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Bereb

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  • Bereb 20 novembre 2012 18:30

    « Tout, sauf le nom de la langue construite que vous trouvez plus moderne et plus efficace que l’espéranto ! Est-il bien honnête d’avancer masqué, en se cachant derrière la proposition de faire appel à d’hypothétiques experts ? » 

    Vous tenez donc tant que ça à ce que je m’incruste !
    Il s’agit bien ici d’un blog ou d’un forum, ouvert aux commentaires. Je me suis donc permis de donner mon avis sans agressivité, à moins que vous estimiez que toute opinion différente de la vôtre soit une agression. Je ne suis pas venu ici pour faire de la publicité, de la propagande ou du trolling. 
    Quel besoin avez-vous de savoir quelles langues je pratique, naturelles ou construites ? Le goût de la polémique ? 
    Ce forum est consacré à l’Espéranto, donc je parle d’Espéranto que je connais bien par ailleurs. Ce qui me permet d’émettre les opinions et les réserves que j’ai exprimées à son sujet et que je ne vais quand même pas lister à nouveau ici. Mes arguments valent sans doute bien les vôtres, si j’avais au moins pu les entendre, au lieu de cette suspicion irraisonnée. Je ne cherche pas à convaincre personne, mon intention est juste d’informer en offrant un autre son de cloche.
    Néanmoins je vous remercie de m’avoir écouté (puisque vous m’avez répondu), à défaut de m’avoir compris, et vous souhaite bonne continuation.


  • Bereb 20 novembre 2012 12:49
    Personnellement, j’ai dit tout ce que j’avais à dire dans le cadre de cette discussion. Tout ce que je pourrais ajouter risquerait d’être hors-sujet. Je me contenterais donc de répondre à vos commentaires pour préciser ma pensée et, peut-être, lever quelques malentendus.

    « Alors c’est un cercle vicieux : dès qu’une langue acquiert des locuteurs, elle n’est plus neutre. Et tant qu’elle n’a pas de locuteurs, ce n’est pas une langue mais un projet. »

    Bien entendu ! Mais rappelez-vous ce que j’avais dit plus haut : « Vous affirmez que l’Espéranto est une langue neutre, mais a priori toutes les langues sont neutres (...), sinon il serait impossible d’exprimer une infinité d’opinions diverses dans une même langue.  » Ce qui pourrait passer, a priori, pour une contradiction de ma part. Le problème est que nous ne voyons pas la question sous le même angle ou bien que je me suis peut-être mal exprimé. 
    Le reproche que je fais, non pas à l’espéranto, mais à la propagande qui en est faite, et qui d’une certaine manière prend cette langue en otage, est de brandir cet argument de « neutralité », sans le nuancer, comme d’autres arguments discutables d’ailleurs, mais que je ne développerai pas ici pour ne pas sortir du sujet. Pour résumer ma pensée, j’appelle cela de la publicité mensongère ou du mauvais marketing, qui ne rend service ni à l’espéranto (la langue qui véhicule ce genre d’âneries), ni à l’idée d’une langue construite commune (idée sérieuse, décrédibilisée par ce type d’attitude). 

    « Relisez la définition d’une langue vivante. »
    Donnez-moi donc la vôtre ! 
    Voici, de façon claire et concise, une synthèse des définitions que l’on peut trouver dans divers dictionnaires : une langue est vivante lorsqu’elle comporte des locuteurs qui l’utilisent naturellement.
    Libre à vous maintenant de nuancer cette définition comme vous le souhaitez.

    « Argument assez vicieux, je trouve. Si vous ne voyez pas de respect envers les langues chez les espérantistes, soit votre perception est défaillante, soit vous déformez la réalité exprès.  »
    Relisez-moi donc et jusqu’au bout : « Je regette de ne pas sentir ne serait-ce qu’un soupçon de ce respect des langues, de toutes les langues, de cette diversité d’expression de l’Humain, dans la propagande espérantiste, même s’il existe (ce respect), j’en suis certain, chez de nombreux espérantophones. »
    Sinon, je pourrais me permettre de vous renvoyer votre compliment.

    « Donc, votre seul critère d’une langue internationale, c’est de « s’en sortir ». Mézalor, n’importe quelle langue, non construite y compris, correspond à ce critère. »
    Désolé mais je ne connais pas de langue non construite, qui pourrait s’appeler une langue. Une langue étant un ensemble de signes oraux et écrits permettant à un groupe de communiquer, il vaut mieux que tout cela soit construit et cohérent, à moins de vouloir sciemment brouiller ou bloquer toute communication.

