le temps de lire la suite de cet article, celui-ci m’étant particulièrement compté en ce moment, j’en suis navrée. Je m’efforcerais, si possible, de le faire.