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Auffret

Auffret

Chroniques société, politique, pensées poétiques.

Tableau de bord

  • Premier article le 01/08/2008
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Derniers commentaires



  • Auffret Auffret 10 août 2008 15:47

    Etant parfois dénommé "le chroniqueur un brin provocateur", je propose à tous une lecture à lire sur la plage. A méditer !

     

    Ne vous en déplaise, Mesdames…

     

    Parité bien ordonnée commence par soi-même.

    Il faut bien une petite graine pour fabriquer de beaux bébés.

    Il m’est apparu que vous n’étiez pas toutes d’accord sur la parité pour les hommes.

    Dommage, car parité veut dire 50%. En voudriez-vous encore plus ?

    Cette parité, d’ailleurs n’est point féminine mais masculine.

    Reconnaîtrez-vous nos efforts si louables et si méritants ?

    Ce sont bien nos hommes politiques qui l’ont décrétée et votée après Mai 68.

    En un seul instant, les femmes obtenaient 50% et vous n’êtes toujours pas contentes !

    50%, c’est parce que nous savions bien que vous demanderiez toujours plus.

    La barre est fixée et nous réclamons, nous aussi, la parité réelle.

     

    Pour adoucir les mœurs, je vous propose un texte émanant d’un manuel du savoir-vivre

    des jeunes femmes, en 1960. Vous constaterez que ces préceptes étaient de bon sens,

     et évitaient bien des divorces.

     

    Faites-en sorte que le souper soit prêt : préparez les choses en avance, le soir précédent,

    s’il le faut, afin qu’un délicieux repas l’attende au retour du travail. C’est une façon de lui faire

    savoir que vous avez pensé à lui et que vous vous souciez de ses besoins. La plupart des hommes

    ont faim lorsqu’ils rentrent à la maison et la perspective d’un bon repas fait partie de la nécessaire

    chaleur d’un accueil.

    Soyez prête : prenez 15 minutes pour vous reposer afin d’être détendue lorsqu’il rentre.

    Retouchez votre maquillage, mettez un ruban dans les cheveux et soyez fraîche et avenante.

    Il a passé la journée en compagnie de gens surchargés de soucis et de travail.

    Soyez enjouée et un peu plus intéressante que ces derniers.

    Rangez le désordre : faites un dernier tour des principales pièces de la maison juste avant

    que votre mari ne rentre. Rassemblez les livres scolaires, les jouets, les papiers…et passez

    un coup de chiffon à poussière sur les tables.

    Réduisez tous les bruits au maximum : au moment de son arrivée, éliminez tout bruit de machine

    à laver, séchoir à linge ou aspirateur. Essayez d’encourager les enfants à être calmes.

    Soyez heureuse de le voir. Accueillez-le avec un chaleureux sourire et montrez de la sincérité

    dans votre désir de lui plaire.

    Ecoutez-le : il se peut que vous ayez une douzaine de choses importantes à lui dire, mais

    son arrivée à la maison n’est pas le moment opportun. Laissez-le parler d’abord, souvenez-vous

    que ses sujets de conversation sont plus importants que les vôtres.

    Ne l’accueillez pas avec vos plaintes et vos problèmes : ne vous plaignez pas s’il est en retard

    à la maison pour le souper ou même s’il reste dehors toute la nuit. Considérez cela comme mineur,

    comparé à ce qu’il a pu endurer pendant la journée. Installez-le confortablement. Proposez-lui de

    se détendre dans une chaise confortable ou d’aller s’étendre dans la chambre à coucher.

    Préparez-lui une boisson fraîche ou chaude. Arrangez l’oreiller et proposez-lui d’enlever ses chaussures.

    Parlez d’une voix douce, apaisante et plaisante. Ne lui posez pas de questions sur ce qu’il a fait

    et ne remettez jamais en cause son jugement ou son intégrité. Souvenez-vous qu’il est le maître

    du foyer et, qu’en tant que tel, il exercera toujours sa volonté avec justice et honnêteté.

    Lorsqu’il a fini de souper, débarrassez vite la table et faites la vaisselle.

    Si votre mari se propose de vous aider, déclinez son offre car il risquerait de se sentir obligé de la répéter par la suite et, après une longue journée de labeur, il n’a nul besoin de travail supplémentaire.

    Encouragez votre mari à se livrer à ses passe-temps favoris et à se consacrer à ses centres d’intérêt

    et montrez-vous intéressée sans toutefois donner l’impression d’empiéter sur son domaine.

    Si vous avez des petits passe-temps vous-même, faites en sorte de ne pas l’ennuyer en lui en parlant,

    car les centres d’intérêt des femmes sont souvent assez insignifiants comparés à ceux des hommes.

