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Il n’y a pas de conflit israélo-palestinien
Nous assistons, là, à la formation évidente d’un cercle vicieux, dans lequel l’Israélien et ses séides sont en train de se muter en une boule de feu insulaire vindicative, qu’alimente une certaine forme d’agressivité interne de nature explosive. Tout cela est fort révélateur. Les Palestiniens étant dans l’incapacité de répliquer militairement à l’agression et à la capacité destructrice israéliennes, nous sommes fondés à arguer du fait qu’il n’y a pas de conflit israélo-palestinien. Tout ce qu’il y a, c’est une psychose israélienne, dans laquelle l’Israélien est fracassé par l’anxiété que lève en lui le reflet de sa propre brutalité. Etant considérés comme les Nazis des temps modernes, les Israéliens sont, du même coup, condamnés à voir un Nazi en n’importe qui. De même, il n’y a strictement aucune montée d’antisémitisme. Le juif sioniste diasporique, simplement, est dévasté par la possibilité que quelqu’un, quelque part, soit aussi corrompu éthiquement et aussi impitoyable que lui-même a démontré qu’il l’est. En bref, la politique israélienne et le lobbying sioniste doivent être vus comme rien moins qu’une paranoïa collective sionocentrique, à la veille de virer à la psychose totale.
Existe-t-il un moyen de racheter le sioniste de son expédition sanglante ? Est-il possible de modifier le cours de l’histoire, de sauver les Israéliens et leurs partisans de la dépravation totale ? La meilleure façon, probablement, de poser cette question, c’est de demander s’il y a une façon de sauver les Israéliens et les sionistes d’eux-mêmes ? Comme vous l’aurez sans doute deviné, je ne suis pas particulièrement intéressé par le sauvetage des Israéliens ou des sionistes. Toutefois, je comprends bien que le fait sauver les sionistes de leur transgression serait susceptible d’apporter une perspective de paix à la Palestine, à l’Irak et, probablement, à nous tous. Ceux qui ne comprennent pas pourquoi doivent savoir qu’Israël n’est que la pointe émergée de l’iceberg. A la fin des fins, l’Amérique, la Grande-Bretagne et l’Occident sont actuellement en proie à des formes similaires d’une même « politique de la peur », qui est la conséquence directe de l’idéologie et des pratiques mortellement interventionnistes des néoconservateurs.
Le psy de Nazareth
Il y a, de cela, bien des années, nous dit-on, il y avait un Israélite qui vivait au milieu de ses frères, dans le pays de Canaan. Comme les Israéliens d’aujourd’hui, il était cerné par la haine, la vengeance et la peur. A un certain moment, il avait décidé de faire quelque chose, d’amener du changement à cette situation ; il avait pris conscience du fait qu’il n’y avait pas d’autre manière de combattre la brutalité que de rechercher la grâce. « Tourne l’autre joue... », telle fut sa suggestion, fort simple. Ayant réussi à identifier la psychose de l’Israélite comme « une guerre de l’Israélite contre sa terreur intérieure », Jésus comprit que la seule façon de contrer la violence, c’est de se regarder dans un miroir, afin de rechercher la Bonté que nous avons en nous.
Il est tout à fait évident que c’est cette leçon administrée par Jésus qui a pavé la voie à la formation de l’éthique universelle occidentale. Les idéologies politiques modernes on tiré les leçons de la vision chrétienne. La recherche normative, par Marx, de l’égalité, peut être vue comme une réécriture laïque de la notion christique de fraternité. Et pourtant, aucune idéologie politique n’est parvenue à intégrer la notion extrêmement profonde que Jésus avait de la grâce. Rechercher la paix, c’est, avant toute chose, rechercher quelqu’un, en soi-même. Alors que les Israéliens et leurs clones néocons aspireront toujours à réaliser la paix au moyen de la dissuasion, la véritable paix ne peut être atteinte qu’au moyen de la recherche de l’harmonie en soi-même.
