A ce qui a déjà été dit, je rajoute que la désalinisation de l’eau de mer est une catastrophe sur le plan écologique, parce que c’est déjà en oeuvre ... mais ce n’est pas un souci, une fois qu’on aura détruit tout ce qui est vivant, il ne restera aux générations futures qu’à agoniser sur une terre stérile et y composer leur épitaphe.
Quand au 25 milliards d’être humain, si c’est un scientiste comme Cheminade qui le le dit c’est forcément « vérité absolue » (lol) ... et pour vivre comment ? En clapiers verticaux comme des volailles en batterie, en bouffant de la merde, entourés de décharges et sans espace dans lequel se mouvoir (et ce n’est pas le pire scénario) ... quel avenir radieux !
Tous les pro-nucléaires devraient faire un stage de 6 mois à Fukushima ... et on devrait leur imposer de vivre autour de leurs chères centrales et au-dessus des déchets que l’on enfouira sous le sol de leurs habitations ... puisque c’est « propre » et sans danger.
Il faut changer de mode de vie c’est tout, d’autant plus que celui de tubes digestifs décérébrés et comateux sous perfusion, ça ne rend visiblement pas heureux et en bonne santé et ça semble méchamment détruire les neurones ! De toute façon nous y serons contraints mais si nous étions intelligents nous préparions une phase de transition pour éviter les drames et souffrances que cela engendrera ...
Vous plaisantez ? Les guerres ne sont jamais ordonnées par les oligarchies pour des idéaux, mais pour accroître leur pouvoir, faire diversion sur une société en crise, voire même permettre aux haut-gradés à jouer aux soldats de plomb en transformation une partie de la population en chair à canon.
La guerre de 14-18 a été une boucherie obscène, une véritable hécatombe dans la population masculine, c’est la raison des mutineries, quand les gens dans les tranchées se sont aperçus qu’ils n’avaient rien à faire là que des 2 côtés, ils n’étaient que des ouvriers et des paysans que l’on envoyaient s’entretuer pour des intérêts qui n’étaient pas les leurs.
La guerre n’a jamais été faite pour des idéaux, seule la résistance à une invasion étrangère est légitime, mais en 14-18 ce n’était que pour des raisons de pouvoir des différentes oligarchies de l’époque et de leur impérialisme.
De toute façon c’est toujours d’actualité, ça n’a pas changé et ça ne changera pas tant que nous accepterons de vivre dans des tyrannies, sous le joug de pervers et psychopathes tout en braillant (vive la méthode Coué) que nous sommes en démocratie ... à l’évidence les mots n’ont plus de sens et vive la confusion mentale.
Tous ces commentaires de personnes parant leur haine de vertu ça me donne la nausée ... merci à ceux/celles qui sont arrivés à faire des commentaires intelligents et cohérents bien que de toute façon ça ne serve strictement à rien.
@ l’auteur vous êtes chercheurs au CNRS, je suppose donc que vous connaissez le sens des mots ?
Puisque le sujet est « les musulmans », dans ce cas la stigmatisation (et on le voit bien dans les commentaires qui puent) entre dans la définition suivante : « action ou paroles qui transforme une caractéristique (ici le fait d’être musulman), un comportement, une déficience, un incapacité ou un handicap d’une personne en une marque négative ou d’infériorité. »
D’un parler de « stigmatisation négative » c’est un pléonasme dépourvu de sens, et en aucun cas une stigmatisation ne saurait être positive, à moins de prétendre positif le négatif ... ce qui relève soit de la confusion mentale soit du discours pervers.
Stigmatiser une partie de la population sur un critère arbitraire qui ne saurait définir le comportement et discours des personnes concernées, tout en prétendant attribuer à ce critère de façon tout aussi arbitraire des tares fantasmées, afin d’en faire les bouc-émissaires de ses problèmes et des souffres douleurs sur lesquels on peut taper en toute impunité ... ça relève de l’obscénité pour rester polie.
Pour remettre un petit peu les pendules à l’heure concernant les masculinistes ne sont que des réactionnaires prônant l’infériorité des femmes et leur déniant leurs droits d’êtres humains ... et qui comme tout mouvement fachiste et raciste, déploie une rhétorique perverse visant à se faire passer pour victime, tout en étant particulièrement agressifs et violents.
Coincidence, j’étais tombé sur ces articles sur le sujet il y a 2 jours :
Nota : l’ancien leader de SOS-Papa purge depuis 2009 6 ans de prison pour avoir projeté la mort de son ex-compagne, après avoir tenté de la faire passer pour une trafiquante de drogue et de faire passer ses parents pour des pédophiles :
Sur la tuerie « masculiniste » de 1989 au Québec, 14 femmes assassinées, par un individu aussi pervers, lâche, veule et haineux qu’un Breivik, les fachos se ressemblent tous :
Et un article qui répond en quelque sorte à la question que vous posez, bien que ce ne soit visiblement pas la réponse que vous souhaitez donner à cette question :
Globalement tout discours visant quelque soit le domaine à prétendre mettre sur le même plan un mouvement d’émancipation ou de lutte contre une oppression réelle, et les dérives marginales existant en son sein avec les mouvements réactionnaires visant à les éliminer pour maintenir leurs privilèges et faire passer la perte de ces privilèges et des droits qu’ils se sont arrogés pour violer le droit à l’existence de l’autre comme une oppression ou une agression d’une violence inouïe ... relève du discours pervers.
Je suis heureuse toutefois de voir que depuis quelques années, le nombre d’hommes qui osent s’afficher comme anti-machiste, revendiquant d’être des êtres humains à part entière, progresse et qu’ils ont suffisamment d’analyse personnelle pour renvoyer dans les cordes les machos/masculinistes/beaufs qui les agressent tout autant qu’ils agressent les femmes sur les mêmes sujets.
Et pour finir pour l’instant seul le machisme et le masculinisme tuent ... pas le féminisme.
Je dois avouer que l’article auquel vous répondez m’avait fait tiquer sur plusieurs points, à commencer par l’exemple du départ du saut à l’élastique, et que le votre exprime une vision qui semble globalement assez proche de la mienne.
Je n’avais pas réussi à formuler un commentaire cohérent et je n’ai donc pas commenté. Vous avez parlé des « justes » j’y avais pensé aussi, et également à un autre exemple celui des mutins fusillés en 1917, si courage il y a c’est de leur côté qu’il était et non du côté de ceux qui allaient dans les tranchées la peur au ventre massacrer et se faire massacrer parce qu’ils avaient plus peur encore de « désobéir » et du regard des autres ...
En fait le concept de courage est pervers, et sert souvent à parer de vertu la lâcheté et présenter la conscience comme absence de courage ... et une confusion également entre courage et domestication d’une peur « mineure » pour soi (la hiérarchisation des peurs est personnelle) dans un cadre visant à le faire sans risque tout en se donnant l’illusion d’en prendre, le saut à l’élastique relève de ce cas de figure, s’il est présenté comme relevant du courage, ce qui n’est pas forcément le discours de tous ceux/celles qui l’ont fait ou le font.
Or en fait agir en conscience, ne demande pas de courage, au sens de ce concept, ce n’est pas une violence que l’on se fait, et ne signifie en aucun que l’on ignore la peur, mais qu’on en est conscient, ne la laisse pas devenir son maître et qu’on ne cherche pas à parer de vertu, les actes qu’elle peut nous amener à commettre ...
Je n’arrive pas à trouver les mots pour exprimer ce que je voudrais dire sans faire long et confus ... désolée, je vais m’arrêter là donc :)