    A la fin de la soirée : rangez la maison afin qu’elle soit prête pour le lendemain matin et pensez à

    préparer son petit-déjeuner à l’avance. Le petit-déjeuner de votre mari est essentiel s’il doit faire face

    au monde extérieur de façon positive. Une fois que vous êtes tous les deux retirés dans la chambre

    à coucher, préparez-vous à vous mettre au lit aussi promptement que possible.

     

     

     

     

     

    En ce qui concerne les relations intimes avec votre mari, il est important de vous rappeler vos vœux de mariage et en particulier votre obligation de lui obéir. S’il estime qu’il a besoin de dormir

    immédiatement, qu’il en soit ainsi. En toute chose, soyez guidée par les désirs de votre mari et ne faîtes

    en aucune façon pression sur lui pour provoquer ou stimuler une relation intime.

     

     

    Si votre mari suggère l’accouplement, acceptez alors avec humilité tout en gardant à l’esprit

    que le plaisir d’un homme est plus important que celui d’une femme.

    Lorsqu’il atteint l’orgasme, un petit gémissement de votre part l’encouragera et sera tout à fait

    suffisant pour indiquer toute forme de plaisir que vous ayez pu avoir.

    Si votre mari suggère une des pratiques les moins courantes, montrez-vous obéissante

    et résignée, mais indiquez votre éventuel manque d’enthousiasme en gardant le silence.

    Il est probable que votre mari s’endormira alors rapidement.

    Vous pouvez alors remonter le réveil afin d’être debout peu de temps avant lui le matin.

    Cela vous permettra de tenir sa tasse de thé du matin à sa disposition lorsqu’il se réveillera.

     

    N’auriez-vous pas "oublié" quelques préceptes en cours de route ?

    Une jolie gazelle m’a traité de diplodocus.

    Je suis donc prêt à tous les commentaires.

    Si vous voulez me traiter de "macho", sachez que c’est déjà fait.

    Mais qu’est-ce qu’un "macho" sans femmes ?

    ce message s’adresse aux femmes, bien sûr, mais aussi aux hommes.

    Question de parité.

    Salutations.



  • Auffret Auffret 7 août 2008 21:05

    Cher Ben, vraiment, il faut "passer" par le Finistère très bientôt. J’envisage d’ouvrir chez moi un café philo, très porté sur la société. Nous ferions déjà du bruit à tous les deux.
    En fait, j’ai un peu "oublié" Agora Vox car ils me refusaient constamment mes papiers parce qu’ils étaient trop courts. Ce n’est pas faux, mais ayant cotoyé la presse, j’ai toujours entendu : "Fais court, coco" !
    Mon blog sur le Télégramme fonctionne bien au niveau des visites, mais peu au niveau des commentaires.
    Pourtant, c’est avec les commentaires que l’on peut réagir et progresser !
    Au moins, j’y mets ce que je veux. http://leparadissinonrien.blogs.letelegramme.com/
    "Le paradis, sinon, rien" ! c’est tout un programme. Peut-être que les gens se contentent du purgatoire.
    Moi, si ce n’est pas le paradis, je veux l’enfer tout de suite, avec le grand copain du Petit Jésus, le Diable, sans lequel l’Eglise a du mal à recruter.
    J’aime assez la rubrique "courrier des lecteurs" des journaux et revues sous des pseudos différents :
    Télérama, L’Express, Marianne... quand ce n’est pas trop "osé".
    Longue vie à Agora Vox qui est beaucoup plus journalistique que le chroniqueur que je suis.
    Bien le bonjour du Finistère. J’arriverai à survivre jusqu’à votre venue.
    Pour les réponses, je pense que la France bronze, côté pile les jours impairs et côté face les jours pairs.



  • Auffret Auffret 6 août 2008 20:47

    Salut l’ami Ben, il faut que je vous embrasse !

    D’après vos propos, le "matriarcat" ne serait que l’enveloppe

    jugée "acceptable" alors la réalité est tout autre.

    Ayant eu une mère et 5 sœurs ainsi qu’un frère aîné, plus vieux de 10 ans,

    j’ai navigué dans le marigot, avec 5 années de pensionnat (de garçons)

    car mon père ne trouvait que cela pour nous éloigner des "femmes".

    Les filles trônaient donc à la maison en préparant leur nid d’aigle.

    Aux vacances, nous n’étions que des visiteurs.

     

    Je ne sais quelle tournure va prendre ce papier, en tout cas, une bien meilleure

    compréhension qu’il y a deux ans, même article paru sur Agora Vox.

    A l’époque, j’ai navigué vers près de 500 messages vindicatifs.

    La chaleur du mois d’août a du tempérer les passions féminines.

    Pourtant, nous les "machos" devenus, qu’est-ce que nous aimons les femmes !

     

    La grande difficulté est que, nous les hommes, nous avons osé leur dire un jour

    qu’elles étaient dotées de l’intuition féminine et de l’amour maternel.