Comme le suggérerait un psychanalyste lacanien, aimer ton voisin, c’est, en réalité, t’aimer toi-même en aimant ton voisin. L’Israélien est dans la posture diamétralement opposée. Etant donné que les Israéliens s’arrangent toujours pour démontrer, une fois après l’autre, guerre après guerre, qu’en réalité, ils s’aiment eux-mêmes en haïssant leurs voisins, bref : qu’ils ne s’aiment eux-mêmes qu’en haïssant, de manière générale. Ils haïssent pratiquement tout : le voisin, les Arabes, Chavez, les Allemands, l’Islam, les goyim, le cochon, le Pape, le Palestinien, l’Eglise, Jésus, le Hamas, les calamars et l’Iran. Tu dis un truc, au hasard : ils le haïssent ! Force est bien d’admettre que le fait de haïr à ce point doit être quelque chose d’épuisant, à moins que cela ne leur procure du plaisir ? Et, de fait, le « principe de plaisir » israélien pourrait être articulé comme suit : ce principe conduit en permanence l’Israélien à rechercher son plaisir dans la haine qu’il ressent envers un autrui qu’il est en train de faire souffrir.
A ce stade, il convient de mentionner que la « Guerre contre la Terreur intérieure » n’est pas réellement une invention juive. Quiconque, que ce soit des pays, des peuples ou des individus, peut en devenir la proie. Les conséquences du massacre nucléaire barbare américain à Hiroshima et à Nagasaki ont fait du peuple américain une collectivité terrorisée. Cette anxiété collective est connue sous le nom de « guerre froide ». L’Amérique n’est pas encore sortie de la peur qu’il puisse y avoir quelqu’un, quelque part, qui puisse être aussi impitoyable qu’elle a prouvé qu’elle peut l’être. Cela a conduit à la création de masses horrifiées, aisément manipulables par une élite hautement motivée. C’est ce type de politique, exactement, que l’on appelle la « politique de la peur ».
Et pourtant, au sein du discours occidental, un mécanisme correctif existe. Contrairement à l’Etat juif, qui est en train d’être radicalisé par sa paranoïa auto-entretenue, en Occident, le mal est, peu ou prou, contré, et parfois contenu. Le crime est dénoncé et l’espoir de paix est, d’une certaine manière, réinstauré, jusqu’à plus ample informé. Non que je retienne mon souffle, dans l’attente d’un quelconque changement qu’apporterait le président Obama, car une chose est tout à fait évidente : si Obama a été élu, ça n’est certainement pas pour qu’il apporte un changement quelconque. Obama est un symbole de notre tentative sincère de donner un coup d’arrêt au mal. Dans l’Etat juif, non seulement cela ne se produit pas : cela ne pourra jamais arriver. La différence entre Israël et l’Occident saute aux yeux. En Occident, l’héritage chrétien nous donne la possibilité de formuler un espoir, fondé dans une croyance en une bonté universelle.
Toutefois, nous sommes menacés en permanence d’être exposés au mal ; mais nous avons tendance à croire que la bonté, en fin de compte, s’imposera. En face, dans le discours hébraïque, la Bonté est la propriété exclusive des élus. Les Israéliens ne voient nulle bonté, ni nulle gentillesse en leurs voisins ; ils ne voient en eux que des sauvages et une entité menaçante pour leur vie même. Pour les Israéliens, la gentillesse est leur propriété, c’est à eux, et, incidemment, ils sont, aussi, innocents, et des victimes. Dans le discours universel occidental, la bonté n’appartient à aucun peuple ni à aucune nation en particulier : elle appartient à tous et à personne, en même temps. Dans l’héritage universel occidental, la Bonté se trouve en chacun d’entre nous. Elle n’appartient ni à un parti politique, ni à une idéologie. La notion transcendante de grâce et d’un Bon Dieu est là, en chacun de nous - elle est, en permanence, à portée de notre main.
@pigripi miss diversion, je te conseilles de lire ce texte de Gilad Atzom un pacifiste juif :
« La guerre contre la terreur intérieure : fin de l’histoire juive »
Au cours des semaines écoulées, nous avons été les témoins d’une campagne génocidaire israélienne à l’encontre de la population civile palestinienne, dans la bande de Gaza. Nous avions déjà été les témoins d’une des armées les plus puissantes au monde écrasant des femmes, des vieillards et des enfants. Nous avons vu, cette fois-ci, un ouragan d’armes non-conventionnelles éclatant au-dessus d’écoles, d’hôpitaux et de camps de réfugiés.
