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Argo

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Travailler plus pour gagner plus ? La forme même des pyramides d'Egypte, nous enseigne que les ouvriers, et ce dès la plus haute antiquité, avaient développé une tendance naturelle à en faire de moins en moins.

Tableau de bord

  • Premier article le 20/03/2007
  • Modérateur depuis le 12/04/2007
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Derniers commentaires



  • Argo Argo 2 janvier 2012 12:33

    Merci pour votre commentaire,


    Le problème principal vient effectivement de la forte réduction des recettes fiscales, due au ralentissement de l’activité et aux niches fiscales (dont la scandaleuse et ruineuse « niche Copée »).

    Il n’empêche que quand on gagne moins, on doit chercher à économiser. C’est ce que font les ménages.
    Selon la Cour des Comptes, la dépense publique est passée de 52.8% du PIB en 2008 à 56 % en 2009, du fait du renforcement de la protection sociale (que j’approuve) et des mesures de relance (dont certains cadeaux aux entreprises que je trouve scandaleux et inefficaces). Ces financements constituent un gisement, pour réduire la dépense publique et la rapprocher de la moyenne Européenne, sans toucher ni à la protection sociale, ni aux salaires et retraites de la fonction publique. Je pense qu’il est possible d’améliorer la « qualité » de la dépense publique, de mieux cibler.

    Evidemment c’est un vaste sujet qui dépasse le cadre de cet article. Ces pistes sont évoquées/effleurées dans le rapport de la Cour des Comptes de mars 2011.


  • Argo Argo 29 décembre 2011 21:36

    Merci pour votre réaction,


    Je ne voulais pas dire que toutes les femmes pratiquent le chirurgie esthétique (je ne le pense pas, fort heureusement). Quant aux cas de chirurgie réparatrice (suite cancer notamment) ils sont hors du champ de mon « coup de gueule » comme je l’ai indiqué dans un commentaire plus haut.


  • Argo Argo 26 décembre 2011 08:25

    A Ariane et Appoline,


    Puisque vous me tendez la perche… :->

    Si je devais envisager de modifier une partie de mon anatomie que la décence m’interdit de nommer ici, je n’irais pas chercher un ex-charcutier, de crainte qu’il ne m’outille avec du matériel en provenance de Morteau ou de Guéméné.

    Je plaisante, évidement.



  • Argo Argo 25 décembre 2011 13:43

    Merci,


    Le chiffre de 500.000 interventions par an en France est tiré des stats de l’ISAPS.

    Pour le chiffre de 500.000 porteuses d’implants mammaires en France, je me réfère à l’Afssaps et sa communication datant de mars 2010 (lien vers le communiqué), que j’ai oublié de signaler dans mes sources. 

    L’Afssaps comptait alors 30.000 porteuses de ma marque PIP et 500.000 en tout. Le premier chiffre n’a pas du évoluer. Quant au second, un an et demi plus tard... Si on croit cette communication tirée du Républicain Lorrain «  La France compte un demi-million de porteuses de prothèse mammaires et le nombre d’implantation est évalué entre 30 000 et 50 000 annuellement, selon le Dr Bruno Alfandari, président du Syndicat national de chirurgie plastique, reconstructive et esthétique. » il devrait avoir bien augmenté aujourd’hui.


  • Argo Argo 25 décembre 2011 13:30

    Effectivement, c’est une synthèse de 6 études différentes.

    Bien qu’il soit en anglais et un peu trop « touffu », j’ai trouvé cet article intéressant parce qu’au-delà des chiffres (la partie rébarbative), dans le chapitre « Possible explanations... » il esquisse des explications à ces suicides (preoperative personality characteristics and psychopathology, motivations and expectations for surgery, and the impact of postoperative complications).

    Les deux premières raisons sont édifiantes (mésestime de soi / rejet du corps et quête du bonheur). Ce sont les éléments que j’ai repris dans l’article. On constate que les raisons qui ont poussé ces femmes au suicide, sont précisément celles qui les avaient conduites à se faire opérer.

    La troisième raison (complications post opératoires, fuites, ruptures, rejet du corps étranger), on est en plein dedans.

    On pourrait résumer ces raisons en un mot « Déception  ». Heureusement, toutes les femmes ne se suicident pas. Mais combien sont déçues ?

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