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Asp Explorer

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Auteur de "L'homme qui a défié Masson", fils d'un démon et d'une princesse Hyrkanienne, le puissant Asp Explorer naquit un soir d'orage dans les hautes terres de Darakhnor. Son couffin jeté dans un torrent de montagne parcourut bien des lieues avant que le nourrisson ne fut recueilli par un sage centaure et trois dryades... blabla blablabla...

Tableau de bord

  • Premier article le 20/12/2006
  • Modérateur depuis le 07/08/2007
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Derniers commentaires



  • Asp Explorer Asp Explorer 12 novembre 2006 22:42

    Ah ça ne vous inquiétez pas, je fais votre promo. Une pareille bande de morons, c’est une adresse qu’on partage avec ses amis.



  • Asp Explorer Asp Explorer 12 novembre 2006 22:03

    « Le problème se trouve précisément dans le fait que celui qui écrit ces mots est incapable d’évoluer mentalement »

    Je ne vous le fais pas dire.



  • Asp Explorer Asp Explorer 12 novembre 2006 19:38

    L’anglais coûte 25 milliards d’euros par an DANS LES REVES DE MONSIEUR MASSON. Extrait du rapport Grin :

    "p. 102 - En l’espace d’une génération, des transferts injustes de milliards d’Euros peuvent être éliminés, et à l’échelle de l’Union Européenne, une économie nette de l’ordre de 25 milliards d’Euros annuellement peut être réalisée. À titre de comparaison, l’intégralité des dépenses budgétées pour 2005 par l’Union Européenne est de 116,55 milliards d’Euros. On voit mal au nom de quelle logique 23 des 25 États membres devraient continuer à accorder aux deux autres un cadeau qui leur coûte, rien qu’au niveau du système éducatif, la bagatelle de 26,7 milliards d’Euros chaque année, d’autant plus que cet effort massif laisse la majorité des citoyens européens en situation d’infériorité. Devant un intérêt si évidemment convergent, et qui plus est parfaitement compatible avec les exigences de la justice sociale, la sagesse devrait donc amener les États à s’entendre pour une mise en place progressive et coordonnée du scénario 3. Naturellement, cette coordination entre États ne doit pas porter que sur la politique éducative ; elle doit aussi se préoccuper de la diffusion d’information et l’évolution des mentalités."

    En clair : d’où sortent les 25 milliards d’économie du rapport Grin ? Du fait que l’on cesse d’enseigner l’anglais dans les écoles. Donc il ne s’agit pas d’apprendre « en plus » la « langue qui fait aimer les langues », mais d’éradiquer l’apprentissage de l’anglais.

    Mais vous avez raison, j’ai bien tort de revenir à la charge, puisque vu les sommes colossales en jeu (75 milliards d’euros, c’est cinq ans de budget de la NASA), l’espéranto ne sera jamais enseigné à l’échelle européenne. L’anglais a en effet un gros avantage : il est enseigné à l’échelle nationale, sur les budgets nationaux.

    Eh oui, il y a des réalités politiques et budgétaires, nous ne vivons pas dans le monde merveilleux de Walt Disney.



  • Asp Explorer Asp Explorer 12 novembre 2006 09:01

    « Ce raisonnement a conduit à placer l’apprentissage de l’anglais à un niveau d’urgence égal ou supérieur à celui de la formation professionnelle »

    L’apprentissage de l’anglais FAIT PARTIE de la formation professionnelle. Laquelle consiste à fournir aux travailleurs une compétence utile à l’exercice de leur profession.

    « au détriment de celle-ci et au profit des pays dominants de l’anglophonie. »

    C’est là que vous faites encore l’erreur de croire que le monde est un concours de bite où les pays exhiberaient leur plus gros paquet de locuteurs. Le fait que l’anglais se répande est éventuellement un avantage pour les pays anglo-saxons (et encore...), mais cela n’implique pas nécessairement que ce soit un handicap pour les autres. Ce n’est pas un jeu à somme nulle, ou ce qui est donné à Paul est forcément pris à Jacques.

