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Aspiral

Aspiral

Paysan de la nature humaine depuis près de 30 ans, je milite depuis des années contre la présence des « psy » ailleurs que dans leurs cabinets de consultation.
Sans trop de succès, d’ailleurs !

Tableau de bord

  • Premier article le 04/01/2007
  • Modérateur depuis le 12/02/2008
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Derniers commentaires



  • Aspiral Aspiral 16 novembre 2007 13:44

    Comment voulez-vous qu’il en soit autrement dans une société de maternage et de séduction généralisés où la fonction paternelle a été progressivement disqualifiée de tout côté par le complexe de Colomb : « je ne comprends pas à quoi servent les valeurs, les traditions et les principes, donc ça ne sert à rien ». On va bientôt le redécouvrir. Tous coupables. La loi du père, celle dont le père est le représentant, a été remplacée par un grand délire collectif sur l’amour et la liberté où la loi est celle de la mère qui « pardonne » selon son bon plaisir, « pour encourager », ou « motiver ». La mauvaise mère qui est la loi, qui se sert de la loi pour asseoir son pouvoir tout puissant ne peut être que source de terrorisme et de guerre civile. Comment ne pas craindre l’orage quand de tels nuages noirs s’amoncellent à l’horizon ? Les ex-pères se moquent de nous quand il prétendent pouvoir trouver « la » solution, à la suite d’« encommissionnements » infinis qui ne servent que leurs intérêts et ensuite en ajoutant une couche de leur mauvaise solution c’est à dire en proposant encore plus de maternage. Il faudra tôt ou tard passer à la solution chirurgicale, pour sauver le malade, et cela avec toute la compassion et les regrets qu’on peut avoir pour les victimes devenues agresseurs de ce délire promus en hauts lieux par tous ces psychopathes en col blanc qui ne rêvent qu’à leur pouvoir, leur succès et leur pognon, démocature oblige.



  • Aspiral Aspiral 14 novembre 2007 20:18

    la suite ? La folie des exclusions programmées, scientifiquement, ou la guerre civile qui alimenterait sordidement programmée aussi, les profits de ceux qui répareraient les dégâts, croissance capitaliste oblige ? Ou les deux à la fois !



  • Aspiral Aspiral 14 novembre 2007 18:12

    Je pense en effet que nous n’avons pas tiré comme il aurait fallu les leçons de la guerre 40, trop focalisés sans doute sur l’holocauste juif. Nous connaissons en effet actuellement les mêmes prémices que ceux qui ont précédé la guerre 40, mythe scientifique, argument de réalité, toute puissance des « ex-pères » qui au nom des quelques lois qu’ils connaissent se sont approprié, comme de mauvaises mères, « la » loi, et l’ont détournée à leur profit en humiliant le citoyen lambda de la sempiternelle ritournelle : « c’est plus complexe que cela », chaque fois qu’il sont confrontés aux désastres de leurs si belles théories. Le danger n’est plus l’extrême droite où il ne reste plus que des zozos, mais ces nouveaux tyrans psychopathes prêts à tout pour faire du pognon.



  • Aspiral Aspiral 14 novembre 2007 17:51

    La révolution d’aujourd’hui passe obligatoirement par chacun, car tout ce qui est collectif est aussitôt récupéré par les faiseurs d’argent. Regardez l’évolution du thème des publicités ! La publicité suit la mode comme un petit chien et essaie de surfer dessus. Elle ne précède rien. Elle embraye sur ce qui commence et l’amplifie, mais ne crée rien. Elle est donc maîtrisable à condition de la laisser systématiquement une guerre en retard, en évoluant plus vite qu’elle, tout simplement en se branchant sur ce qu’on veut vraiment. La révolution est celle du refus opiniâtre, au nom de notre humanité, de croire vrai tout ce qu’on nous a fait croire vrai à la télé, jusqu’au moment où nous serons des milliards à refuser leur drogue. Ils seront alors bien obligés de se reconvertir. La disparition des dealeurs par disparition des drogués est infiniment plus efficace, mais à plus long terme, que la chasse aux trafiquants, qui fait la une des journaux, et qui renaissent sans cesse de leurs cendres, plus “malins” qu’avant. La nature a le temps. Nous aussi, nous avons le temps puisque notre nature ne se nourrit que de victoires, repas après repas.



  • Aspiral Aspiral 14 novembre 2007 17:51

    La révolution d’aujourd’hui passe obligatoirement par chacun, car tout ce qui est collectif est aussitôt récupéré par les faiseurs d’argent. Regardez l’évolution du thème des publicités ! La publicité suit la mode comme un petit chien et essaie de surfer dessus. Elle ne précède rien. Elle embraye sur ce qui commence et l’amplifie, mais ne crée rien. Elle est donc maîtrisable à condition de la laisser systématiquement une guerre en retard, en évoluant plus vite qu’elle, tout simplement en se branchant sur ce qu’on veut vraiment. La révolution est celle du refus opiniâtre, au nom de notre humanité, de croire vrai tout ce qu’on nous a fait croire vrai à la télé, jusqu’au moment où nous serons des milliards à refuser leur drogue. Ils seront alors bien obligés de se reconvertir. La disparition des dealeurs par disparition des drogués est infiniment plus efficace, mais à plus long terme, que la chasse aux trafiquants, qui fait la une des journaux, et qui renaissent sans cesse de leurs cendres, plus “malins” qu’avant. La nature a le temps. Nous aussi, nous avons le temps puisque notre nature ne se nourrit que de victoires, repas après repas.

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