Ouaip, mais au bout du compte ça ne fait plus l’effet escompté...
Va falloir qu’ils trouvent autre chose parce que même avec ça, j’ai plus envie d’acheter tellement je suis blasée... Quelle que soit la marque, quel que soit le label ; quelle que soit l’origine, j’ai fait une overdose. Alors le monde de la pub va pas faire des profits avec une cliente comme moi.
Qu’est-ce que ça a à faire voir avec l’assassinat ???
Il est vrai que le divorce conduise à un moment de désespoir qui pour les plus perturbés (malades) peut aboutir à un suicide...
Mais zut ! Le divorce ne justifie en aucun cas un MEURTRE !!! C’est du domaine du CRIMINEL, il n’y a pas d’excuse et le crime passionnel n’a que trop duré pour justifier de l’éxécution par égoïsme qui peut mettre en évidence un danger pour les autres ! Pareil pour B. Cantat : Le fait qu’il reprenne sa vie petit à petit sans que cette expérience l’ai conduit à essayer de protéger les gens d’actes aussi irréfléchis que le sien prouve quelque part qu’il n’a tiré aucune leçon de sa responsabilité dans la destruction d’un être humain sans aucune méchanceté qu’il était supposé aimer !..
Personnellement, je ne m’attends pas à un suicide ou à des excuses, mais à une prise de conscience et une action qui prouve que cet acte horrible et impardonable marque à jamais la faiblesse humaine pour lui donner la force dans le combat de l’injustice, là où d’autres se sont sacrifiés par un amour que ceux là n’ont pas étés capables...
Je ne fais pas le procès du suicide, je déplore que des âmes trop sensibles n’aient pas eu la force de vivre dans un monde où il faut parfois se battre, mais comment leur "jeter la pierre" ?
Pour B. Cantat, j’espère que son retour à la "vie" lui donnera l’oportunité de mener le "bon" combat... Sinon, il restera un exemple de réussite pour ceux qui veulent trouver une justification à la suppression de la vie d’autrui par raison dite (HARGGGG) "d’amour".
Les hommes doivent être virils, les femmes doivent être douces et fragiles...
Personellement, je connais l’autre côté : on me reproche d’être indépendante, de ne pas sombrer quand un mec me laisse tomber avec un môme que j’assume très bien (3 mecs, 4 mômes et finalement seule), et en plus il y en a pour se se demander si je ne suis pas de l’autre bord !
Je n’en suis pas et je parie que si j’en étais, il y aurait d’autres réponses à la vérité qui est :
Je suis et j’agis en fonction de mes convictions et les responsabilités que j’assume (assumer est quelque chose qui n’est pas à la portée de tous, il faut croire), et cela n’a rien à voir avec le sexe, ni par ce qu’il différencie, ni par ce qu’il inspire "loisirement" parlant...
J’imagine que cet homme se sentait tellement plus important que la vie d’autrui, qu’il n’a fait que destruction et n’a même pas eu le courage d’affronter sa remise en question et je déplore que d’autres se soient sentis suffisament proches de sa conception égocentrique pour lui faire hommage (mais je peux me tromper, je reste ouverte à toute autre explication).
Si vous croyez vous apprécier en désapréciant "l’autre", vous faites partie des fléaux de l’humanité car vous n’êtes même pas capable d’amour : L’amour, c’est aprécier que l’autre EXISTE et qu’il soit DIFFERENT, qu’il pense autrement et (tant qu’il n’est pas nuisible, ce à quoi vous vous exposez avec votre logique) non l’ambition de possession exclusive.
Pour l’article, je vous remercie Imhothep pour l’info, mais pas pour l’effet... Au moins, vous savez que vous n’êtes pas le seul à être "dég".