    Pour toutes les autres langues, de quel critère parlez-vous ? Du « seul critère d’une langue internationale » ? (mais je ne pense qu’il n’y en ait qu’un seul,) ou du critère « s’en sortir » ? 
    Désolé, je n’ai pas bien comprends le sens de votre message. La preuve que toute langue est bien imparfaite, pour « s’en sortir » au niveau de la communication. Les mots ne sont pas les choses qu’ils désignent et leurs sens peuvent être parfois très variables selon le contexte, mais aussi selon les personnes qui les utilisent. Si on veut vraiment communiquer, échanger, il faut toujours s’efforcer d’être le plus clair possible, et je vous prie de m’excuser si je ne le suis pas parfois. Voilà, c’est un peu ça que j’appelais « s’en sortir » dans un échange verbal ou écrit. 

    On pourrait parler aussi de communication non verbale, mais ce n’est pas le sujet. Et c’est très compliqué dans un échange essentiellement écrit.


  • Bereb 19 novembre 2012 16:31
    « Ce qui parle en faveur de l’espéranto : une langue construite n’a pas de locuteurs natifs, donc, tous ceux qui l’étudient et ensuite utilisent le font de leur plein gré. »

    D’accord avec ce que vous dites dans la deuxième partie de votre phrase. Il est bien évident que ceux qui veulent étudier ou pratiquer une langue construite, puissent le faire de leur plein gré. En revanche, en ce qui concerne l’Espéranto, je ne m’avancerai pas trop en affirmant qu’il n’existe pas de locuteurs natifs. Il en est recensé de 1000 à 2000. A ce propos, j’en profite pour corriger une erreur de ma part concernant l’estimation du nombre d’espérantistes ou espérantophones : 100 000 à 10 millions (et non 10 000 à 10 millions), ce qui ne change rien à l’imprécision de cette estimation et peut donc mettre un doute sur sa validité.

    Il existe donc des locuteurs natifs de l’espéranto, il existe aussi des « maisons » ou centres culturels, il existe une littérature originale, ce qui change complètement la donne. L’espéranto n’est plus cette langue neutre, comme on le prétend ou le revendique souvent, mais bien une langue « communautaire ». Communauté « internationale », certes, donc « commune » au sein d’un cercle espérantiste, sans doute très large, mais ceci ne permet plus à l’espéranto de prétendre au titre de langue « neutre ». Ce qui n’enlève rien aux qualités (et aussi aux défauts) de cette langue, mais toutes les fausses affirmations ne sont pas permises pour la vendre comme solution unique et définitive aux problèmes de communication engendrés par le multilinguisme. Dans ce domaine la fin ne justifie pas les moyens, il arrive même que ceux-ci puissent la desservir.

    « Vu que les langues construites ne sont même pas enseignées dans les écoles, cet effort est encore plus important. »

    Les langues construites, à vocation de langue auxiliaire ou de « langue-pont », ont la réputation ou au moins l’intention d’être des langues simples, sans être simplistes, abordables, donc sans fioritures ou gadgets linguistiques inutiles, et faciles à apprendre. Ce dernier critère est d’ailleurs aussi revendiqué pour l’espéranto.

    Donc l’effort pour apprendre une langue construite n’est pas plus important, et en fait il est le plus souvent moins important, que pour l’apprentissage d’une langue enseignée à l’école. D’abord parce que l’apprentissage des langues à l’école revêt un caractère obligatoire et que le choix même des langues est assez limité, notamment de nos jours où on privilégie de façon évidente et aberrante l’apprentissage de l’anglais. Ensuite parce l’apprentissage d’une langue construite est tout à fait volontaire, qu’il se fait au ryhtme de chacun, sans pression aucune (pas d’examens stressants en perspective, juste le plaisir d’apprendre), et parce que, il faut le répéter, ces langues sont en moyenne plus faciles à apprendre.

    « Il existe près de 600 projets de langues construites, mais en ce moment seul l’espéranto est devenu une langue vivante. »

    Qu’appelez-vous donc une langue « vivante » ? 
    Toutes les alternatives (à l’espéranto), que j’ai citées dans un commentaire précédent, et sans doute plus encore, sont des langues vivantes, dans la mesure où elles sont utilisables ou pratiquables, utilisées ou pratiquées, par quelques locuteurs, quelque soit leur nombre, parfois plus important que pour certaines langues « naturelles » en voie de disparition. Je regette de ne pas sentir ne serait-ce qu’un soupçon de ce respect des langues, de toutes les langues, de cette diversité d’expression de l’Humain, dans la propagande espérantiste, même s’il existe, j’en suis certain, chez de nombreux espérantophones.

