« ...Mes pensées se tournaient plutôt vers les années 1970 aux Etats-Unis, où les programmeurs civils étaient majoritairement des ingénieurs en entreprise ou des universitaires. »
1970, cela faisait plus de 25 ans que les ordinateurs existaient. Et plus de 6 ans que, jeune ingénieur, je programmais. J’avais appris la programmation en Fortran à l’école d’ingénieurs.
J’ai effectivement commencé par programmer pour faire mon boulot d’ingénieur, mais, petit à petit, je n’ai fait plus que cela pour devenir, insensiblement, informaticien.
Une fois téléchargé, vous conservez votre livre dans un fichier de votre PC (en plus de le mettre sur la liseuse) et il reste dans l’état qui était le sien lorsque vous l’avez reçu.
Ricoxy, il n’y a aucun problème pour mettre des annotations sur un livre électronique. Au contraire, vous avez toute une palette de crayons pour différencier vos remarques et des outils pour les retrouver rapidement.
Je suis un lecteur compulsif, capable de lire un annuaire téléphonique en cas de manque. Je voyage beaucoup et souvent au milieu de nulle part. Avant le livre électronique, ma principale angoisse était de me trouver en rupture de livres, sans compter que j’apportais des kilos de bouquins avec moi, pas vraiment pratique avec les restrictions apportées au poids des bagages. Alors, pour moi, le livre électronique : incontournable.
Une dernière précision, je ne suis pas un petit jeune qui se jette sur n’importe quelle nouveauté. À plus de 70 ans, je sais reconnaitre ce qui me rend vraiment service.
Pierre Dac avait-il prescience de R. Dati lorsqu’il a énoncé ce truisme :
« En
politique, parler pour ne rien dire, et ne rien dire pour parler sont
les deux principes majeurs de ceux qui feraient mieux de la fermer avant
de l’ouvrir
».