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Archibald

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  • Premier article le 16/04/2013
  • Modérateur depuis le 22/04/2013
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Derniers commentaires



  • Archibald 17 avril 2013 18:13

    Multiplier les salades, elles resteront salades... ;) Quant à la science, je crains que le fantasme ne soit du côté des théoriciens du genre. Rappelez-vous les théoriciens de l’antipsychiatrie qui prétendaient avec certitude, croix de bois croix de fer !!, que la schizophrénie était due à la responsabilité de la société ? Quand les scientifiques se sont penchés sur la question, ils ont établi que la schizophrénie se manifeste de façon identique dans tous les types de société. Mais comme toujours avec ce genre de pseudo-scientifique, De savoir ce qui est vrai ou faux dans l’affaire, point question.



  • Archibald 17 avril 2013 18:05

     

    @Barratier

    Je vais vous répondre en suivant le fil de votre message pour que ce soit plus aisé à suivre.

     

    1/ Je ne fais pas de théorie. Ai-je exposer quoi que ce soit ? Je ne dis pas que la théorie du genre est totalitaire. Je dis que la façon dont on veut l’implanter relève de méthodes totalitaires. En effet, et j’ai écrit un article sur le sujet que vous gagneriez à lire, mais avec davantage d’application que vous le fîtes avec celui-ci, réaliser ce que développe les théoriciens du genre ne me gêne pas, à condition que ceux qui devront le subir en débatte. Cela s’appelle, depuis un moment, le processus démocratique.

     

    2/ Permettez que je vous apprenne que la première cause de cancer est l’âge. Interrogez n’importe quel professeur de cancérologie. Ainsi, l’espérance de vie est la première cause de cancer. Doit-on la freiner ? Deuxièmement, l’inflation du nombre de cancer est également due à la finesse de détection des outils médicaux. Il y a plus de cancers car on peut les détecter.

     

    3/ De la théorie de Lyssenko que vous tentez pesamment d’appuyer ou de justifier ou d’expliquer, vous omettez commodément de dire que tous les scientifiques qui se sont élevés contre, car contrairement à ce que vous affirmez, les bêtises d’alors étaient connues, et bien ces gens-là ont fini au goulag pour les uns, exécutés pour les autres. Belle preuve qu’on se souciait de l’avenir du peuple. En essayant d’implanter la théorie du genre dans sa vie sans lui dire, ne fixe-t-on pas le même traitement au peuple français ?

     

    4/ Qui a dit que hommes et femmes se réduisaient à des comportements sexuels ? Vous délirez en inventant des arguments...

     

    5/ J’aimerais savoir qui je manipule. Je cite mes sources et de un. Et de deux je déclare cet article comme étant d’opinion, ce qui n’est pas un délit, c’est même à la fois un droit et un devoir, sinon un exercice assez plaisant. Et je me réjouis de pouvoir croiser le mot avec vous. Ne craignez rien, j’ai mouchetté les miens..

     

    6/ Quant aux livres scolaires, ils font parti de la création de l’opinion, ne vous en déplaise. Allez donc lire l’ouvrage de ce journaliste italien qui nous a quitté le 31 mars dernier. Encore une fois, je cite une source, et qui plus est, une que l’on dit d’autorité.

     

    7/ Quant à l’idéologie dite ultra libérale, je suppose que le ultra a pour fonction de mettre un peut de diablerie dans la libéralisme. Cela dit, méditez cela : Quel marxiste songe à constater qu’au long du XXe siècle les injustices sociales se réduisent dans les sociétés capitalistes et s’aggravent dans les sociétés socialistes ?

     



  • Archibald 17 avril 2013 16:25

    Ce que la théorie du genre dit : l’enveloppe physique distingue l’homme de la femme de la même façon que la couleur de peau change parfois selon les continents. La perversion de la société provoque l’inégalité. J’ai même entendu des sociologues avoir la malhonnêteté de dire qu’un fauteuil n’est pas nécessairement masculin. Faire de la langue française un argument du genre, ce serait drôle si les conséquences n’étaient si graves.