    « En ce qui concerne les experts, il faut qu’ils le soient réellement. Alors la condition serait d’apprendre plein de langues construites à un bon niveau, et n’excluons pas de ce cercle les sociologues, car l’élément humain est indissociable d’une langue »

    Le propre d’un expert ou d’un spécialiste, c’est de l’être effectivement. Sinon à qui pourrait-on faire confiance ? Aucune communication réelle ou authentique ne peut se faire sans un minimum de confiance. Il n’y a pas de conditions à poser pour observer, examiner, étudier une langue construite, sauf à le faire en toute objectivité. 
    En plus des sociologues, j’ajouterai un expert de taille : l’utilisateur ou les utilisateurs, car il en faut au moins deux pour pouvoir mettre à l’épreuve de la réalité une langue construite. Et si seulement deux interlocteurs s’en sortent, cette langue est déjà une langue pratiquable, qui n’est ni inférieure, ni supérieure à une autre, car précisément, comme vous le dites il s’agit bien ici de respecter l’Humain dans sa diversité.


  • Bereb 19 novembre 2012 12:48
    « Difficile de vous répondre tellement vous êtes irrationnel. Pourquoi tant d’agressivité et pourquoi reprendre les clichés des ennemis de l’espéranto qui prétendent contre toute logique qu’on veut remplacer toutes le s langues, ce qui est à la fois absurde et faux ? »

    Voilà ! Il est bien difficile de discuter avec vous. Dès lors qu’on émet une opinion différente, on est accusé d’agressivité ou on devient « l’ennemi de l’espéranto ». Là, c’est vous qui devenez « irrationnel » et qui faites dans le « cliché ». 
    L’espéranto est une langue, respectable en tant que tel ; en quoi pourrait-elle avoir des « ennemis » ? En tout cas certainement pas moi. Je mets en question plutôt ce que vous en faites, et qui me semble aller à l’encontre du but recherché : une langue réellement commune, respectueuse de toutes les autres langues. Désolé de mettre le doigt sur vos contradictions. Cette démarche n’est en rien agressive, elle n’a pour objectif que de remettre les pendules à l’heure, d’équilibrer les choses, qui, pour vous ont l’air d’aller de soi. Vous surfez sur une idée consensuelle pour y apporter votre solution toute faite, sans même débattre, voire en refusant tout débat, comme ici. C’est bien plus grave que d’affirmer « qu’on (qui est ce »on«  ? Vous, les espérantistes ? L’espéranto ?) veut remplacer toutes les langues », ce que d’ailleurs, soit dit en passant puisque vous m’attribuez cette phrase, je n’ai pas dit. Je n’ai fait qu’évoquer un tournant de l’Histoire de l’Espéranto (excusez-moi d’en avoir étudié l’Histoire), qui me semblait réapparaître ici dans votre discours.

    « Choisir entre toutes les langues construites celle qu’on trouve la plus convaincante, effectivement ce n’est pas être neutre, c’est avoir un avis et faire un choix. Quand vous choisissez entre une pomme et une poire, vous n’êtes pas neutre.  »

    Bien sûr qu’un choix n’est jamais neutre. Entre la pomme et la poire, c’est aussi une question de goût. Mais je pense que vous aviez bien compris que je ne parlais pas de cette neutralité-là. Vous affirmez que l’Espéranto est une langue neutre, mais a priori toutes les langues sont neutres (à part la Novlangue du roman d’Orwell « 1984 »), sinon il serait impossible d’exprimer une infinité d’opinions diverses dans une même langue. Ce qui n’est moins « neutre » c’est ce qu’une langue véhicule. Tout comme l’anglais, ou devrais-je préciser l’anglo-américain, contre l’hégémonie duquel il faut se battre, véhicule une idéologie délétère (surtout actuellement), l’espéranto véhicule aussi une idéologie, sans doute plus sympathique, mais une idéologie quand même, celle de l’espérantisme. 
    Le problème c’est que vous mêlez insidieusement, ou peut-être sans le faire exprès (mais j’en doute), espéranto et espérantisme. Un « espérantiste » est à la fois un locuteur de l’espéranto et un adepte de « l’idée interne » qui a donné naissance à la langue. Il faudrait être clair dans votre propagande qui parfois s’insinue dans l’apprentissage même de la langue. Cette ambiguĩté ne rend service ni à l’espéranto, ce qui est un moindre mal, ni à l’idée qu’une langue construite commune est une affaire sérieuse qui devient de plus en plus nécessaire, en la décrédibilisant par des informations, sinon mensongères, en tout cas confuses, discutables et ... partisanes. Personne ne doit se sentir obligé d’adhérer, d’une manière ou d’une autre, à quelque degré que ce soit, à aucune « idéologie » ou « philosophie » s’il veut apprendre ou pratiquer une langue, a fortiori une langue commune.

