Comptable et Economiste de formation. Historien des religions et des civilisations autodidacte. Soucieux des questions sociales et géopolitiques, je nourri une certaine méfiance envers les traitements médiatiques.
le problème est encore plus complexe quil n’y paraît, et ne convient guère à la communication simpliste.
Résumer le déreglement climatique à son réchauffement est réducteur, même si le réchauffement est localement une réalité saisonnière aigüe.
Par ailleurs le catastrophisme quasi-apocalyptique de certains politiques n’a aucun rapport avec ce dérèglement : ces politiques décrédibilisent dangereusement l’Etat qu’ils représentent. La cause géopolitique, défendue par l’auteur, est clairement plausible.
L’autre problème est la complexification de la réception du message politique dans des sociétés multi-culturelles où le civisme, toujours présent, a beaucoup muté. La solution est une plus grande adéquation des élites et de la population.
je m’élève contre tes propos inconsidérés : réfléchis-tu à ce que tu dis ?
Tu répètes des paroles qui instrumentalisent naïveté et ton innocence et qui te mènent à la désolation.
Crois-moi la réalité est moins noire et plus complexe : la dictature du prolétariat c’est l’anarchie, on peut pas tout avoir ! Les curés ont d’autres soucis que ceux que tu leur prête, notamment leurs fidèles et leurs trop vieilles églises. A +
finalement Bush n’a pas laissé la situation irakienne et afghane dans si mauvais état : l’Aghanistan était relativement calme, et l’Irak était pacifiée.
Il appartient à Obama de faira au moins aussi bien : sa préoccupation principale semble être la politique intérieure en bon démocrate.
Toutefois ses hésitations actuelles semblent indiquer qu’il est entrain de perdre la main:dommage pour un homme qui a suscité aurtant d’espoir.