    Funeste fable que nous avons inventée pour avoir un peu la paix.

    Tout ceci est un leurre qui se referme sur nous.

    Et si nous inventions l’intuition masculine et l’amour paternel ?

    Vite, fondons un club des blessures féminines.



  • Auffret Auffret 6 août 2008 20:46

    Salut l’ami Ben, il faut que je vous embrasse !

    D’après vos propos, le "matriarcat" ne serait que l’enveloppe

    jugée "acceptable" alors la réalité est tout autre.

    Ayant eu une mère et 5 sœurs ainsi qu’un frère aîné, plus vieux de 10 ans,

    j’ai navigué dans le marigot, avec 5 années de pensionnat (de garçons)

    car mon père ne trouvait que cela pour nous éloigner des "femmes".

    Les filles trônaient donc à la maison en préparant leur nid d’aigle.

    Aux vacances, nous n’étions que des visiteurs.

     

    Je ne sais quelle tournure va prendre ce papier, en tout cas, une bien meilleure

    compréhension qu’il y a deux ans, même article paru sur Agora Vox.

    A l’époque, j’ai navigué vers près de 500 messages vindicatifs.

    La chaleur du mois d’août a du tempérer les passions féminines.

    Pourtant, nous les "machos" devenus, qu’est-ce que nous aimons les femmes !

     

    La grande difficulté est que, nous les hommes, nous avons osé leur dire un jour

    qu’elles étaient dotées de l’intuition féminine et de l’amour maternel.

    Funeste fable que nous avons inventée pour avoir un peu la paix.

    Tout ceci est un leurre qui se referme sur nous.

    Et si nous inventions l’intuition masculine et l’amour paternel ?

    Vite, fondons un club des blessures féminines.



  • Auffret Auffret 6 août 2008 18:32

    Bien vu l’ami, je n’ai plus grand-chose à rajouter, sinon que j’ai toujours cru

    à l’amour désintéressé. La réalité est tout autre chose.

    Ce qui est vrai dans le Finistère et en Bretagne, l’est maintenant presque partout.

    Mon histoire est presque identique mais avec des femmes venues d’ailleurs.

    Ma mère était Nivernaise, mais plutôt Parisienne et mon père Breton des

    Côtes du Nord. Ils se sont installés dans les environs de Brest en 1936 et

    c’est bien ma mère qui a commandé du début jusqu’à la fin

    avec l’excellente réputation d’épouse et de mère désintéressée. (7 enfants).

    Moi-même, j’ai épousé une Suissesse et nous avons vécu à Paris.

    Elle m’a tout pris : mon nom, mes enfants, mes biens et a gardé la nationalité

    française, ainsi que l’excellente notoriété qui sied à toute femme.

     

    J’ai eu le plaisir de constater que vous n’avez pas trouvé mon propos excessif,

    car, avouez-le, ne réclamer que la parité pour les hommes, ce n’est pas beaucoup.

    Mais voilà, pour beaucoup de femmes, c’est beaucoup trop !

    Moi, je ne faisais que leur faire remarquer que j’étais pour la parité pour les femmes.

    Mais "parité" ne sonne pas très bien à leurs oreilles, elles préfèrent "totalité".

     

    Les guerres ont fait des ravages dans les mentalités, car, ma mère n’a jamais connu

    son père, tué en 1914 alors que ma grand-mère était enceinte. Celle-ci, femme de

    capitaine a élevé ses 3 enfants avec sa sœur, veuve le même jour, avec 3 enfants aussi.

    Le matriarcat était en route.

    Mon père, a perdu le sien à l’âge de 7 ans et ma grand-mère maternelle venait d’accoucher

    du 15ème enfant.

    L’autorité, l’éducation, les biens, les revenus, étaient réunis en une seule personne.

     

    Je savoure votre paragraphe :

     

     

    Bilan des courses les hommes n’avaient et n’ont toujours rien à dire (jamais réussi à avoir un vrai échange respectueux avec ma mère ; je n’ai pas le droit d’avoir un avis et de toute façon un homme est coupable par définition - c’est un dogme !). Les femmes dirigent tout, font la police partout et comme ailleurs se présentent en victime (ce qui peut arriver évidemment mais ce n’est sûrement pas une posture fondamentale dans le finistère). Les hommes sont plutôt passifs. Ils subissent stoïquement et attendent que ça passe. Je dirais même que mon père (qui a ses défauts) est quasi un saint vu comment ma mère a été épouvantable. Moi même je ne parle plus à ma mère. Et le plus "drôle"... c’est qu’elle se demande pourquoi !!!

     

     

    (Si vous "passez" par le Finistère, n’hésitez pas à me contacter. On rigolera un bon coup !)

    [email protected]

     

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