    « Rien ne vous empêche de faire un article sur la langue construite que vous préférez et de militer en sa faveur, et de façon partisane ! Et s’en remettre aux experts est naïf : ce sont ceux-là mêmes qui recommandent d’imposer l’anglais au CP ! »

    Ne pas s’en remettre aux experts est tout aussi irresponsable. Vous remettez donc en question les études, les diplômes, les compétences ! Pourquoi alors proposez l’espéranto au bac ?
    Si l’Education Nationale est composée d’un grand nombre d’experts en instruction, en éducation, je veux parler bien entendu des enseignants, professeurs, éducateurs, vous savez très bien qu’ils ne sont pas pour autant les « décideurs ». Ceux-ci sont les « politiques », dont vous-mêmes doutez de leur « expertise » (et je ne vous en blâmerez pas), puisqu’il refuse de prendre en considération votre demande. Pourquoi donc vous adresser à eux ? 
    L’anglais au CP c’est eux, plus pour des considérations politico-économiques, que linguistiques ou éducatives.
    Personnellement je fais assez souvent confiance aux vrais experts. Il ne me viendrait pas à l’idée de me faire soigner par quelqu’un qui n’aurait pas son diplôme de docteur en médecine.



  • Bereb 18 novembre 2012 17:42

    « l’espéranto est la seule langue construite a avoir suffisamment convaincu pour élargir le cercle de ses locuteurs et les renouveler à chaque génération, tandis que les autres n’ont qu’une poignée de partisans, ultra-minoritaires parmi des gens eux-mêmes minoritaires ! »


    Voilà bien une réponse convenue et tellement prévisible (toujours la même depuis des années). Le fameux argument du nombre de locuteurs, ceux de l’Espéranto seraient les plus nombreux, CQFD car il n’y a, à vrai dire, aucun recensement précis : entre 10 000 et 10 millions (?). C’est tout sauf précis. D’autre part c’est un argument qui, s’il tenait la route, nous pousserait davantage à apprendre l’hindi, le chinois ou bien l’anglais, langues dont le nombre de locuteurs est parmi les plus élevés.

    Voyez-vous j’ai étudié et pratiqué l’Espéranto pendant plusieurs décennies, séduit par l’idée d’une langue vraiment commune, persuadé un peu naïvement qu’il n’y avait en lisse que l’Espéranto (c’est un peu ce qu’on me répétait en boucle pendant toutes ces années), jusqu’à ce que les moyens d’information s’enrichissent de cet outil que nous utilisons presque quotidiennement maintenant : Internet, qui m’offrit l’occasion de découvrir que les alternatives à l’Espéranto n’étaient pas mortes et enterrées comme on me l’avait toujours fait croire, mais encore vivantes ou renaissantes, avec parfois des qualités égales ou supérieures, en tout cas plus convaincantes à quelques égards que l’Espéranto. Avez-vous seulement exploré, essayé, pratiqué ces alternatives, en dehors de l’Espéranto, pour pouvoir juger ou affirmer que l’Espéranto est la seule langue construite a avoir convaincu ? Convaincu qui ? Des personnalités de tous bords, convaincues par l’idée, comme je le suis, mais qui n’ont qu’une connaissance succincte, voire aucune connaissance de la langue elle-même ?

    Que vous défendiez l’Espéranto, c’est votre affaire et nul ne peut vous le reprocher. Mais que vous le présentiez comme la seule solution à un problème, suffisamment sérieux pour qu’on ne le traite pas à la légère, devient de la malhonnêteté intellectuelle. Pas besoin d’être polyglotte pour juger de la valeur d’un langue construite, il peut suffire de juger si elle est « attractive et abordable » mais ses qualités linguistiques doivent être examinées par des spécialistes : des linguistes, des philologues ou des grammairiens, en particulier quand l’auteur de la langue n’est aucun de ceux-ci.

    Pas besoin non plus d’être « partisan ». Une langue est une langue, même une langue construite, il n’y a pas besoin d’être adepte ou partisan, il suffit juste de la pratiquer, comme on le ferait avec une langue « naturelle ». 
    En utilisant ce terme de « partisan », vous venez de mettre à mal la soi-disant « neutralité »de l’Espéranto (lorsqu’on est partisan, on n’est plus neutre), de même que vous pointez une contradiction quand vous affirmez, d’une part que l’Espéranto est une/la solution à « un plurilinguisme raisonné, une communication équitable », et d’autre part qu’il est la « seule langue construite » convaincante. On croit réentendre des accents de « unu mondo, unu lingvo » (un seul monde, une seule langue), un slogan espérantiste, un peu terrifiant, qui sévissait il fut un temps. 
    Où est le respect de la biodiversité linguistique (et culturelle) dans tout çà, qui consiste à respecter toutes les langues, aussi minoritaires soient-elles ?
    N’êtes-vous pas en train de pratiquer ce que vous reprochez, parfois violemment, à l’anglais, l’hégémonie linguistique, mais ici au sein même des langues construites ?

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