Nous avions déjà vu et entendu parler de crimes de guerre. Mais, cette fois-ci, la transgression israélienne a été catégoriquement différente : elle a bénéficié du soutien de la quasi-totalité de la population juive d’Israël.
La campagne militaire de « Tsahal » à Gaza a bénéficié, en effet, du soutien de 94 % de la population israélienne. 94 % des Israéliens, apparemment, ont approuvé les raids aériens contre des civils. La population israélienne a suivi le carnage sur ses écrans de télévision ; elle a entendu les cris, elle a vu les hôpitaux et les camps de réfugiés en flammes et, pourtant, elle n’a pas été véritablement secouée par tout ce qu’elle a vu. Les Israéliens n’ont pas fait grand-chose pour arrêter leurs dirigeants impitoyables « démocratiquement élus ». En lieu et place, certains d’entre eux ont attrapé leur chaise longue, et ils sont allés s’installer sur les collines dominant la bande de Gaza, afin de suivre, de leurs propres yeux, leur armée en train de transformer Gaza en un colisée hébraïque des temps modernes, débordant de sang. Et aujourd’hui même, alors que la campagne militaire semble terminée et que l’étendue du carnage perpétré à Gaza a été révélée, les Israéliens ne font montre d’aucun signe de remords. Comme si cela ne suffisait encore pas, tout au long de la guerre, les juifs du monde entier ont manifesté leur soutien à leur « Etat réservé aux seuls juifs ».
Un tel soutien populaire à des crimes de guerre caractérisés est absolument sans précédent. Les Etats terroristes tuent, certes, mais ils en conçoivent un minimum de honte. L’URSS de Staline l’a fait, dans quelques goulags au fin fond de la Sibérie, l’Allemagne nazie a exécuté ses victimes dans des forêts profondes et derrière des barrières de fil de fer barbelé. Dans l’Etat juif, foin de ces gants surannés : les Israéliens, ça vous massacre des femmes sans défense, des enfants et des vieux en plein jour, en utilisant des armes non-conventionnelles ciblant des écoles, des hôpitaux et des camps de réfugiés...
Le niveau atteint par cette barbarie collective hurle son attente d’explication. La tâche qui nous attend peut être définie, sans hésitation, comme la quête d’une prise de conscience de la brutalité collective israélienne. Comment a-t-il pu se faire qu’une société (la société israélienne, en l’occurrence) ait pu ainsi s’arranger pour perdre prise sur tout sentiment de compassion et de pitié ?
La Terreur intérieure
Plus que par quoi que ce soit d’autre, les Israéliens et les communautés juives, qui les soutiennent, sont terrorisés par la brutalité qu’ils trouvent au fond d’eux-mêmes. Plus les Israéliens sont brutaux, plus ils ont peur d’eux-mêmes. Cela s’explique, c’est simple : plus vous infligez de souffrance à autrui, plus vous êtes angoissés par la capacité mortifère potentielle que vous générez autour de vous. En gros, l’Israélien projette sur les Palestiniens, les Arabes, les musulmans et les Iraniens l’agressivité qu’il trouve en lui-même. Etant donné qu’il a été démontré, de la manière qu’on sait, que la brutalité israélienne n’a strictement aucune limite et que rien ne peut lui être comparé, en matière de brutalité, l’angoisse des Israéliens n’a d’égale que leur brutalité.
Apparemment, les Israéliens ont peur de constater que les malfrats, c’est eux. Ils sont engagés dans une bataille à mort contre la terreur qui les habite. Mais l’Israélien n’est pas le seul dans ce cas. Le juif de la diaspora qui manifeste son soutien à un pays qui balance du phosphore blanc sur des civils se retrouve coincé exactement dans le même piège destructeur. Etant le partisan exalté d’un crime gigantesque, il est horrifié par l’idée que la cruauté qu’il constate en lui-même puisse, éventuellement, se manifester un jour chez d’autres (chez des non-juifs). Le juif diasporique qui soutient Israël est dévasté par la possibilité imaginaire qu’une intention brutale, similaire à la sienne propre, puisse un jour s’en prendre à lui. Toute la peur juive de l’antisémitisme se résume à cette préoccupation-là. Fondamentalement, la hantise juive de l’antisémitisme est la projection de la brutalité collective tribale sionocentrique à l’encontre de l’Autre.
