Précisons que c’est après 3 ans de détention sans jugement que Salah Hamouri a eu le choix entre reconnaître les faits qui lui étaient reprochés et être condamné à 7 ans d’emprisonnement ou ne pas les reconnaître et être condamné à 14 ans de prison. Vous parlez d’un choix ! Il lui est reproché d’être passé devant le domicile d’un rabbin de l’extrême-droite religieuse, d’être membre du FPLP (ce que Salah et cette organisation palestinienne nient) et d’avoir eu l’intention de commettre un attentat contre ce rabbin extremiste notoire. Les géôliers de Salah ont été incapables de produire un seul temoin ou le moindre début de preuve. Son dossier est vide mais cela n’a pas empêché qu’il soit jugé et condamné par un tribunal militaire d’occupation installé en Cisjordanie, un tribunal illégal. C’est la justice made in sion ! Un français détenu illégalement à l’étranger, notre zorro national lui a-t-il porté secours ? « nous ne cesserons de le répéter : la libération immédiate et inconditionnelle est une priorité pour la France. » c’est la déclaration officielle du quai d’orsay. De qui s’agit-il ? De Salah Hamouri ? Non, c’est le soldat shalit qu’il faut sauver ! Vous savez, c’est ce soldat israelien capturé par le Hamas, français par sa grand-mère paternel. Pour lui, toute la clique sarkozie se mobilise, son père a été réçu à l’élysée plusieurs fois ; par contre pour Hamouri, sa mère Denise est originaire de Bourg-en-Bresse, pas la moindre exigence de libération formulée par les autorités françaises. Deux poids deux mesures !
@MCM, super menteur je vais te rafraîchir un peu la memoire et en citant uniquement tes congénères. Dès 1940, voici ce qu’écrivait le directeur du « fonds national juif un certain Yossef Weitz : »il doit être clair pour nous qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays (la palestine historique). Si les Arabes le quittent, il nous suffira (...) Il n’existe pas d’autre moyen que de les déplacer tous ; il ne faut pas laisser un seul village, une seule tribu..... Il faut expliquer à Roosevelt, et à tous les chefs d’états amis, que la terre d’israel n’est pas trop petite si tous les Arabes s’en vont, et si les frontières sont un peu repoussées vers le nord, le long du litani, et vers l’est, sur les hauteurs du golan« source yossef ’journal’, tel-aviv, 1965. En tenant des propos pareils, cet illuminé a dû puiser dans le talmud : »le Seigneur conclut une alliance avec Abraham en ces termes : c’est à ta descendance que je donne ce pays, du fleuve d’Egypte au grand fleuve, le fleuve Euphrate« . Sais-tu que ta patrie chérie ne fut admis à l’onu qu’à trois conditions : ne pas toucher jérusalem ; permettre aux Arabes palestiniens de revenir chez eux ; respecter les frontières fixées par la décision de partition. A-t-elle respectée ces conditions ? C’est ben gourion qui donne le tempo le premier en déclarant que »l’état d’israel considère que la résolution des nations unies du 29 novembre 1947 est nulle et non avenue« source New York Tmies du 6 décembre 1953. Suivi du borgne dayan qui dit : »prenez la déclaration américaine de l’indépendance, elle ne contient aucune mention des limites territoriales. Nous ne sommes pas obligés de fixer les limites de l’état" source jérusalem post du 10 août 1967. Alors, monsieur le maitre de cérémonie du mensonge ce sont les Arabes qui n’ont pas voulu la partition ?
@Franck, très bonne idée la loi Ghandi contre le sionisme, je serai le premier signataire. Pour une France libérée du sionisme, signez la proposition de loi Ghandi !