    «  »The International Herald Tribune" pouvait titrer triomphalement, déjà en 1978 : “English is a Profitable Export !”

    En 1978... Oui, moi aussi, je pourrais faire dire tout et son contraire à des journaux si je n’avais que ça à faire d’en compiler les articles SUR TRENTE ANS.

    « Un temps précieux et des sommes colossales sont dilapidés pour l’anglais alors qu’une solution économique et rapide à mettre en place existe. »

    Je me suis un peu intéressé à la problématique économique de l’espéranto, et dix minutes m’ont suffi à faire le calcul qui visiblement vous a échappé. A supposer que l’Union Européenne décide de se doter d’une langue commune qui serait l’EO, et qu’elle décide pour cela de financer les stages aux gens concernés, mettons, les fonctionnaires européens et nationaux travaillant avec l’Europe, les lobbyistes et commerciaux du privé, bon, mettons 10 millions de personnes (sur 400 millions de citoyens, je rappelle). En supposant qu’il faille 150 heures pour apprendre la langue (admettons...), et considérant qu’une semaine de trente heures de cours professionnel se négocie environ 1500 euros, une simple multiplication nous permet de calculer que le « plan espéranto » coûterait à l’Union Européenne 75 milliards d’euros. Soient les deux-tiers du budget total de l’UE (rappel : agriculture = 49 milliards). Tout ça pour mettre en place une langue qui ne serait donc parlée que par une élite d’eurocrates. Beau progrès, heureusement, ce n’est que la « solution économique et rapide ». Heureusement surtout que c’est impossible, parce qu’il n’y a tout simplement pas assez de profs d’espéranto. Heureusement enfin que ça ne servirait à rien, puisque le problème ne se pose que dans votre tête. En effet, dans le vrai monde, les gens qui ont besoin d’une langue internationale en connaissent déjà une.

    « Si le gouvernement français n’avait pas fait blocage à la discussion sur le dossier »espéranto« à la SDN, de 1921 à 1923, le monde serait parvenu à un niveau supérieur à celui que l’anglais atteint aujourd’hui en dix fois moins de temps et avec dix fois moins de moyens financiers. »

    C’est facile de refaire l’histoire 80 ans plus tard, surtout pour lui faire dire ce qu’on veut. Moyennant quoi, ce n’est pas parce que vous posez vos suppositions avec autorité qu’elles en deviennent crédibles.

    « Mais il y a des blocages pour la simple raison que les régimes qui tirent profit de la domination de l’anglais (qui imposent leur point de vue à Davos et qui se moquent éperdument du sort des travailleurs) ont des moyens de pression que l’espéranto n’a pas. Ceux qui croient que l’espéranto devrait être depuis longtemps la langue internationale, »s’il était vraiment bon« , montrent d’abord qu’ils ne connaissent rien de son histoire et ensuite qu’ils ne comprennent rien au film. »

    Et les Atlantes de Mû qui ont fait sauter le Pentagone avec un rayon laser...

    « La domination de l’anglais va précisément à l’encontre de l’intérêt des travailleurs. »

    Non.



  • Asp Explorer Asp Explorer 12 novembre 2006 08:33

    - D’un côté des barbus islamistes fanatiques et obtus, convaincus que massacrer un maximum d’occidentaux est la meilleure manière d’aider leur peuple.

    - De l’autre côté des néocons américains fanatiques et obtus, persuadés que le confort de leurs 300 millions d’automobilistes justifie de ruiner des régions entières du monde.

    - Au milieu, un troupeau d’inventeurs de conspirations fanatiques et obtus, sous le vague prétexte que « les Américains sont très méchants, ils sont forcément coupables ».

    Et la raison dans tout ça ? Pauvre siècle.

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