Un lien propre, c’est le site de bivouac, la référence de mcm et consorts n’est-ce pas ? Vous êtes de petits rigolos !
Pas besoin de consulter ce site, l’info concernant les rabbins trafiquants d’organe a été reprise par l’AFP :
Une quarantaine d’élus locaux et cinq rabbins ont été arrêtés jeudi dans la banlieue de New York lors du démantèlement d’un réseau de corruption ayant des ramifications jusqu’en Israël et en Suisse.
Les maires des villes d’Hoboken, Secaucus et Ridgefield, dans l’Etat du New Jersey, figurent parmi les personnes arrêtées dans le cadre de ce coup de filet qui a commencé à l’aube. Les autorités soupçonnent les prévenus de corruption, extorsion de fonds, blanchiment d’argent et trafic d’organes.
Les télévisions ont montré les images des dirigeants locaux placés menottes au poignet à bord d’un autocar qui devait les diriger vers leur lieu de détention, aux côtés de rabbins en tenue traditionnelle. Plusieurs synagogues ont été perquisitionnées et un total de 44 personnes arrêtées.
“Ces personnalités politiques se sont vendues”, a résumé le procureur Ralph Marra lors d’une conférence de presse, tout en accusant les religieux juifs d’avoir “dissimulé leurs vastes activités criminelles derrière une façade de respectabilité”.
Le coup de filet semblait l’un des plus vastes jamais lancés dans l’Etat du New Jersey (nord-est) connu pour ses relations malsaines entre la politique et le crime organisé. L’Etat a servi de cadre à la série télévisée “Les Sopranos” consacrée à la mafia.
Les autorités ont indiqué avoir enquêté pendant dix ans sur ce réseau de corruption organisée. Les élus faisaient passer leurs pots-de-vin pour des contributions électorales, selon la justice.
Quant au rabbin Levy Izhak Rosenbaum, il est accusé de trafic d’organes pour avoir persuadé des “donneurs” de lui vendre pour 10.000 dollars des reins qu’il revendait seize fois plus cher.
Le gouverneur démocrate du New Jersey, Jon Corzine, a dénoncé “un degré de corruption scandaleux et intolérable”. “La corruption est inacceptable, partout en tout temps et par qui que ce soit”, a-t-il estimé dans une déclaration écrite.
M. Corzine risque d’avoir une réélection difficile en novembre face au républicain Chris Christie, un ancien procureur qui a à son actif plusieurs années de combat contre la corruption au New Jersey.
La police a démenti tout motif politique derrière les arrestations, qui touchent plus largement des responsables démocrates que républicains.
“Il ne s’agit pas de politique ni de religion. Il s’agit de criminels qui se servent de la politique et de la religion”, a commenté un responsable du FBI, Weysan Dun.
Les suspects risquent jusqu’à 20 ans de prison pour abus de pouvoir et blanchiment d’argent, 10 ans pour prévarication et cinq ans pour trafic d’organes.
@bois guisbert, « israel n’est pas raciste mais fait ce qu’il faut pour préserver une identité qui se perpétue depuis plus de 5000 ans » donc en gros vous voulez nous dire qu’israel a le droit de cramer au phosphore blanc les enfants palestiniens, de massacrer une population sans défense, de spolier de terres qui ne leur appartiennent pas, d’emprisonner n’importe quel palestinien sans motif valable et de le torturer, d’humilier, de coloniser, de bafouer les droits internationaux, et j’en passe. Je vois que nous n’avons pas les mêmes valeurs !
@armand,« il y a une chose que ne comprennent pas les défenseurs d’israel, c’est que l’on puisse être animé par la compassion pour un peuple qui souffre. Ce sont les souffrances continues de palestiniens, en butte à des humiliations, vexations, maisons détruites, arbres arrchés, qui m’animent....... Il y a un oppresseur et un opprimé ; l’oppresseur israelien possède une force formidable et l’opprimé palestinien n’a presque aucune force...... Ils ont besoin de crier à l’antisémitisme, de dire que l’antisémitisme se déploie ; tout cela sert à justifier israel. » dixit Edgar Morin, source site internet de la LDH. C’est encore des « conneries » Armand ?
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