    D’ailleurs, il serait superflu de le préciser, n’était le bilboquet de la féminisation des noms due à un esprit « politiquement correct » borgne, sinon borné. Les coupables de ces sornettes oublient-ils ou ignorent-ils que, selon les bonnes grammaires, « homme », comme maints autres substantifs, est tantôt « marqué », tantôt, et le plus fréquemment, « non marqué », c’est-à-dire désignant les deux sexes de l’espèce humaine, y compris les enfants ? A l’entrée « homme », c’est seulement au onzième paragraphe, après cinq hautes pages serrées, bourrées de très fins caractères, que Littré donne la définition « marquée » à savoir : « L’être qui, dans l’espèce humaine, appartient au sexe mâle. » Quand Cioran, dans une culbute de son réjouissant pessimisme, se proclame excédé par l’homme au point d’exiger « qu’il déguerpisse au plus vite », il n’adresse, de toute évidence, pas cette injonction aux seuls garçons. Que le féminisme de secte nous accule à devoir fournir d’aussi imbéciles précisions est humiliant.

    Reprenons. Votre façon d’expliquer la théorie du genre est fausse, notamment pour les raisons que je viens d’évoquer.

    Un exemple parmi d’autres pour le démontrer et qui, souvent, tente de donner le vernis de la crédibilité aux prophètes du genre. L’autorité de Simone de Beauvoir est souvent convoquée pour renforcer leur argumentaire. Ils citent cet extrait du livre Le deuxième sexe : "On ne naît pas femme, on le devient". Cependant, ainsi que Sylviane Agacinski l’a rappelé dans l’émission de radio Répliques diffusée sur France Culture le 13 mars dernier, Simone de Beauvoir, dans les premières pages du même livre, se moque de certaines américaines. Car ces dernières, comme Dorothy Parker, prétendent ne pas être des femmes, mais n’être que des êtres humains, et Simone de Beauvoir d’écrire : "On ne peut pas sans mauvaise foi se situer par-delà son sexe." Ce qui donne un tout autre relief à la première citation, et démontre la volonté sournoise d’extraire une vérité qui n’existe pas.

    Tout ce qui concerne le matérialisme de la société qui oppresse le peuple et pervertit la société prend racine dans une lecture imparfaite et impropre de l’œuvre de Marx. On sait ce que les déviations ont donné. Le mythe de l’homme nouveau n’a jamais cessé de trôner au panthéon des disciples de ces déviations. La théorie du genre n’en est qu’une autre. 



  • Archibald 17 avril 2013 16:03

    L’information est la première action en démocratie. A partir du moment où le peuple agit en votant, il ne peut le faire justement qu’en étant alimenté d’une information juste sur ce qui l’entoure. Le mensonge est l’arme la pire contre la démocratie. C’est ce que j’entends également par déni de démocratie.



  • Archibald 16 avril 2013 12:14

    Le mot Hétérophobie existe depuis au moins vingt-cinq ans. Mais l’existence d’un mot n’empêche pas l’amélioration d’une situation ni ne l’explique. Il existe un mouvement qui refuse de se présenter devant les citoyens pour s’expliquer, proposer un projet de société et le soumettre à discussion. Un autre rapport du gouvernement confirme cette thèse : http://lavendeeautrement.over-blog.com/article-la-theorie-du-genre-ou-le-deni-de-democratie-116835159.html

    Ce qui est dangereux, ce n’est pas la mise en lumière de quelques types qui tabassent un homo. Il y a toujours eu des crétins décérébrés, quelle que soit la société. Ce qui est alarmant, c’est la volonté claire de refuser aux gens, comme vous et moi, le droit de décider pour eux-mêmes. Le mariage pour tous est voté en partie. C’est très bien. La démocratie a fait son oeuvre, elle ne satisfera jamais tout le monde, mais elle prend le temps de construire un projet de société en commun, faire société, selon la volonté démocratique. Or, j’ai l’impression que c’est là que le bât blesse : en refusant au peuple le choix de son avenir, on détrousse la démocratie de son âme. L’homophobie n’est que le paravent de ce séisme, et, je le répète, il y aura toujours des idiots pour utiliser la violence. En revanche, ceux qui utilisent cette violence pour dissimuler leurs intentions, ceux-là sont peut-être pires.
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